Mes deux pères

Chapitre-1 | Rencontre de mes deux pères

Je suis en train aujourd’hui de ranger la maison familiale. De nombreuses affaires entassées depuis des décennies, des preuves d’une vie bien remplie. Il y a un mois que mon père, Guy, nous a quitté alors qu’il n’avait que 65 ans. Ça a été une épreuve difficile que j’ai eue du mal à surmonter, de plus que Daniel, mon deuxième père, a disparu lui aussi, cela fait 8 ans. Je me sens seul car j’ai adoré mes deux pères. Ils étaient homosexuels et mon éducation a été formidable. Je ne les en remercierais jamais assez. Moi, j’ai 37 ans, je suis chirurgien dans un grand hôpital dans le département neurologique. Je n’ai jamais manqué de rien et je suis marié depuis 5 ans avec Marjorie, ma femme, avec qui j’ai eu deux enfants.

Aujourd’hui, je suis en train de trier la chambre de mes parents. Je mets de côté les habits à jeter et ceux à donner au Secours Populaire. Et dans la penderie, je découvre une boîte bien cachée. Elle renferme des objets sexuels : godes, poppers, chaînes, etc. J’ai toujours su que mes parents avaient une vie sexuelle pimentée. Je mets tous ces petits sex-toys dans la pile : « A jeter ». Au fond de la boîte, je découvre un carnet. Je l’ouvre. Il est intitulé : « Mon journal intime ». Je reconnais immédiatement l’écriture de papa Guy. Je l’ouvre et je me mets à le lire. Il y est question de son adolescence difficile, par rapport à son homosexualité. Puis, je lis ses rencontres érotiques dans les bars gays de la ville. Fin du cahier. Je fouille un peu et je trouve un deuxième, qui a pour titre « Rencontre de l’amour de ma vie. » Je feuillette et je vois qu’il est question de sa rencontre avec papa Dan.

Ma curiosité est piquée au vif : je leur ai déjà demandé comment il s’était rencontré mais ils sont toujours restés évasifs. Ils m’ont seulement dit qu’ils se connaissaient depuis le collège, ils étaient vraiment devenus inséparables au lycée. Mais c’est à la fac qu’ils ont développé des sentiments l’un pour l’autre.

Je reviens au début et je me mets à lire :

« 19 juin 1982,
Ça y est, je viens de fêter mon anniversaire. J’ai 22 ans aujourd’hui. Mais ce qui me réjouit, c’est que Dan est rentré d’Allemagne. Il a fait un semestre d’échange en Allemagne. Notre autre copain, Dominique, qui a 26 ans, et moi l’avons attendu sur le quai de la gare. Quand il est descendu du train, on l’a serré fort dans nos bras. Daniel m’avait manqué. Nous sommes depuis des années très proches et on ne passe pas une semaine sans trainer ensemble.

On est monté en voiture et Dan s’est mis à comater sur la banquette arrière. Dominique lui a alors demandé :

- Il y avait de bonnes meufs à Francfort ?
- Oui, à la fac, j’ai rencontré une belle Allemande qui était ma « copine du moment » ...
- Et ? C’est tout ? Arrête ! Je te connais, il y en a eu d’autres !
- Je peux juste vous dire que les meufs là-bas kiffent l’accent français ! Pas plus tard qu’avant-hier soir, j’en ai rencontré une à une fête et je l’ai baisée toute la nuit !
- Oui, toute la nuit, a ricané Dominique. T’y crois, Guy ?
- Je sais pas...
- Vous venez demain à la soirée organisée pour mon retour par mes potes ?
- Non, a dit Dominique. Je pars dimanche avec Sophie en vacances. On va en Espagne.
- Putain, t’es chiant, me suis-je écrié.
- T’inquiète, on s’amusera bien sans lui !, a répondu Daniel.

Le soir, les parents de Dan ont préparé un bon festin pour le retour de leur fils et ils m’ont invité. On a beaucoup ri et on a écouté attentivement le récit de mon pote. Ils m’ont demandé si je voulais rester dormir chez eux, ce que j’ai refusé. Daniel est allé se coucher pendant que je suis rentré en métro chez moi.

20 juin 1982,

J’ai fait la grasse mat’ et je me suis levé vers 11h. Je voulais être en forme pour la fête de Dan !

Le soir, je me suis préparé et je me suis rendu au Nelson, un bar dansant où nous avions organisé la soirée pour fêter le retour de notre pote. C’était vraiment génial. J’ai bien parlé avec nos potes communs mais aussi avec des amis de fac de Daniel. Marie s’est exclamé à un moment :

- Tu portes la barbe maintenant ? Ça te va trop bien !
- C’est vrai, elle a raison, me suis-je écrié
- Merci. Vous êtes sympa, a dit Daniel en retour.

Durant la soirée, on lui a offert des cadeaux de bienvenue. Je lui ai offert un cadre avec un voilier immense, car je sais qu’il adore tout ce qui touche à la marine. Il en a été ravi. On a trinqué à sa santé et on s’est mis à danser. La musique était géniale, l’ambiance était bonne. J’ai bien discuté avec mes potes... et j’ai aussi bien bu. Et je dois avouer que je ne me souviens pas ce qui s’est passé après minuit...

21 juin 1982,

J’ai ouvert les yeux... Une lumière aveuglante m’a ébloui. Soudain, j’ai porté ma main à ma tête. C’est comme si un bulldozer venait de frapper mon cerveau. Je me suis alors levé et je me suis rendu dans la salle de bain. Tout était flou et je me cognais à des endroits où je n’aurais pas cru. Je me suis écrié dans ma tête que ma mère avait encore changé des meubles de place. J’ai ouvert la salle de bain... et je me suis alors retrouvé nez à nez avec Daniel... à poil ! J’ai bafouillé des mots d’excuse... mais je me suis bien attardé sur mon pote : Daniel était mince, assez musclé et seulement une touffe de poils au niveau du pubis. Il avait une bite molle et pendante, assez longue. Et c’était la première fois que je le voyais complètement nu !
- Putain ! T’as tout pour toi ! Une belle gueule, un beau corps... et une queue de malade !

Je me suis alors tu... car je me suis rendu compte que j’avais prononcé ces mots à haute voix ! J’ai rougi. Daniel a mis une serviette autour de ses hanches et il m’a conduit dans sa chambre. C’est à ce moment que j’ai remarqué qu’on était chez lui. Il est allé me chercher une aspirine et un verre d’eau. J’ai ingurgité tout... Et il m’a demandé :

- Ça va ?
- Oui...
- Tu te rappelles d’hier soir ?
- Non... J’espère que j’ai rien fait de mal.
- Non, tu t’es endormi sur un canapé au Nelson et après, impossible de te réveiller. Je t’ai alors porté jusque chez moi.
- Ah ok.

J’avais eu peur d’avoir dit des choses « gênantes ». Tu sais, cher journal, que je suis amoureux depuis un moment de Dan...

- Et alors tu trouves que j’ai un beau corps, a-t-il repris.
- Ben par rapport à moi oui.

J’étais complexé depuis longtemps : j’avais les cheveux longs, bruns, le visage lisse. J’étais baraqué avec un gros ventre rebondi et de petits seins. J’étais très poilu (sur les avant-bras, les jambes, le torse et le ventre, sur le sexe et le cul).

- Arrête, t’es beau gosse !
- Tu débloques !

Daniel s’est levé et il s’est mis en position de défense, tel un boxeur et il s’est mis à me donner de petits coups dans mon ventre. Je voyais sa queue danser de haut en bas devant mes yeux. Je l’ai repoussé, n’ayant pas envie de bander. Il s’est exclamé :

- Ton ventre est bien mou ! Moi, j’adore !
- Quoi ? Arrête de te foutre de ma gueule !

Daniel a continué. Dans mon élan pour le repousser, je me suis levé... et je suis tombé sur lui. Sous l’effet de mon poids, il est tombé par terre. J’ai agrippé ses poignets et je me suis retrouvé assis sur son ventre. Mon pote m’a regardé en souriant ... lorsque j’ai senti sa queue prendre du volume ! Je l’ai lâché et je me suis redressé, matant sa queue qui dépassait de la serviette. Elle était dure comme de la pierre : elle était marron foncé, plutôt épaisse, veinée, avec un gros gland rose et de petites couilles velues.

Daniel m’a alors dit en rigolant :

- Bravo, tu m’as donné une bonne érection !
- Putain, t’es dégueu !
- Je crois qu’il faudra que j’intègre la lutte à mes pratiques sexuelles, a continué Dan en ricanant.

Daniel a alors saisi sa queue et il s’est mis à la masturber lentement.

- Tu fais quoi, là, me suis-je écrié.
- Fais pas ta prude ! Comme si tu le faisais pas tous les soirs !
- Peut-être ! Mais pas devant mes potes !
- Je plaisante... mais par contre, quand tu seras parti, je m’enfermerai dans ma chambre car j’ai besoin de me vider les couilles !

J’ai alors remarqué que j’avais aussi une érection. Depuis mon adolescence, comme tu le sais, cher journal, j’avais des envies homosexuelles, chose que j’ai toujours refoulée, suite à mon éducation très catholique. Cependant, je m’étais déjà acheté des pornos gays...

Le sourire de Dan m’a sorti de mes souvenirs. Il me matait en souriant, toujours à poil, la bite en demi-molle.

- Tu bandes, petit coquin !
- Quoi ? Non.

J’ai mis mes jambes de telles sortes qu’il ne remarque rien.

- Tu veux pas qu’on se branle ensemble ?
- Je... je..., ai-je bégayé.

Sans attendre ma réponse, Daniel s’est penché et il a fait descendre mon caleçon. Je me suis retrouvé devant lui, mes 17 cm en l’air. J’étais rouge comme une pivoine, mort de honte ! A ma plus grande surprise, il a saisi ma bite qu’il a commencé à branler lentement.

- Dan... non...

Sans m’écouter, il a continué. Et mes défenses sont très vite tombées. Il s’est posé à ma droite et on regardait nos queues dressées. Il a saisi ma bite et moi la sienne. On a commencé à se branler. Le sentiment d’avoir enfin une main autre que la mienne qui me branlait de nouveau, me plaisait beaucoup.

Au bout de quelques minutes, Daniel a repris la parole :

- T’as déjà sucé une bite ?

J’ai fait non de la tête.

- Ça te dirait pas d’essayer, a-t-il repris en montrant sa bite

J’ai fait une nouvelle fois non de la tête. J’ai continué de le branler lentement. Sa queue me plaisait beaucoup. Elle était épaisse et longue, bien plus longue que la mienne. Soudain, Daniel a caressé mon ventre :

- Tu penses que je me suis moqué de toi tout à l’heure, mais tu sais, j’adore ton ventre.
- C’est vrai ?
- Oui, j’aime bien les bears.
- Les quoi ?
- Les bears, les mecs qui ressemblent à des oursons : poilus, ventrus.
- Quoi ? Je te comprends pas !
- Tu veux que je t’avoue quelque chose ? En Allemagne, j’ai aussi couché avec des mecs... avec beaucoup de mecs !

Je l’ai regardé, abasourdi par ce que mon meilleur pote venait de me révéler.

- Tu sais, les mecs là-bas sont beaucoup plus ouverts.

Je ne savais pas quoi dire... mais je continuais de le branler, doucement. Ma queue était dure comme de la pierre. Ces révélations semblaient lui plaire.

- J’ai toujours eu envie de faire un truc...

Daniel a alors appuyé sur ma tête et sans que je puisse réagir, je me suis retrouvé le visage devant sa grosse bite dressée. Je me suis alors laissé envahir par ma testostérone... et j’ai ouvert mes lèvres. J’ai enfoncé son gland dans ma bouche jusqu’à y prendre la moitié de sa bite. Puis, j’ai joué avec ma langue sur son gland. Daniel a gémi, il a penché la tête en arrière et il a savouré mon traitement. C’était une belle sensation que de sentir la bite dure de mon pote dans ma bouche. Moi, je jubilais... J’avais tellement fantasmé sur un moment pareil... qui devenait enfin réalité !

- J’en ai envie depuis tellement longtemps, a murmuré mon copain.

Tout en le suçant, je me demandais ce qui se passait. 15 minutes auparavant, on m’aurait dit que j’allais me retrouver à sucer mon ami d’enfance, je ne l’aurais pas cru !

- C’est trop bon, a dit Daniel.
- Oui, ai-je murmuré.

Encouragé, j’ai alors enfoncé sa queue encore plus profondément dans ma bouche. J’avais envie de sentir mes lèvres contre ses couilles... mais je n’y suis pas arrivé. J’ai alors ressorti sa queue de ma bouche et je me suis occupé de ses couilles.

- Putain ! Trop bon, Guy !

Je trouvais ses boules magnifiques ! Pendant ce temps, je me masturbais aussi.

- Daniel !

Putain, c’étaient les parents de Daniel ! Je me suis vite rhabillé, tout comme mon ami.

La journée a été intense. Daniel et moi nous sourions sans arrêt. Quand personne ne nous voyait, on se caressait la main, le bras, la cuisse. Ses parents ont été d’accord que je dorme de nouveau ici. J’étais chaud comme la braise. Et enfin, le soir, on s’est retrouvé seul dans sa chambre. On a alors parlé de ce qu’il M’avait révélé le matin même : ses rencontres homosexuelles :

- Alors, tu as fait de belles rencontres en Allemagne ? Où ?
- Oui, c‘était super. Dans des bars gays, a-t-il répondu en souriant.

On a commencé alors à parler sans filtre, de tout. Il m’a parlé de ce qu’il aimait ... il était actif/passif. Il m’a parlé de sa première fois avec un mec. J’ai appris que sa première expérience avec un mec datait d’il y avait 2 ans et qu’il a beaucoup expérimenté en Allemagne : baise, SM, éjac faciale ou en bouche et fessée.

On bandait tous les deux... et il s’est approché à un moment de mon oreille et il m’a dit :

- J’ai envie de te faire jouir !

On s’est couché sur le lit et il approché ses lèvres des miennes. Il m’a embrassé. J’ai bien sûr répondu à ses baisers. Dan me caressait aussi le corps. Il a d’abord caressé mon torse et il a titillé mes tétons. Pendant qu’on s’embrassait tendrement, j’ai senti ses doigts qui se promenaient sur mon corps ainsi que sur mon slip. De ses deux mains, il a ensuite caressé mon ventre. Il semblait en effet bien l’aimer. Puis, il a ouvert mon slip et il a saisi ma bite qu’il s’est mise à branler doucement... jusqu’à ce que je jute. 8 gros jets ont crépi mon ventre et mon torse. J’en avais partout. Mon pote m’a nettoyé avec des mouchoirs. Ensuite, il s’est couché à côté de moi et il m’a pris dans ses bras. Il s’est endormi ainsi. Je me suis rendormi aussi.

22 juin 1982,

Je me suis réveillé durant la nuit... sous les doux baisers de mon pote. Il m’embrassait le cou et les épaules. Il avait collé son corps contre le mien. Je lui tournais le dos et il avait les mains sur mon gros cul qu’il caressait. J’ai aussi remarqué qu’il avait réussi à retirer mon slip pendant que je dormais. Il malaxait bien mes fesses et je sentais qu’il se branlait de son autre main. A un moment, il a fait passer un doigt le long de ma raie... il s’est ensuite rapproché de moi et il m’a pris dans ses bras. J’étais surpris par ce qu’il faisait. J’étais comme paralysé... mais je bandais à fond... ce qu’il n’a pas manqué de remarquer car il a pris ma queue et il l’a branlée doucement. Je sentais ma queue titiller mon anus. J’ai alors tendu mes fesses et son gland s’est retrouvé en moi. Daniel a poussé un soupir.

- Putain, tu es serré...
- Oui, fais gaffe..., ai-je répondu.

Sans me laisse remarquer qu’il était surpris que je sois réveillé, il m’a placé sur le ventre, il a écarté mes grosses fesses et il a plongé sa langue dans mon trou. Il m’a bouffé le cul en faisant des ronds avec sa langue dans mon intimité. Je gémissais doucement. Au bout de longues et délicieuses minutes, Daniel a enfoncé un doigt dans mon anus qui était maintenant bien lubrifié. Détendu, j’ai laissé mon pote me préparer. Il faisait ça à merveille. Puis, il s’est couché sur moi, sa tête dans mon cou, et il a lentement enfoncé sa massue dans mon cul qui s’est bien ouvert sous la poussée. Finalement, il a enfoncé son engin entièrement dans mon trou. Il a alors commencé à faire de lents va-et-bien en moi. Je me mordais les lèvres car je ressentais de la douleur. Je n’avais pas commencé par un petit calibre ! Direct un gros !

Il s’est retiré au bout de quelques minutes et il m’a fait mettre sur le dos. Il a renfoncé sa bite en moi, lentement. J’ai constaté que la douleur faisait petit à petit place au plaisir. Quand il a vu que je me détendais, Daniel a accéléré la cadence. Ses boules se sont mises à frapper bruyamment mes fesses. Pendant ce temps, ses mains caressaient mon gros ventre.

Ensuite, il m’a placé sur le dos, il a enfoncé sa tige d’une traite. Il s’est posé contre moi. Je sentais son corps musclé contre mon gros ventre. Il a repris une cadence infernale. Je gémissais doucement, ne voulant pas réveiller ses parents. Seules ses fesses bougeaient. Son bassin et ses cuisses rebondissaient contre mon cul moelleux. Daniel m’a défoncé pendant bien 5 minutes tout en m’embrassant dans le cou. Il a fini par me demander :

- Tu veux que je jute où ?
- Fais-moi un bébé, Daniel !
- Avec plaisir !

Il a redoublé la violence de ses coups de queue, excité par l’idée de me mettre enceinte.

- Tu veux mon jus ?
- Oui !
- Le jus de ton meilleur pote ?
- Putain, oui !
- Tu vas l’avoir !

Dans un ultime coup de reins, il a plongé sa queue brusquement en moi et il m’a ensemencé. J’ai alors senti de violents jets de sperme envahir mon anus. Il semblait ne pas pouvoir s’arrêter de jouir. Je pense avoir compter 12 jets puissants, violents, abondants et liquides qui m’ont bien rempli.

Il est ressorti, mon trou était béant et il ne pouvait contenir tout le sperme que mon ami m’avait envoyé au fond du cul. Sa semence est ressortie tel un torrent. Dan m’a pris contre lui et il m’a branlé jusqu’à ce que je jouisse une dizaine de jets qui se sont perdus dans mes draps.

Daniel m’a déposé un baiser sur les lèvres et il s’est endormi alors que j’étais encore blotti dans ses bras. Il m’a laissé seul avec mes pensées. C’était vraiment trop bon. Je me suis retourné, et je me suis rendormi, le cœur battant pour mon magnifique pote. »

J’ai ensuite feuilleté les pages mais les récits du journal se sont après fait plus rares... Mais j’ai alors compris comment mes deux pères sont devenus amants et par le suite, partenaire et époux. Quelle magnifique histoire !

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