Ca faisait longtemps que je n’avais rien publié, mais je pense que c’est parce que ca faisait longtemps qu’il ne m’était rien arrivé de fou fou.
Ma vie sexuelle est à la mesure de ma vie de couple, simple, plaisante, mais sans fantaisie.
Il y a deux semaines, je prenais exceptionnellement un poste de nuit, pour assurer un remplacement un dimanche soir.
M’étant pris la tête avec mon chéri, je suis parti de la maison bien plus tôt, vers 19h00.
J’avais envie de me vider, pas grand-chose à me mettre sous la dent sur Grindr, je me suis arrêté à une aire d’autoroute sur le chemin de mon boulot, peu avant la frontière avec les Luxembourg.
J’avais envie de me branler, mais dans le doute, j’ouvre l’appli, dans une dernière tentative pleine de désespoir.
Personne à plusieurs km à la ronde. Alors même qu’ici, sur cet immense parking, il y a des dizaines de camions, et quelques voitures, des Belges ou des gens de passage.
Un dimanche soir, à 20h00, j’espérais que ce parking soit bouillant d’excitation, de couilles à vider, ou de bouches à remplir !
Mais rien.
Alors je me gare un peu plus loin, à l’abri de la lumière et j’éteins mes phares.
Je crois voir une silhouette d’un mec plutôt grand et mince autour des wc, alors, plus intrigué qu’excité, je vais voir ce qu’il fait.
Mon petit côté mateur/exhib aurait apprécié que je me branle à l’urinoir avec des allées et venues tout autour.
J’approche des WC et je distingue le mec debout à l’entrée. C’est très gêné et intimidé que je passe devant et lui et lui dis « bonsoir ».
Il me répond par un simple hochement de la tête.
Les deux ampoules (celle de l’entrée et celle des WC) sont grillées (ma naïveté à d’abord pensé que c’était grillé, mais avec du recul, je me dis que l’homme ne doit pas être étranger à cette situation).
Je m’installe à l’urinoir, comme pour pisser. Il fait froid, nuit, et je n’ai plus du tout envie de rien, ni de pisser et encore moins de me branler. J’en suis à me demander ce que je fous la, et pourquoi je me suis arrêté ici.
J’entends le mec à l’entrée, quelques mètres plus loin, qui respire fort.
L’air de rien, je la sors, et je me force à pisser. Au bout de quelques secondes, il s’approche et se met à l’urinoir à côté (il n’y en avait que deux).
Je j’en crève d’envie, mais je n’ose pas tourner la tête vers lui. Déjà, je ne verrais rien, mais en plus, comment interprèterait-il ce geste ?
Alors je pisse, toujours très tendu intérieurement, mais ca me détend déjà. Le mec ne pisse pas, mais il est tjs à côté. Il me demande si ca va.
Tranquille, et toi ?
Ca va ouais, merci. Tu veux quoi ?
Ben j’avais besoin de pisser
Ah ok, je croyais que tu voulais de la queue
C’est avec un air presque étonné que je me suis entendu répondre
-Ah non, pas forcément… Mais fais voir !
Et il s’approche de moi. J’ai bien compris qu’il ne l’avait pas remballée. Comme le naïf idiot que je suis, je lui demande si je peux la toucher.
J’entends bien qu’il sourit en me disant qu’elle est « là pour ça »
Je tends la main, mon cœur bat la chamade, je tremble de partout, mais la situation me plait autant qu’elle me crispe.
Elle est molle, semble plutôt longue, je dirais un peu de la taille de mon chéri, autour de 18cm, donc, circoncise, avec le gland humide.
Il veut toucher la mienne, mais là, sur le moment, je n’en ai pas envie, j’ai envie de faire jouir ce monsieur. La mienne reste molle, maglré ses caresses, ses tentatives de sortir mon gland et de le pincer entre ses doigts.
Tandis que la sienne prend du volume, il me demande s’il peut me sucer.
J’aurais plus envie de sucer, moi
Tiens, vas-y, mac
Et je me penche en avant, en m’éloignant des urinoirs pour ne pas m’y frotter.
Après avoir, l’air de rien, essuyé son gland avec ma manche, je le prends en bouche, en léchant bien son gland. La tension laisse doucement place à l’excitation et il semble aimer ça.
La pipe est vraiment mon plus grand plaisir. J’adore sucer, et là, en ce lieu « insolite » c’est un kiff extrême. Mille fois je me suis branlé en imaginant une telle situation, mais je n’ai jamais eu l’occasion et je n’ai jamais cherché l’avoir.
Mon esprit se laisse aller, et j’entends le mec prendre du plaisir. Il gémissait et moi, maintenant accroupi devant lui, je n’avais plus qu’un objectif : le satisafaire. A l’évidence, j’étais sur le bon chemin, et je pense que sa respiration m’indiquait que sa jouissance était proche.
On a été interrompus par des bruits de pas qui descendaient vers nous. J’ai commencé à me relever, mais il m’a maintenu la tête en faisant « ttttt », comme on le ferait pour refuser qqch à quelqu’un.
C’était hyper excitant, et je me suis dit qu’au pire, le mec qui arrivait aller gueuler, et on filerait.
Mais non, j’entends (parce que je ne voyais rien, accroupi devant cette queue) que le mec semble surpris mais intéressé par ce qu’il voit ou ce qu’il pense voir, plutôt.
Il s’approche de nous, et je me sens comme la salope que j’aime être que j’endosse le rôle du passif (je suis un vrai versa).
Je tâte un peu maladroitement son entrejambe.
Je sens qu’il porte un jogging, j’avais déjà vu ses baskets grises claires. Il est déjà dur.
Contrairement à moi, lui, il savait pourquoi il venait. Je le branle a travers son jogging et je sens que qqn me pousse au sol, mais ce n’est ni le mec que je suce, ni celui que j’essaie de branler.
Il y a un troisième mec, qui semble un peu plus costaud, ventru, même et qui a déjà sorti la sienne.
La scène est impensable et digne des scénarios les plus hots qu’il m’ait été donné d’imaginer lorsque je m’amuse seul.
Je sors la queue du jeune en sket et je la lèche. Elle est bien ure, mais pas énorme, un peu plus que la mienne, à vue de nez, je dirais une quinzaine de centimètres.
Par la force des choses, mes genoux cèdent, et je ne tiens plus la position accroupie. Je finis à genoux, et je le regrette instantanément. Le sol est dégueulasse, et je sens mon jeans trempé au niveau des genoux. A ce moment-là, je prie pour avoir un pantalon de rab dans mon vestiaire de sport au sous-sol de ma boite (spoil : oui, ouf, j’en avais un !)
A genoux, donc, j’essaie de satisfaire les trois queues qui s’offre à moi. Deux épaisses, et une plus « petite », le gars en jogging.
Le premier et le jogging s’embrassent, comme s’ils étaient amants de toujours, et je m’efforçais de leur procurer le plus d eplaisir possible. Le troisième, derrière moi, se branlait, et appuyait sur ma tête ce qui me compliquait la tâche plus qu’il ne m’aidait…
Je l’ai entendu reculer de qq pas, et il a joui, dans un grognement sourd et absurde, comme j’aurais pu imaginer que les sangliers saillissent leur femelle. J’ai cru sentir un jet sur mon pull, au niveau de l’épaule arrière.
Je pensais qu’on serait débarasés de lui, mais non, je l’entends pisser, et il revient vers moi tandis que je continuais ma double fellation.
Il me penche et essaie de m’enlever la queue que je pompais pour la sucer. Mais cette queue était à moi :D
Alors voyant que je résistais, il essayait de lécher les couilles ou la base, mais ca me faisait clairement chier. Je ne voulais pas la lâcher pour ne m’occuper plus que de l’autre, parce que je sais que je ne l’aurais jamais récupéré, et en sucer deux en même temps me procurait vraiment un plaisir fou. Si j’avais voulu, j’aurais pu jouir rien qu’en me la touchant quelques secondes.
Mon plaisir était vraiment grand, et j’entendais les deux mecs debout. Ils s’embrassaient goulument, ils gémissaient, et à un moment, je ne voulais plus sucer la bite sur laquelle l’autre avait bavé comme une petite salope, alors je lui ai laissée.
Nous étions deux inconnus, à genoux sur un carrelage dégueu, en tarin de sucer deux autres inconnus.
J’avais un peu plus d’espace, et ca me plaisait. Je suçais de bon cœur, sans penser à l’heure qu’il était, et au fait que je serais probablement en retard à ma relève !
J’ai pris les choses en mains, et je l’ai sucé en même temps que je le branlais et que je caressais ses couilles. Ce traitement l’a littéralement achevé. Il a hurlé de plaisir, je me suis dit qu’il aurait pu réveiller les camionneurs s’ils étaient déjà endormis !
Tout en maintenant ma tête, il a commencé à cracher quelques jets dans ma bouche et j’ai ouvert la bouche pour le branler et lui faire cracher le reste sur ma langue et sur mon pull.
Il criait de plaisir et ses jets étaient puissants et nombreux.
Je recrachait au fur et à mesure que son jus venait dans ma bouche, et c’est vraiment excellent.
Il a fini par un « Wahhh merci » et je l’ai aidé à remonter son pantalon. Il a dit un « Ciao » général et s’est barré. J’etais excité comme je l’ai rarement été. S’il m’avait ordonné de lécher le sol pour tout nettoyer, je pense que j’en aurais été capable, tellement j’étais chaud et dans un état second.
Je voulais maintenant me vider, et je me suis approché des deux autres. Le costaud sucait l’autre BG et je lui ai offert ma queue, pour qu’il en ait deux.
Le gars en jogging a voulu m’embrasser, mais c’était pas mon mood, j’ai détourné la te^te et je l’ai laissé m’embrasser dans le cou.
Il me léchait le coup en même temps que l’autre pute me sucait ou me branlait.
Sentant mon jus monter, je gémissait de plus en plus, et l’autre à genoux l’a ompris. Il a laché la queue du jogging et a dévoré la mienne. Sa pipe n’était pas la meilleure de ma vie, mais le contexte avait fait que je m’en contentais largement !
A mon tour, je lui ai agrippé la tête, enfoncé ma queue tout au fond de sa gorge et me suis vidé comme un dingue dans cette bouche agréable et bien soumise.
Il continuait à ma sucer, mais j’étais redevenu sensible du gland et ca ne me plaisait plus.
Vite, je me suis repantaloné, jai salué la foule, comme l’avait fait le mec qui m’avait utilisé, et je suis reparti é ma voiture.
Ma nuit d eboulot a été intense en souvenirs et en excitation.
Je me suis déjà branlé plusieurs fois en repensant à cette aventure !
Marc
Marco_57@live.fr
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