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Soumission & Domination 276
Espagne 4 les Plongeurs (2013)
Une des relations commerciales d'Ernesto l'appelle pour un plan très particulier. Il aurait besoin de 3 mecs recto verso pour " détendre " une équipe nationale de plongeon.
Ernesto essaye d'en savoir plus, notamment la nationalité de l'équipe, pour qu'on puisse voir quels seraient nos clients, mais son contact refuse. Il nous dit juste que notre prix sera le leur. Il connait déjà le sérieux de notre société et compte sur notre discrétion.
Quand Ernesto nous en parle je lui dis qu'il n'a pas besoin de tergiverser. C'est bien sur, oui et qu'en plus ce sont les " patrons " qui s'y colleront en l'occurrence, lui-même, PH et moi. Pas question de laisser passer l'aubaine. Quelque soit l'équipe en question, ils sont tous plus canons les uns que les autres.
Ernesto rappelle son contact. L'accord se conclu sur une nuit à Barcelone dans le penthouse du mec, après que nous lui ayons envoyé nos tofs à PH et moi. Coté financier, la filiale espagnole va enregistrer une rentrée exceptionnelle !
Marc et Henri sont morts de rire quand nous les mettons au courant. Ils nous disent que c'est du flan et que nous allons nous retrouver avec un groupe de vieux à sucer jusqu'au matin. Juan, lui, nous accompagnerait bien.
Le jour dit, nous rejoignons l'appart d'Ernesto pour nous préparer. Epilations et rasages, séance de muscu pour bien faire ressortir nos muscles puis, douches et huilages réciproques. Pas question de passer pour du second choix.
Le client nous ayant demandé d'être ponctuels, nous débarquons chez lui à 21h30.
Le mec a 50ans passé et a de beaux restes (pas de ventre et peau encore tendue). Il nous rassure en disant qu'il ne fait que nous héberger. Il nous dit de nous mettre à l'aise.
Ernesto lui rappel que c'est un contrat que nous honorons. Il comprend le sous entendu et lui apporte l'enveloppe. Il ne se vexe pas que ce dernier recompte la somme. Les bons comptes font les bons amis !
Devant lui nous nous déshabillons. C'est vite fait, les tennis quittent nos pieds nus et les shorts et marcels les rejoignent au sol. Il nous arrête et nous gardons nos maillots.
Nous attendons nos clients autour d'un verre de Coca. Il apprécie le fait que nous ayons refusé l'alcool qu'il nous proposait. Je lui dis qu'il a affaire à des professionnels. Il nous répond que c'est pour cela qu'il avait appelé notre société.
A 22h30 coup de sonnette, et cachés derrière un mec large d'épaule nous arrive trois beaux plongeurs en survêtements.
J'en reconnais deux qui étaient parmi les plus canons du plateau de compétiteurs, le troisième n'a rien à leur envier.
Sans parler, le balaise les pousse jusqu'à la chambre et de retour nous dit d'aller les rejoindre.
Quand nous arrivons, ils sont en train de quitter leurs survets. Ernesto leur dit d'arrêter et de faire leur premier choix. Cela fait nous nous chargeons de les mettre à poil.
Ils sont bien musclés, épilés et bronzé sauf ce qui était protégé par leurs petits maillots. Leurs bites sont dans la normales, la " mienne " est circoncise avec un gland plutôt rond, les deux autres sont entières. Alors que nous n'avons pas encore été plus loin, ils bandent ferme ! À notre tour nous quittons nos maillots et Ernesto attire tous les regards avec ses 24cm !
D'un doigt sur la joue de mon plongeur, je tourne son visage vers moi et lui roule un patin où je mets toute ma science. J'ai le plaisir de voir que cela me détourne des autres. Il prend ma tête entre ses mains pour m'empêcher de me décoller de lui.
Je le laisse mener. Il m'a l'air bien affamé et me mange la langue un bon moment. Quand il se décolle enfin je lui en fais la remarque en anglais. Il me dit qu'ils ont terminé la compétition et qu'ils n'avaient pas baisé depuis le début du championnat. Il me reprend la bouche tout en se collant à moi. Nos bites se touchent, se pressent l'une contre l'autre et mon gland pressé entre nos plaquettes d'abdos m'envoi plein de signaux sympas.
Mes mains descendent sur son dos et se posent sur ses fesses. Elles les contiennent sans mal vu leur taille modeste. Le mec est très étroit de bassin et son cul est petit et rond. Il ne réagit pas négativement quand j'écarte ses fesses et que je glisse mes doigts jusqu'à sa rondelle. J'ai même droit à un soupir de bien aise quand je passe mon index dessus. Je crois bien que c'est moi qui serai actif le premier.
Je me dégage de ses mains et glisse doucement sur les genoux. Au passage je fais un arrêt tétons. Après les avoir suçotés et faits durcir, je sens que je peux y aller avec les dents. Ses gémissements me prouvent que j'avais raison et ils gonflent encore plus alors que je les mordille.
Je descends plus bas et bute sur son gland plus tôt que je ne pensais. En fait s'il n'est pas très épais, il est relativement long et son gland remonte au dessus de son nombril, environ 21 bons cm.
Je l'avale en entier. Il est surpris, c'est limite qu'il m'aurait direct juté si je n'avais fortement enserré ses couilles et la base de son pénis, façon cockring avec mes doigts.
Il se calme et lentement je le pipe en gorge profonde. Il me dit que c'est la première fois qu'un mec lui fait ça. Entre deux plongeons sur son intimité, je lui demande alors si une meuf le lui avait fait. Il me dit que de ce coté là il était vierge. Un vrai Pd, ça change de tous ceux qui se disent bi !
Du coup j'y mets encore plus de coeur. Quand il me dit d'arrêter sinon il allait vraiment juter, je le retourne et attaque sa rondelle. Ses deux petites fesses blanches cachaient un anneau rose vif, encore très rond et bien plissé. J'y pose ma langue et le sens frémir. Quand je lui fais la remarque que sa rondelle n'a pas l'air d'avoir beaucoup servie, il me dit entre deux halètement que seulement 3 fois jusqu'à ce soir. Avant de replonger le nez entre ses fesses, je l'assure que s'il aime ça, il va minimum doubler ce chiffre avant demain matin.
J'ai plaisir à le préparer. Je fais appel aux souvenirs des pratiques de Trader sur ma propre rondelle pour sortir le grand jeu. Il aime suffisamment ça pour me demander de l'enculer. Je le mets en levrette, me kpote, graisse ma bite et sa rondelle (pas de poppers, c'est dans le contrat (ils sont susceptible d'être contrôlés à tout moment).
Je pose mon gland sur son petit trou et lui dis de reculer à son rythme pour qu'il me fasse entrer. Il essaye mais se crispe un peu trop. Je reprends les choses en main.
Je pose mes mains à sa taille et le tire un coup sec vers moi. Mon gland entre en force. Ça lui arrache un petit cri, vite réprimé. Je lui dis que maintenant il peut reculer à son rythme.
Il y va doucement mais à chaque va et vient s'enfonce un bon cm de plus de ma bite dans son trou. Il est étonné quand son dernier coup de rein fait rentrer en contact ses fesses et mon bassin. Je me penche alors sur son dos et lui tourne la tête pour lui rouler une pelle. Nous nous mangeons nos langues jusqu'à ce que je sente sa rondelle se détendre un peu. Je commence alors un limage de compétition, destiné à lui faire comprendre que c'est trop bon pour ne pas recommencer plus tard. Tout en lui labourant le cul, je pense à l'effet que lui fera la bite d'Ernesto.
Je vérifie qu'il bande toujours. Dans ma main je sens la peau de son gourdin tendu sous l'afflux de sang. Il me dit de ne pas le branler, trop proche de l'explosion finale.
Nous changeons plusieurs fois de position. De face, ses chevilles sur mes épaules, il me tire vers lui pour qu'on se refasse une bataille de langues. Je m'enfonce tout au fond de lui et pousse sa tête vers mon téton libre. Il comprend et me tète le pec. Ça m'excite au plus haut point et je ne tarde pas à remplir ma kpote à grands coups de rein qui défoncent à chaque passage sa prostate. J'ai le plaisir de sentir couler entre nos abdos ses jets de sperme. Bloqué tout au fond de lui, je lui roule un patin alors qu'il continu à se vider.
J'ai beau savoir que le sperme ne se stocke pas pendant des semaines, c'est pourtant l'impression qu'il me donne. Quelques minutes pour reprendre nos esprits et nous regardons autour de nous.
Ernesto se fait enculer par son plongeur (le plus grand des trois). Il a l'air de bien apprécier tout comme PH qui est dans la même situation.
Nous les regardons se finir. Les deux sportifs explosent dans leurs kpotes alors que mes " collègues " se retiennent.
Fin du premier round. Passage dans la salle de bain pour tout les 6 puis nous déboulons dans le salon où le balaize discutait avec l'organisateur.
Il a l'air un peu gêné de nous voir tous à poils et fait la remarque à ses ouailles qu'ils auraient pu mettre un slip.
Je rattrape le miens qui se tournait pour rentrer dans la chambre et, avant qu'un des trois ne réponde, je lui dis que ce n'était pas la peine puisque nous avions loin d'avoir fini. Nous venions juste nous désaltérer et grignoter un peu avant de remettre ça. J'ai le plaisir de voir le mec rougir.
L'organisateur lui dis de se calmer que les rideaux sont tirés et que de plus l'appartement n'a pas de vis-à-vis, qu'il n'y a pas de risque de paparazzi. Il est déjà 2h du matin !
Nous retournons dans la chambre chargés d'un plateau recouvert de canettes et de bouffe.
Nous discutons un peu et ils se lâchent. Ils sont coaché un maximum et n'ont pas beaucoup de liberté. C'est parce qu'ils avaient eu de très bons résultats qu'on leur avait accordé cette soirée.
Je prends le plongeur d'Ernesto pour recommencer la baise. C'est le mieux membré et j'ai préférer ses coups de rein à celui de PH. PH s'occupe du mien et Ernesto s'occupe d'élargir le trou de celui de PH.
Il vaut mieux que mon " presque vierge " passe par la sodo de PH avant de se prendre les 24 x 6 d'Ernesto ! Et puis l'apothéose c'est toujours en final.
Nos corps font connaissance. Il est aussi grand que moi et notre 69 est confortable.
Quand j'enfonce son gland de l'autre coté de ma luette, il en fait de même avec le mien. Il me semble plus expérimenté que mon premier. Il est plus " mâle " dans son comportement mais il ne pourra m'empêcher de l'enculer quand même !
Coté poils, il est complètement rasé, c'est pas moche. Le premier ma langue dépasse ses couilles et va titiller sa rondelle. Il me rend la pareille et nous nous bouffons un bon moment nos rondelles. J'applique les mêmes principes que pour son pote et ça l'air d'y faire puisque, fréquemment, sa langue quitte mon cul pour soupirer de plaisir. Sous ma langue je le sens se détendre et j'arrive à la faire entrer sur le premier cm. De mon coté je le laisse pénétrer le plus loin qu'il puisse, environ 2cm d'après les sensations qui m'arrivent de ce coté là.
Je pivote, équipe ma bite de son costume en plastique et le tourne sur le dos tout en relevant ses jambes. Il m'aide en posant ses mains sous ses genoux et les tirants vers lui, relève son cul à la bonne hauteur. Je m'empresse de le pénétrer. Ma queue glisse sans grande résistance jusqu'à l'os. Je me penche alors et passant mon corps entre ses cuisses, pose mes lèvres sur les siennes. C'est notre premier baiser. Plus brute que son pote, il m'aspire/tète ma langue. Ma tête fixée à la sienne, je commence à faire bouger mon bassin. Lentement d'abord, j'accélère pour bien le chauffer.
Je le baise ainsi un moment avant qu'il ne me demande de me coucher sur le dos. Je me dis que ça va être mon tour mais non, il s'assoit sur ma bite, dirigeant le rythme. Ses mains en appuis sur mes pecs, il joue des cuisses pour s'enfoncer plus ou moins vite et plus ou moins profondément mes 20cm.
Sa belle bite bande sans discontinuer depuis que nous avons commencé à jouer. Il se relève complètement et me demande de me placer à genoux.
Je m'exécute et cambre bien mes reins. J'entends un " bitch " qui me flatte. Aussitôt après son gland perfore mon intimité. Je le laisse pénétrer jusqu'aux couilles et là, serre mon sphincter. Alors qu'il s'apprêtait à ressortir, il se trouve bloqué. Il est impressionné et me demande comment je fais ça, que ça pourrait lui servir des fois.
Je ne le questionne pas sur ce qu'il entend par là et en deux trois phrases, lui explique mes exercices de contractions anales.
En attendant je l'ai " libéré " et il me lime sur la longueur totale de sa queue. J'aime effectivement sa façon d'enculer. Il sait faire profiter de son gland débordant et joue souvent sur les 10/15 premiers cm de pénétration, se retirant sèchement dès qu'il sent que ce dernier vient de dépasser ma prostate.
C'est très efficace et plusieurs fois je me serre les couilles pour ne pas partir trop vite.
J'explose quand il me prend la main m'empêchant de réfréner mon éjaculation. Tout en jutant, je n'oublie pas de serrer mon anneau et j'ai le plaisir de le sentir venir aussitôt. Il remplit sa kpote alors que je n'ai pas fini de juter.
Quand nous regardons autour de nous, il ne reste que PH en train de labourer le cul de mon petit plongeur avec les conseils d'Ernesto.
Je note qu'Ernesto bande encore alors que je suis sur les genoux tout comme les deux autres plongeurs.
Ces derniers demandent à Ernesto d'enculer leur copain. Ils ajoutent qu'il est grand temps qu'il se fasse défoncer par du XXL. PH, bien qu'il n'ait pas encore fini cède sa place et se place devant pour se faire sucer.
Sa bite bâillonne le petit mec et c'est aussi bien car quand Ernesto le pénètre, il ne peut retenir un râle puissant.
Ernesto fait attention. Il sait bien que sa queue peut être parfois délicate à recevoir.
Les deux autres plongeurs encouragent leur copain et lui expliquent de bien se détendre. Ernesto ajoute du gel et il réussit enfin à s'enfoncer jusqu'au bout.
PH, déjà bien excité par son passage de l'autre coté, s'achève sur la tête de l'enculé. Nous voyons ses jets de sperme s'enfoncer dans les cheveux courts du plongeur. Une fois ses couilles taries, il nous rejoint au spectacle.
Ernesto dispose maintenant seul du corps de l'athlète. Il nous gratifie d'un véritable spectacle érotique. Il joue du jeune plongeur comme un véritable musicien. Utilisant son corps comme d'un violon, sa bite lui sert archet.
Sous ses coups appuyés, le sportif se tord, ondule et en réclame toujours plus.
Ses collègues nous disent qu'en une soirée, il aura rattrapé son retard d'expérience. Ils nous disent qu'il n'aura plus aucune difficulté à être régulièrement sélectionné dans l'équipe nationale.
Quand nous essayons d'en savoir plus, ils nous demandent d'oublier leur dernière remarque.
De voir ces deux corps prendre du plaisir, nous excite et nous bandons tous à nouveau. Echanges de main, pas question de perdre de vue nos deux baiseurs !
Ils finissent quand même par exploser tous les deux. Le plongeur sous les coups de bite répétés d'Ernesto éjacule sans avoir eu besoin de se branler. Notre ami rempli sa kpote avec de grands coups de rein qui propulsent à chaque fois le ptit mec d'un bon mètre avant qu'il ne le ramène vers lui par les hanches.
Nous les rejoignons et, debout, nous jutons les uns après les autres sur leurs corps encore emmêlés.
Douches pour tous. Dernières caresses sur leurs peaux douces et imberbes puis nous nous rhabillons.
Dans le salon, l'organisateur et le coach nous attendaient. Il demande à ses sportifs s'ils sont contents. Nous avons le plaisir de les entendre dire qu'ils avaient passé une superbe nuit et avant de partir, ils reviennent vers nous pour nous rouler à chacun une pelle.
Nous quittons notre hôte, ravis de la superbe nuit que nous avons passés chez lui.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!