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Max et Marc, Louis
et moi bien sûr !
Comme Max insiste et pour récompenser ses efforts de pratique de la langue française, je l'autorise à draguer mon Marc.
Il rejoint le blockhaus un vendredi soir après ses cours (avec autorisation parentale d'y passer le WE). En attendant l'arrivée de Marc (retour d'Asie en milieu de soirée), il s'entraine (sportivement) avec les quelques qui se préparent à aller travailler pour moi.
En l'occurrence, ce soir là, Morgan et Simon soulèvent des poids pour préparer leurs muscles. Viktor et Nikolaï, eux, alignent les longueurs dans le bassin de la serre.
Avant leurs départs, ils sont rejoints par Clem qui vient pour ma rééducation. Ce dernier est collé de Benoît (rappel ils sont en couple) et de Louis qui vient, lui, pour me parler.
Louis est un peu embêté car je ne suis pas disponible de suite. Je lui dis alors de nous accompagner Clem et moi puisque je dois me faire masser. Il hésite puis nous suit alors que nous descendons d'un étage pour rejoindre au premier une des chambres, transformée en salle de kiné.
Clem m'aide à me hisser sur la table et me met nu avant d'officier sur mon corps. Assis à ma tête Louis peine à commencer.
Je lui dis d'y aller, je l'assure que Clem ne répétera rien. Ce denier confirme.
Louis se lance enfin. Il voulait savoir comment était le grand père de Franck. Ce dernier (son mec, pour rappel) l'avait prévenu la veille qu'il viendrait le chercher pour passer le WE chez son grand père. Ça le paniquait un maximum et il sentait qu'il allait faire ou dire des conneries qui mettrait Franck en porte à faux.
Je lui demande s'il en savait un peu plus que ça sur le WE. Il me répond que non, juste qu'il devait être prêt pour 9h le lendemain matin avec chaussures et blouson pour monter sur la moto de Franck plus un petit sac avec quelques affaires de rechange. Sa voix s'étrangle sur le dernier mot.
Couché sur le dos avec Clem sur moi pour me masser, je lui réponds de ne pas s'en faire. Je connais bien le bonhomme en question et l'assure du coté bienveillant avec lequel il traite son petit fils préféré, Franck.
Louis me dit que ça le fait encore plus paniquer et qu'il est sûr que le grand père espère pour son petit fils un garçon surement plus brillant que lui et venant d'une meilleure famille.
Sur ces points là, je le rassure. Je sais que malgré sa fortune, le grand père de Franck n'est pas de ceux qui ne jurent que par la naissance des gens ou même leur fortune. J'ajoute que sinon, nous ne nous serions jamais parlés !
En quelques phrases, je résume notre rencontre à La Baule et comment il avait apprécié mes compétences à éviter que Franck ne devienne un homo contrarié.
Clem, qui entend lui aussi ce récit pour la première fois, est mort de rire devant mon aplomb. Il n'est pas étonné et me dit que cela fait longtemps qu'il m'a classé parmi les mecs que rien n'effraie et qui savent s'assumer sans faire cas de l'opinion des autres.
J'ajoute à l'intention de Louis que le grand père m'avait déjà demandé des infos sur lui quand il était passé me voir et je lui raconte notre diner.
Louis est plus étonné par le comportement de Franck envers lui que par le fait que le grand père ait vu passer quelques uns de ses plans dragues.
A mon étonnement, il me dit qu'avec Franck, ils ne se sont pas juré une fidélité sexuelle mais sentimentale.
J'aime bien le concept !
Clem nous dit que c'est le cas de tous les couples qui se sont formés dans ma petite équipe.
Je n'y avais pas réfléchi mais c'est évident ! Ils se sont trouvés mais continuent à baiser pour ma boite comme avant !!
Avant que Louis ne parte, je lui dis qu'il doit surtout rester comme il est. Quand on force sa nature, on montre une façade louche qui est plus inquiétante que n'importe lequel des milieux auxquels on appartient. J'ajoute que je suis sûr que le WE se passera bien et qu'il rira de ses peurs le dimanche en rentrant à l'appart.
Quand nous sommes plus que tous les deux, Clem achève son massage. Avant de me retourner sur le ventre, il me claque un bisou sur les lèvres. Assis légèrement sur mes fesses pour me masser le dos, il recommence et place son bisou dans mon cou.
La tête enfouie dans la table, je lui demande ce qui me vaut ça.
Réponse de l'intéressé : t'es trop gentil et nous sommes tous des ingrats. Grace à toi nous sommes plusieurs à nous être trouvés, coté " orientation sexuelle " et/ou petits copains et je suis sûr que pas un de nous t'a remercié !
Je lui dis que je n'ai pas fait ça pour ça et que s'il s'avisait de comploter avec les autres pour m'octroyer une médaille, ils en seraient pour leurs frais. Je lui rappelais que ce n'était quand même pas sans bénéfice pour moi et que leurs prestations faisaient tourner le blockhaus, la flotte de véhicules (motos comprises) en plus de générer à tous des revenus substantiels.
Il me dit que cela n'empêchait pas qu'ils étaient tous heureux de ce qui leur arrivait.
Quand nous remontons, nous ne trouvons plus que Max et Benoît qui l'attendait avant d'aller à son rendez vous. Ils se roulent une pelle (Celm et Benoît) à croire que cela faisait 15 jours qu'ils ne s'étaient vus. Ils en ressortent tous les deux bandants ferme.
Très pro, Benoît s'écarte et replaçant sa bite pour que le phénomène soit plus confortable dans son jeans. Il lui dit qu'il devrait être de retour vers 2h du matin, le client faisant partie des quelques plans " pépères " qui reposent (parmi tous mes autres clients).
Quand ils nous quittent, PH arrive. Je profite de leur présence à tous les deux pour leur demander de m'aider à me doucher avec eux. Max en a besoin après le sport et je sais que PH aime se laver en rentrant de la fac. Quand à moi, j'aimerai retirer l'excès de gel de massage qui colle à ma peau le peu de vêtement que je porte.
Nous passons un bon moment. Ils m'aident à rester debout sur ma jambe et demi pendant que l'eau coule sur nos corps puis à m'essuyer partout.
Comme nous avons décidé d'attendre Marc pour diner, Ammed nous sert un apéritif.
Max à beau dire, il stresse avec les minutes qui passent et qui le rapprochent de son challenge. Nous limitons son alcoolémie à un fond de martini.
Pour le détendre, je me moque gentiment de l'assurance qu'il affichait en fin d'après midi et qui avait fondu comme neige au soleil.
PH qui voit que ça ne marche pas, le prend dans ses bras et lui raconte sa première rencontre avec Marc. Il lui raconte comment lui aussi attendait avec appréhension la première rencontre avec mon homme et comment il avait faillit s'enfuir en entendant la porte d'entrée s'ouvrir sur son passage et ses pas dans l'escalier qui menait au sous sol de la maison. Il continu sur le plaisir qu'il avait eu de voir que c'était un bel homme très bien foutu et même très bandant. Même s'il avait été, à l'époque, très autoritaire, il était sûr que maintenant Marc serait plus cool.
Là je mets un bémol, mon Marc revient d'Asie où les jeunes mecs donnent plus dans le docile que dans la grosse brute dominatrice. Depuis 3 semaines il se paye leurs bouches et leurs culs.
Comme Max n'a pas voulu attendre que Marc se ré-acclimate, il devra assumer et obéir !
Je n'avais pas tord !
Quand Marc arrive, il nous trouve dans les grands canapés du salon et repère immédiatement Max en petite tenue (habitude de la maison, ce dernier n'a mis sur ses petites fesses qu'un boxer Calvin Klein blanc immaculé).
Il accepte une accolade avec roulage de pelle de PH venu l'attendre devant le monte charge. Puis il s'approche de moi, encore coincé par ma jambe raide sur le canapé, se penche et me roule un patin mortel. Quand il se détache de moi, j'ai une gaule pas possible ! Ses lèvres, sa langue et ses mains venues encadrer mon visage, c'est trop ! C'est mon homme et je l'adore.
Il se redresse et regardant Max, me demande si c'est le " Soir ". Max est rouge comme une pucelle. Il baisse le nez, n'osant pas regarder Marc. Je le pousse et lui dis de se lever.
Il se redresse et se plante devant Marc.
Ce dernier le fait tourner devant lui, admirant le corps bien musclé de Max.
D'un doigt posé sous le menton, il relève la tête de Max et lui demande s'il a bien devant lui le petit mec qui voulait se faire un vieux.
Baffouillements de l'intéressé qui lui jure qu'il n'a jamais parlé de lui en ces termes (les cours de français oral portent leurs fruits !).
Marc éclate alors de rire. Il le prend par les épaules et lui roule une pelle qui laisse notre petit ami littéralement sur le cul.
Le laissant pantelant, il demande à Samir de servir le diner.
Comme je lui fais remarquer que d'habitude il se serait jeté sur le petit cul de Max, il me répond que venant de se faire un des stewards juste avant l'atterrissage, il pouvait attendre un peu avant d'étrenner mon dernier jouet.
Max, à nous entendre parler de lui comme cela, se fait à l'idée que nous avons sur les relations sexuelles " extraconjugales " (hors de notre quintet : Marc, Hervé, PH, Ernesto et moi).
Il entre dans le jeu sachant que là ce n'est pas lui qui mène la danse. Durant le repas je vois qu'il fait attention aux quantités qu'il avale. Je me doute que c'est pour ne pas avoir de problème plus tard, pendant la baise.
Le diner est vite expédié et nous descendons d'un étage pour retrouver notre chambre-suite. Max qui n'y était encore jamais venu est étonné de la dimension du lit. Marc le propulse dessus et lui dit que c'est nécessaire afin de pouvoir y dormir à plusieurs avec avoir baisé.
Il nous quitte pour aller se doucher. Comme Max reste avec nous, je lui dis qu'il serait judicieux qu'il rejoigne mon mec sous l'eau.
Avec PH nous nous installons sur le lit et nous matons les silhouettes au travers de la cloison de verre partiellement dépoli (en fait, très peu de la surface total).
Nous pouvons voir Max retirer son boxer avant de se glisser sous l'eau de la douche au coté de Marc. Il a vraiment un joli corps ce petit con. Je pense que c'est aussi ce que pense Marc vu la turgescence de ses 22cm de queue.
Cela semble décomplexer Max. Sans un mot, il s'agenouille devant mon mec et entame une pipe. Son enthousiasme débordant et brouillon le font s'étrangler deux/ trois fois avant qu'il trouve le bon rythme : pompage/respiration. Faut dire, à sa décharge (ha ha), qu'il avait essayé direct de s'enfiler les 22cm de bite entiers !
Même si 2cm ne représentent que 10% de plus, quand c'est sur une queue qui vous pénètre dans la gorge, ce n'est plus la même chose !
Marc sort de la douche en entrainant Max et ils reviennent directs sur le lit, à peine séchés.
Quand Marc retourne Max et l'encule direct (avec kpote quand même), Ph soulage ma " tension " par un pipe bien faite.
Max a soufflé un grand coup lors de la première pénétration. Je lui glisse le flacon de poppers sous le nez pour une prise dans chaque narine mais pas plus. Faudrait pas lui griller ses jeunes neurones !!
En attendant cela a eu l'effet escompté et il prend beaucoup plus facilement la bite de Marc dans son joli petit cul avide.
Alors que Marc encule Max en levrette, PH s'enfile mes 20cm en faisant attention de ne pas peser sur ma jambe en convalescence.
Je pivote pour mettre ma tête sous celle de Max et voir sur son visage la monté de son plaisir. Il est concentré ! Les yeux fermés, les lèvres entrouvertes, il savoure le limage de sa rondelle. Bientôt ce sont de petit cris de plaisir qui sortent de sa bouche. Je me redresse et presse mes lèvres sur les siennes.
Il est surpris, ouvre les yeux, me voit et, volontairement alors, baisse la tête et vient se recoller à moi. Nos langues se cherchent, se trouvent et bataillent ensemble malgré les à-coups envoyés par Marc.
Quand le plaisir devient trop intense, il s'écarte et je le vois haleter. De mon coté, PH est dans le même état à me chevaucher.
Comme je ne suis plus (temporairement) aussi résistant qu'avant, j'explose dans PH qui n'hésite pas à juter sur mon ventre. Il décule en serrant les fesses et rejoint mes bras pour regarder Marc baiser Max.
Marc change plusieurs fois de position (avec Max). Sans essayer tout le kamasoutra, ils en testent bien une bonne demi-douzaine puis reviennent à la bonne levrette pour s'achever. Pour une première ils font forts et explosent en même temps ! Alors que dans un dernier coup de rein, Marc envoyait la sauce dans son préservatif, Max à juste le temps de recueillir la sienne (de sauce) dans ses mains.
N'ayant pas de quoi s'essuyer les mains, il sort sa petite langue rose et ingurgite sa propre production. Il nous fait rire avec un " c'est pas mauvais ".
Pendant tous le reste du WE, Max aura à coeur de satisfaire Marc. Il se plie à ses différents désire et apprend par là même de nouvelles positions et usages de son corps !
Aidé de PH, Marc l'initie aux prises " multiples ". J'arrive même à participer quelques instants mais les positions demande trop de tensions et ma jambe (plutôt une douleur dans cette dernière) me fait débander une ou deux fois avant que je ne jette l'éponge.
En conclusion de ce WE spécial, Max nous dira qu'il à vraiment apprécié de baiser avec Marc et qu'en plus d'avoir appris plein de choses, il ne verrait plus d'un même oeil les hommes plus mûrs.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!