Épisode précédent
LE VENDEUR -6
Après que Stéphane m'eut copieusement baisé. Nous nous couchâmes exténués. Je m'endormis contre lui, le serrant dans mes bras, mon sexe au chaud entre ses fesses.
Au milieu de la nuit, je me réveillai avec Stéphane dans mes bras. Il n'y avait aucun bruit. Je repensai à l'assaut qu'il m'avait fait subir, à ma plus grande jouissance, plus tôt dans la soirée. A cette idée, je sentis mon sexe gonfler doucement. Je restai collé à Stéphane. Savoir mon sexe si proche de sa rondelle toute fraîche et " innocente " dont je rêvais depuis le jour où je l'avais sucé pour la première fois augmentait mon excitation. Ma bite atteint rapidement sa taille la plus glorieuse, toujours fourrée entre ses fesses chaudes et humides de sueur. En grossissant, elle avait porté mon gland à l'entrée de son cul.
C'est alors que Stéphane fit un petit mouvement du bassin pour augmenter la pression de mon gland sur sa rondelle. J'en conclus qu'il s'était réveillé lui aussi et que ma présence derrière lui ne le gênait pas, bien au contraire.
Il commença à onduler légèrement du bassin de façon à ce que mon gland lui massât l'anus. Il posa sa main sur ma main qui elle-même était posée sur son sein gauche. Il entrecroisa ses doigts avec les miens puis referma sa main sur la mienne. Ce geste me conforta dans l'idée qu'il était prêt pour une nouvelle joute sexuelle.
Je continuai à lui masser le fion avec ma bite pendant de longues minutes. Je sentis qu'il y prenait du plaisir. Mais la porte resta close. Jamais il n'avait été pénétré. Moi, à sa place, il y a longtemps que j'aurais absorbé l'engin !!!
Stéphane lâcha ma main puis se retourna vers moi. Je ne voyais pas. Il faisait nuit noir dans la chambre. Je sentis son sexe en érection frôler ma cuisse. Puis, d'un mouvement rapide, il descendit sous les draps, attrapa ma bite et je sentis qu'elle était absorbée par un orifice chaud et humide. Stéphane venait de me prendre en bouche. Il s'appliquait. Il prenait son temps et chaque mouvement sur ma queue était un instant de délice. J'eus le sentiment que lui aussi prenait du plaisir à me pomper. J'imaginai ce qu'il ressentait en faisant coulisser mon sexe dans sa bouche. Stéphane sentait les courbures de mon gland. Ses lèvres appréciaient la douceur de la peau de ma bite. Sa bouche ressentait toute la puissance d'un sexe d'homme. A ces idées, j'eus moi aussi l'envie de le prendre en bouche.
Je lui dis : " Moi aussi, je veux ta queue dans ma bouche. Donne-la-moi. "
Tout en gardant ma queue dans sa bouche, Stéphane fit le mouvement nécessaire pour amener sa bite à portée de ma bouche. Ma tête se retrouva entre ses cuisses. Et je cherchai son pieu avec mes lèvres, mes mains posées sur ses fesses. Je sentis sur mon visage ses couilles toutes douces qui pendaient et je dirigeai ma bouche vers son gland que je ne tardai pas à gober. Mon Dieu qu'il était bon de sentir ma queue dans sa bouche et la sienne dans la mienne. Je le suçai consciencieusement. Stéphane y prenait du plaisir. Il faisait de légers mouvements du bassin que j'accompagnai de mes mains. Son sexe s'enfonçait plus profondément dans ma gorge.
Je ne souhaitais pas qu'il s'excitât trop car je courrais le risque de mourir étouffé par son membre. Je lâchai alors sa bite pour lui lécher les couilles. Tout en s'activant sur ma queue qu'il suçait et branlait à la fois, Stéphane gémissait. Je lui bouffai les couilles. L'une après l'autre je les absorbai et les fis rouler dans ma bouche tout en tirant dessus. Stéphane, toujours la bouche pleine râla de plaisir.
C'est alors que je me décidai à attaquer à sa rondelle. Depuis le temps que j'en rêvais, j'en étais trop proche pour ne pas tenter une percée. Je bougeai un peu de façon à ce qu'elle fût à portée de ma langue. Je déplaçai mes mains sur ses fesses pour les écarter et ouvrir sa raie. Puis je commençai à lui bouffer le cul. J'avais de la chance. Stéphane étant cycliste avait une raie parfaitement rasée et une rosace toute douce. Je fis des ronds avec ma langue pour titiller légèrement son anneau. Je voulais qu'il se rendît compte que l'anus peut être une merveilleuse source de plaisir même sans pénétration. Même un hétéro devrait avoir droit à ce plaisir.
Je ne sais pas s'il y eut transmission de pensée ou bien si mon bouffage de cul était particulièrement efficace mais il devint manifeste que Stéphane y prenait plaisir quand il lâcha ma bite pour se redresser. Il était maintenant comme assis sur moi, ce qui améliorait ma position pour continuer mon ouvrage. Il posa ses mains sur ses fesses pour mieux les écarter et commença à bouger son bassin pour mieux orienter ma langue vers les zones qui lui donnaient le plus de plaisir. Ce faisant, j'avais les mains libres et surtout les doigts. Je décidai de lui en glisser un ou deux. Le garçon, tout hétéro qu'il était, était à point. L'excitation lui faisait perdre le contrôle et tomber les inhibitions. Je passai mon bras sur sa cuisse gauche et glissai ma main gauche entre ses couilles et mon cou. Je pouvais ainsi les masser avec ma paume tout en tirant sur son pieu. Et mon majeur vint remplacer ma langue pour titiller sa rondelle. Progressivement, je fis progresser mon doigt pour lui élargir le fion. Stéphane gémissait et se dandinait toujours. Mon index vint rejoindre mon majeur et il semblait toujours heureux de m'offrir son anus encore vierge. Puis il lâcha ses fesses et je sentis au mouvement de ses couilles sur mon menton qu'il était en train de se branler. J'enfonçai alors un troisième doigt. Son intimité était douce et chaude. Je me demandai alors comment aller plus loin sans casser l'ambiance, sans briser cet instant magique où il s'abandonnait à mes caresses et à son massage interne ?
Je n'eus pas à réfléchir longtemps. J'entendis Stéphane me dire : " J'ai envie que tu me prennes ? "
Surpris, je ne répondis pas.
Stéphane : " Prends-moi. Je veux savoir ce que c'est. Moi, je veux jouir du cul. "
Je pensai : " Ce n'est pas gagné mon garçon. La première fois, ça pique un peu ! "
Il se leva alors et tâtonna sur la table de chevet pour trouver une capote. Heureusement, il la trouva assez vite et l'enfila sur ma bite. Nous nous embrassâmes passionnément. Puis il se mit à quatre pattes sur le lit à côté de moi. Je me relevai et me positionnai derrière lui. Je posai mon gland sur son anneau que j'avais bien préparé. Je savais que ce serait difficile. Peut-être ne me laisserait-il pas rentrer ? Aurait-il trop mal ? Un dépucelage, ça n'est jamais très agréable. Je pris ses hanches dans mes mains et commença à forcer son petit trou. Je sentis une résistance puis ressentis son anneau légèrement se relâcher. J'en profitai pour pousser mon avantage et mon gland le pénétra. Je sentis à sa manière de se tendre de tout son corps qu'il devait avoir mal... comme j'avais eu mal lorsque, pour la première fois, je m'étais fait défoncer. J'aurai peut-être dû attendre un autre jour et, en attendant, lui offrir un plug pour qu'il apprenne seul à dilater son petit trou ?
Trop tard ! A la guerre comme à la guerre ! L'assaut était lancé, il fallait terminer la bataille victorieux. Pas de quartier et pas de prisonnier !!!
J'attendis donc quelques secondes pour que la douleur s'évanouît et que son orifice s'habituât à la présence d'un corps étranger. Puis, dans un mouvement simultané, j'attirai son cul vers moi et poussai mon bassin vers lui. Ainsi ma bite le pénétra doucement mais sûrement. Je m'enfonçai ainsi jusqu'à la garde.
Quand je fus au fond de son cul, je lui demandai : " Ca va ? "
Stéphane releva sa tête ce qui eut pour effet de le cambrer un peu plus et me répondit " oui, baise-moi, n'aie pas peur de me faire mal ".
Je ne sais pas si c'est vraiment ce dont il avait envie mais c'est ce qu'il voulait. Alors je commençai alors à le limer. Enfin, je possédais son petit cul. Pour la première fois, j'étais en train de défoncer un hétéro. A ce moment là, je ne pensais plus qu'au plaisir que j'avais à le dominer. J'étais excité à mort. J'accélérai le mouvement pour lui montrer que j'étais son maître. Je le bourrai comme une bonne salope. J'avais envie de le traiter de tous les noms. Je me retins de le faire. Il était déjà dans la position d'une chienne en chaleur. Inutile de lui faire remarquer !!!
Je sentis ma queue réagir au glissement dans ses entrailles chaudes. Sa rondelle que j'explosais mais qui se resserrait sur ma bite m'arrachai à chaque mouvement un peu plus de plaisir. Je sentis l'orgasme poindre à chaque fois que mon pubis s'arrêtait sur sa raie. Stéphane avait débandé. Je sentis que ses couilles se balançaient d'avant en arrière. L'orgasme partit de ma bite pour m'envahir tout entier. Je poussai un cri de vainqueur et sentis mon sperme jaillir pour inonder ses entrailles. Je fis encore deux ou trois va-et-vient pour prolonger le plaisir et me vider complètement. Puis Stéphane s'écroula. J'accompagnai le mouvement pour ne pas me retirer trop vite de son petit cul si bon et si chaud et m'allongeai sur lui.
Je repris mon souffle ainsi allongé sur lui. Je pris ses mains dans les miennes et l'embrassai doucement dans le cou. Je sentis ma queue se ramollir lentement. D'un geste sûr, je récupérai la capote et la laissai choir au pied du lit. Je couvrais Stéphane de tout mon corps.
Après de longues minutes, je glissai sur le côté. Stéphane se redressa sur ses avant-bras, chercha ma bouche avec ses lèvres et y déposa un baiser. Il me dit : " Merci, c'est merveilleux ce que je viens de vivre avec toi. "
Je lui demandai (même si je connaissais déjà la réponse) : " tu as joui ? "
Stéphane me répondit honnêtement : " Non, mais tu viens de me faire l'amour. Et ça c'était bon. "
J'étais touché par cette réponse.
Stéphane se retourna et ajusta son oreiller. Je fis de même et m'encastrai derrière lui. Nous nous rendormîmes enlacés.
Depuis cette nuit-là, nous sommes devenus ce qu'il est convenu d'appeler des sex-friends.
z1rmp06