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LE VENDEUR -7
Depuis cette nuit-là, nous sommes devenus ce qu'il est convenu d'appeler des sex-friends.
Stéphane vit toujours avec sa copine. Mais il est plus épanoui. Il m'a même dit qu'il lui fait mieux l'amour depuis qu'il a des relations sexuelles avec moi. Il a appris à jouir de son propre corps et, par conséquent, il est plus sensuel avec elle. Il a même appris à la masturber et à la faire jouir sans la pénétrer. Il passe du temps à la faire monter en puissance et exciter son besoin de femelle avant de la posséder comme un vrai mâle qu'il est. Maintenant, il l'a fait jouir à chaque fois qu'il lui fait l'amour. Et curieusement elle est devenue moins chiante ! Et surtout, il ne la calcule plus quand elle le devient !!!
Quand elle part en déplacement, nous passons la soirée et la nuit ensemble. Nous faisons l'amour plusieurs fois dans la soirée avec toujours autant de plaisir et de fougue. Nous le faisons dans toutes les positions.
J'aime toujours me faire prendre par Stéphane. Depuis quelques temps, nous avons adopté la position du missionnaire parce que j'adore regarder mon partenaire les yeux dans les yeux et l'embrasser pendant que sa bite me laboure le fion, parce que j'adore sentir ma queue prisonnière entre nos ventres. En général, je m'arrange pour la lubrifier avant pour qu'elle glisse entre nous à chaque fois qu'il s'enfonce en moi. J'enroule mes jambes autour de sa taille et pose mes mains sur ses fesses pour accompagner son mouvement. Là, je me sens totalement offert. Je ne suis là que pour le plaisir de mon amant, pour qu'il me montre toute sa puissance et sa force, pour qu'il soit le mâle qui va me féconder, pour qu'il me défonce parce que je le mérite.
J'atteins alors un grand état d'excitation et quand vient l'orgasme de mon homme, ma bite coincée dans la chaleur de nos ventres glissant l'un sur l'autre explose aussi de bonheur. Et là, c'est l'extase absolue pour nous deux.
Stéphane lui préfère une autre pratique : " Il aime toujours autant me voir juter. Il adore les 69. Il me suce tout en se masturbant pendant que je lui bouffe le fion. Il adore que je lui suce la rondelle. Il a découvert là des zones érogènes qu'il ne soupçonnait pas auparavant. Je crois que bientôt je pourrais le faire jouir rien qu'en lui travaillant l'anus et la prostate. Pour l'instant, il est devenu un expert du pompage de bite (de la mienne en tous cas) et m'amène inévitablement à l'orgasme et à l'éjaculation. A la vue de mon sperme qui gicle, il est toujours aussi excité et sa branlette se termine aussi par l'expulsion saccadée de son foutre sur mon bas-ventre.
De temps en temps, il me réclame une bonne sodomie. Je ne crois pas qu'il en jouisse vraiment mais il est fasciné par la jouissance que j'éprouve à chaque fois qu'il me prend alors il veut essayer encore et encore. Je lui ai offert un plug et un gode pas trop gros pour qu'il s'entraîne seul quand sa copine n'est pas là et que l'on ne peut pas se voir. Il garde ces jouets dans son sac de sport. Pas question de les rapporter à la maison. Alors il s'entraîne sous la douche après le sport !!! Les résultats se font déjà sentir. Il offre beaucoup moins de résistance quand je présente mon gland à l'entrée de son cul et que je le pénètre. Il adore sentir ma bite au fond de lui. Il me demande toujours de m'enfoncer au plus profond. Assurément, il n'a plus mal. Mais il n'est pas encore assez détendu pour être à l'écoute de ses entrailles et percevoir les premières ondes de plaisir qui émanent de son petit trou.
Moi, j'aime le sodomiser parce que j'éprouve toujours énormément de satisfaction à soumettre l'hétéro qu'il reste au dictat de ma queue. Je voudrais juste qu'il y prenne vraiment du plaisir pour le sentir encore plus chienne.
La nuit dernière, nous avons fait l'amour. Nous étions au lit. Nous nous sommes réveillés l'un contre l'autre et j'ai commencé à le caresser. Stéphane s'est retourné et nos bouches se sont rejointes. Le baiser est pour moi, une première pénétration parfaitement partagée. Nos langues se lancent dans une dance ou une lutte forcenée qui augmentent le plaisir de l'autre. Pendant ce temps-là, nos corps s'enlacent et avec tous nos sens, nous explorons le corps de l'autre. Avec mes pieds, j'explore et caresse ses jambes poilues. Avec mes mains, je touche ses fesses viriles, son ventre et son torse poilus. Je peux m'attarder sur se tétons. Et quand je sens qu'ils durcissent sous mes caresses, je sais que je donne du plaisir. J'aime caresser la bite et les couilles pour entretenir l'érection. Je peux le masturber pour faire monter son état d'excitation. Et tout cela j'en profite pleinement car j'aime le corps d'un garçon. Avec Stéphane, j'ai la chance d'avoir trouvé un garçon qui acceptent toutes ces caresses mais surtout, qui a appris à me les rendre.
La nuit dernière alors que nous étions assis l'un en face de l'autre sur mon lit et que nous échangions encore un baiser fougueux, je me mis à lui caresser la rondelle. Non pas que j'avais envie de le sodomiser mais parce que j'attardais mes doigts sur cette partie de son corps que je sais être érogène et que j'aime découvrir.
Mais après quelques minutes d'un tel traitement, Stéphane me demanda : " Sors le lubrifiant. " Je me levai pour attraper le gel dans la salle de bain. J'en profitai pour enfiler une capote. Je revins sur le lit et enduis sa raie de gel. Je continuai mon massage de son fion. Stéphane se mit alors à quatre pattes et je me positionnai pour jouer un peu plus en profondeur. J'enfilai mon index. Il avait les sphincters très serrés. Il y avait encore du travail à faire. Je commençai à masser doucement sa rondelle mais cette foi-ci de l'intérieur juste avec ma dernière phalange. J'espérai ainsi l'amener à se détendre. Ensuite, j'introduisis aussi le majeur, complètement. Mes doigts allaient et venaient pleinement. C'était chaud et doux. J'essayai de repérer sa prostate. Mais je ne suis pas protologue et c'est un peu comme distinguer le sexe d'un foetus sur une échographie quand on n'est pas échographe. J'aimerais vraiment qu'il accède à l'orgasme anal car je trouve que c'est le plus puissant, celui qui part de plus loin et qui envahit tout le corps.
J'ai pensé que Stéphane était malgré tout prêt pour se faire prendre comme une salope. Que cherchait-il ce bel hétéro dans cette sodomie ? Que ressentait-il vraiment à être ainsi l'amant soumis d'un PD ? Toutes ces questions se bousculaient dans ma tête et m'excitaient au plus au point.
Je me positionnai derrière lui. Ma queue était belle. C'était ma fierté à ce moment-là alors que je posai mes mains sur sa croupe offerte. J'enfonçai doucement ma bite à travers son anneau qui était terriblement serré. Mais je m'enfonçai plus profondément. Quand je fus au fond, je donnai un dernier mouvement des hanches pour m'enfoncer encore plus avant. Stéphane me dit " oh oui ! Bien profond comme çà, c'est bon ". Il n'avait pas eu mal comme la première fois. Je pensai qu'il pouvait profiter de ce moment d'union, profiter de sentir ma bite en lui. Et moi, j'allais profiter de son petit cul bien chaud
Je commençai des mouvements de va-et-vient lents et réguliers. Ses sphincters étaient toujours aussi sérés. A chaque mouvement de ma bite, je sentis glisser son anneau le long de ma hampe. Son cul agissait comme un trayon sur la mamelle d'une vache. Je sentis l'orgasme poindre au creux de mon pubis et ma sève monter dans ma queue. Mon gland frissonna de plaisir. Si je ne calmais pas le jeu alors j'allais jouir tout de suite. Mais je ne voulais pas. C'était trop bon ! Et puis Stéphane n'était pas prêt. Même s'il se branlait frénétiquement, je sentis qu'il était loin de parvenir à l'extase. Je décidai donc de le pilonner plus rapidement pour calmer mon excitation. Stéphane semblait aimer ça ! Il l'exprima bruyamment : " Baise-moi, Eric ! Vas-y à fond ! J'ai besoin que tu me défonces. Baise-moi ". Ces mots m'excitèrent toujours plus, j'étais au bord de l'orgasme. J'eus beau respirer à plein poumons et contrôler mon expiration, je sentis que ma bite prenait de plus en plus le contrôle de mes sensations. J'approchai de l'extase mais je ne voulus, encore une fois, m'y soumettre tout de suite.
Je demandai à Stéphane de ne plus bouger. Mais lui était chaud. Il avait du mal à réprimer les mouvements de son cul. Il continuait à se branler et par de légers mouvements cherchait à enfoncer mon pieu plus profond en lui.
- Moi : " Je vais jouir Stéphane ".
- Stéphane : " Oui, jouis en moi. Je veux ton sperme "
Je repris immédiatement mes va-et-vient. Mais la tension n'étant pas suffisamment redescendue, je sentis immédiatement la jouissance s'emparer de mon gland puis remonter ma bite pour inonder tout mon bas-ventre. Et là, je sentis ma bite se contracter par saccades et circuler mon sperme à travers elle. Je savais que j'étais en train de lui remplir lourdement le cul. C'était divin mais je restai silencieux. Je profitai de ce plaisir seul.
Les quelques centilitres de spermes que je venais d'expulser étaient bien sûrs restés bloqués au fond de la capote. Le fait de sentir cette bulle de sperme au bout de ma queue me rendît très fier. Stéphane n'avait pas encore joui et continuait à se branler. Son anneau bien serré autour de ma hampe agissait comme un cock-ring. Je ne débandai pas. Je continuai donc à le pilonner violement en poussant des cris simulant ma jouissance extrême. J'ai dû lui dire également quelques propos salaces. Stéphane continuait à se branler. Quand, tout en l'engageant jusqu'à la garde, je poussai un dernier cri signifiant que j'avais atteint l'orgasme et que j'étais en train de me vider en lui, Stéphane poussa de petits cris qui me signifièrent qu'il était en train de jouir parce qu'un homme était en train de déverser tout son foutre en lui.
Nous nous sommes affalés chacun d'un côté de mon lit de chaque côté des tâches de spermes dont Stéphane venait de maculer mon lit.
Voilà, je ne sais pas combien de temps durera notre relation. Sera-t-on longtemps amants ? Je n'en sais rien. Mais en attendant, on s'éclate bien ensemble et on profite de ce que la nature nous a donné et de la vie.
Bises à tous et merci à ceux qui m'ont fait des compliments.
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