Ma conversion
Il m'est arrivé cet été une aventure qui a complètement bouleversé ma vie, tant personnelle que sociale. Je suis à la tête d'un garage et j'ai trois employés avec moi. Il y a un black, Amou, et deux nord-africains, Khaled et Farid. L'affaire marche bien, et malgré quelques accrochages occasionnels avec Farid surtout, nous nous entendons bien. En Mai dernier, comme nous ne fermons jamais, je préparais le planning des congés, 1 mois chacun, Juin, Juillet, Août et Septembre. Habituellement je les laisse choisir, mais là ma copine voulait absolument partir en Juillet voir sa famille au Cambodge parce qu'un de ses frères devait se marier alors; or Juillet c'est là qu'en principe Khaled part, et il ne l'entendait pas de cette oreille.
Depuis le début de la semaine je les voyais tous discuter entre eux, de leur côté, en me jetant des oeillades plus ou moins hostiles. C'est vrai que je peux parfois être assez dur avec eux, mais je pense quand même être toujours juste et honnête. Donc ce Vendredi-là, Farid se décide à venir me voir dans mon bureau, situé au-dessus du garage où se font les réparations.
F: Voilà patron on vient de se décider, et pour les vacances c'est pas possible.
Moi: Comment ça?
- Vous pouvez pas changer les dates de Khaled, il a déjà tout prévu avec sa famille, il ne les a pas vus depuis l'an dernier!
- Eh ben oui je peux, parce que moi aussi j'ai fait des plans avec ma copine!
Bref pour faire court, le ton a monté peu à peu, jusqu'à ce que ses deux collègues rejoignent Farid pour venir le soutenir. L'atmosphère devenait électrique dans un espace déjà très exigu, et la discussion franchement hostile. De plus, je commençais pour ma part à me sentir un peu à l'étroit, les trois hommes faisant chacun pratiquement le double de ma frêle carrure. Au bout d'un moment, la grosse voix grave d'Amou, d'habitude toujours calme, nous imposa le silence à tous: "Ca suffit! On arrête de discuter; on prend nos congés comme d'habitude, et si vous n'êtes pas content, on s'en va et vous vous débrouillez seul avec les deux voitures en bas et le camion qui doit arriver Lundi."
Sa sortie me fit l'effet d'une douche froide, et je restai figé la bouche ouverte devant cette démonstration qui ne lui ressemblait pas. "Fermez la bouche, ou sinon on va croire que voulez qu'on y mette quelquechose!" C'était Farid qui prenait l'initiative, et je dois dire que je commençais un à perdre pied.
Une main se saisit de mon épaule, et me força à m'asseoir. J'étais entouré des trois hommes et ils semblaient déterminés à me faire changer d'avis.
"Ecoutez les gars, je crois que là on commence à...
- NON! J'ai dit ferme-la, alors tu la fermes!
- Arrêtez, on vAAHHHHH!!!!!"
Une baffe magistrale me fit gueuler, plus de surprise que de douleur.
- Bon, puisque tu veux toujours l'ouvrir, fais-le pour une bonne raison; tu nous as bien excités là, tu vas nous calmer: tu vas bien nous sucer et après on rediscutera, ok?
- Non mais ça va pas la tête?
BAM! BAM! Deux autres talloches me firent voir des étoiles. Je commençais à voir des braguettes s'ouvrir, ce qui n'était pas vraiment pour me rassurer.
Qu'est-ce qui se passait? J'étais là, dans mon bureau, menacé par mes propres employés pour que je les suce; mais je n'en avais pas envie! Je ne comprenais plus rien, et je commençais à balbutier piteusement pour tenter de me tirer de ce mauvais pas, mais à peine avais-je ouvert la bouche qu'un bout de gland se présenta pour me bailloner. En levant les yeux je vis que c'était Farid, encore lui, qui prenait l'initiative du premier mouvement.
"Voilà, tu vois que tu commences à comprendre...."
Je ne comprenais rien, mais une chose est sûre, c'est que l'instant était intense. J'avais les yeux rivés dans les siens, pendant qu'il m'enfonçait, lentement mais sûrement, sa bite dans la bouche, et venait buter à l'entrée de ma gorge.
Complètement subjugué, je me laissais faire en me demandant comment j'allais pouvoir me tirer de ce traquenard. Farid se mit à prendre ma tête entre ses deux solides mains pour la faire aller et venir le long de sa queue, pendant que ses deux collègues me maintenaient solidement les bras. A chaque coup je sentais que sa bite essayait de rentrer dans ma gorge, manquant m'étouffer, et peu à peu mes résolutions faiblissaient, et ma glotte cédait à son insistance. Au bout de 15 minutes de ce traitement, je sentis comme un "plop", et il s'enfonça d'un coup, écrasant mon nez dans sa toison pubienne et m'empalant à fond sur sa tige. Il réussit à me maintenir ainsi un bon moment, puis se dégagea presque à fond pour ne laisser que son gland sur ma langue.
"Tu vas être bien sage, maintenant, ok?" Me demanda-t-il avec un sourire en coin; comme hypnotisé, je hochai la tête lentement tout en laissant mes yeux rivés dans les siens.
"C'est bon les mecs, vous pouvez le lacher je crois, on dirait qu'il a compris sa place", dit-il en s'adressant à ses potes.
D'ailleurs ceux-ci ne me maintenaient plus que pour la forme, il semblaient avoir compris eux aussi que j'avais abandonné toute résistance. Je n'arrivais toujours pas à comprendre ce qui m'arrivait, quand je pris ses cuisses musclées avec mes mains pour mieux l'attirer au fond de ma gorge. Le silence s'était fait, on n'entendait plus que le slurp et les bruits de gorge que je faisais en l'aspirant bien à fond. Je m'appliquais tant et si bien qu'au bout d'un moment Farid m'ebrocha sur toute la longueur de sa queue et se mit à décharger cinq gros jets dans ma gorge et sa ma langue, qu'il m'ordonna d'avaler "comme la pute que j'étais". Je m'empressais de lui obéïr, et savourais lentement ce jus que je goûtais pour la première fois de ma vie.
Ses deux copains voulaient l'imiter, et bientôt je me retrouvais avec la bonne grosse bite de Khaled à dégorger. Enfin, Amou vint profiter de l'aubaine et je me remis à l'ouvrage sur son énorme boudin.
Je dus m'y remettre une deuxième fois, la vue de leur patron transformé en chienne docile les excitait et ils giclèrent chacun deux fois dans ma bouche.
En se rhabillant, ils me dirent de venir le lendemain matin à 09h00, pour passer la journée à "discuter avec moi". Comme je faisais mine de protester, Farid m'expliqua que "Chut, on ne veut plus t'entendre; tu viens demain, un point c'est tout! Et ne nous dis pas que tu es dégoûté, ton vermicelle est tout droit..." Et ils sortirent en riant comme des gamins après avoir claqué la porte.
Rouge de honte, je baissai les yeux et me rendis compte que je bandais. Mais enfin, qu'est-ce qui m'arrive?
Xmale06
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