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Sacha -5
Déjà 48h que je suis coincé à Montpellier, je ne pense qu'au moment passé avec Louis, Franck et Jessica.
J'aimerai baiser Louis, il faudra que je sois convaincant !
Enfin, me voilà de retour à la plage, ce n'est pas une super journée, il y a des entrées maritimes, le ciel est très voilé et il fait limite chaud au bord de l'eau... Le temps idéal pour m'occuper de Louis qui n'aura pas beaucoup de travail, me dis-je !
Bien vue, la plage est quasi déserte, il n'y a que 6 transats occupés. Je vois Louis et Franck adossés au bar, ils s'emmerdent ferme, ils papotent en fumant des clopes. On se dit bonjour comme si de rien n'était. Je m'installe dans un transat, à poil comme d'hab. Il ne fait pas chaud, j'en profite pour aller dans l'eau faire des longueurs, j'enchaîne les 4 nages, je sens mes muscles qui chauffent, mon corps puissant. Quand je ressors, mes muscles sont bien bandés, mes pec et épaules bien gonflés... Parfait pour parader, je me sèche rapido, me tripote la bite, question qu'elle reprenne une bonne dimension après la trempette dans l'eau froide et vais commander un café. J'arrive au bar, chaud bouillant, la queue mi-molle, les yeux de mes 2 Gus scrutent mon corps et s'arrête sur ma bite :
- oh oh, y'a quelqu'un...
Ils détournent leurs regards gênés et je leur lance :
- hé les gars, je voudrai un café, s'tp
Franck répond :
- oui, ok
Louis est encore dans ses pensées, sûrement X
Je me retourne pour rejoindre mon transat, ils doivent maintenant mater mon petit cul et mes larges épaules ! C'est Louis qui me l'apporte. Je le vois arriver, je soupèse mes boules et caresse ma bite. Louis s'en aperçoit, je devine une bosse qui gonfle dans son short de plage serré. Il s'assoit sur le transat d'a côté, ce qui met encore plus en évidence son paquet et sa bite qui est plaquée contre l'aine.
- pas top le temps aujourd'hui ? Lui dis-je pour engager la conversation,
- ouaip, du coup y'a personne, me dit-il
- au moins tu peux te reposer
- oui et j'en ai sacrément besoin
- c'est sûr après tes nuits torrides...
Louis me coupe la parole :
- justement, on en a parlé avec Franck, on a fait des choses qu'on aurait jamais cru, Jessica était trop bonne...
- et moi ?
- heu, oui, ben, j'ai bien aimé aussi.
- tant mieux, car moi aussi... et j'ai l'impression que tu apprécies encore...
- pourquoi tu dis ça ?
- tu me mâtes et tu bandes comme un taureau, super Hétéro...
- Ok ça suffit.
Il se lève et se remet le paquet en place et me dit :
- je vais faire une sieste dans le bungalow, à tout'
Et le voilà qui part, son petit cul serré dans son short. Je reste surpris par cette dernière phrase. Est-ce un appel pour le rejoindre ? D'un oeil, je le surveille. Il passe à côté de Franck, lui donne une tape sur les fesses et lui dit sûrement qu'il va faire la sieste. Franck acquiesce en souriant et se remet dans la lecture de 'ça m'intéresse'... Tout un programme !
Je laisse quelques minutes s'écouler, je pars me balader sur la plage pour traverser la dune et passer par derrière la plage pour que Franck ne me voit pas rentrer dans le bungalow.
Nickel, j'arrive devant la porte, elle est entre ouverte. Louis est assis sur le lit, adossé au mur, un genou plié et l'autre jambe écartée, il se caresse ses boules et sa belle bite. Une clope à l'autre main :
- je t'attendais, j'ai parié avec Franck que tu allais venir...
- ??? : Mon air surpris
- je te rappelle que c'est mon meilleur pote et que je n'ai pas de secret pour lui, il sait que j'ai envie de te baiser
Rien que ce mot me fait bander, il écrase sa clope, s'approche assis sur le lit, face à moi qui suis debout, la tige raide à hauteur de sa gueule. Instinctivement, je claque ma bite sur ses joues... Oups, que va t'il faire ? En fait, il ouvre ses lèvres, sort sa langue et prend ma bite en bouche. Le salaud a vite appris depuis la dernière nuit ! Il me lèche le gland et me masturbe. Il fait rouler mes boules dans son autre main, puis me les lèche, les gobe avant de me pomper à nouveau. Je pose mes mains sur sa tête pour accélérer les mouvements et pousser ma bite au plus profond de sa gorge. Il s'étouffe. Je reviens à la charge en rentrant quelques cm de plus à chaque poussée... je lui penche la tête en arrière pour bien dégager le chemin et il y arrive, il la gobe en entier. Je suis bluffé, quel beau garage à bite ! Pendant qu'il me suce, il se branle et avec l'autre main il me caresse les fesses, ses doigts écartent ma raie et il trouve ma rondelle. Il se mouille un doigt et revient dessus pour jouer avec. Il caresse mon trou, je frémis, je joue avec mon sphincter pour ouvrir mon cul. Il enfonce rapidement un doigt, puis deux et me masse la prostate.
Je vais lui exploser dans la gueule si ça continu à ce rythme. Je vais calmer le jeu et surtout maintenant m'occuper de lui. Je lui pousse la tête en arrière, il s'allonge sur le dos. Le Pacha a compris que c'était son heure, il croise ses bras derrière la tête et regarde fièrement son dard dressé que je m'apprête à gober. Mais pour avoir plus facilement accès à ses burnes et à sa rondelle cachée dessous, je lui fais plier ses genoux et écarter ses cuisses. Je m'installe au milieu et commence mon travail de lèche...
Je commence par sa bite, sur toute la longueur, je tourne autour de son prépuce avec ma langue pour bien décalotter son gland, que je gobe et aspire. Je redescends ma langue sur sa tige jusqu'à ces belles boules pendantes. J'en fais le tour avec ma langue, je les gobe, je bave comme un malade.
Louis habituellement muet, commence à lâcher des :
- putain c'est trop bon
- tu suces mieux que ma meuf...
J'ai mon nez collé à ses burnes, ma langue les sous pèse et lui lèche le périnée entre son cul et ses couilles, il frémit. Je reprends le chemin inverse, pour à nouveau le branler avec ma bouche. Il garde un bras derrière la tête et l'autre vient se poser sur ma tête pour m'obliger à bien gober sa tige toute en entier.
- prends ça salope...
Je suis surpris du vocabulaire
- je vais te baiser, chienne
Ça m'excite, je me mets un, puis 2 doigts dans le cul pour le préparer.
- tu veux m'éclater le cul, pauv' hétéro ?
- je vais te le déchirer... dit-il
Sur ces mots, je me redresse, me mets à califourchon sur Louis et enfonce sa bite dans mon cul. J'aurai bien aimé y aller à fond direct pour le surprendre et lui arracher un cri de plaisir, mais sa bite est vraiment large au milieu. Je vois le gel à côté du lit, je décule et m'en met une bonne dose dans le fion et sur la bite de Louis. J'y retourne frénétiquement. Je descends jusqu'à sentir son pubis collé sous mes couilles. Il est enfin encré en moi, je bouge mon bassin pour mieux ouvrir mon cul.
Il râle, je lui caresse les pecs, et il me masturbe, je mouille. Je me penche pour l'embrasser, mon cul se relève légèrement, il en profite pour faire de petits va-et-vient, entre son gland fin (limite à déculer, mais le bougre connait bien les limites de sa bite) et m'enfile jusqu'à la moitié de sa bite, bien plus large. Cette sensation d'élargissement progressif puis d'un retour à un diamètre plus serré est sublime, d'autant qu'il le fait de manière très rapide, mon anneau à du mal à suivre avec ces dilatations extrêmes, ça me rend fou. Je prends son visage entre mes mains, nos langues se mélangent dans un baiser viril. Je lui mordille les lèvres, lèche ses oreilles, en y mettant ma langue, il secoue la tête, je replonge ma langue dans sa bouche, on se baise la gueule. Je sens mon foutre monter, sans tenir ma bite je lâche 3 jets qui nous éclaboussent en plein baiser. Du coup pour le faire jouir, je me remets bien en arrière, ma bite dégouline encore de foutre avec cette nouvelle pression au fond de mon cul. J'active des va-et-vient très rapide, je sens sa bite gonfler
- je vais jouir, dit-il en tremblant et il est tout crispé
- vas-y bébé, lâche toi dans mon cul.
- oh oui ça vient,
Il pilonne mon cul, sa bite gonfle et dans un dernier assaut, bien calé au plus profond, je sens un premier jet très puissant qui frappe le fond de mes entrailles, puis une avalanche de sperme. Il lâche un cri grave et puissant... pas discret ! Il ressort sa bite encore bien dure entraînant avec lui une partie de mes chairs boursouflées et son foutre, puis replonge pour bien tasser le reste. Je m'effondre sur lui et nous nous embrassons. Nous sommes en nage. Il sort sa bite encore bien large de mon cul et avec ses doigts plonge dans ma rondelle pour extraire son foutre qui coule. Il ramène ses doigts à sa bouche et les suce. Mais ce n'est pas assez. Visiblement Louis aime bien son sperme :
- viens Sacha, présente-moi ta chatte, viens mettre ton cul sur mon visage que je lèche ta rondelle.
J'obéis, je suis maintenant à califourchon sur sa gueule, son sperme coule de mon trou bien ouvert, il y enfourne toute sa langue et commence à lécher l'intérieur de mes chairs, je me concentre pour bien laisser mon anneau ouvert, il m'y aide avec un doigt coincé de chaque côté de mon orifice, il écarte à max, je sens son jus couler, il l'aspire et revient encore plus profond avec sa langue, j'adore ses caresses de langue dans mon trou. Une fois bien nettoyé, il relâche ses doigts, je peux fermer mon sphincter. Maintenant, il s'attaque à mes couilles et ma bite demi-molle pour bien la nettoyer. Son travail de remise au propre a bien duré 10 minutes. Il se rassit contre le mur, les lèvres pleines de nos spermes mêlés. Je l'embrasse et lui lèche ses lèvres. Sa bite est encore bien grosse, je décide à mon tour de la nettoyer de son sperme mêlé au jus de mon cul.
Nous sommes enfin rassasiés.
Je m'assois à côté de lui et nous fumons une clope en silence, puis il lâche :
- tu sais, je suis vraiment hétéro... je suis juste surpris à quel point j'éprouve du plaisir à baiser avec toi...
- je n'en doute pas, lui dis-je
Et il enchaîne :
- j'ai ressenti des trucs incroyables, j'ai vraiment pris mon pied
- tu sais, chaque rencontre est différente, c'est aussi pour ca que j'aime baiser avec des hommes, comme avec des femmes. Je prends le plaisir où il est...
- mais j'ai du mal à assumer, Franck va me demander ce que nous avons fait, il est curieux et en même temps jaloux, je n'ai pas non plus envie de le décevoir dans l'image qu'il a de moi : le mec charmeur, viril, limite macho qui baise toutes les belles filles de la plage !
- c'est peut être le moment de faire le pas entre vous...
- que l'on baise tous les deux ? Beurk !
- arrête, tous les meilleurs potes du monde, même 300% hétéro comme toi, rêvent au moins une fois d'essayer... et pas seulement des branlettes ou les premiers baisers avec la langue à 12 ans pour s'entraîner avant d'embrasser une fille !
- comment tu sais ça ?
- mais parce que tous les mecs font ça et se posent des questions sur leur sexualité. Certains essayent, trouvent des réponses, d'autres évitent
- c'est notre cas avec Franck ? dit-il
- je pense, oui...
- c'est vrai que Franck vit un peu sa sexualité à travers la mienne. De ce côté là, on est vraiment des gonzesses tellement on tchatche de nos plans baises. Enfin surtout moi, car le problème, et tu l'as vu, c'est qu'il a un chibre, une canette de bière entre les jambes...
- et alors, dis-je, quel est le problème ? Beaucoup de mecs voudraient en avoir une aussi grosse ?
- justement, elle est trop grosse, il se prend de nombreux râteaux de filles qui en la voyant n'osent pas la sucer et encore moins se la prendre dans la chatte, et dans le cul n'en parlons pas !!
- c'est clair que vu le morceau, ça peut décourager.
- Jessica et toi, vous y êtes bien arrivés, et je crois qu'il a pris son pied comme jamais
- Jessica est une fille à part et de manière générale les PD sont gourmands de grosses bites
- il devrait se mettre aux mecs ! dit-il en rigolant
- pourquoi pas ! En tout cas il y reviendra surement
- quand il en aura mare de prendre des râteaux... conclut Louis en souriant.
On finit notre clope en silence et je reprends :
- tu sais, la seule différence entre nous deux, c'est que moi j'assume prendre le plaisir comme il vient, avec la personne qui veut bien m'en donner.
- facile à dire, dit-il
- non, il suffit d'être curieux, de vouloir découvrir d'autres plaisirs. Aujourd'hui tu m'as encore baisé, j'en avais envie, mais j'ai aussi envie de te baiser, il faut aussi l'entendre...
Je lui pose une main sur sa cuisse à quelques centimètres de sa bite.
Je sens Louis qui se crispe, il me regarde fixement :
- faut pas rêver mec, il tire sur sa clope et reprend
- bon ok, ça ma traversé l'esprit, je te l'avoue, je voudrais savoir ce que ça fait... mais je me sens pas prêt
Je ne dis rien volontairement, l'idée fait son chemin dans sa tête, ne pas intervenir, lui laisser le temps de la réflexion...
Après un long silence, il écrase sa clope et se lance :
- si je te dis oui, tu me promets de faire attention ?
Je jubile au fond de moi
- ok, no soucy, fais moi confiance.
Sacha
sacha.paris.fr@gmail.com