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visite au sexshop - 02
Le retour à la maison fut difficile. Mon cul m'élançait, mes pensées se bousculaient dans ma tête.
Gérer les élancements de mon cul était assez facile ; une alternance de contractions et de détente du sphincter y arrivait aisément.
Pour mes pensées, c'était beaucoup plus compliqué. La honte, le plaisir, l'envie de recommencer, la peur de tomber dans un engrenage se mélangeaient.
En arrivant chez moi, je pris une douche. Le ruissellement de l'eau me lava le corps et un peu l'esprit.
Je me couchais vidé. Le souvenir de ma soirée suffit à me provoquer une érection. Je dus me masturber deux fois avant de pouvoir m'endormir. J'avalais bien sur mon sperme à chaque fois. Le réveil me tira du lit à 7h00. J'eus bien du mal à me lever.au début, j'ai cru avoir rêvé. Mais une hyper sensibilité anale me détrompa.
Aussitôt, tout me revint, et avec mes souvenirs, deux questions.
La première : avais-je envie d'y retourner ?
Et si, oui ; devais je y retourner ?
La réponse à la première question était simple. A moins de vouloir me mentir à moi-même c'est OUI.
La réponse à la deuxième était beaucoup plus difficile.
J'essayais d'imaginer ce qui pouvait m'arriver si j'y retournais. Mon maitre avait l'air d'avoir une imagination débordante de perversité. Même si ce que j'avais vécu m'avait plu, j'avais peur qu'u il ne m'emmène loin, plus loin, trop loin. A un point ou je ne contrôlerais plus rien.
Mais avais je contrôlé quelque chose hier soir ?
Ma journée au boulot m'a permis d'arrêter de réfléchir à ces questions. Mais à la débauche (on y revient, le terme est bien choisi pour parler de mon activité nocturne.) des images de la nuit dernière revinrent en force, me déclenchant une érection. A ce moment, je sus ce que je devais faire.
À 23h moins 5mn, je sonnais à la porte du sex-shop. La porte s'ouvrit. Le mec à la caisse n'était pas le même qu'hier soir. Il avait une bonne soixantaine d'années, un peu bedonnant, dégarni. Il me sourit.
" - bonsoir, c'est toi la chienne ? "
Je rougis. Je ne m'attendais pas à ce genre d'accueil. Mais bon, je devais accepter mon nouveau statut.
" - oui, je pense que c'est moi. "
" - ton maitre était sur que tu reviendrais. Tu es une grosse salope en devenir. Il suffit de te former à ca, tu as le sexe dans la peau. Il t'a préparé des surprises. "
Ces propos n'était pas fait pour me rassurer. J'avais envie de prendre mes jambes à mon cul, mais c'est lui qui commandait l'ouverture de la porte.
Quelques secondes plus tard, mon maitre entra. Il eut l'air satisfait, pas que je sois ici devant lui l'air inquiet mais plutôt que son jugement de ma personne se soit avéré.
" - je savais que tu ne me décevrais pas. Maintenant que tu as gouté à la bite, tu ne vas plus pouvoir t'en passer. Et je vais t'en donner jusqu'à plus soif. Tu vas devenir un garage à bites, une pompe à foutre, une pute prête à tout pour sa dose de sperme et pour un coup de bite. "
Cette tirade m'avait déclenché une érection. Heureusement qu'il ne pouvait voir à travers mes vêtements.
" - allez la pute, à poil. Il est temps de te mettre au boulot. Il y a du monde qui attend. "
Je paniquais, si il me voyait bander à ses propos, il allait être conforté dans son idée que je suis déjà accro à la bite. Mais je ne voyais pas comment éviter, ni retarder ma mise à nu.
C'est la mort dans l'âme que j'obéissais. Il ne fut pas long à voir mon érection.
" - eh bien, ma salope... le simple de te promettre de la bite te fait bander... qu'est ce que ca va être quand tu vas voir ta surprise. "
Une fois nu, le vendeur ramassa mes affaires et les rangea derrière le comptoir.
Mon maitre me dit d'attendre la, au milieu du magasin et de mettre les mains sur la tête.
Il disparut dans le coin des accessoires SM.
À peine, avait' il disparu que j'entendis la porte s'ouvrir derrière moi. Pour me protéger, je ne trouvais rien d'autre à faire que de fermer les yeux.
" - ah, la chienne est arrivé... quel joli cul ! On va bien s'amuser. "
Je l'entendis approcher et je sentis sa main glisser sur mes reins, un frisson me remonta le long de la colonne vertébrale, puis descendre sur ma fesse droite, passer sous la fesse et remonter dans ma raie. Un de ses doigts joua avec ma rondelle avant de d'essayer de rentrer. Mais j'étais sec et crispé. Il n'y parvint pas.
" - elle est serrée et sèche, cette chienne. Il va falloir l'ouvrir, qu'elle soit disponible à tout moments sans avoir besoin de gel. "
De frustration, il me mit une grande claque sur la fesse. Je devais avoir la marque bien visible. Je sentais ma fesse brulante. Et ce n'était que le début de la soirée. Quelle idée avais je eu de revenir ???
" mais qu'allait' il faire dans cette galère ? " comme disait l'avare...
cet intermède avait au moins eu l'avantage de me faire perdre mon érection.
Mon maitre revint. Il avait un petit panier à la main. Il se mit derrière moi, je ne pouvais voir le contenu du panier.
Je ne bougeais pas. Il commença par me mettre un bandeau sur les yeux. Quelque part, cela me rassura. Maintenant quoi que je fasse, ce n'était pas de ma faute. J'étais un peu moins responsable. Et puis, ce n'est pas l'homme qui m'intéresse mais sa bite dans ma bouche, mon ou mes mains. Mais j'aime aussi voir les queues qui m'agressent. Je ne sais plus ou j'en suis, ni ce que je veux. Je voudrais tout et son contraire.
Je l'entends passer devant moi. Sa main prend mon sexe maintenant flasque. Je le sens insérer mon sexe dans un tube assez étroit, un anneau passe derrière mes testicules. Mon sexe bute au fond du tube. Le maître force pour rapprocher le tube de l'anneau puis j'entends le claquement sec d'un cadenas.
" - et voila ! Ta queue ne servira plus avant un bon moment. Tu as compris ce que je viens de faire ? "
J'hésitais.
" - bon, alors, je vais te le dire. Je viens de te mettre une cage de chasteté. Bien sur, elle est cadenassée. Et c'est moi qui ai la clé. Il faudra payer de ta personne pour que je l'ouvre ".
Il me fit tendre les bras vers lui et il me fixa un bracelet en cuir à chaque poignet, puis c'est mon cou qui fut agrémenté d'un collier. Il y fixa une laisse.
" - allez, salope, le boulot t'attends ! "
Il me tira par la laisse. Je le suivais d'un pas hésitant.
" -allez, rentres la dedans ! Tu vas être bien. Mets-toi à genoux ! "
J'entrai à tâtons. La pièce, si l'on peut dire une pièce, était très petite. C'était plutôt un petit placard. Je pouvais toucher les murs sans bouger. Elle devait faire 1m par 1m. La porte en formait l'un des murs.
Je m'agenouillais. Une sorte de coussin se trouva sous mes genoux, rendant ma position un peu pus confortable.
Il défit ma laisse mais y rattacha une autre chaine. Je me reculais un peu mais sans succès. Ma nouvelle chaine était fixée au mur situé en face de moi.
" - voila, tu vas passer la soirée ici. Je suis sur que tu vas apprécier, salope comme tu es. Tu ne le vois pas mais en face de toi il y a un trou dans le mur, pareil à ta gauche et à ta droite. Des queues vont se présenter à toi. Tu auras juste à les faire gicler. Bien sur elles gicleront sur toi. Je vais d'ailleurs raccourcir ta chaine. "
Il me tira en avant. Mon visage touchait presque le mur.
Une queue vint se frotter sur mon visage.
" - elles sont impatientes, dis donc... "
Déjà bien dans la mentalité d'une salope, j'ouvris la bouche.
" - je savais que tu aimais bouffer de la bite mais la, tu es une goinfre. Ne t'inquiètes pas, tu en auras autant que tu en voudras et peut être même plus. Je te laisse. Bon appétit et bonne douche. Quand je reviendrais, je veux te trouver ruisselante de sperme. Preuve du nombre de mecs et du plaisir que tu leur as donné ! "
J'entendis la porte se fermer. En tâtonnant, je cherchais les trous latéraux. Ils étaient déjà occupés par deux bites bien raides. Je les pris en main et commença à les branler doucement. Bien sur j'avais la bite en face de moi au fond de la bouche. Je m'étais d'ailleurs penché en avant pour la prendre plus profond. Le mec me baisait la bouche. Sa queue devait être longue car malgré la cloison, elle me butait dans le fond de la gorge, me tirant des haut-le-coeur. Le mec s'en foutait et je ne pouvais pas me reculer à cause de la chaine.
J'avais du mal à branler les deux bites en me faisant baiser la bouche. J'essayais de me concentrer sur ce que faisaient mes mains, ma bouche, elle étant plutôt passive.
Je dus me débrouiller assez bien car la bite de gauche cracha son venin la première. Je sentis le sperme me tomber sur le poignet et l'avant bras. Ma douche commençait. J'essayais de bien essorer cette bite, que tout son jus finisse sur moi.
Elle se retira rapidement, aussitôt remplacée par une autre.
Elle ne devait pas être très propre car elle sentait fort la sueur et la pisse. Je la branlais lentement en faisant des mouvements amples.
Celle de ma bouche commença à vibrer et à enfler un peu plus ; annonce d'une explosion proche. Le mec se recula un peu et me balança son jus en plein visage. Il m'atteint en plein front puis de plus en plus au fil des giclées. La dernière atterrit sur ma poitrine.
La queue à ma droite se retira sans avoir joui. Je crois qu'elle prit la place laisser libre dans ma bouche tant celle qui se présenta était trempée. En quelques va et viens, elle explosa, me couvrant à son tour d'un sperme chaud et abondant. Si elles sont toutes aussi prodigues, je vais finir recouverte, ruisselante comme le voulait mon maitre. Et comme moi, j'ai envie de l'être. J'ai beaucoup fantasmé sur les vidéos ou images de bukkaké. Ma queue essayait de gonfler, de bander sans résultat, la cage l'en empêchant. Mon plaisir était seulement cérébral. J'espère que mon maitre fera des photos pendant et après la séance.
Les queues se succédèrent toute la soirée. Rare furent les moments ou un trou n'était pas occupés. Jamais ma bouche ne fut délaissée plus de quelques secondes. Le temps pour une queue d'être remplacée par une autre. Je ruisselais de sperme. L'odeur dans cet espace réduit devait être impressionnante, moi je ne m'en rendais pas compte, tellement mes sens étaient imprégnés de sperme, si j'ose dire. Mes mâchoires commençaient à devenir douloureuses. Et les queues continuaient à se succéder. Je n'en pouvais plus de les accueillir dans ma bouche. Je ne sais pas combien j'en ai sucé. Mais même si j'ai envie d'en avoir encore, ma bouche se rebelle. Elle devient de plus en plus passive. J'ai l'impression d'avoir les lèvres enflées, des lèvres de suceuses (ce qui est bien le cas...)
la queue qui vient de se retirer n'est pas remplacer. Je souffle. Un flash passe à travers le bandeau. On me prend en photo par le trou situé en fac e de moi. J'entends la porte s'ouvrir.
" -tu es dégueulasse, salope. Tu ne peux pas rentrer chez toi comme ca. Enlèves le coussin sous tes genoux. Tiens-toi droite, les bras le long du corps ! "
J'obtempérais et attendis.
Un premier jet de liquide m'atteint sur le coté droit, suivi immédiatement d'un autre du coté gauche. Mon visage et mon dos ne tardèrent pas à subir le même sort. A l'odeur, je compris que quatre mecs étaient en train de me pisser dessus. J'aperçus encore quelques éclairs de flash. Comme pour m'offrir leurs queues à sucer, ils se relayèrent. J'étais vraiment trempé.
Au bout d'un temps que je n'ai pu estimer, les flots s'arrêtèrent. Mon maitre m'ordonna d'enlever mon bandeau. Mes yeux eurent du ma l à s'habituer à la lumière.
" - détaches la chaine de ton collier, salope ! "
il me jeta une serviette.
" essuies toi et rhabilles toi. Ta soirée est finie. Tu gardes les bracelets, le collier et la cage, bien sur.
Donnes moi ton numéro de portable que je puisse te convoquer !"
" - c'est le 06.xx.xx.xx.xx. "
" Parfait. Je vais me faire des couilles en or en te faisant vider des couilles. Tu es une bonne salope, un aspirateur à foutre, je vais te faire devenir un trou à bites, un centre d'accueil pour mecs en manque ! "
" - tu sais combien de bites ont visités ta bouche, salope ? Plus de 60 ! La prochaine fois, je ferais peut être la même chose avec ton cul. Tu imagines sa taille après 60 enculades ??? "
Aussi inquiétant que cela puisse être, l'idée me créait mes picotements dans la queue et le scrotum. . 60 queues à la chaine dans un cul, je doute qu'il résiste.
" Allez, on ferme. Rentres chez toi. Je t'appellerais bientôt. "
Je sortis du sex-shop. A cette heure, je ne risquais pas de rencontrer grand monde. Puant comme je devais l'être, c'était aussi bien.
Arrivé chez moi, je jetais mes affaires dans la machine à laver et me précipitais sous la douche. Je me lavais les cheveux et le corps plusieurs fois et malgré cela, je trouvais que je puais encore. J'étais crevé alors je me couchais comme ca.
Mes dernières pensées furent : " qu'allait inventer mon maitre pour notre prochaine rencontre ???? ". Puis je plongeais dans un sommeil profond.
nelly37tv
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