Les 3 petits (gros vieux) cochons
J'ai 30 ans.
Me promenant dans les bois, j'arrivai dans une clairière.
3 maisons apparurent.
Je savais qu'elles étaient toutes les 3 habitées par des petits cochons (ou plutôt gros cochons pervers...)
La première en paille.
Je m'approchai et proférai:
"Je vais souffler, souffler, et ta maison va s'envoler! Ensuite, je vais te sucer!..."
Alors je soufflai et soufflai... Et la maison s'envola.
Mais alors que je m'approchai du petit (vieux gros) cochon qui l'habitait, celui ci s'enfuit, et se sauva dans la suivante...
La deuxième en bois.
Je m'approchai et proférai:
"Je vais souffler, souffler, et ta maison va s'envoler! Ensuite je vais te sucer!..."
Alors je soufflai et soufflai... Et la maison s'envola.
Mais alors que je m'approchai, les 2 petits (vieux gros) cochons s'enfuirent, et se sauvèrent dans la suivante...
La 3 ème en briques.
Je m'approchai et proférai:
"Je vais souffler, souffler, et ta maison va s'envoler! Ensuite je vais te sucer!..."
Alors je soufflai, soufflai... Et la maison... ne bougea pas...
Alors je soufflai, soufflai à nouveau... Rien...
Le temps sembla s'arrêter.
Je soufflai, et soufflai à nouveau: rien!
Je sentis une saisie sur ma main droite, puis gauche, et une main sur ma nuque, tout cela me guida vers cette maison en briques.
On me força à entrer.
Je sentis des liens rapprocher mes deux mains, puis on me guida pour me mettre à genoux.
Pris de panique, j'arumentai:
"Oh, doucement, je ne faisais que plaisanter, il ne fallait mal le pren..."
Mais je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase, un objet chaud et à la fois tendre et dur força l'entrer de ma bouche...
J'essayai un geste de recul, mais une main ferme me retint, et me guida pour aider cet objet à pénétrer ma bouche...
Puis la réalité me frappa, ainsi qu'une main déterminée...
Je pris conscience qu'une bite épaisse et déterminée était en train de me labourer la bouche.
En un instant j'eus un réflexe de recul, mais cette même main me maintint, je je ne sus trouver d'autre refuge que de me laisser faire.
Elle entreprit dont de me baiser la bouche, et je dois bien l'avouer, je commençai à me prendre au jeu.
Un aller-retour, puis, deux, puis trois... La cadence se maintint, et je pris conscience pue à peu que ma bouche était devenue une source de plaisir.
Le gros cochon s'en donnait à coeur joie!
Et vas-y que je te baise la bouche!
Et vas-y que je te mets des petites tapes avec la bite sur le visage!
Et vas-y que j'aime me faire prendre la bouche comme si j'étais une innocente effarouchée...
Bref, je me faisais baiser la bouche, et ça m'excitait... Mais en tant que mâle, il ne fallait pas le montrer.
Et plus je résistais, plus on me forçait et plus ça m'excitait!
Voilà, on y est!
Le plus profond de mes fantasmes!
Moi qui ai l'habitude de baiser des femmes, me voila à leur place!
Je prends une belle tige bien raide dans la bouche et compte tenu de la vigueur de son propriétaire, il compte bien ne pas en rester là.
Et je dois bien admettre en secret que c'est mon fantasme le plus cher!
Ma vie est tellement plate, qu'elle me conduit à venir ici échanger des fantasmes qui sont tellement éloignés de mes pratiques habituelles que j'en fonds littéralement de plaisir!
En gros, un viol consenti serait mon plus gros fantasme.
Et en tant qu'homme, je sais très bien que ce genre de chose se perçoit, et mon bourreau ne tarde pas à le ressentir.
Tout en me baisant la bouche, je l'entends marmonner:
"hummmmm... elle aime la bite, on va se régaler..."
Je fais mine de protester, cela l'encourage!
Il approfondit son geste, et j'avoue que j'applique le mien en happant son membre de bas en haut.
Un gémissement m'encourage.
"hummmmmmmmmm.... ohhhhh......."
Son plaisir m'excite.
Je ne saurais dire pourquoi, mais mon plaisir est directement lié à celui que prend l'actif qui me baise.
Plus il gémit dans ma bouche, plus ça m'excite.
Il le sent, et notre complicité s'intensifie.
Il en prend conscience, et décide d'en profiter.
Pourquoi s'en priver, puisque notre plaisir mutuel converge dans le même sens....
A genoux devant lui, tandis qu'il baise ma bouche, sa main vient claquer gentiment mon fessier.
Puis, je sens d'autres mains se joindre à la petite fête...
Les petits cochons que je menaçais de mes fantasmes, étaient maintenant prêts à se venger!
Mes fesses tremblaient, et étaient excitées en même temps.
Les commentaires fusaient:
"Alors ma salope, on dirait que t'avais faim..."
"T'inquiète pas, on va bien s'occuper de toi"...
A peine eu-t-il fini sa phrase, j'eu un geste de recul, mais on me retint, et me claqua les fesses encore plus fort, ce qui eut l'effet de me faire gémir encore plus et d'encourager mes bourreaux.
Sans expérience, j'eus quand même un réflexe de surprise, mais pas eux, et leur assurance me rassura.
J'étais vraiment la petite pute du moment, et lorsque la confiance fut établie, ça m'excitait vraiment!
Je me laissai donc baiser, et ils s'en donnèrent à coeur joie!
En fait, j'avais toujours fantasmé sur le fait de passer de l' "autre côté du miroir", et d'être la salope soumise" que je baisais dans mes fantasmes.
Comment ça quels fantasmes?...
Cookies91000
