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Boulanger -2
Lisez le texte " Boulanger " de la semaine dernière puis revenez à celui-ci qui en est la suite.
Mon patron boulanger m'avait initié à une certaine forme de relation entre hommes. Mais cela allait évoluer. Cet homme était marié et père d'enfants déjà adultes. Il vivait seul la plupart du temps. Sa femme habitait seule à quelques km de la boulangerie et venait voir de temps en temps son mari, le boulanger. Un jour il lui a demandée de rester dormir, de passer la nuit avec lui. Tu peux rester là, ça ne va pas nous gêner, si ça ne te gêne pas. Et je me suis couché sur une couverture dans un coin du fournil, à l'abri du regard du lit où ils devaient se coucher.
J'étais fatigué et je me suis vite endormi. Mais j'ai été réveillé par des plaintes, des gémissements, des râles. Pa s de doute, cela venait du lit et en soulevant de mon couchage j'ai vu ce qu'ils faisaient, à la lueur d'une chandelle. Au moment où j'ai regardé, mon patron était debout et sa femme était à genoux et il lui avait mis son gros sexe dans la bouche. Il lui tenait la tête et avait les yeux fermés. Il lui disait : " pompe, salope, pompe ! " Il bandait fort. Il ajouta : " J'en connais un que tu vas pomper aussi. Je vais le chercher ". Je me suis caché sous ma couverture. Il m'a secoué et tiré par un bras. Je me suis levé et me suis retrouvé dans sa femme qui ne semblait pas surprise. Moi à 18 ans je ne savais plus quoi faire. Je n'ai rien fait. Elle a baissé mon pyja-short. Elle m'a fait mettre à quatre pattes. Elle a passé sa tête sous mon ventre et elle a pris ma queue dans sa bouche et m'a sucé, sans attendre. Son mari est venu devant moi et m'a donné sa queue à sucer, sans rien dire. Je l'ai sucé mais j'avais des sensations qui venaient de ma bouche et de ma queue. Sa femme me suçait mais maintenant me caressait les fesses qu'elle écartait. Elle m'a touché l'anus et a commencé à y entrer un doigt. Son mari lui a tendu un paquet. C'était du beurre. Elle s'enduisait les doigts de beurre et entrait dans mon anus. C'était de suite bon. Là j'étais perdu. Tout était bon. Elle a arrêté de me sucer pour s'occuper de mes fesses et de mon anus. Lui a retiré sa queue de ma bouche et est venu près de sa femme qui me travaillait l'anus en y entrant deux puis trois doigts, ce qui me faisait un peu mal...mais j'aimais me laisser faire. Il dit à sa femme : " Passe-moi le beurre " et en regardant vers l'arrière j'ai vu mon patron s'enduire sa queue de beurre fondu. Il m'a entré deux doigts enduits de beurre dans l'anus. Et il m'a dit : " ça va aller " et il m'a pénétré directement, sans retenue. J'ai poussé un cri de douleur et de surprise. Il me poussait en avant mais j'étais retenu par sa femme contre laque!
lle butait ma tête posée sur sa grosse poitrine. " Baise le fort " dit-elle à son mari, " dépucelle-le ! ". Et mon patron s'enfonçait en moi. J'avais les larmes aux yeux et je sentais sa queue progressé au fond de moi. Il m'a tenu ainsi quelques minutes puis m'a couché et s'est étendu sur moi. Il allait et venait et m'écrasait de ses 90 kg. Au bout d'un moment, il a accéléré ses mouvements sous les encouragements de sa femme : " Vas-y ! Vas-y ! Engrosse-le ! " et tout d'un coup il s'est redressé et à grogné sourdement et j'ai senti ses spasmes. Il éjaculait en moi, longuement, il me remplissait, il me fécondait et m'engrossais, en me traitant de petite pute, de chienne et de femelle en chaleur. Je me sentais tout cela, c'était vrai. Il est resté un bon moment sur moi, sa queue dans mon ventre, toujours bien grosse. Il s'est retiré et a roulé sur le côté. Immédiatement sa femme est venue sucer sa queue en gémissant : " Elle est bonne " puis elle m'a écarté les fesses et m'a léché " la chatte " comme elle disait en récupérant le sperme de son mari qui s'en écoulait.
C'est comme cela que je me suis fait baiser pour la première fois et que j'ai commencé à ressentir du plaisir avec un homme. Mon patron boulanger m'a souvent baisé durant cet été. Sa femme n'est plus revenue. Il m'a dit qu'il préférait m'avoir à lui tout seul et n'avoir qu'une femelle à la fois à baiser, c'est-à-dire Moi !
pierre