Épisode précédent
Un papa velu -2
La porte s'ouvre et il apparaît au travers de l encadrement : un homme digne de ce nom, il est imposant et carré, musclé sans trop l'être habillé avec un débardeur très échancré laissant dépasser une forêt de poils bien noirs et drus, des avants bras puissants et poilus, un visage doux mais carré habillé d'une belle barbe et des cheveux devenant légèrement poivre et sel.
"Salut, tu as trouvé facilement?
- euh... Oui j ai cru que tu m'avais filé une mauvaise adresse car pas de réponse
- tu vas comprendre pourquoi ! Je correspond aux photos ? Tu veux monter ?
- bien sur, tu es très beau
- alors viens, ne reste pas dans la rue"
Je le suis dans l'allée de l'immeuble jusqu'à l'ascenseur. Nous entrons dedans. Il est petit et nous allons être serré a mon plus grand plaisir.
"Tu voulais un gars poilu, je crois que tu vas être servi
- oui j'ai l'impression quand je vois ce qui déborde du débardeur"
Il rigole et me dit :
"Et encore, tu as pas tout vu"
Il me prend la tête et vient la poser sur le haut de son torse me retrouvant le nez et la bouche dans ses poils. Ma bite est déjà tendue a son maximum. Je respire à fond pour mémoriser et garder son odeur de mâle. Je ne peux m'empêcher de sortir la langue pour les goûter
Il me remonte la tête et vient me rouler une pelle dont je me souviendrai longtemps. Sa langue me fouille entièrement la bouche. Je commence déjà a gémir. Il a une emprise naturelle sur moi, il pourrait me demander tout ce qu'il veut je le ferai.
L'ascenseur continue de monter et ses mains commencent a venir me tâter de partout glissant sur mes quelques vêtements. Il semble apprécier le look et le gars que je suis.
Il me bloque dans ses bras ce qui me permet de sentir toute sa force et son corps puissant contre le mien.
N'ayant qu'un short et un débardeur, ma peau se retrouve en contact avec la sienne et cela l'électrique encore plus.
Il pousse aussi quelques grognements de satisfaction quand l'ascenseur s'arrête. Je ne sais quel étage nous sommes mais il se recule et ôte son débardeur. Je crois rêver : il est vraiment aussi poilu qu' il l'avait dit : tellement que je ne vois pas ses tétons, son torse n'est qu'une affolante toison de poils noirs.
J'en reste bouche bée et ma queue dressée comme jamais dans mon short si petit. Il me fait perler rien qu'en le regardant. Le paradis existe, j'y suis.
T'es aussi un gars bien poilu, fais signe ;-)
Hairy Dad & Son