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Etrennes et etreintes pour l'avenir -2
Le 1er Janvier, après s'être mutuellement, mais discrètement, dragués et séduits dans un restaurant de PRIVAS, Pierre (38 ans) et Julien (la moitié) sont partis en voiture en direction de LYON. Il firent escale dans un hôtel de TAIN l'HERMITAGE où, arrivés vers 17heures, ils se désapèrent l'un l'autre dans leur chambre avant, en slips tendus, de gagner le grand lit.
Un " ERMITAGE " à DEUX (suite)
Emu et intimidé, novice aussi car c'était la première fois que je allais partager un lit avec un homme,
je laissai les initiatives à mon beau quadra ..... d'autant qu'il me murmura une seconde fois " abandonne-toi, jeune ami ".
Jambes entrelacées, calinant le visage, la nuque et la chevelure de notre vis-à-vis, nous avons repris les baisers déjà échangés debout, nous embrassant lascivement, mêlant tendrement nos langues et nos salives, nous souriant entre deux prises de lèvres. Quel bonheur partagé, surtout pour moi qui n'avait connu que des bécots et des pelles dépourvus de douceur et d'amour véritable !!!
Se portant délicatement sur moi, le devant de son slip frottant adorablement celui du mien, nous avons ondulé lascivement en frissonnant d'aise ..... ensuite de quoi, la bouche de mon cher partenaire quitta la mienne, émit un " Laisse-toi faire ; je veux découvrir ton corps, le faire chanter, t'aimer ", autant de paroles que je n'avais jamais ouïes auparavant.
Il lécha mon cou, puis mon torse, arracha mes gémissements en tétant merveilleusement mes tétons, souleva mes bras pour passer sa langue sur mes aisselles, et, très lentement, descendit vers mon ventre, l'humidifia de sa salive, frotta sa tête et ses lèvres contre mon mini-slip blanc à poche, le fit tressaillir avant d'écarter mes jambes pour exciter mon entre-jambes avec sa chevelure, ses doigts fins et son fluide buccal.
Un cri m'échappa. Alors, tant pour l'étouffer et éviter que je n'alerte tout l'hôtel que pour me donner le luxe de humer les senteurs et déguster la mouille de son dessous en soie, il le retira et le confia à mes mains tremblantes. Inutile de préciser que je me suis aussitôt régalé de ces fumets virils.
Après avoir ôté mon dernier vêtement, Pierre ne me pompa pas comme le firent les garçons ou les filles de mes précédentes aventures. En gourmet, il lubrifia ma hampe et mes couilles, les aspira sans violence, excita " lingualement " mon gland et en susurra la mouille.
Dan la pénombre, nous étions seulement éclairés par les lumières de Noël du pont suspendu sur le Rhône et de TOURNON en l'autre rive.
Je devinais seulement le visage de mon chéri, son dos et le creux de ses reins .... mais cela était tout aussi bien qu'un vision à lumière crue.
Au bonheur de la fellation, s'ajoutaient les délices de ma dégustation du slip de l'ami et cela ne fit qu'accroître mon plaisir, mon bien être et des râles heureusement assourdis par le tissu que je mordillais.
Mes spasmes s'accélérèrent et Pierre ne se détourna pas. Pressant mes cuisses de ses mains, il provoqua mon éclatement final et but mon jus sans en laisser la moindre goutte.
Après une ou deux minutes de repos, il revint sur moi, se déhancha sur mon corps avec sensualité frictionna sa bite à l'aide de la mienne et jouit à son tour en m'embrassant, gémissant contre mes lèvres et tenant mon visage entre ses mains.
Ce fut une très belle " collégienne ".
Pierre n'était pas du style à sauter du lit ou de la voiture en remettant son fute à la va-vite, en se précipitant à la salle de bains ou en quittant précipitamment le lieu de la baise en traitant son partenaire de " sale pédé " ; il aima au contraire, rester auprès de moi, me caliner et m edonner quelques bisous que je lui ai naturellement rendus .... en lui répondant gentiment sur mes tendances très " homo ", les relations très limitées et sans amour par des rencontres dépourvues de suite dans lieux de drague ou des bars.
Il demeura contre mon corps durant une bonne demi-heure, le temps de ne pas cesser nous attouchements, nos caresses et notre dialogue ...... encore qu'il fût fixé sur ma petite personne, la sienne demeurant anonyme.
Le repas du soir, en face de l'hôtel, fut sommaire - vues les agapes du midi de ce nouvel an, celles où nous nous étions séduits - et le retour à notre chambre fut rapide, notre réunion à poil sur la couette tout autant .......
Mais, à la demande du cher Pierre, les rôles furent inversés en regard de notre première communion
Tout aussi sensuel et tendre que lui, j'ai glissé sur son corps allongé à dos -, mais je n'avais pas son art ni son expérience - et je ne me suis pas attardé en léchant ses aisselles, sur ses cuisses et son entre-jambe : j'avais encore quelques tabous !!!
En revanche, je me suis délecté à mordiller ses seins de mâle alors que je n'avais pris de plaisir à m'occuper que de mamelles féminines. Je me suis également complu à sucer, à vénérer buccalement une bite au lieu de l'aspirer goulûment comme je l'avais fait précédemment sans, d'ailleurs, le regretter.
Jusqu'alors les foutres ne m'avaient que partiellement désaltéré et plu : je fus comblé (physiquement et " gastronomiquement ") par la sève d'un amant qui, le premier de ceux que j'avais fait juter, me proposa de dormir dans ses bras.
Volupte