Mon meilleur ami
Cette histoire est purement fictive, que ce soit les personnages, ou les événements.
Je m'appelle Marc, 18 ans, 1m80 , 80 kg, musclé sec, poilu, une barbe naissante, bronzé, les cheveux blond, un peu bouclés et mi-longs, les yeux bleus.
C'était pendant le mois de Juillet. Je passais quelques jours chez mon meilleur ami, que je connaissais depuis la maternelle. On avait noué une complicité si proche qu'elle en était parfois ambigüe. On parlait ouvertement de sexe, regardait ensemble des vidéos pornos, et quelques fois même, se branlait ensemble, mais jamais mutuellement, ni quoi que ce soit d'autre.
On avait décidé d'aller à la piscine. En préparant mon sac, je me suis aperçu que je n'avais plus de caleçon. Je luis ai fait remarqué :
- Merde, j'ai plus de caleçon ! Ils sont tous sales, il y en a même un qui est plein de sperme.
- T'inquiète, je vais t'en passer un, j'en ai plein, et en plus, je sais que tu les kiffes, me dit-il avec son sourire malicieux et angeleur qui me faisait craquer.
Car oui, je suis homo et amoureux de mon meilleur ami, et dans les 2 cas, il ne le sait pas. En plus, c'est vrai que dans ses caleçons Calvin Klein, qui moulait parfaitement sa superbe belle bite, il est trop canon, plus musclé que moi, plus barbu et poilu, et bien plus bronzé surtout, ce qui noircissait encore plus ses poils. J'ai donc pris le caleçon en le remerciant d'un sourire plein d'envie et de désir, et nous sommes partis. En arrivant, on a bien vite remarqué le monde, et manque de chance (ou plutôt quelle chance pour moi !), il ne restait plus qu'une seule cabine pour nous 2. L'ayant trouvé en premier, je m'apprêtai à la lui céder et à en chercher une autre, quand il m'a gentiment proposé de la partager avec moi. D'un naturel plus pudique que lui, qui était très exhibisionniste et n'hésitais pas à se balader chez lui en caleçon voire complètement à poils, pour mon plus grand plaisir, à chaque fois que j'étais là, se déhanchant et trémoussant, je refusais, mais il ne l'entendait pas de cette oreille. Il m'a attrapé par le bras, et m'a forcé violemment à revenir en arrière et à rentrer dans la cabine. Je ne résistai pas, étant moins fort, et ayant un peu mal, à cause de sa prise puissante. Et surtout parce que je ne voulais pas. Il m'a laché, et voyant la marque rouge sur mon bras, et ma grimace, m'a demandé si ça allait, ce par quoi j'ai répondu par un timide "oui". J'avais le rouge aux joues, car il était nu, et comme quasiment à chaque fois, il bandait, mais ne s'en apercevait pas. Sa queue était tout ce dont je rêvais : grande, grosse, dure, pulsante, avec un énorme gland violet, où une goutelette de mouille transulicide perlait. On s'est rapidement changés, et on est passés aux douches. Le massage du dos et du torse, passage obligatoire du très pointilleux protocole de la piscine, renforça et ma gêne et mon plaisir, et j'eus un début d'érection, que je calmais rapidement. Je!
partis presqu'au pas de course plonger dans l'eau, comme d'habitude froide, mais très à mon goût pour une fois, calmant mes ardeurs. Après des heures passées à mater son cul galbé, son sexe et ses couilles moulées dans sont caleçon de bain, on est reparti se changer. Et là, sans m'en rendre compte, à la vue de son pénis innocemment en érection, je me suis mis à bander dur. Il le vit et, troublé, me demanda :
- C 'est moi qui te fais un tel effet ?
Je répondis "oui" si doucement que je crus qu'il n'avait pas entendu. Mais si, au contraire. Il me le confirma en empoignant mon sexe, et en me branlant lentement, pendant qu'il m'embrassait. Sa langue tournoyait dans ma bouche au rythme de ses mouvements de va-et-viens, de plus en plus rapides. Ma respiration, s'accélérait, mon souffle chaud était aspiré par sa bouche douce et ses lèvres rouge sang, et dans une contraction du bassin, je jouissait infiniment, 7 longs jets de sperme crémeux et brûlants s'écrasant sur les murs, dans un cri rauque heureusement étouffé, mais difficilement, au point que je dus pour cela me mordre la lèvre. Je n'en pouvais plus, et m'asseyais, les jambes coupées par l'effort. Jamais je n'avais connu un tel orgasme. Mais je voulais lui rendre la pareille, et le branla rapidement, et il juta direct dans ma main, un foutre blanc et épais, chaud et odorant comme le mien. Ne voulant rien gaspiller de ce si précieux et délicieux nectar, je me léchais les doigts et lui nettoya sa teub, comme il aimait l'appeler, tandis qu'il faisait de même avec la mienne. Nous nous rhabillâmes sans même prendre la peine de nous sécher, et partirent, sans se rendre compte que nous avions mis le caleçon de l'autre.
Nous n'en parlâmes pas sur le retour, et dès qu'il fut arrivé, il alla à la salle de musculation. Il revint essoufflé et en sueur, n'ayant pas eu envie de prendre une douche, et s'enferma dans sa salle de bain. Il ne la rouvrit que pour me demander une serviette, qu'il avait oubliée.
- Tu peux rentrer, je suis dans la douche, et il y a le rideau de tiré.
Je rentrai alors, m'apprêtant à poser sa serviette et à repartir. Je stoppainet. Il était là, debout devant moi, nu, le sexe en semi-érection, perdant encore quelques gouttes de sperme, qui s'éparpillaient sur le sol.
- Tu te souviens de tout à l'heure, quand tu m'a léché la queue ? Je veux que tu le refasses.
J'étais rouge de honte et d'excitation, et mon caleçon moulant ne cachait rien de ma vive érection.
- C'était un coup comme ça, sans importance, dans le feu de l'action. J'étais comme bourré, mais ça ne se reproduira plus. Essuie-toi et me fais plus chier avec ce genre de connerie.
Il vit rouge. Il ne me frappa pas, mais m'attrapa violemment, et me coinca la tête entre ses jambes, la bouche pile en face de sa bite qui avait repris du volume, et de ses grosses couilles velues et pendantes.
-T'as pas compris, tu m'obéis et tu me suces !
Accompagnement le geste à la parole, il m'enfourna sa teub dans la bouche en grognant de plaisir. Une gorge profonde qui me faisait goûter à tout son merveilleux sexe. Sauf que...la porte s'ouvrit brutalement...
Marc