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Très futé de ma part d'avoir à ce point froissé mes fringues et trempé mon ventre !...
Je me débrouille comme je peux avec mes doigts et des feuilles, et essaie de me rendre présentable (tu parles !). Je rejoins la place et le bal : encore plus de monde, il me semble. Mat' est assis et discute en partageant un joint avec un inconnu. Je les rejoins. En m'entendant Mat' explose de rire et dit à mon oreille que Yann vient sûrement de me défoncer la gorge vu ma voix... Sophie danse avec une copine. Je tire une latte, j'observe. Les deux gars sont au platine : JB me capte et m'envoie un signe avec son pouce genre " super ! ". Yann réapparaît de dessous l'autre parc avec une fille au bras, la fille de tout à l'heure : ok ok... Me voyant, il la laisse sur la piste et va voir les deux jeunes. Je peux lire la joie sur leurs visages, Yann se marre, et les trois me regardent avec la banane. Puis Yann me rejoint, s'informe. Il me parle un peu d'eux aussi, des " gars super sympas et courageux " ; c'est à un bal comme celui-là qu'il leur a permis de se dépuceler avec une fille facile quelques années plus tôt. Il savait que leurs engins me plairaient... Puis un autre mec arrive et discute avec Yann.
Le temps passe mais Jeannot me fait un grand 5 avec la main. Je file au rendez-vous. Ils arrivent presque de suite, et j'ai droit à une magnifique pelle à 3 : ils baissent leurs shorts en même temps et leurs gros dards surgissent en pleine forme déjà. Je propose un bouffage de cul et ils s'installent à genoux sur le banc le cul en buse. Je me délecte des deux, Jeannot découvre ce plaisir qui le fait chavirer, pendant que je caresse la raie de JB. J'alterne au moins un quart d'heure ; du coup il n'en reste plus qu'un (prise de conscience affolée de Jeannot). En une minute je suis à poil, à 4 pattes par terre, et mes jeunes mâles, jambes fléchies et écartées me bourrent les trous à grands renforts de " hmmm ", de " salope ! ". Ils assurent, sont vraiment bien gaulés et je prends un méga pied ! Là encore ils alternent, mais Jeannot promet que je goûterai à son jus cette fois. Il vient me fourrer a bouche, tenant ma tête à deux mains ; je me branle et jouis en sentant à quel point son canal gonfle pour décharger, et les jets fusent contre mes joues et ma langue. JB ne peut se retenir à ce spectacle et me " féconde la chatte " à grands coups de reins. Ils récupèrent un peu, fixent rendez-vous encore dans une heure (" ils pourraient me baiser toute la nuit vu comme j'assure ! ") ; Jeannot renfile son short et file, JB se fait nettoyer la queue, manifeste une envie de pisser. Je lui demande si je peux lui tenir ; il répond " ben ouais... " tout amusé. Je l'embrasse et lui pelote les fesses, sa lourde queue dans ma main, et il envoie une vraie inondation de pisse contre les racines d'un arbre. Il me dit de lécher le gland quand il a fini, dit " cool ! " quand j'obéis, puis se rhabille et détale. Je reste à 4 pattes, éjecte son jus de mon cul, puis me rhabille et rejoins la place. Mat' est toujours là, mais seul.
- T'arrêtes pas de tourner toi ? tu t'emmerdes ?
- Ah non, du tout...
- Moi un peu, Sophie adore danser, et en plus deux copines viennent d'arriver.
- Ah oui je les vois.
- Tu voudrais pas me sucer en vitesse ?
- Mat', tu sais bien que je peux te sucer tout le temps...
- Hmmm, je t'adore, me murmure-t-il à l'oreille. On y va ?
- Attends t'as pas sauté Sophie ?
- Tu nous as vus ?
- Ouais.
- Et alors ?
- Ben tu t'es rincé ?
- Ah tu veux pas de goût de chatte toi, dit-il en riant.
- Ah nan, pas vraiment...
- Ok, ok.
Il se lève, part aux toilettes et on s'éclipse vers les arbres. Il trouve un coin parfait, entouré de buissons d'où, debout, il peut voir. Je suis aussitôt à genoux et il dézippe son bermuda.
- ah, ouais... toi t'aimes vraiment sucer une bite, ça se voit... hmmm putain, c'est quand même meilleur...
- Sophie aime pas te sucer ?
- Elle a pas si faim que toi... hmmm, ah ouais lèche comme ça ! putain sur le frein, tu sais que je kiffe... ouais, punaise t'as de ces yeux !
- C'est la lune qui fait ça.
- Ou d'avoir une bite à sucer, répond-il en riant.
- Mat' tu me donnes un peu ton cul à lécher ?
- Ouais mais pas trop longtemps hein ?
- T'inquiète, un ptit peu et je te purge.
- Mais tu vas avoir des herbes plein les cheveux !
- C'est rien, j'ai vraiment envie de te le lécher...
- Ok... tiens régale-toi, dit-il en se posant à la turque sur ma tête déjà toute prête au sol.
Encadré par ses pieds à mes épaules, une vue parfaite sur ses couilles et sa bite qu'il branle doucement, je me fais un festin de son ptit trou de blond. Il lâche sa queue et se met à se marrer :
- On me verrait c'est comme si j'étais en train de chier !
- Ouais ben évite !
- Putain que c'est bon ça aussi ! comment tu me le bouffes !
- J'adore hmmm
- Ouais...ah ! putain ouais, vas-y !
Il a écarté encore plus que moi ses fesses et ma langue est entrée à moitié. Il gémit, gémit, il donne vraiment son trou à ma langue. Mais il se relève : " putain je pourrais déjà juter comme ça ! ". On se remet en position et je le suce. Il se finit en me prenant la tête et envoie une bonne de " purée de Mat' " dans mon gosier. " Et puis ça fera passer le mal de gorge hein ! " ajoute-t-il en se marrant, pendant que je nettoie. Je ris, m'étouffe, et sors sa bite. On s'embrasse, il remonte son bermuda et on rejoint le bal.
Sophie étant assise avec des copines il y va et je vais voir mes deux mâles aux platines. J'ai envie de les chauffer. Ils m'accueillent entre eux avec un grand sourire ; on échange des compliments, ça suffit à les faire bander à ce que je vois discrètement. Je leur parle du goût de leur jus, du goût de leur cul, de la beauté de leur bite ; ils me disent qu'il n'y aurait pas plus heureux qu'eux s'ils m'avaient sous la main pour leur vider les couilles... Je glisse à l'oreille de Jeannot, puis de JB que j'ai envie d'une double avec eux. Je vois JB déglutir à s'en étouffer, Jeannot est stupéfait, et comme s'il y était déjà, il dit " oh putain le trip ! ". Vu la proposition, les plans changent : ils me proposent de finir la nuit chez JB qui habite à 100m. Mes mains palpent leurs bites en acier, et je leur dis qu'ils auront une bonne salope au pieu s'ils peuvent me ramener chez Yann demain. Marché conclu : JB rentre dans le bar négocier, et revient nous dire que dans une heure le patron veut bien les lâcher, ils seront remplacés.
Je pars avertir Mat' en douce ; il fronce d'abord les sourcils, me fait désigner les gars et se radoucit en me disant à l'oreille :
- T'es quand même incroyable, toi ! tu pars à quelle heure demain ?
- Après manger, je pense, pour arriver là-bas le soir.
- Tu vas être bien crevé !
- J'ai très envie ; ils sont mimis !
- Oui tu crains rien avec eux... bon ben je descendrai manger à la maison...
- Et je te ferai une bonne pipe.
- Ca roule ma poule ! trouve Yann pour lui dire.
Mais Yann a disparu. Je cherche un peu, vais dans le parc de droite, et bingo ! un peu plus loin j'entends un couple baiser à grand bruit : je distingue entre des couinements de meuf, la voix de Yann " Vas-y ma cochonne, exprime-toi ! tiens ! mange ! tiens, avec un doigt dans le cul, c'est bon, hein ? " ; je m'approche et j'admire : il la démonte méchamment debout, son short aux genoux, son tee-shirt derrière la nuque ; elle je ne vois que ses jambes, il a carrément relevé sa jupe longue à l'envers, et elle a la tête dedans. Il la fesse d'une main quand il ne l'attire pas à lui par la taille, et son autre main est entre ses fesses. Elle n'arrête pas de gueuler, mais ça n'empêche pas Yann d'entendre la branche que je casse du pied. Il me reconnaît, me fait signe d'approcher. Je ne suis plus qu'à 3m. Il me fait signe de me branler, accumule les coups de langue obscènes et la couvre d'insultes, et je pense à ses cris qu'elle va décoller grave ! Explication : " voilààààà, mon gros pouce dans le cul, ça te plaît, hein ? allez jouis ma connasse ! jouis ! ". Il lui branle le cul tout en continuant de la tringler, me regarde me branler comme un fou. Ca y est elle jouit, ses cris font peur ! " ouaiiiis ! jouis sur ma grosse bite, bieeeenn ! ". Ses jambes tremblent, elle s'effondre à genoux, mais Yann ne la lâche pas, s'agenouille et lui remet bite et pouce, lui tirant un second orgasme. Mon cul palpite tout seul, je jute fort. Yann regarde bien comme je me tords, ne me quitte pas des yeux en fourrant encore plus fort, et jouis comme un taré : la tête de la pauvre fille, que je devine sous ses jupes, va bientôt forer le sol ! Après une dizaine de violentes secousses, Yann sort, se relève (tiens il avait une capote !), lance un " t'as une sacrée bonne chatte ! " et vient dans ma direction. Il me prend par le bras et on s'enfonce dans le noir. La fille n'a pas encore bougé... Il m'embrasse tout haletant : " elle m'a sacrément essoré celle-là ! ; mais je t'ai tout gardé tu vois. Il bande encore et la capote a le réservoir plein. Je m'agenouille, il retire précautionneusement la capote jusqu'au gland, je suis bouche grande ouverte ; " voilàààà, mange tant que c'est chaud ! ", et il tire un peu sur la capote, et son foutre coule jusqu'à ma bouche (déjà un peu tiède, mais bon), puis il la vire et je gobe le gland à nettoyer, aspire les dernières gouttes en le regardant. Il me caresse la tête en me chuchotant " bon bébé, ça, c'est bien ". Je ne lâche sa bite que quand il débande, le remballe dans son short et remonte à sa bouche pour une longue pelle tendre.
- Je vais finir la nuit chez JB
- Avec Jeannot aussi ?
- Ouais
- Je m'en doutais ! t'es incroyable !
- Mathieu a dit pareil !
- Tu lui as dit ? il boude pas ?
- Non, nickel !
- Bon, tu vas bien t'amuser avec eux ; ils te ramènent ?
- Ouais, demain matin, pas tard je pense parce que je compte décoller pour la Creuse après le repas.
- Ok, je ferai l'aller-retour pour te dire au revoir.
On arrive sur la place et on rejoint le groupe où se trouvent Mat' et Sophie. Nouveau joint. Bon petit moment et dernière bière. Je jette toujours un oeil à mes deux jeunes taureaux.
mike
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