Été torride en voiture
Bonjour à tous, je vais vous raconter une histoire qui m'est arrivé il y a trois ans.
C'était durant l'été 2011, j'avais 23 ans et j'étais célibataire depuis un petit moment. Quelques rencontres autour d'un verre de temps en temps, mais sans plus. Je discutais sur le net avec un mec depuis quelques jours, plus âgé que moi, 28 ans, il bossait la journée, donc une rencontre n'était possible qu'en soirée.
Ne pouvant recevoir chez moi, et préférant aller sur un terrain neutre pour une première rencontre, nous nous sommes retrouvé à la tombée de la nuit sur le parking d'un mac do tranquille. Je partais pour une rencontre sans prise de tête et sans arrière pensée.
Arrivée sur le parking, je suis monté dans sa voiture, me suis mis à l'aise et nous avons commencé à discuter. Un peu de musique, un gars sympa, nous n'avons pas vu l'heure passer et le parking à fini par se vider. De fil en aiguille, nous nous sommes détendu et il a commencer à "voir si j'étais chatouilleux". Craignant beaucoup les chatouilles, je lui ai tenu les mains.
Cela n'a pas manqué, il m'a regardé dans les yeux, et m'a embrassé. J'étais un peu déboussolé par sa réaction, mais j'y ai pris du plaisir et me suis laissé aller. Il embrassait divinement bien, nos baisers étaient sensuels et sexuels à la fois. Nous avons passé un long moment à nous rouler des patins, et puis sa main à glisser sous mon tee-shirt. Il a commencer à me caresser, puis m'a inviter à me mettre torse nu. Pudique de nature, j'ai d'abord hésité, puis j'ai cédé, excité par ce mec viril et plus âgé, un peu autoritaire, et terriblement excitant.
Il a commencer à me lécher les tétons, pendant que sa main descendait vers mon pantalon. Nous étions dans un coin tranquille du parking, pas de lumière directe sur la voiture, nous étions donc un peu à l'abri des regards. Sans que j'ai le temps de réaliser, il a sortie ma queue de mon pantalon, déjà bien durcie, 19 cm que je lui dévoilais maintenant, ma pudeur envolée. Lui resta habillé, s'occupant seulement de moi. Il commença à faire des vas et vient avec ma queue, me branlant lentement. Je prenais mon pied, poussé par l'excitation de la situation.
Soudain, nous avons entendu du bruit, 3 racailles qui passaient par là. Les sièges étant en mode couchette, nous nous sommes immobilisé pour ne pas nous faire repérer. Le stress était là, rendant la chose encore plus excitante. Une fois le "danger" écarté, il a recommencé à me branler en m'embrassant. Les heures s'était déjà bien écoulée, et mon excitation ne tenant plus, je l'ai prévenu "si tu continu, je vais juter".
Ces mots ont suffit à faire accélérer sa main, me branlant et m'embrassant avec toujours plus de passion. J'ai fini par cracher plusieurs jets de foutre sur mon torse. Affaire faite. J'étais épuisé. Le jour pointant, je me suis essuyé, l'ai embrassé une dernière fois et je suis rentré chez moi.
Nous nous sommes fréquenté pendant un mois, quasiment toujours le soir et dans sa voiture, de façon toujours aussi intense, dans des lieux avec du passage, risquant à chaque instant de nous faire choper. Plusieurs fois, garé à coté d'autres voitures, tard dans la nuit, nous avons faillit nous faire capter, une fois par des flics, les autres fois par des fêtards venu récupérer leur véhicule.
Cette histoire est vraie, et j'ai passé un été des plus agréables, sans prise de tête, que du bon temps et de l'excitation.
lap
lapinou3317@hotmail.fr
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