Moi c'est victor,
J'avais 18 ans, et j'allais au lycée à Bordeaux, je me sentais assez beau garçon, grand, brun aux yeux verts, et j'avais, je crois en toute modestie, le sens de l'esthétisme, de la mode et du bon gout, tout pour faire carrément craquer les vioques aux cheveux grisonnants, du genre professeur, proche de la retraite , parce qu'après tout, on ne choisit pas ce genre de métier par hasard, hein...il y a quand même une certaine attirance pour la jeunesse, sous couvert de l'éducation et de la rigueur.
Aussi, j'aime assez faire des rencontres sur internet, plutôt plan vite fait, et proche de chez moi, mais mon truc, moi, c'est de ne pas choisir les jeunes de mon âge, et les profils qui me ressemblent, mais plutôt de me tourner vers les quadras, voir quinquas, et de faire ma sélection dans cette zone là. Allez savoir pourquoi... je trouve cela plus original pour baiser, en plus je suis à peu près sûr que le mec, je ne le dégouterai pas, voyez ? C'est que j'ai l'impression d'être beau et un peu supérieur avec les vieux, alors qu'avec les jeunes, je me trouve juste normal, et il faut que je fasse des efforts de présentation, etc, alors qu'avec les vieux, ils sont contents quelque soient mes efforts, ils ne sont pas timides et bandent toujours comme des poneys. Voilà, je crois j'aime un peu le pouvoir de séduction que j'ai sur eux, et le côté un peu pervers de la rencontre. Et aussi, c'est vrai que souvent, les vieux ont quand même des grosses bites bien larges, et j'aime sucer, c'est quand même l'une des grandes passions de ma vie.
Enfin bref, pour ceux qui sont déjà en train de se toucher, je vais bientôt commencer la partie cul, vous voyez, histoire de faire monter la température.
Donc, je suis sur un site de rencontre gay, oui parce que j'suis gay, bien gay, mon dieu, et donc je fais des recherches ciblées sur les quadras, quinquas de ma région, et je tombe sur Bernard, 56 ans, un peu gros, mais pas trop, sur sa photo, il est en bermuda, un peu sportif, un peu petit, un peu binoclard, mais sympa, parce qu'y en a , ils me font un peu peur, hein, vous savez les gros baraqués à tatouage avec piercing et string, du genre SM, avec un regard de fou, ou je sais pas quoi. Enfin bref, le mec plutôt lambda, un peu ploukos, rien de louche, à priori, sur son profil, il met qu'il a une grosse teub avec gros gland, et il est passif...Parfait !
Il me dit qu'il est prof de maths, je sais plus où, genre dans un lycée professionnel avec des jeunes pas vraiment faciles. Bon je lui dis qu'il pourrait me donner des cours de rattrapage gratuitement, en tout bien tout honneur, comme j'ai quand même de grosses lacunes en maths, et que ça pourrait me faire économiser 20 balles de l'heure avec un matheux à la con, du genre 4e année de pharmacie.
Donc on se donne rendez-vous, à un rond-point près de chez lui, pour travailler sérieusement, vraiment, sans aller plus loin, et puis voilà qu'il arrive en petite voiture blanche, et en pentalon blanc, je monte et puis au bout de quelques rues, il actionne le portail électrique de sa résidence, un immeuble un peu vieillot et pas vraiment standing. Donc on monte, je ne sais plus à quel étage, j'avais mon petit sac de cours, avec les derniers trucs de maths débiles, enfin je ne savais même pas ce que c'était, vu que j'ai pris la classe de maths pour un club de dessin depuis le début.
On s'assoit à sa table de séjour, tout était vraiment moche chez lui, putain sans déconner c'est hyper rudimentaire, on se serait cru dans un bouge de film porno en Russie, celui où y a tonton moustache qui commence a caresser un petit blondinet imberbe et livide sur un canapé en velours noir, avec en arrière-plan un vieux papier peint dégueu. Enfin...Le truc fonctionnel mais pas plus. Le séjour des Simpsons...
Donc, je sors un peu mes papelards, et puis je lui montre tant bien que mal où on en est dans le programme de Maths, etc
Une demi-heure passe, et là il me touche très brièvement l'entre-jambe sous la table et la toile cirée, mais vraiment très rapidement, du genre : " excuse-moi... j'en peux plus, j'ai du mal à me contrôler, op, voilà, désolé c'est ma main ". Je laisse échapper un petit rire forcé.
Dix minutes plus tard, comme je voyais qu'il me regardait d'un air amoureux, et qu'on avait fini un exercice, je lui ai mis à mon tour ma main sur son paquet, sous la table en bois de merde, où il devait bouffer seul le soir.
Et puis là, y me regarde un peu sous le choc, et il me dit d'une façon un peu hésitante : " on va dans ma chambre si tu veux... "
Arrivé donc dans sa chambre, putain, c'est encore très moche, my god, un vrai dortoir de pompier pour une seule personne, et en fait, là, il avait déjà tout prévu, ou alors c'était tout le temps comme ça : il y avait quatre lacets blancs attachés aux quatre coins du cadre de lit bleu, un lit très moche en Kit, genre Ikea mais année 1985, et puis un verre à pieds et un godmichet en plastoque blanc sur la table de nuit.
Bon on s'est déshabillé chacun de son coté, il était assez poilu mais pas trop, et pas gros, ni maigre, mais le truc, c'est qu'il avait des coulants ! Ah ! Des collants couleurs chair, il m'a dit qu'il trouvait cela agréable et chaud, et puis il les a enlevés. Le mec, il ne quitte pas ses collants même au travail, personne ne doit s'en compte...
Il m'a dit qu'il aimerait que j'attache ses bras et ses pieds avec les lacets, ce que j'ai fait, c'était plutôt une bonne idée, un vielle soumise en fait, donc il était là comme une étoile à cinq branches tout nu sur le dos et son matelas, il avait une bonne bite large qui devait commencer à durcir, mais pas trop, un peu déformé avec le temps, on sentait qu'il avait tiré dessus tout seul pendant trente ans.
J'ai directement mis mon anus juste au-dessus de sa bouche, et là il a commencé à y introduire sa langue, je m'étais rasé autour, et je sentais qu'il adoré ça, putain moi aussi, non franchement j'adore, il gémissait un peu, moi non, mais j'adorais vraiment cette sensation de langue dans mes fesses, il la rendait pointue et dure pour qu'elle entre bien, putain elle était vraiment grande sa langue, j'avais des frissons, en plus il commençait à s'aventurer vers mes petites breloques, qui pendaient, il les faisait balloter avec sa bouche. Putain j'étais assis l'anus sur sa langue, c'était excellent. Ensuite je me suis retourné et je lui ai mi des petites claques sur la bouche avec ma bite toute dure, vous savez des petits claquements de bite sur ses lèvres. Ensuite il m'a carrément sucé en relevant un peu sa tête, il n'arrêtait pas de gémir, comme s'il n'avait pas baisé depuis longtemps. Sa bite était toute droite maintenant.
Je lui ai ensuite détaché les pieds, tant bien que mal, car les lacets s'étaient resserrés avec ses mouvements. Je lui ai légèrement relevé les jambes, et là, je l'ai godé, je ne sais plus s'il y avait de la crème spécial pour cela, en tout cas, je me souviens de ce god blanc, qui devait être électrique, mais je ne l'ai jamais mis en mode " on ", je l'ai juste fait coulisser dans ses fesses toutes roses, je crois, en tout cas assez clairs, du genre vieux poulet. Mais j'ai vite arrêté, car ça me faisait chier tout simplement. Et puis je me suis mis un préservatif pas déroulé sur le gland, et je lui ai laissé le soin de le dérouler sur ma bite de 18 cms, juste en faisant un aller dans sa gorge, je suis resté un peu dedans, bien profond, avec le préservatif bien tendu, il était comblé.
Sa chatte était assez large, mais j'ai mis un peu de temps à y entrer, même si je bandais à fond. J'aime bien aller le plus loin possible en général. Je l'ai bien enfourché pendant dix minutes en le branlant, puis je me suis retiré et je l'ai sucé.
Puis j'ai approché ma bite de sa bouche, et je me suis branlé pendant qu'il me donnait des coups de langue sur gland. Je lui ai dit que j'allais partir, et il m'a dit de prendre le verre.
J'ai jouit, il criait plus fort que moi pendant que je mettais mon fluide dans le verre à pieds façon graal, et je l'ai penché vers sa bouche, et il l'a bu comme du lait de vache, je me suis retourné... il avait jouit à moitié en même temps que moi, mais avec peu de sperme, sans même se toucher, ni rien, juste en me voyant jouir.
Dans la voiture, au retour, comme il avait décidé de me ramener, il m'a dit : " tu vois, là, j'ai encore le gout de ton sperme dans la bouche, et c'est très agréable ". Alors, on s'est arrêté, j'ai ouvert juste la braguette de mon jean, et j'ai sorti ma baguette magique un peu courbe, et je lui ai dit : " tiens, reprends en pour la route... "
Quadras, Quinquas de Bordeaux, écrivez moi à l'adresse :
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Victor
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