J'ai trouvé sur ce site des histoires vraies, parfois touchantes, parfois crues, parfois réalistes bien qu'elles émanaient du fantasme.
J'ai décidé à mon tour d'écrire l'histoire qui m'est arrivée car celle-ci est réelle.
Voici la première partie, je dois avouer qu'outre le côté érotique de cet épisode de ma vie, je me pose beaucoup de questions car si la vie peut changer, la mienne inéluctablement du fait de cette histoire va changer...
Vacances d'hiver 2014 :
Il m'est arrivé une histoire absolument étonnante voilà quelques semaines. Marié, 31 ans, papa de jumeaux de 3 ans, me voilà en route vers mes beaux-parents habitant en Isère. Il était convenu que j'amène mes enfants pour une semaine chez leurs grands-parents. Tout va bien, vendredi après-midi, la belle AUDI chargée, nous prenons la direction d'Aix en Provence vers Grenoble.
Mon épouse qui travaille pour l'instant sur un gros contrat en région parisienne, ne fait pas partie du voyage, la semaine suivante va être une semaine de repos largement méritée pour nous deux.
Femme d'affaires, avocate, nous nous sommes rencontrés sur les bancs de la Faculté de droit, ainsi nous sommes tous deux Avocats, elle dans les affaires, moi dans la défense des salariés
Physiquement, nous n'avons rien à envier, ce que je veux dire c'est qu'elle me convient parfaitement, assez grande, belle, élancée, châtain clair, sympathique à vivre et avec beaucoup d'humour : nous avons le même âge. Quant à moi, 1m84, 65 kilos, plutôt svelte et musclé, blond garni par de beaux cheveux bouclés, yeux clairs, un teint de pêche à l'année (merci à mes origines de Suède et d'Espagne), je n'ai jamais souffert par l'absence de succès. Mais je n'y prête pas grandement attention, amoureux, père de famille, ma vie me convient parfaitement...et pourtant !
Nous arrivons à destination avant la nuit, mes adorables beaux-parents (et ils le sont vraiment) salués, mes 2 chérubins en de bonnes mains, je décide de reprendre la route sans inquiétude, dans l'optique de préparer une surprise à mon épouse. Cette semaine va être géniale car cela fait près de 2 ans que nous ne nous sommes pas retrouvés juste " tous les 2 "
J'ai un peu de temps car Elise arrive dimanche matin, je ne suis donc pas attendu et je décide de prendre la nationale, voire certaines départementales et ce n'est qu'au bout de 200 kilomètres que ma nouvelle voiture commence à faire quelques soubresauts ...Je suis à mi-chemin, mais je suis totalement perdu, il fait nuit et entre deux villages, je ne peux plus avancer. Une épaisse fumée s'échappe de mon capot, bien entendu la route est peu fréquentée. Quelle malchance !
Laisser mon auto sur place ne m'enchante guère, mais je ne vais pas avoir le choix : je dois continuer à pied dans un sens ou un autre, je vais trouver un village avec peut être quelqu'un qui pourra me tracter du moins je l'espère...
Portable à la main, quelques affaires personnelles, me voilà engagé dans la nuit, j'appelle ma chère en lui racontant ce qui m'arrive, après une rapide recherche internet de sa part, elle m'indique qu'il y a un hôtel à 3 kilomètres de là où je pense me trouver et me conseille d'y passer la nuit ou jusqu'à dimanche matin le temps de résoudre le problème de véhicule
Bon, cela ne m'enchante pas, mais, elle a bien raison, à quoi ça sert de m'énerver, je ne suis pas attendu, et puis je ne peux pas partir sans ma voiture. Bref, je marche et essaye de me persuader que dès demain matin je pourrais reprendre la route.
L'hôtel présente bien, étoilé, j'apprends qu'il reste quelques chambres et à l'accueil on se charge de me trouver un bon garagiste, j'ai déjà appelé mon assurance et normalement dès demain matin, une solution pourra m'être proposée
L'endroit est beau, s'il fait froid, je trouve qu'une exquise ambiance émane de ma chambre, nous sommes dans un établissement étoilé et je songe à prendre un repas au restaurant d'en face avant d'aller me coucher
Je repasse par l'accueil où se trouve quelques hommes d'affaires, d'autres clients, dont un qui se trouve dans le corridor, il me salue.
- Le restaurant d'en face est très bien ! saviez-vous qu'il est très réputé ?
- Ah, bonsoir, euh à vrai dire, je viens d'arriver, j'ai eu une panne de voiture et je me retrouve ici par dépit...
Je remarque cet homme d'un certain âge, soigné, peut-être un peu moins de la cinquantaine, un beau costume, il se tient assis tirant d'épaisses bouffées sur sa pipe, tout en me proposant de traverser les quelques mètres ensemble.
Après tout, pourquoi pas, je suis plutôt sociable et je déteste être seul et encore plus dîner seul...
Son allure est assurée, un petit ventre rond, légèrement ventripotent, des yeux clairs perçants et vifs, vraiment très grand, ses traits sont néanmoins fins et son sourire est franc, il éteint son machin en s'excusant, puis me propose effectivement de dîner ensemble.
Il n'est pas du coin (tout comme moi) et le comble il est avocat dans un grand cabinet parisien que je connais bien de nom. Il revient d'un rendez-vous professionnel et à l'habitude de descendre dans ce bel hôtel. Nous avons des points en commun, sans nous forcer la conversation s'anime et devient agréable. Nous prenons un apéritif, je fête mes vacances et lui raconte ma mésaventure. Nous parlons de nos carrières, de nos expériences et le repas, légèrement arrosé, (je n'ai pas vraiment l'habitude de dépasser les 2 verres de vin) et lorsque nous commandons la seconde bouteille, j'ai déjà trop bu. J'en profite pour passer un dernier coup de fil à mon épouse puis à mes beaux-parents pour savoir si tout se passe bien.
Après quoi Noël (c'est son prénom) m'invite à le rejoindre dans l'espace fumeur, moi qui ne le suis pas je m'étonne d'accepter un cigare et de m'installer avec ce nouvel ami.
Si ma tête tourne moins, l'heure a tourné à la vitesse grand V, j'ai passé une excellente soirée et je n'ai pas envie qu'elle se termine, je me sens bien et léger, loin du stress de mon travail, mais près d'un type qui semble vraiment comprendre ce que je veux dire à chaque réplique. Bref, nous sommes en phase et je le lui dis. Il rit et lorsqu'il plonge ses yeux clairs dans les miens, je suis pris d'une curieuse sensation.
Que m'arrive-t-il ? J'ai bu un peu, mais finalement pas de trop, ce type est vraiment sympa, mais ...je me surprends à l'imaginer sans sa chemise, pire ! Voilà que mon sexe donne des petits à-coups !
Je n'ose presque plus le regarder pendant un temps, si je me lève, mon Dieu il va voir ma rigidité ! Mes yeux se posent de plus en plus souvent entre ses jambes, s'il ne le remarque pas, dès demain je joue à la loterie !
Je n'aurais pas besoin d'y jouer. Il me propose maintenant de prendre un dernier verre dans l'une de nos chambres, il y a un mini bar et un début de vacances, ça se fête ! Je n'ose pas me demander s'il a vu mes regards lubriques ...
OK. Je ne suis plus vraiment moi, il m'invite et règle l'addition et je le succède vers la sortie. Nos manteaux sous les bras, l'air frais à raison du feu qui commençait à m'animer, mais pourtant, je continue à le regarder, à le sentir (il sent merveilleusement bon) à contempler ses beaux habits, à envier son charisme, sa chevelure épaisse et grisonnante, son visage franc et rieur, bref, je ne me comprends plus...je ne suis pas gay !
Sa chambre est au même étage que la mienne, la porte fermée, un petit salon nous attend, il m'invite à le suivre et brusquement se retourne vers moi. Son ventre bute contre mon buste, il est grand, très grand, si moi je fais 1.84 lui fait presque 15 centimètres de plus, il a déjà ses mains sur mon visage et ses lèvres se rapprochent. Je n'aurais pas de mouvement de recul, à aucun moment. Sa bouche est chaude, son haleine bien qu'un peu parfumée par son cigare, le vin, ne m'est pas désagréable, je dois dire que moi aussi je donne le change...je plonge ma langue doucement, les bras ballants.
Rapidement, sa veste vole près du salon, sa chemise à rayure tendue par son ventre ne tardera pas à tomber également, je suis détendu et ... torse nu
Depuis toujours j'ai un teint olivâtre, bien que blond, il m'en fait le compliment et me félicite pour ma silhouette. Visiblement, elle fait son effet, son pantalon de costume est tendu et en regardant de plus près, je commence à redouter que qui va se passer là ... maintenant
Il me prend la main et nous allonge sur le lit, litière divine, je me couche sur le dos sans aucun remords. Je suis rapidement en sous-vêtements, mon caleçon me gêne, mais cette étape est pour l'instant prématurée. Je n'ai pas le temps de penser, déjà je me retrouve avec son sexe en main. Un sourire, il m'encourage à le toucher, à travers la toile de son slip. Mon autre main fait son chemin, doucement je passe mes doigts sur sa toison frisée, son ventre rebondi qui me fait un effet agréable, son torse, son odeur d'homme, sa chaleur. Mon sexe quant à lui trésaille, je mouille largement humidifiant honteusement mon caleçon blanc.
Après un petit temps coquin où nous nous découvrons, nus, il se racle la gorge puis m'indique d'une voix rauque :
- J'ai envie de toi. Ça ne m'arrive jamais, pas comme ça, je suis marié. Ma dernière expérience homo date d'il y a 30 ans, j'étais étudiant.
- Moi non plus, je veux dire, c'est la première fois, avec un garçon enfin ... un homme, j'ai jamais essayé. Je n'ai jamais trompé ma femme, je ...
- Tu veux essayer ? on ne risque rien non ? je te plais ?
- Ah oui, ... mais on fait comment ?
- Bah ...
- Ton sexe est vraiment gros, je ne sais pas si je pourrais, ...
- J'ai trop envie, on essaye, si ça fait mal on arrête, promis.
- Evidemment, je n'ai rien, pas de préservatifs, rien pour faire passer, je ne sais pas ...
- Ecoutes, je te fais confiance, et moi je suis sain, je ne suis jamais allé voir ailleurs, jamais et ma femme c'est pareil, j'en suis sûr. On essaye de trouver des capotes ou on y va ...
Ce n'est pas très bien du tout, mais finalement, nous nous sommes fait confiance. Depuis évidement je me suis assuré que j'avais bien eu raison lorsque je fus de retour chez moi, mais on n'est jamais trop prudent. Le risque était pris mais il fût sans conséquences
Je regardais son sexe déployé, un gland rond et une épaisseur vraiment impressionnante. Je frémis, j'avais un peu peur et me fit la remarque que sa bite était vraiment proportionnelle au Bonhomme. Grand, épais, viril. Non pas que mon propre sexe me faisait honte, mais je n'imaginais pas qu'un tel chibre pouvait entrer en moi.
- Viens, me dit-il, il m'écarta les fesses avant d'introduire sa langue, avec force et fougue, ce qui me fit basculer la tête la première sur les coussins.
Après un traitement de quelques minutes de ce type, minutes où je n'avais encore jamais pris la proportion que pouvait prendre le plaisir qui passe par là derrière, il me retourna, d'autorité se plaça entre mes cuisses, souleva mes jambes avant d'y présenter son gourdin.
- Pousse !
Décidément, c'était vraiment trop gros. Après quelques tentatives, il mouilla son index avant de le plonger dans mon trou, doucement, je m'ouvrais, la bouche ouverte, les yeux mis clos, je laissais oeuvre mon homme, je m'abandonnais
Arrivé à 2 doigts il faut satisfait de son effet, j'avais perdu la notion du temps, j'étais bien.
Il représenta son sexe, non sans avoir craché quelques fois dessus, je suivis ses conseils et poussa, doucement, doucement, son gland entra en moi, je me crispais, mais vaillant je résistais à la petit brulure que me provoqua cette intrusion.
- Je vais te prendre comme un homme, lèves toi mon grand, cambres toi, ça va entrer maintenant.
Il me leva puis en me poussant doucement contre une commode se plaça derrière moi, représenta son sexe puis progressivement en forçant un peu entra complètement en moi. Je soufflais fort, bon sang ça brule ! J'en avais presque les larmes aux yeux, mais pourtant je laissais cette masse progresser en moi. Rude furent les derniers centimètres, et arrivé à la garde je me relâchais un peu.
- C'est bon ? tu n'as pas mal ?
- Euh, ça peut aller, ça fait mal mais, j'ai envie, vas-y.
- Souffle fort mon chéri, j'y vais doucement, et après on change de position.
Quelques vas et viens plus tard, je m'étais détendu, et forcé de constaté que je prenais du plaisir, Noël me fit m'assoir sur lui. Il avait pris place sur le fauteuil et m'invita à m'empaler sur lui, face à lui. Nos bouches se rencontrèrent encore, moi je menais la cadence en me soulevant, lui en bougeant son bassin, j'étais ouvert. En plus, je couinais, vraiment, je sentais la chaleur monter, sous les assauts de mon amant, je commençais vraiment à prendre mon pied. Si ma bite frottait contre son ventre ses poils, je me rendis compte que j'avais déjà lâché du sperme. Une longue trainée blanche et épaisse se trouvait sur le bedon de mon homme
Mais le plaisir vint également d'ailleurs, mon bas ventre chauffait, je sentais une sensation très curieuse et virulente entre mon cul maintenant totalement soumis et écarté, mes testicules et le bas de mon ventre.
- Tu mouilles des fesses !
- Hein dis-je entre deux vas et viens
- Oui, visiblement ton corps aime ce que je te fais, tu mouilles du cul !
Je ne pensais pas ça possible et pourtant, j'étais forcé de constater que ça glissait de mieux en mieux et qu'une humidité se formait autour de mon anus
Le rythme s'accéléra, j'avais jouis une seconde fois et j'éprouvais encore un plaisir immense qui venait désormais plus de mon ventre que du bout de mon sexe, son ventre était maculé de mon sperme, de longues salves blanches s'était échappées de mon sexe mais j'avais encore envie, envie de continuer.
Quelques minutes plus tard, je crus m'évanouir, le sexe de mon homme gonfla entrainant une jouissance interne que je n'avais jusqu'à ce jour jamais connu ! Il avait jouit et moi j'avais hurlé comme un fou, moi aussi j'avais pris mon pied, et comment !
Il resta quelques instants en moi, nous nous observions, et moi je ne me sentais pas honteux. Finalement il me sourit doucement, un charme fou, je devais reconnaitre que j'étais très sincèrement heureux.
Au bout de 3 / 4 minutes, son sexe gardant un peu de sa rigidité sortit brutalement de moi, laissant sortir un ultime jet qui gicla sur mon aine provoquant un rire de la part de mon amant.
Noël, me proposa une douche, qui me semble-t-il était plus que nécessaire. Nous passâmes donc tranquillement dans la salle d'eau où je luttais pour ne pas fuir et laisser la semence et le fruit de notre acte s'échapper sur le sol. Nous nous frottâmes doucement et très langoureusement, ses baisers étaient doux et au fur et à mesure, son sexe reprit de la vigueur.
- Bon sang me dis-je, encore ! mais il est insatiable !
Comme s'il lisait dans mes pensées, avec un sourire en coin, il m'indiqua avoir encore envie de moi.
Il me proposa une position un peu particulière où je devais m'accrocher à lui, mes bras autour de son coup, pendant qu'il me portait sur sa bite. Je n'eus aucun doute quant au fait de me porter, (Noël dépasse allègrement les 1m95, quant à son poids de 100 kilos valident très largement sa puissance) sa jambe gauche légèrement soutenue par le rebord de la douche, doucement, son sexe entra sans aucun mal en moi
La principale difficulté fut de gérer la profondeur de sa pénétration, car en effet, dans cette position-là, j'étais totalement soumis à sa force, plus je me laissais aller, plus j'étais empalé sur son chibre, je dois reconnaître que j'avais tendance à me laisser aller, c'était si bon, si doux, mais la taille et surtout la longueur de son sexe, pour un " novice " était encore un peu trop importante
Comme la première fois, je jouis 2 fois sans me toucher avec comme les frottements de mon sexe sur son ventre et la bonne manipulation de son sexe à l'intérieur de moi.
Au bout d'une dizaine de minutes, il jouit à son tour, je sentais facilement et surtout dans cette position là le jet le plus puissant de son sperme, un délice que j'allais avoir du mal à oublier, car je savais qu'après cette complicité, cette expérience, le retour à la vie " habituelle " allait être un peu curieuse
Nous décidâmes de dormir ensemble, pendant que nous discutions nus sur le lit, je contemplais ce bel homme, décidément, son charisme, sa puissance et son humour me faisait craquer. Je ne voulais pas penser à demain, profiter un maximum de cet instant, et lui, ... et lui me prit dans ses bras, très affectueusement, nous nous sommes endormis en prévoyant la matinée qui était censée rétablir mon véhicule et me ramener à la réalité, à ma vraie vie.
Le lendemain, je me retrouvais seul dans le lit, je ne mis pas plus de 30 secondes pour me remémorer ce qui s'était produit la veille, mon cul était un peu endolori, mais je n'avais absolument pas honte. J'essayais de savoir où était Noël, sa silhouette grande et imposante se laissait deviner devant l'encadrement de la porte fenêtre qui menait au balcon, il fumait tranquillement sa pipe en lisant un journal
Je trouvais non sans mal quelques habits et j'allais le rejoindre.
La suite est à suivre, le temps pour moi de l'écrire...
et surtout merci à vous pour votre lecture !
Loupo
Autres histoires de l'auteur : Aventure très particulière