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La découverte du plaisir -4
Initiation 3
Quand je sortis de la salle de bains, Abdelhak et Freddy étaient rentrés, je les trouvais en train de discuter avec Claude, Abdelhak me dit "Alors, je vois que tout s'est bien passé.
- Merveilleusement.
- C'est très bien, je suis content, bon maintenant on va manger pour
avoir bien digéré quand François et Michel vont arriver, Freddy
allez...
- Non laisse Abdelhak, c'est moi qui vais préparer le repas dis-je.
- Si tu veux, mais tu n'es pas obligé.
- Ça ne me gène pas.
- Alors d'accord".
Nous mangeâmes dans la bonne humeur et à la fin du repas Freddy dit "Bon moi je suis fatigué, je vais aller dormir. Peux-tu venir avec
moi ?
- Bien sur répondis-je".
Je le suivis dans sa chambre, à peine entré, il baissa son short et me dit "Suces-moi".
Je m'agenouillai devant lui et entrepris de raviver son sexe flaccide, après plusieurs attouchements buccaux et manuels, il banda enfin, il se retira et me dit "mets-toi à quatre pattes que je
t'encule".
Je m'exécutai et se postant derrière moi, il me pénétra. Mon anus encore bien ouvert par les assauts de Claude avala le petit membre sans aucun problème, posant ses mains sur mes hanches, il se mit à aller et venir vivement. Le désir commençai à peine à monter en moi qu'il jouit, il se retira, me dit merci et se coucha, je remis mon maillot et quittai la pièce.
Quand Abdelhak me vit réapparaître il me dit "Déjà ?
- Eh oui, c'est fait, mais maintenant j'ai le feu au cul.
- Ne t'inquiètes pas quand Michel et François vont arriver ça va
changer.
- Je l'espère, mais au fait à quelle heure arrivent-ils ?
- Dans une heure environ, à ce sujet je vais te demander quelque
chose.
- Oui ?
- Voilà, avec Claude, on s'est demandé si tu accepterais de
t'habiller en femme.
- Pourquoi pas, si vous avez ce qu'il faut.
- On a tout prévu même une trousse à maquillage. Alors c'est
d'accord ?
- Bien sur. Où est-ce ?
- Dans la salle de bains.
- Bien j'y vais, à tout à l'heure".
Pendus à la baignoire, je trouvai une micro robe, un soutien-gorge et un slip de dentelle noire, un porte-jarretelles et des bas résilles ainsi qu'une paire de hauts talons et posée sur une chaise, une mallette, je l'ouvris, il y avait une perruque blonde, des faux ongles, du vernis, du rouge à lèvres, du fond de teint, du mascara, ainsi que des crayons pour les yeux et du parfum féminin.
Je m'assis devant la glace et la transformation commença.
Au bout d'une demi-heure, j'étais devenu une vraie femme, je me contemplai en culotte soutien-gorge et bas puis enfilai la micro robe et sortis de la pièce.
Mon entrée dans le salon fut ponctuée d'applaudissements, Abdelhak me dit "Extra, on dirait une vraie femme.
- Merci, mais dis-moi, tu ne pourrais pas faire quelque chose pour
moi, car je suis de plus en plus en chaleur.
- Non, il faut attendre, et ce ne sera que mieux pour toi patience,
il n'y a plus que quinze minutes et après tu verras, on te
refroidira le cul.
- Je l'espère".
Effectivement, un quart d'heure après, deux hommes arrivèrent, ils étaient très grands et très beaux et leur allure était très athlétique.
Ils dirent bonjour à tout le monde et l'un d'eux dit à Abdelhak
"Je pense que voilà notre petite femme ?
- Tu as tout à fait raison Michel.
- Elle me semble très belle, j'espère qu'elle est aussi bonne
qu'elle est belle.
- Ne t'inquiètes pas pour ça, elle suce et baise comme une déesse.
- C'est super dit François, mais nous sommes quatre, ça fait peut-
être beaucoup.
- Je ne crois pas dit Claude.
- Peut-on l'essayer dit François ?
- Enfin dis-je, je me demandai si vous alliez vous décider, car moi
ça fait plus d'une heure que j'ai le cul en feu.
- Eh bien, à nous de t'éteindre cet incendie".
Michel me prit dans ses bras et écrasa ses lèvres sur les miennes, je répondis à son baiser enflammé, tandis que ses mains courraient sur mon dos descendant vers mon derrière.
En un tour de mains, mon slip glissa le long de mes cuisses. François m'écarta les jambes et s'agenouilla devant moi, il se débraguetta et posa mes chevilles sur ses épaules. Le bout durci de son sexe contre mes fesses me provoquait d'étranges sensations, il posa ses mains sur ma taille et m'avança vers lui jusqu'à ce que son gland turgescent s'insinue entre mes fesses et vienne buter contre mon anus brûlant, il promena son phallus le long de ma raie ce qui eut pour effet de me faire ronronner, puis sans prévenir, d'un violent coup de reins, il m'empala, le brutal écartèlement de mes chairs par ce long priape énorme me fit hurler. Une fois au fond de mon cul, il s'immobilisa me laissant m'habituer à la monstrueuse présence qui m'obstruait le rectum, puis soulevant légèrement mes reins, il commença à me limer doucement.
Son membre sortait presque entièrement de moi pour replonger jusqu'à la garde me dilatant le fondement, dans l'état de manque où j'étais, je ne fus pas long à sombrer.
Au bout de quelques minutes, François commença à me besogner plus rapidement, j'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos, je m'offrais totalement à celui qui me montait, son ventre musclé claquait contre mon fessier en fusion à me faire mal, c'est à cet instant que je sentis quelque chose contre ma bouche, j'ouvris les yeux et me trouvai face à une superbe verge érigée qui cherchait à forcer mes lèvres, j'ouvris la bouche et engloutis l'objet de ma dévotion.
Je me mis à sucer vigoureusement le membre, tout en le mordillant, Michel car c'était lui, ne fut pas long à jouir, son sperme crémeux m'inonda la gorge et je l'avalai goulûment.
François me possédait maintenant à une vitesse folle, ses va et vient me firent rapidement atteindre le point de non-retour je me tordais comme un damné sur le sol me cambrant pour m'offrir encore plus à ce pal qui me forait les reins à me rendre fou, j'avais l'impression que mon trou déversait de la lave tellement j'étais excité, je me mis à délirer "hhhh ahhh".
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de moi-même, François juta en feulant.
Ses puissants jets de semence fusèrent contre mes parois surchauffées, je me cambrais et un spasme foudroyant explosa en moi, j'hurlai de plaisir et retombai lourdement sur le sol où je restai allongé, cuisses écartées et les yeux clos savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
François se retira et aussitôt un corps s'allongea sur moi, une main se glissa entre nous et guida son pénis en érection à l'orée de mon tunnel, la pénétration fut lente, faisant renaître en moi le désir, je nouais les jambes dans le dos de Claude, car c'était lui qui me chevauchait et me mit à rouler des hanches en cadence avec ses va et vient rapides.
Les quatre hommes se succédèrent sur moi et chacun d'eux me donna un plaisir intense et quand je revins à la réalité Abdelhak me demanda "C'était bon ?
- Oh oui, mais j'en veux encore.
- Mais tu vas en avoir encore, mais on voudrait que tu te mettes
autrement, voilà, on voudrait avoir ton cul en libre service, je
m'explique, tu vas te mettre contre la table, cuisses écartées, tu
prendras un coussin et tu laisseras reposer ton torse sur le
plateau de telle manière que tu auras toujours le cul en position,
comme ça celui qui en aura envie n'aura qu'à se placer derrière
toi et t'enculer. D'accord ?
- Pas de problème".
Je pris la position demandée, aussitôt je sentis un corps contre moi, une bite dure se posta entre mes fesses contre mon oeillet béant et d'un violent coup de reins, l'homme me pénétra me faisant gémir.
Puis posant ses mains sur mes hanches, il se mit à me ramoner le fondement avec violence.
En regardant dans une glace, je voyais Michel se ruer dans mon cul, sa grosse pine violacée allait et venait en moi à une vitesse folle, ses mouvements me provoquai des ondes de bonheur qui partaient du bas de mes reins embrasant tout mon être, je ne fus pas long à atteindre le point de non-retour, je tendais ma croupe vers mon amant pour accentuer sa pénétration et me mis à onduler tout en gémissant.
Je ne savais plus depuis combien de temps, Michel était en moi, mais je voulais qu'il y reste indéfiniment tant le plaisir qu'il me donnait était intense, je m'accrochai à la table pour ne pas chavirer sous ses violents coups de boutoir redoublés, perdant le sens de la réalité je me mis à délirer hurlant toutes les phase de la jouissance par lesquelles je passai "ahhhhhhhhh.
Plaquant son pubis contre mon fessier, Michel éjacula en râlant, son flot de liqueur me fit hurler de bonheur, il se retira et aussitôt un autre phallus que je reconnus tout de suite vu son calibre comme étant celui d'Abdelhak vint investir mon oeillet, il entoura ma taille de ses bras et se mit à me posséder avec des "HANS" de bûcheron.
Mon délire reprit immédiatement, les assauts d'Abdelhak étaient tellement puissants qu'à chaque enfilage, mes pieds quittaient le sol, j'avais l'impression qu'il allait me déchirer le cul, mais c'était merveilleux de sentir cette monstrueuse hampe coulisser dans mon canal affamé, j'étais cambré au maximum et j'avais écarté les cuisses à me faire mal pour me donner encore plus. Sous les poussées de plus en plus violentes, je me remis à hurler mon plaisir "ahhhhh".
A cet instant, Abdelhak se plantant au plus profond de moi explosa en criant, ses jets de semence m'inondant le fondement en fusion m'arrachèrent un hurlement strident de jouissance et je dus me tenir à la table pour ne pas tomber au sol sous l'effet de l'orgasme foudroyant qui me traversa, mon homme se retira et une autre verge raide m'enfessa aussitôt, allant et venant entre mes reins avec fougue.
Je ne sais pendant combien de temps, les quatre hommes me baisèrent, quand ils m'abandonnèrent, je glissai par terre m'allongeant en chien de fusil, essayant de recouvrer ma respiration.
Quand je rouvris les yeux, ils étaient tous assis en train de fumer, en voyant leurs sexes à demi flaccide, une violente bouffée de désir me submergea et je leur demandai tout en écartant largement les cuisses "Qui en veut encore ?
- Non merci dirent Claude et Abdelhak, on est vidé".
François s'approcha et me dit "Avec tout ce que tu as pris dans le
cul, tu en veux encore, mais c'est incroyable.
- Non, j'ai encore envie c'est tout.
- D'accord, tu veux encore jouir et bien crois-moi, tu vas jouir, tu
vas gueuler, bouges pas salope".
Il récupéra son levi's et ôta le ceinturon qui y était, puis avança vers moi, il me dit "Au lieu de te baiser tout de suite, je vais
d'abord te foutre une trempe, tu vas voir ça va augmenter ton
plaisir".
Le cuir s'abattit violemment sur moi, marbrant mes fesses, la douleur fut telle que je hurlai "iiiiiiieeeeeeee !!!!!!"
Mes cris eurent pour effet d'exciter François, son sexe se dressa tout de suite et il se mit à me fouetter de plus en plus fort, je me tordais de souffrance sur le sol essayant d'échapper aux sévices qu'il m'affligeait, profitant de mes mouvement de fuite, il me frappait sur tout le corps, j'avais le ventre et les fesses violacés.
Au bout de quelque temps, ayant dépassé le stade où le mal devient anesthésiant, j'étais sans réaction sous les coups qui pleuvait sur moi, Michel s'assit sur mon dos et écarta mes miches, aussitôt la boucle du ceinturon cingla mon anus, une immonde douleur me vrilla le corps "aaiiiiiieeeeeee !!!!!!" hurlai-je en me débattant pour me soustraire à l'emprise de mes deux tortionnaires.
Mais Michel me maintenait solidement et la correction continua jusqu'à ce que je sombre dans l'inconscience sous l'effet de l'horrible souffrance qui me tenaillait.
Quand je revins à moi, François me tapait encore, des gouttes de sueur perlaient de son front, ses yeux étaient exorbités, on aurait dit un fou, de ma bouche ne sortait plus qu'un "ahhhhhhhhhh" continu, je ne réagissais plus à la morsure du cuir sur moi.
Peu à peu, la douleur s'estompa et une sensation inconnue se propagea dans mon ventre, au point où j'étais arrivé, je ressentais du plaisir à me faire fouetter, je me cambrais sous les coups offrant mon fessier à mon tourmenteur.
La violence de François baissait sous l'effet de la fatigue et c'était moi qui maintenant l'excitait de la parole et en prenant des poses totalement obscènes "ahhhhhh".
François jeta son ceinturon et se jeta sur moi, sa bite érigée s'enfonça au plus profond de mon cul et il se mit à me posséder violemment, je nouai mes jambes dans son dos et fermant les yeux, je savourai le bien que me faisait cette pine me forant les reins.
Au bout de quelques instants de ce traitement, je me mis à délirer "ahhhhhhhhhh".
C'est à cet instant que plongeant au tréfonds de mes entrailles
François éjacula en feulant, ses jets de semence m'inondant le fondement me déclenchèrent un orgasme tumultueux, j'hurlai de jouissance, mon corps s'arqua sous mon amant et je retombai lourdement flottant dans l'univers cotonneux du plaisir. Quand je repris le sens des réalités, je les vis tous les quatre assis en train de me regarder, je portai une main vers ma croupe, et je gémis en me touchant, mes fesses étaient boursouflées.
Michel me dit "Cette pommade va te soulager, tu vas voir c'est un
baume contre les douleurs".
Il m'enduit le fessier ainsi que la raie, aussitôt une sensation de fraîcheur m'envahit et sur le coup me fit du bien, Michel se releva et éclata de rire "Tu n'aurais pas du me croire pédale, ce que je
t'ai mis sur le cul, c'est du DOLPIC en fait de soulager, tu vas
voir trente six chandelles".
Effectivement, peu après, une chaleur prit possession de moi, et tout l'arrière-train commença à me brûler, ça devint rapidement intenable, cette brûlure sur mon anus à vif me fit hurler tant je souffrais, je passai près d'un quart d'heure à me rouler sur le sol criant et pleurant et quand le mal diminua, Michel me mit sur les genoux le cul en l'air, je me retrouvai la tête sous le buffet sans pouvoir réagir, j'étais totalement à sa merci, il me nettoya le trou sans aucune douceur ce qui eut pour effet de réactiver la brûlure, je hurlai le visage dans la poussière.
Puis je sentis son gland turgescent contre mon tunnel tuméfié et il me pénétra d'un violent coup de reins s'enfonçant dans mon rectum jusqu'à la garde et se mit à me besogner à grands coups de boutoir. A ce rythme, il ne fut pas long à prendre son plaisir et déversa de longues giclées de sperme dans mon tunnel qui eurent au moins le mérite de calmer quelque peu mes souffrances puis il me laissa.
Je restai immobile dans la même position quand je sentis une main qui me prit à la taille et me dégagea, c'était Abdelhak, nous étions seul dans la pièce.
"Viens avec moi me dit-il".
Je le suivis dans la chambre, il me dit "allonge-toi sur le ventre,
ah ces cons ils t'ont drôlement arrangé, mais ne t'inquiètes pas,
je vais te soigner".
Il me lava puis appliqua sur toutes les parties de mon corps une pommade et finit en me massant les fesses. Quand il eut terminé, il était en érection, je lui dis "Tu sais, je suis en position, tu peux
m'enculer.
- Non, répondit-il, ton cul en a eu assez pour aujourd'hui si tu
veux pour me soulager, suce-moi".
Je lui fis un pompier magistral parachevé par encore une superbe éjaculation et nous nous couchâmes, il prit ma main et la posa sur son pénis, nous nous endormîmes comme ça.
Damien
lineenchasse@yahoo.fr
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