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La découverte du plaisir -5
Initiation 4
Quand je m'éveillai il faisait grand jour, j'étais seul dans le lit, je regardai ma montre, il était dix heures, je me levai et me souvenant des événements de la veille, portai un doigt à mon anus.
Bien qu'un peu enflé, il n'était pas du tout douloureux, j'allai voir mes fesses devant la glace de l'armoire, on ne voyait aucune trace des sévices que j'avais subis.
J'enfilai mon maillot de bains et sortis de la chambre, le cabanon était vide, une odeur de sperme et de merde flottait dans le pièce, je me dis qu'une bonne aération ainsi qu'un peu de ménage ne ferait pas de mal à cet endroit.
Trois quart d'heure après j'avais fini, je pris mon petit déjeuner et partis me baigner.
Je revins vers 11H 30, en chemin je rencontrai Claude et Freddy qui revenaient de la pêche et nous rentrâmes ensemble.
Quand ils virent l'état du cabanon, Freddy me dit "Tu as bien fait,
ça commençait à sentir un peu trop le cul là dedans".
Abdelhak arriva quelques instants après et me demanda comment j'allai, une fois que je l'eus assuré, il me complimenta pour le ménage ainsi que pour l'odeur du repas qui cuisait.
Après avoir mangé, je fis la vaisselle et comme je revenais à table pour fumer une cigarette et vois le programme de l'après-midi, un coup de klaxon retentit.
Abdelhak se leva et allai voir à la fenêtre. "Tiens, c'est Ali, c'est
mon frère".
Nous sortîmes et je vis un jeune homme plus grand et plus beau qu'Abdelhak mais qui lui ressemblait beaucoup, il était accompagné de trois autres gars où là on ne pouvait pas se tromper, c'étaient des tantes.
Abdelhak me présenta à son frère, qui pour me dire bonjour, m'embrassa discrètement sur les lèvres, nous entrâmes alors que ceux qui étaient venus avec Ali s'en allèrent vers la plage en disant qu'un bon bain serait agréable avant de se faire mettre
Ali et Abdelhak parlèrent beaucoup et semblaient très contents de se voir, puis se tournant vers moi Abdelhak me dit "Ali te trouve très
belle.
- Merci, je suis très flatté.
- il aimerait bien, si bien entendu tu le veux bien, faire l'amour
avec toi.
- Mais on ne peut pas dire non à un si bel homme, bien sur que je
suis d'accord, c'est un grand honneur.
- Dans ce cas, on va vous laisser quelque temps seuls, quand vous
aurez fini, venez nous chercher à la plage à ce moment on pourra
commencer la partouze.
- O.K".
Restés seuls, Ali me dit "C'est vrai que tu es superbe, je crois que
tous les deux, on va passer un excellent moment ensemble, viens
approche-toi de moi".
J'obéis, il m'enlaça et posant délicatement ses lèvres sur les miennes, il se mit à me lécher le visage pendant que ses mains courraient sur mon corps, des ondes de désir commençaient à monter en moi.
Ali m'avait pris dans ses bras et déposé sur le lit à plat ventre, me massant la nuque ainsi que les épaules.
Une fois qu'il m'eut bien décontracté, il me retourna et me caressa les seins tout en me pinçant les tétons, tous ces attouchements conjugués me basculèrent dans une douce langueur, je frémis.
Ali, se pencha sur moi, et se mit à me lécher le nombril, un gémissement échappa de ma gorge, puis il me retourna délicatement et sa langue se posant dans mon cou, commença à descendre sur mon dos le long de ma colonne vertébrale, sous l'effet de ces caresses, je me tortillai doucement sur la couche plongeant de plus en plus dans le désir, c'est là que je me rendis compte que je planais déjà alors qu'Ali n'avait pas encore ni baissé mon slip ni touché à mon cul.
Longtemps l'homme ne pratiqua sur moi que des attouchements buccaux et manuels, les yeux clos, je savourais ce bien-être tour en râlant.
Jugeant que j'étais à point, Ali arrêta et je sentis mon maillot glisser le long de mes cuisses, ses mains se posèrent sur mes fesses et entreprirent de les masser, au bout de quelques instants de ce traitement, j'avais le fessier brûlant mon amant écarta mes miches et une langue pointue s'insinua dans ma raie, à ce contact mon anus s'ouvrit légèrement et la langue inquisitrice me pénétra, je gémis.
Patiemment, Ali m'ouvrit complètement le cul, sa langue râpeuse allait et venait sur ma corolle, je me sentis fondre, c'était la première fois que je ressentais autant de plaisir sans qu'une bite ne soit en moi, j'étais totalement en transe je voulais qu'il me baise et je lui dis "ahh je t'en supplie encules-moi ahhh.
- Pas tout de suite, un peu de patience, tu jouiras encore plus.
- Noonnn, je veux ta bite tout de suite, je veux qu'elle me casse le
cul".
Sans répondre, Ali baissa son slip, à la vue de son sexe en érection, un petit cri s'échappa de me lèvres, ce phallus était encore plus grand et long que celui d'Abdelhak.
Ali me dit "regardes, c'est lui que tu veux. Hein ?
- Oh oui, qu'il est beau.
- 29 centimètres de long et 15 de tour.
- Oh !!!
- tu l'auras, mais tout à l'heure".
Ali continua à me travailler le trou jusqu'au moment où ne tenant plus, je mis à onduler au rythme de trois de ses doigts qui me possédaient, jamais on ne m'avait préparé comme il le faisait, je n'étais plus que frémissements, ma tête rejetée en arrière ballottait de droite à gauche.
Mon mec me mit sur le dos et s'agenouilla entre mes cuisses, il prit mes jambes et les posa sur ses épaules, il m'approcha de lui jusqu'à ce que le formidable pénis bute contre mes fesses, il les écarta et posta son priape contre l'orée de mon canal et lentement me pénétra.
L'intromission dura un temps infini, mais jamais, je ne ressentis la moindre douleur, quand enfin Ali fut tout en moi, mon cul était rempli comme jamais il ne l'avait été.
Me prenant par les cuisses, mon homme commença à me besogner doucement, sentir ce monstrueux membre coulisser dans mon tunnel après les prémices que j'avais subi je me sentis partir, je basculai totalement dans un univers où seul le plaisir comptait, j'allai à la rencontre de ses coups de boutoir pour être sur que toute la hampe entrait en moi, la verge érigée sortait presque entièrement de ma grotte et replongeait lentement jusqu'au tréfonds de mon cul en fusion.
De temps en temps, Ali sortait totalement sa pine de moi et me caressait tout le long de la raie puis me renfilait d'un grand coup de reins.
J'avais perdu toute notion des choses, je ne vivais plus que pour et par la bite qui me forait les reins, je voulais qu'il reste fiché indéfiniment entre mes fesses, je me tordais comme un damné sous ses coups de queue qui me portaient au septième ciel et je me mis à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais "hh
Mais sourd à mes supplications, Ali continuai à me posséder avec une régularité de métronome, je sentis une boule monter vers ma gorge, l'air me manqua et un sublime orgasme me balaya, j'ouvris la bouche et un hurlement strident pulsa de ma gorge "hhhhhhhh", mon corps se tendit comme un arc, je griffai les draps et tendis mon cul vers cette merveilleuse pine d'ébène qui me donnai autant de plaisir me ramonant le rectum puis je retombai lourdement sur la couche perdant connaissance
Quand je revins à moi, Ali me besognai toujours en de larges coups de bite, des gouttes de sueur perlaient de son front, le plaisir qu'il prenait devait être grand vu les grimaces qu'il faisait pour ne pas exploser.
Peu à peu, sous les assauts répétés de cette hampe virile, le désir remonta en moi, mon amant se baissa et me prenant aux aisselles me ramena vers son torse.
Il se leva et je nouai mes bras autour de son cou ainsi que mes jambes autour de sa taille.
S'appuyant contre le mur, mon homme se mit à me pilonner l'anus à grands coups de reins tout en me faisant monter et descendre sur son phallus gorgé de sang.
J'avais le trou complètement éclaté, j'avais l'impression que s'il continuait à me tringler de la sorte, il allait me déchirer le cul mais que c'était bon, dans les bras de mon mec, j'étais tel un pantin désarticulé, jamais je n'avais subi une telle enculade, mes ongles plantés dans ses épaules musclées, je hurlai mon plaisir sans discontinuer "hhhhh
aahhhhhhh ahhhhhhh".
Ali allai me reposer au bord du lit et me ramena les jambes vers la tête, de la sorte à faire ressortir plus encore mon sphincter de manière à avoir un angle de pénétration encore plus grand, là il se mit à me défoncer à une vitesse folle.
Mon intimité s'était encore agrandie, je voyais entre mes jambes le priape noir sortir et se planter au plus profond de mes entrailles, le ventre musclé d'Ali claquait contre mon arrière-train en fusion à me faire mal, sous ses coups de boutoirs violents, je me tordais comme un damné sous mon amant la tête ballottant de droite à gauche, en cet instant seul comptait pour moi cette bite roide qui me démolissait la corolle, j'avais atteint le point de non-retour et je me remis à délirer "ahhhhhhh”.
Ali s'enfonçant au fond de mon cul éjacula en feulant, une formidable giclée de foutre crémeux m'inonda le fondement me déclenchant un orgasme dévastateur, je hurlai de jouissance et sombrai dans l'univers cotonneux du plaisir, je sentis le pénis encore dur de Ali quitter mon antre et je restai allongé sur le lit les yeux clos, cuisses écartées, écoutant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je rouvris les yeux, Ali me regardai en souriant, son sexe était toujours dressé, je lui dis "Mais ce n'est pas vrai, tu bandes
encore !
- Eh! oui, répondit-il, tu sais ce n'est pas un coup qui aura raison
de moi, si bon soit-il car laisse-moi te dire, c'était bon.
- Pour moi, ce fut magnifique, jamais on ne m'a enculé comme toi.
- Je sais, Abdelhak m'a dit que tu étais toute neuve, lui et son
copain Claude ont de belles bites mais ils sont encore un peu
jeunes.
- Tu m'as baisé comme un dieu.
- Tu sais, je peux te le dire, tu m'as étonné car comme baiseuse tu
es vraiment la meilleure que je connaisse, laisse-moi m'occuper de
toi et tu deviendras la star de la baise, je pourrai te présenter
des clients, moitié pour toi et moitié pour moi.
- Le problème, c'est que je ne peux pas, Denis détient des preuves
que je ne veux pas voir divulguées.
- Je le sais, Abdelhak me l'a dit, mais ne t'inquiètes pas, ce soir,
il comprendra qu'il a intérêt à aller jouer ailleurs. Alors dans
ce cas es-tu d'accord ?
- Il faut que je réfléchisse, mais au premier abord je ne dis pas
non.
- Voilà qui est bien parlé, avec une femelle comme toi, on va tous
gagner de l'or, une fois que tu auras bien appris tout ce que les
femmes comme toi sont obligées de savoir, je suis sur que tu seras
la meilleure pineuse du pays en tout cas la plus recherchée.
- Que dois-je apprendre encore, d'après ton frère, je suce et
caresse aussi bien que je baise et pour ce qui est de tenir le
coup, je crois avoir prouvé depuis hier que ça allait car
Abdelhak, Claude, François, Michel ainsi que toi, je ne compte pas
Freddy, c'est quand même pas du gâteau.
- Je suis d'accord à ce niveau là, mais il n'y a pas que la bite,
certains de nos clients ont des goûts spéciaux, par exemple as-tu
déjà pris un gode dans le cul car crois-moi ma bite est pas mal
mais à côté de certains godes elle est minuscule.
- Oui, je vois, tu veux parler des tous les artifices qu'il y a à
côté de la baise normale.
- C'est bien ça, et ça tu ne sais pas encore.
- Non c'est vrai.
- Bien écoutes, réfléchis et ce soir donne-moi ta réponse, n'importe
comment ça ne change rien à ce que j'ai dit pour Denis, si tu
refuse ma proposition, je dirais que c'est dommage car on aura
perdu toi et moi l'occasion de faire de l'argent, mais Denis lui
te laissera tranquille.
- Et bien, je te remercie Ali, je te donnerai ma réponse ce soir,
c'est promis.
- Bien, je pense qu'il est grand temps d'aller retrouver les
autres".
Quand nous arrivâmes au bord de l'eau, les six autres discutaient, après un bref coup d'oeil, Abdelhak se leva et allai rejoindre son frère, ils parlèrent à voix basse, puis Ali dit qu'il était temps de passer aux choses sérieuses.
Nous reprîmes le chemin du cabanon et quand nous rentrâmes, une main m'attrapa et je me retrouvai dans la chambre, Abdelhak ferma à clef et me dit "Tu ne crois quand même pas que j'allai partager un joyau
comme toi avec ces cul pourris.
- C'est gentil ce que tu dis là, mais pour les autres, c'est pas
sympa.
- Je m'en fous, alors dis-moi, tu as parlé avec Ali ?
- Oui, il est super ton frère, je n'ai pas encore donné ma réponse,
ce sera pour ce soir.
- Je sais, il me l'a dit, bon parlons peu parlons bien, pour Denis
tout à l'heure, voilà comment ça va se passer, quand il va arriver
les trois autres pédales seront partis, on aura envoyé Freddy les
raccompagner et toi tu seras en train de baiser avec Claude, comme
ça quand il entrera, il faudra qu'il attende que vous ayez fini.
Ali et moi, on l'appellera dans la chambre et là, on va s'occuper
de lui et de son petit trou du cul, Claude est au courant, on t'a
enregistré sur une musicassette, ce qui fait que tu pourras
assister au spectacle alors que tu ne pourras être oupçonné. O.K ?
- Pas mal votre scénario.
- Tu vois et d'où tu seras tu perdras pas une miette de son
dépucelage et de ce qui suivra.
- D'accord. Au fait dis-moi Abdelhak, j'ai quelque chose à te
demander.
- Oui ?
- Ali, tout à l'heure m'a parlé de tous les artifices dont ont
besoin certaines personnes, en as-tu quelques-uns ici et si tu le
veux bien, peux-tu me faire passer ma première leçon ?
- Bien sur, effectivement j'ai des godes, je peux te travailler le
cul avec mais je te promets, c'est pas du gâteau, car si tu
demandes ça, je te le ferai comme si j'étais un de tes clients et
puis il y a d'autres petites choses que je peux faire oui.
- Je te remercie, je me doute que ça ne doit être évident mais pour
ma réponse à Ali, je suis obligé de savoir où je vais. Tu ne crois
pas ?
- Effectivement, tu as raison, mieux vaut être fixé, bon mais en
attendant, viens me sucer, j'ai envie d'une bonne pipe".
Il baissa son short et je m'agenouillai devant lui, pris son pénis à demi-érigé et approchai mes lèvres de ce magnifique sexe, je lui appliquai quelques coups de langue sur le gland, le dard se redressa aussitôt, je l'embouchai et commençai à le pomper.
Soudain, Abdelhak me plaquant le visage contre son pubis se mit à me pisser dans la bouche maintenant ma tête me forçant à avaler son urine chaude, quand j'eus tout bu, il me relâcha et me dit "Voilà une
des premières choses qu'il faut que tu saches, beaucoup de mecs
aiment pisser dans la bouche de celui qui les suce.
- Tu aurais pu me prévenir quand même.
- Non car le gus lui ne te le dira pas, dix fois ce sera une vraie
pipe et la onzième et bien ce sera autre chose.
- D'accord j'ai compris.
- Mais, si tu veux arrêter, dis-le.
- Non pas question, je continue".
Sans prévenir, Abdelhak m'assena une claque en pleine figure, puis me prenant par le cou, il m'enfouit le nez entre ses fesses et se mit à péter, je crus que j'allai m'asphyxier, quand il me libéra, je me mis à tousser.
Pendant que j'essayai de retrouver ma respiration, Abdelhak se branla au-dessus de moi, il éjacula sur ma tête et mélangea son sperme à mes cheveux, puis il essuya son sexe sur mes dos.
Il ouvrit l'armoire et en sortit une boite qu'il ouvrit, il y avait quatre godes tous d'une saleté repoussante, le plus petit était déjà plus gros que la bite d'Abdelhak, il me prit par les cheveux et me dit "Alors pédale, ah! on veut sucer des grosses bites et se les
prendre dans le cul, en voilà qui ne se fatiguent pas, tiens
ordure suce celui-là, nettoie-le avec ce qui te sert de langue".
Il me présenta le plus petit et me l'enfonça dans le bouche, j'eus un haut-le-coeur quand l'extrémité de l'olibos arriva au fond de ma gorge, sans en tenir compte, mon tourmenteur commença à le faire aller et venir entre mes lèvres, à force de sucer, le priape de plastique devint propre, Abdelhak s'en aperçut et m'enfila le suivant.
Quand arriva le dernier, j'avais un goût de pourri dans la bouche, j'avais les lèvres enflées tant j'avais sucé, j'eus beaucoup de mal à le prendre en bouche tellement il était gros, mais Abdelhak sans aucune pitié me le fit avaler, quand il me libéra, la première chose que je fis fut de me lever pour aller boire un verre d'eau, Abdelhak me rattrapa par le bras et me dit "Où vas-tu morue, ici à quatre
pattes, ton cul va jouir allez dépêches-toi".
Tandis que je prenais la position, il me mit une grande claque sur les fesses, le cri que je poussai le fit rire et il commença à me fesser très fort, mon cul devint brûlant sous les coups qui pleuvait, je pleurai à chaudes larmes car Abdelhak avait remplacé sa main par une badine qui me cinglait le postérieur.
Quand je commençai à devenir sans réaction sous l'avalanche qui pleuvait sur mon arrière-train, mon tortionnaire sans prévenir, m'enfonça sans ménagement le 1er gode entre les fesses jusqu'à la garde puis le fit aller et venir vivement.
La brûlure causée par l'intromission fut telle que je hurlai de douleur, j'avais le trou du cul écartelé et j'avais l'impression que mes miches allaient se détacher.
Peu à peu, la souffrance se calma faisant place à une douce langueur et je me mis à ronronner tout en roulant des hanches en cadence, Abdelhak retira le gode et prit le suivant qu'il m'enfonça dans le cul sans aucune précaution, cet olibos devait faire le double du sexe de mon tourmenteur, le mal fut encore plus vif que le première fois, je faillis m'évanouir sous l'impact de la douleur, mon fondement était complètement éclaté et me brûlait ardemment, j'étais sans plus aucune réaction au traitement qui m'était infligé, mais petit à petit, mon anus s'ouvrant et s'habituant au calibre qui me ramonait, je me mis à râler de plaisir, c'est alors qu'Abdelhak me décula et essaya de me mettre le troisième, mon cul bien que largement ouvert n'arrivait pas à accepter un tel calibre, le gland buta contre ma grotte, mais Abdelhak d'un grand coup le fit entrer tout entier dans mon cul "aiiiiiiiiieeeeeeeee aiiiiieeeeeee aaiiiiieeeeeee
mmmmmmooooooonnnnnnnn ccccccuuuuuuullllllll !!!!!!!!!!!!!!"
hurlai-je m'affalant sur le lit le cul en l'air, je croyais qu'il m'avait ouvert le rectum avec un bistouris, mon ventre me brûlait et ce qui allait et venait en moi était tellement gigantesque que ça me donnait des nausées.
Plusieurs minutes passèrent pendant lesquelles je restai sans réaction face à l'activité du phallus artificiel qui me martyrisait l'arrière-train, puis malgré moi le plaisir refit surface dans mon être ravagé par le mal "hhh hhhhhhhh ouuiii c'essttt boonnn
ooooohhh noonnn".
Une fois encore, mon tortionnaire comprit que le jeu était fini, il prit le dernier priape et entreprit de me l'enfiler, Abdelhak eut beau forcer, mon rectum refusa de le prendre, alors Abdelhak appuya son torse sur le membre artificiel et petit à petit obligea mon trou à l'accepter, je hurlai sans discontinuer tant la douleur était intolérable, je croyais que mon cul était ouvert par un bistouris.
Tout mon ventre me brûlait, on aurait dit qu'on me mettait des fers rouges dans les entrailles, les mouvements de cette énorme chose me donnaient des nausées.
J'étais sans réaction, le corps totalement meurtri à la merci des assauts de cet immonde pénis artificiel qui me martyrisait l'arrière-train.
A force de souffrir abominablement, j'avais atteint la frontière où le mal et le plaisir se confondent, les élancements se transformèrent en vagues de chaleur qui envahirent mon corps, malgré moi je me mis à ronronner tout en allant à l'encontre de la monstrueuse verge de plastique qui me défonçait, mes hanches se mirent d'elles même à rouler, Abdelhak avait beau me bourrer le cul de plus en plus violemment pour me faire mal, c'est le plaisir qui m'inondait maintenant.
Au bout de quelques instants, je râlai sous les coups de boutoir répétés de cet énorme engin qui m'alésait le sphincter
Soudain un orgasme tumultueux explosa au plus profond de moi, je m'empalais littéralement sur le gode et hurlai de jouissance puis je tombai lourdement sur le lit aux portes de l'inconscience.
Quand je revins à la réalité, Abdelhak me regardai, j'avais le cul qui me brûlait atrocement car il manquait la chose essentielle, le sperme pour éteindre cet incendie, je dis à mon homme "Il me faut ton
lait, j'en ai besoin, j'ai le cul en feu".
Abdelhak se positionna derrière moi et m'encula d'un violent coup de reins, après ce que je venais de subir, je sentis à peine son sexe érigé m'investir.
Au bout de quelques va et viens, il juta, ses jets de foutre me rafraîchirent le canal, Abdelhak se retira et me dit "Voilà un aperçu
de ce que tu devras subir de temps en temps, maintenant tu sais.
- Oui, maintenant, je peux réfléchir.
- Bien ce que je te conseille, c'est de prendre un bain froid ça
fera du bien à ton trou du cul, il vaudrait mieux pour la suite.
- Tu as raison, car sincèrement, j'ai le fion en chou-fleur ça me
brûle de partout.
- Ça je m'en doute, avec ce que je t'ai mis".
Je partis dans la salle de bains, dans le salon je fus obligé d'enjamber tous les corps enchevêtrés.
Quand au bout d'une heure, je ressortis il ne restai dans la pièce que Abdelhak, Ali et Claude, mon cul ne me faisait pas trop souffrir. Ali me dit "Alors, as-tu pris une décision ?
- Oui, c'est d'accord, je marche avec toi.
- Très bonne nouvelle, tu vas voir le fric qu'on va faire. Allez,
pour fêter ça, ouvrons une bouteille de champagne".
Nous bûmes en parlant et en rigolant jusqu'au moment où nous entendîmes ma voiture, Claude se leva, me prit par la main.
Il m'allongea sur le sol et se couchant sur moi, m'enfessa doucement me faisant gémir.
J'entendis la porte et la voix de Denis dire "Mais il est encore en
train de se faire bourrer le cul cette salope.
- Eh! oui, répondit Abdelhak, ce n'est pas plus mal car nous avons à
parler ensemble.
- Qu'y a t il, il n'a pas donné satisfaction ?
- Au contraire, regarde comme il ronronne sous les coups de bite de
Claude, non c'est autre chose.
- Ah! bon, tu m'as fait peur, au fait avec ce week-end, nous sommes
quittes.
- Bien sur, c'était convenu comme ça, mais viens laissons les baiser
tranquille, allons dans la chambre.
- O.K".
Ils entrèrent, aussitôt Claude se retira de moi, ce qui me fit dire "Pourquoi ?
- Viens, allons voir, ne t'inquiètes pas, après on continuera ce que
nous avons commencé.
- Dans ce cas d'accord".
Nous allâmes dans la pièce derrière la chambre, sur la cloison commune, il y avait une glace sans teint, Claude manoeuvra un bouton et simultanément, on entendit les râles de plaisir que je pousse quand je me fait enculer ainsi que les paroles qui se disaient dans la chambre.
C'était Abdelhak qui parlait "Vois-tu Denis, on a l'intention de
faire travailler Damien avec nous, nous lui avons posé la
question, il semble d'accord.
- Mais, c'est impossible, cette pédale sait qu'il ne peut dire oui
ou non sans m'avoir consulté.
- Eh! bien, nous te consultons. Alors ?
- Non, c'est moi qui l'ai trouvé et initié, il est à moi, il doit me
rapporter le fric.
- Allons, tu es seul dans ce métier, nous on est organisé.
- C'est vrai mais son homme c'est moi et c'est pour moi qu'il doit
travailler.
- Je crois que tu as pas bien compris, en plus le marché qu'on a
passé avec Damien, c'est de lui laisser la moitié de ce qu'il
gagne, donc tu vois la moitié pour lui et l'autre pour nous, je ne
vois pas ce qu'il peut te rester.
- Oui mais il y a un petit problème et il le sait, j'ai des preuves
qu'il ne voudrait pas qu'on divulgue à ses proches ce qui veut
dire qu'il ne peut pas bosser avec vous, sauf si je le veux, et là
on peut s'arranger, par exemple vous trouvez les clients, je
fournis la marchandise et on partage moitié-moitié, lui n'a besoin
de rien, d'ailleurs il n'a pas à donner son avis, il est là pour
donner son cul c'est tout.
- Je vois que tu as vraiment rien compris, si on discute avec toi,
c'est tout simplement pour que tu te retires sans casse, on veut
Damien, il est d'accord donc tu n'est plus dans le circuit.
- Ça c'est un peu trop facile vous ne croyez pas, parce que vous
pensez que vous allez pouvoir m'évincer sans que je ne dise rien,
la moindre chose faite dans ce sens et il est dans la merde
jusqu'au cou, je balance la cassette que j'ai sur moi là où elle
sera regardée avec attention, il sera perdu pour moi ainsi que
pour vous, mais pour lui ce sera pire que tout AH AH AH.
- Je vois qu'il faut qu'on t'explique autrement dit Ali.
- C'est à dire ?
- Où as-tu mis cette fameuse cassette ?
- Que vous êtes naïfs, vous croyez que je vais vous la donner et me
démunir de la preuve que je détiens, mais vous vous fourrez le
doigt dans l'oeil.
- C'est ce qu'on va voir pour la dernière fois. Où est-elle ?
- Va te faire foutre.
- Bien, Ali ferme la porte.
- Qu'allez-vous faire ?
- Ce qu'on doit faire aux pourritures de ton espèce.
- Mais, vous êtes fous !!!
- Mais oui, attrape-le Abdelhak.
- Noonnn nnooonnnn.
- Trop tard ma petite poupée, il y a longtemps qu'on s'est pas payé
un beau cul vierge mon frère et moi.
- Noonn, arrêtez, je vais vous dire où est la cassette et je vous
laisse aussi la pédale.
- Mais c'est ce que tu vas faire, ça on le sait, mais en plus on va
te baiser.
- Noonnn, je vous en supplie, noonnn paasss çaa, je ne suis pas
pédé.
- On s'en fout, tu as un cul, c'est tout ce qu'on sait".
Abdelhak attrapa Denis qui se mit à hurler de terreur "Tu peux
gueuler autant que tu veux, personne ne viendra".
Ali ôta le pantalon de Denis ainsi que son slip, son cul pale apparut sous la lumière blafarde, Abdelhak le coucha sur le ventre, Denis se tortillai pour tenter d'échapper à la poigne d'Abdelhak, celui-ci s'assit sur son dos et pris ses cuisses et les replia de manière à ce que son derrière pointe vers le plafond.
Ali baissa son slip, son magnifique membre d'ébène était dressé, il passa devant et prenant Denis par les cheveux lui releva la tête et lui montrant sa pine lui dit "Regarde la chance que tu as, regarde ce
que tu vas prendre dans ton petit cul, je t'assure c'est un
morceau de choix, après son passage et celui de mon frère, tu ne
pourras jamais l'oublier.
- Noonnn, je vous en supplie, vous allez me déchirer, je ne suis pas
pédé, je ne veux pas, laissez-moi partir, je ne vous embêterai
plus, je le jure.
- On s'en doute, mais avec quelques coups de queue supplémentaires,
là on est sur que tu n'essayeras pas de recommencer".
Ali repassa derrière Denis, il positionna son phallus dans la raie de son cul, à ce contact, Denis essaya encore de se débattre mais en pure perte, Ali le prit aux hanches et commença à pousser écartant ses chairs.
"aa!!!!!!!!!!!" hurla Denis quand le gland passa son sphincter, d'un coup de reins Ali s'enfonça dans son cul jusqu'à la garde et se mit à le besogner vivement, Denis ne faisait plus que hurler la bouche grande ouverte.
Tout le temps que dura cette sodomie, ce ne fut qu'un cri continu, quand Ali éjacula, il le décula brusquement lui arrachant au passage de son gland encore un cri de bête blessée.
Abdelhak aussi le lâcha, il resta sans réaction pleurant, il porta une main à son fondement, mais Abdelhak qui s'était posté derrière lui l'empêcha de se toucher et l'enfila d'un violent coup de reins qui le fit hurler de douleur de nouveau.
Abdelhak le posséda en de larges coup de bite avec des "HAN" de bûcheron, de la manière dont Denis gueulait, je dus mettre mes mains sur mes oreilles, mais le regarder se faire limer par Abdelhak me procurait un plaisir étrange.
Pendant ce temps, excité par le spectacle qu'on avait devant les yeux, Claude passa derrière moi et me penchant un peu en avant, il me pénétra lentement me faisant gémir, puis il se mit à aller et venir vivement ne tardant pas à me faire monter au septième ciel.
Je reçus les jets de foutre de Claude au moment même où Abdelhak jouissait au fond du cul de Denis, celui-ci ne hurlait plus, il était sans réaction et quand son enculeur se retira, il resta immobile le cul en l'air, les yeux complètement hébétés.
D'une claque, Ali le jeta à bas du lit et lui demanda "Alors ordure,
où est cette cassette ?
- Dans la voiture dans la boite à gants.
- Eh bien, tu vois que tu deviens raisonnable, un bon coup de pine
et ça va mieux. Hein ?
- Bon je vais aller voir si c'est vrai, toi Abdelhak, tu restes avec
lui".
Ali revint deux minutes après, il avait la cassette. Les deux frères sortirent enfermant Denis à double tour, nous nous retrouvâmes dans le salon, Abdelhak mit en route le magnétoscope et nous regardâmes, c'était bien ça.
Abdelhak appuya sur eject, prit la cassette et me la donna en disant "Je crois que tu devrais la détruire.
- C'est ce que je vais faire dis-je".
Denis fut libéré quelques temps après, ce fut la dernière fois où je le vis.
Inutile de dire que cette nuit là, ce fut encore la fête à mon cul, quand les trois hommes me laissèrent, vers quatre heures du matin, mon cul était totalement éclaté mais j'étais comblé.
Le lendemain je partis, nous prîmes rendez-vous pour le vendredi soir à sept heures.
Damien
lineenchasse@yahoo.fr
Autres histoires de l'auteur : La découverte du plaisir