Premier épisode | Épisode précedent
Après cette 1ère prise de contact avec les exigences de mon boss, nous sommes encore restés plusieurs jours à nous envoyer plus d'une quinzaine de textos/jour. Boss me précisait ce qu'il attendait de moi, et moi j'exécutais : il fallait que je trouve un max de mecs à sucer, et de préférence à avaler. Evidemment, hors de question que je parle de mes propres besoins : je ne suis qu'une pute, une salope suceuse de queues et pompe à foutre accessoirement, rien de plus. Plus on avance dans la relation, plus Boss me plait : LE Boss que j'ai toujours attendu, un mec "normal", simple, sympa, intelligent dans la vie, et un pur mâle dominant, absolument superbe, qui fait de moi ce qu'il veut, qui me soumet totalement à ses moindres désirs, y compris quand on est pas ensemble... le pied absolu !
Du coup, je multiplie les annonces, les inscriptions aux sites de rencontre,... et les rencards avec des mecs, de préférence "hétéros" ou bi, pour les sucer dans mon garage, des chiottes publics, une allée d'immeuble, le parc près de chez moi... n'importe où, le plus souvent possible, avec le plus de mecs possibles...
Avant chaque rencard, je prends soin de tout expliquer à mon Boss, âge, physique, type de plan prévu, endroit... et de lui demander si je dois avaler ou pas. Une relation de réelle confiance s'installe : quand je le sens pas trop, que je connais pas le mec, Boss est ok pour que m'abstienne d'avaler. Boss respecte sa pute... et moi je vénère de plus en plus mon Boss !
Je suce jusqu'à 3 mecs certains jour. Par contre, on a pas évoqué la chatte de la pute... à ce moment là, je ne crois pas que ce soit ce qui intéresse mon Boss. Mais je suis toujours prêt, au cas où... et sous l'impulsion d'un "régulier", bi marié bien sympa à la queue toujours raide, je m'achète un string ficelle noir à dentelles, plus femelle tu meurs. Bien sûr, j'en parle à Boss avant, et il me dit qu'il est ok, qu'il aime bien. Ouaou ! Il aimerait même que j'aille plus loin... moi aussi, mais faut régler certains détails avant, notamment financiers : je n'ai pas trop les moyens. Peut-être que mon "régulier" pourrait m'en faire cadeau...
Un samedi, le texto tombe : "t'es dispo salope ?" Oui, oui, mille milliards de OUI ! Il me précise l'adresse, m'explique dans quel coin ça se trouve... ok, je fonce à la salle de bain me préparer de partout comme une bonne petite femelle dévouée, je récupère ma caisse et je file. Je galère carrément pour trouver, je perds du temps, je stress... Boss au tel a toujours sa sublime voix, contraste saisissant entre virilité, domination et douceur et calme, et il me dirige. Je finis par trouver, je me gare, je monte. Dernier étage...
Boss m'ouvre, grand sourire (putain c'est grave ce qu'il me fait fondre !), me dit d'entrer. Il s'asseoit dans son canapé, se met à l'aise, prend son ordi portable, et me dit tout simplement, tout calmement : "maintenant je vais mater quelques vidéos et toi tu vas me sucer, ok ?" Bien sûr que je suis ok ! je suis à genoux devant lui, il enlève son fute, le temps que ses cuisses, ses mollets, ses pieds, ses poils, me mettent dans un état indescriptible, sans parler de ses couilles (bien rondes, lisses, soigneusement épilées) et de sa queue (tondue mais ni rasée ni épilée, Boss est un vrai mec !), sa superbe queue, qui, si j'étais "physionomiquement" une femelle, me ferait mouiller de la chatte à inonder le tapis...
Je suce de toute mon âme, je lèche quand Boss me dit de lécher, je gobe quand il veut que je gobe, je ralentis, j'accélère à ses ordres. Je n'existe plus, mon cerveau est totalement déconnecté, je ne suis qu'une bouche, une bouche de pute dévouée aux plaisirs de son Boss. Il m'apprend, avec une infinie patience et toujours cette voix si douce et en même temps si impérative, comment m'occuper de sa queue, comment faire monter son plaisir, comment le satisfaire. Et moi je me sens comme une idiote, mélange de honte de ne pas savoir faire d'instinct devant un mec qui mérite tant, et de rage d'apprendre, pour lui donner ce à quoi il a droit : le meilleur. Boss snif un peu de popper's au passage, je le suce longtemps... et je le surkiffe ! Qu'il prenne ainsi son temps, qu'il savoure, qu'il m'apprenne, encore et toujours...
Et là, à ma plus grande surprise, il me dit, toujours très calmement "fous toi à poil et suis moi", suivi de "tu l'aimes ma queue, elle te plait ?" Oh que oui, la perfection Boss !
Dans la chambre, un grand lit, où Boss me dit de me mettre à 4 pattes... je n'ose pas y croire : je vais me faire niquer par MON BOSS ! Sans préliminaires, il enfile une capote, met du gel, snif un coup, et me pénètre... je sens son gland qui force le passage... légère douleur (qu'est ce que j'aime ce moment : quand ça fait mal et qu'on sait que ça va être bon, quand le mâle prend possession de sa femelle, qu'il lui impose sa virilité, sa domination, sa bite !) rien n'arrête mon Boss, il m'empale jusqu'au fond et moi j'étouffe mes couinements de femelle mi-douleur mi-plaisir.
Boss part pour une chevauchée fantastique : il me laboure comme l'étalon qu'il est, longtemps, fabuleusement... Il me demande de serrer mes cuisses, j'obéis évidemment, et je le sens encore plus présent en moi. Il me remplit complètement, physiquement, psychologiquement, sexuellement. A cet instant je sens que je lui appartiens, malgré les textos d'une autre de ses salopes à qui il vante sa domination (et qui, bien entendu, me rendent malade de jalousie), il fait de moi ce qu'il veut. Il me dit que j'aime ça, que j'aime sa queue, qu'elle me plait, que je suis une bonne salope... ce n'est plus interrogatif, il est sûr de lui, et il a tellement raison !
Au bout d'un moment, je ne me retiens plus, je me lâche complètement dans les cris de femelle saillie par son mâle. Boss est brutal, viril, égoïste, bourrin, il défonce ma chatte sans ménagement, et moi je suis au 7ème ciel (y'a pas plus haut ?) : il me baise exactement comme j'aime et il m'entraîne dans des orgasmes (que ceux qui n'ont pas connu ça se mordent les doigts, je parle du pur orgasme anal, quand la prostate a été tellement travaillée qu'elle explose, qu'on ne sait plus si on a envie de pisser, de juter, ...) qui valent 1000 jouissances de la bite et qui durent plus longtemps...
Au dernier orgasme, je n'en peux plus, je finis par lui dire que je suis en train de partir, et quand l'intensité baisse enfin, je constate que Boss a ralenti, qu'il sort de ma chatte... envahi d'un doute, je me retourne... et je constate complètement stupéfaite, totalement comblée et fière de moi que mon Boss a vidé sa semence de mâle en moi, dans la capote... je fais mine de rien, mais s'il savait comme il rend sa pute heureuse à cet instant précis !
Il va dans la salle de bains, je me rhabille. Je sors de la chambre, je reprends mes esprits, ça y est, j'ai " switché " : je suis à nouveau un mec.
Boss me rejoint, toujours avec son sourire ravageur, il a l'air content et satisfait et ça, ça met une cerise en diamant sur le gâteau de notre plan cul. Il me sert un verre d'eau, on échange comme 2 mecs simples qui apprennent à se connaître.
Je découvre sa culture, son intelligence, sa gentillesse, sa " normalité ", et je me dis qu'on pourrait très bien être potes.
Ce n'est pas le pote qui m'enverra un dernier texto sur le chemin du retour mais mon Boss : " tu as super bien bossé, c'était parfait. " Je lui réponds que c'est lui qui est parfait et je le pense. Je ne lui avoue pas qu'il est tellement parfait que je pense pas le mériter...
Putedesteph69
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