Je dois avouer que j'ai un faible pour les beaux gosses en survêtement. Ça leur donne une allure décontractée et ils semblent aisés. Les survêtements, tout comme un peignoir, c'est souvent doux et moux au toucher... c'est ce qui fait que j'aime tellement ça. J'ai d'ailleurs une histoire à raconter où un survêtement a fait l'objet de ma surexcitation.
Tandis que j'étais au volant de ma bagnole en direction de chez mon mec, j'écoutais de la musique douce et je me réjouissais de la chaufrette de la bagnole qui rendait l'intérieur de l'habitacle un endroit confortable.
Arrivé chez mon mec, il embarqua sa planche à neige et ses bottes dans l'automobile et ensuite lui aussi vint s'asseoir à sa place, soit sur le siège de l'apprenti-conducteur. Une fois assis, je le regardais tout en descendant mon regard le long de ses cuisses. Il portait un pantalon survêtement noir qui semblait si doux. J'avais tellement envie de le toucher et par la suite faire l'amour, mais je n'avais pas le temps, car je devais me rendre à la station de ski pour 17 h.
Une fois les billets achetés et, assiégés dans la remontée mécanique, nous commençons à parler. Je n'avais pas beaucoup de choses à dire. Je dois avouer que lorsque je suis bandé, je suis muet comme une tombe... et c'était le cas. Je savais qu'il portait son survêt noir et je ne me doutais pas qu'il soit si doux. Dès la deuxième remontée, il comprit que j'étais bandé. Il m'a donc proposé de partir pour que nous puissions aller satisfaire nos besoins/désirs. Je l'emmenai donc chez moi. Tout au long du trajet, il me massait la verge à travers mon pantalon, donc quand nous sommes arrivés, nous étions tous les deux très excités... voire, très bandés.
Dans la maison, dans ma chambre, il s'est assis sur mon lit. Je me suis mis à genou devant lui, la tête vis-à-vis son entrejambe. Je lui ai demandé de faire de moi son esclave en autant que ce soit excitant. Il m'a entouré le coup de ses jambes recouvertes du survêt et j'ai senti la douceur du tissu me flatter le cou. Il serra plus fort jusqu'à ce que ma face soit face collée contre sa bosse. Il baissa donc son survêt à cet endroit, pris sa queue en main et commença à me fouetter tendrement le visage. Ça faisait tellement du bien. Je ne pouvais demander mieux.
Évidemment, quelques minutes plus tard, je me mis au boulot et le suça sans arrêt. Ma respiration nasale était forte, mais ça en valait la peine. Beaucoup de va-et-vien sur sa teub bien raide. Je me plaisais également à bouger mon nez dans sa petite forêt poilue bien douce et odorante. Ah lala, bien qu'esclave pour lui, s'il n'aurait pas voulu de moi, j'aurais payé des centaines de dollars pour pouvoir le sucer et qu'il accepte. Heureusement, je pouvais le faire sans frais. Ce si beau petit blond, j'étais à lui. Mon Maître, il était mon Maître et j'étais sa "servante".
Quand il en eût assez d'être sucé, il me poussa au sol sur le matelas qui y était étendu. Il retira son survêtement et me couvra le visage avec. À plat ventre, survêt au visage, je sentais mon sexe se redressé encore, contre le matelas. Il embarqua sur moi et pénétra mon anus avec sa baguette comme on plante un clou dans le moux. Son clou (pénis) entra profondément en moi et nous ne formions maintenant qu'un seul personnage. J'étais muet de mots, mais tellement bavard de sons et cris de jouissance. Mon amour me contrôlait entièrement et j'en étais tellement content. Il m'ordonna de me masturber moi aussi en effectuant des mouvements/frotements contre le matelas. Nous bougions donc tous les deux et nous avons éjaculé en même temps. Son foutre était en moi et le mien luisait sur le drap. Il me déplaça et lécha mon foutre avant de finalement nettoyer mon tube en me suçant.
Avant d'aller le reconduire chez lui, je l'embrassai sur la bouche en échangeant nos langues... ce qui lui laissa le souvenir de cette autre histoire...
ADAMHORNY
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