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2- PREMIER RENDEZ-VOUS.
Enfin le terminus. Il faut dire que je n'ai rien vu du voyage, tout à mon souvenir de ce que je venais de vivre avec Matthieu. J'ai finalement trouvé une place assise, et mes yeux sont restés rivés sur sa carte de visite. Comment ai-je fait pour qu'un homme, en si peu de temps, me laisse sa carte comme ça, dans ma poche. Il m'a fait un effet boeuf (et mon boxer tout humide de ma semence me le rappelle à chaque mouvement), mais qu'ai-je fait pour qu'il me laisse toutes ses coordonnées en cadeau ?
C'est l'esprit agité de cette question que je chemine vers mon domicile. J'habite dans une banlieue quelconque du sud de Paris, mais un quartier sympa calme, et surtout un appartement au calme et bien éclairé. Une fois celui-ci atteint, et sans même prendre le temps de jeter un oeil à mon courrier, je file dans la salle de bains, me déshabille, et constate que mon boxer est devenu transparent tellement j'ai mouillé et éjaculé à cause de la masturbation divine de Matthieu. En ôtant mon boxer, je constate que ma toison pubienne est encollée à mon ventre avec mon sperme et que je continue de bander, moins fort qu'entre les doigts de Matthieu certes, mais que je garde une certaine raideur qui me décalotte à moitié le gland cramoisi et humide.
Je me glisse sous la douche, histoire de remettre un peu d'ordre dans mes idées et effacer (à regret) les traces de notre rencontre. Mais l'envie de revivre ces instants magiques me taraude, la douce chaleur de l'eau, le contact suave de mes mains ensavonnées sur mon sexe m'excite et rapidement, je m'empoigne la verge desormais raide pour m'offrir un nouvel instant de plaisir solitaire.
Pourtant, en sortant de ma douche, une seule idée m'obsède: revoir Matthieu, et vite ! Je me précipite sur mon portable, saisit la carte et commence à composer son numéro. Mais juste avant le 10ème chiffre, ma main s'arrête net !!!
- Réfléchis avec ta tête imbécile !!! Pas qu'avec ta queue !!! Il est chez lui, en famille, tu vas le déranger, le gêner.
Je termine quand même le numéro pour l'enregistrer dans mon répertoire. Voilà, maintenant, je pourrai l'appeler quand je le souhaite.
Après un diner frugal, je pars bouquiner tranquillement dans ma chambre, et comme 9 fois sur 10, c'est la chute de mon livre sur le visage qui me rappelle que je me suis encore endormi en lisant. Ma nuit est agitée de rêves tous plus érotiques les uns que les autres, et je me réveille pleins des mille et une caresses que Matthieu m'a fait dans mon sommeil.
Après une douche rapide et un petit déjeuner expédié, je cours vers mon cher RER. Je le regarde d'un autre oeil ce matin. Déjà il n'est plus en grève, et depuis hier, je le trouve presque " sympa ".
Le trajet se passe sans encombre majeur, et j'arrive à mon bureau, à côté des Champs Elysées. La bise à Jacqueline de la comptabilité, et me voilà devant mon écran. Je suis commercial, tout juste embauché depuis un mois, et ma mission est claire : ramener du pognon !!! Le patron de la boite, Mr François Wagner, passe chaque matin, et j'ai droit systématiquement au même refrain:
- Alors Dupuis, le million, c'est pour quand ?
- Bientôt Monsieur Wagner, bientôt.
- Va falloir Dupuis ! Va falloir !!! C'est votre chiffre d'affaire qui vous paie, pas moi, et pas de chiffre, pas de paie !!!
Voilà, ça c'est fait !!! Comme ça, j'ai bien la pression pour toute la journée. Les affaires ne sont pas florissantes et je peine à décrocher des rendez-vous. Et aujourd'hui, en plus du stress du boulot, mon esprit revient sans cesse à mon aventure d'hier soir. Matthieu m'obsède et je n'arrive pas à me concentrer. Il faut que je me libère l'esprit de Matthieu.
Mais je veux le revoir, je veux retrouver la caresse de sa main sur mon corps, et dans un endroit plus propice aux échanges que le RER. Je ressors sa carte de visite et la regarde longuement, que dois-je faire ? Et si je lui envoyer un mail, comme ça, il aurait mon adresse, et on pourrait peut-être échanger, et qui sait nous revoir ?
Ni une ni deux, je saisis l'adresse avant de lui envoyer ce message
" Bonjour,
Suite à notre rendez-vous d'hier, je vous confirme tout l'intérêt que nous portons à l'avant-projet que vous m'avez présenté, et je serai ravi de vous rencontrer de nouveau pour approfondir votre proposition.
Dans cette attente, veuillez croire en l'expression de mes salutations distinguées.
Romain Dupuis "
Je clique sur Envoyer, et soupire d'aise et de crainte à la fois, espérant qu'il lira et comprendra mon message. Je me remets à mes différentes tâches quand retentit la sonnerie qui m'annonce un nouveau mail. Je clique sur Ouvrir et découvre un message de Matthieu !!!
" Monsieur,
Je suis ravi que ma prestation d'hier vous ait convaincue d'aller plus avant dans notre collaboration. Afin de pouvoir approfondir le sujet, je vous propose de me contacter au 06...... afin que nous convenions d'un rendez-vous dans les meilleurs délais et dans des conditions plus appropriées.
Dans cette attente,
Matthieu Thomas. "
Là, le doute n'est pas permis, il me donne rendez-vous, et seul à seul. Mon coeur bat la chamade, je sens des bouffées de chaleur qui montent, et ça doit se voir parce que Anne, l'assistante commerciale, me demande si je vais bien.
- Oui, oui, ne t'inquiète pas, j'ai mangé un truc hier qui ne passe pas, je vais prendre l'air 5 minutes et je reviens.
Je prends ma veste et sors rapidement de l'immeuble. Je saisis mon téléphone, et le coeur battant, j'entends la sonnerie sur le téléphone de Matthieu.
- Matthieu Thomas, bonjour !!!
Sa voix est pleine d'assurance, chaude, virile. Je me sens bouleversé en un instant.
- Bonjour, je suis Romain Dupuis., nous nous sommes rencontrés hier dans le...
- Oui, je me souviens particulièrement bien de vous. Alors ce rendez-vous, quand pouvons-nous le fixer ?
- Dès que tu veux !!!
Le tutoiement est venu spontanément, aussi fort que le désir qui déforme mon boxer au son de sa voix.
- Disons ce soir vers 20h00. Je vous fais suivre l'adresse exacte par mail. Merci de m'avoir rappelé Mr Dupuis, et à ce soir.
- Oh oui, à ce soir !!!
Il raccroche aussi vite qu'il a répondu. Mon Dieu, ce soir, mais je ne suis pas...enfin qu'est-ce que j'avais de prévu...c'est rapide pour le coup..... Je m'adosse à la façade de l'immeuble, tout chamboulé par ce rendez-vous si rapide, histoire de regrouper un peu mes esprits.
" Tu n'as rien de prévu ce soir, tu vis seul mec, rappelle-toi, et ce soir, tu as un homme de rêve qui te donne un rendez-vous pour sans doute l'un des meilleurs moments de ta petite vie, alors, arrête de te prendre la tête et vas-y....Et ramène une bouteille de vin, il aime peut être çà ". Ma voix intérieure est parfois très dure avec moi, mais je l'écoute souvent, parce qu'elle est de bon conseil en général.
Après cette mise au point interne, je remonte à mon bureau, trouvant sur mon PC le mail de Matthieu avec une adresse et un code de porte. Je vérifie illico sur Google Maps où cela se trouve et comment y aller. C'est sur ma ligne, et c'est une adresse privée !!! Il m'invite chez lui on dirait. Allez, calme toi, respire, voilà, maintenant tu bosses et tu verras bien ce soir.
La journée ne semble pas en finir, mais enfin, je peux quitter mon poste. Je file chez un caviste que je connais et lui demande une bonne bouteille de blanc pour une soirée intime. Le regard grivois, le caviste me dit qu'avec ce cru, Madame va est très heureuse...
Pauvre con !!! Pourquoi faut-il que cette bouteille soit pour une soirée destinée à culbuter Madame ??? J'ai juste envie de lui dire que j'espère bien faire l'amour grâce à ce vin et au type à qui je la destine, mais le temps tourne et je ne veux pas être en retard. Toi, tu n'es pas prêt de me revoir, tu m'as énervé !!!
Je file prendre mon RER préféré, descends à la station indiquée à Boulogne dans le mail et me rends à l'adresse de Matthieu. Il habite un quartier chic, où manifestement l'argent n'est pas un problème.
Je suis un peu en avance, et je vois sur le trottoir un monospace chargé de bagages, avec 2 bambins à l'arrière, Matthieu et une ravissante jeune femme qui lui dépose un baiser sur la bouche. Je me cache derrière un arbre. Elle monte, démarre puis s'éloigne en faisant un signe de la main, et disparaît au coin de la rue.
Matthieu pousse la porte cochère et j'en profite pour le rejoindre.
- Bonsoir Matthieu.
Il se retourne, me gratifie d'un sourire ravageur
- Bonsoir Romain, je t'attendais.
- Ta famille est partie pour les vacances ?
- Oui, mon épouse va se mettre au vert dans la maison de mes parents en Sologne, elle part une semaine avec les enfants.
- Ah si peu...oh excuse-moi, je suis désolé.
- Allez, monte, me dit-il, je crois que nous avons un dossier en cours que je dois reprendre en main.
Dans l'ascenseur, Matthieu se tient sagement à mes côtés. Mais déjà son parfum m'entoure, et je sens mes sens s'animer sérieusement. Il me précède sur le palier, ouvre la porte et me laisse entrer.
C'est un appartement cossu, moderne, typique du jeune couple qui a tout de suite bien démarré dans la vie.
La porte se referme, le verrou claque. Voilà, j'y suis. Face à moi, Matthieu. Un sourire sincère, un peu gêné.
- C'est pour nous la bouteille ?
- Ah oui c'est pour toi et moi, maintenant ou quand tu voudras, dis-je en la lui remettant.
- On verra ca plus tard, dit-il en la déposant sur la console de l'entrée, pour l'instant, j'ai faim, pas soif.
Il se place face à moi et doucement mais sûrement, se rapproche et me pousse contre le mur. Ne pouvant plus reculer, je le sens se plaquer contre moi et poser ses lèvres sur ma bouche. Ah mon Dieu qu'elles sont douces !!!. Un baiser posé délicatement pendant que de ses mains, il enserre mon visage.
Je sens sa langue qui se glisse entre mes lèvres et j'ouvre les miennes pour l'accueillir. Le baiser se fait alors plus profond, plus intense, plus viril et dominateur. Il me fouille de sa langue, et je m'abandonne à son baiser plein de fougue.
Ses mains glissent de mon visage et me caressent de partout. Je pose les miennes sur ses hanches et le plaque contre moi, sentant sa virilité se dresser dans son pantalon, fière et puissante.
Tout en m'embrassant Matthieu commence à m'effeuiller. Ma veste tombe très vite et je sens que les boutons de ma chemise sautent les uns après les autres. Les pans sortent de mon pantalon, et les mains de Matthieu viennent me pétrir les pectoraux. Je gémis de plaisir, de désir quand il me pince les tétons dressés.
Ma chemise rejoint très vite ma veste sur le sol de l'entrée. Nous n'avons toujours pas fait un mètre depuis que je suis entré chez lui.
Je suis torse nu, le pantalon déformé par la plus grosse érection que je n'ai jamais eu jusqu'à présent. Il sait m'exciter, me stimuler. Sa main se plaque sur mon sexe raide et une lente caresse sensuelle, torride s'applique à me masser la verge à travers le pantalon. Je sens contre moi son corps chaud à travers ses vêtements. Lui aussi a une érection magnifique dans son pantalon. J'ose ma main sur sa bosse et sens un sexe qui me semble énorme et tellement dur.
Pendant que je soupèse son sexe, il défait ma ceinture, dégrafe mon pantalon et baisse ma braguette. Il l'écarte et dévoile mon boxer complètement distendu. Mon pantalon glisse sur mes mollets, je vire mes chaussures, je suis presque nu, là, dans l'entrée de son appartement. Matthieu glisse alors sa main dans mon boxer et s'empare de mon sexe, d'une poigne virile qui me fait comprendre qui sera le maitre dans nos ébats.
Il entame une lente masturbation, comme hier dans le train. Je ferme les yeux de plaisir tout en malaxant sa bosse. Sa main coulisse sans heurt sur ma verge. J'aime cette force mêlée de douceur sur mon sexe. Je ferme les yeux, rejette ma tête en arrière. Il m'embrasse le cou, les épaules, avec langueur. Il me lâche le sexe, et pose ses mains sur mes hanches. Je sens glisser mon boxer sur mes hanches puis mes fesses et choir sur mes chevilles. D'un mouvement rapide, je l'expédie au sol.
Me voilà nu, offert à son désir et son regard qui me transperce.
- Viens, suis-moi, dit-il dans un murmure où transparait son excitation.
Doucement, il me prend par la main et m'emmène dans le séjour. Il s'installe sur le canapé, me laissant debout face à lui.
Il me regarde, me détaille de la tête au pied. Je suis nu, bandant, le souffle court. Mon torse se soulève rapidement au rythme d'une respiration que je n'arrive pas à maitriser.
- Tu es désirable à souhait Romain. Exactement ce dont j'ai toujours rêvé.
Il se redresse, m'attire à lui en me prenant par les hanches. Je sens sa main qui doucement me caresse les fesses pendant que l'autre reprend la masturbation entamée dans le couloir.
Je me laisse totalement guider. Je suis un jouet entre ses mains. Il se penche alors vers mon sexe et le lape avec une sensualité jamais connue à ce jour. J'ai des frissons de plaisir partout dans le corps. Je gémis, caresse sa nuque et je sens mon gland disparaître dans sa bouche. Il commence à coulisser le long de ma verge, entamant une fellation de rêve.
Je plane complètement pendant que Matthieu s'active sur ma queue. Je sens monter la jouissance, je le ralentis. Il faut que cela dure toute la nuit.
Pendant qu'il me suce, Matthieu part explorer mon fessier. Il immisce ses doigts dans ma raie et glisse vers ma rondelle. Je sens son majeur qui la caresse, la travaille un peu, puis me pénètre. Je pousse un râle de plaisir sous la caresse buccale et anale. Sentant que je vais jouir s'il continue ainsi, Matthieu libère ma verge, et m'invite à m'agenouiller. Je m'exécute.
- Vas-y, dessape-moi, me dit-il dans un souffle.
Alors sans retenue, je me jette sur ce corps tant désiré. Sa chemise vole en un instant, découvrant un torse dessiné, sans un poil, avec deux magnifiques petits tâtons bruns, gros comme une pièce de 2 centimes, mais avec une pointe ferme que mes doigts malaxent d'envie. Il a des pectoraux légèrement saillants, avec juste ce qu'il faut de relief pour les rendre sublimes. Son ventre ferme laisse deviner sous sa peau douce comme le satin des abdos fermes, habitués des salles de sport.
Ma bouche s'attarde sur ses pectoraux, ma langue ne se lasse pas de jouer avec ses deux pointes d'ébène au bout des tétons. Je respire à plein nez son parfum frais, citronné. Je glisse sur ses aisselles qui fleurent bon le déodorant de qualité mais également une légère pointe de transpiration, le rendant encore plus viril, excitant, désirable.
Mes mais glissent alors sur son pantalon et rapidement celui vole au milieu du salon avec ses chaussures.
Il est face à moi, juste en slip, un slip blanc à poche CK, parfaitement ajusté, dessinant ses hanches avec finesse, plaqué sur son ventre et mettant magnifiquement en valeur son sexe bandé. La barre de chair est glissée sur le côté gauche de son slip, et ses deux testicules sont parfaitement moulés dans le coton blanc. Je glisse ma main dans la poche, cherchant la fente qui me fera accéder à son sexe. Je vais enfin pouvoir le toucher, le caresser.
Mes doigts trouvent enfin la 2nde fente du slip. J'écarte délicatement le tissu. Je rencontre sa touffe, drue, épaisse. J'ai toujours aimé les toisons pubiennes, puis rapidement je sens son sexe le long de mes doigts. Je glisse mes doigts sur ses poils, les caressant en effleurant son ventre, profitant de la chaleur que l'excitation fait monter dans son slip. Puis prolongeant mon exploration, je descends sur la base de son sexe. Mes doigts viennent l'enserrer délicatement, sentant au passage ses deux grosses couilles lourdes. Un à un, mes doigts se referment sur la tige raide et remontent sensuellement vers le gland.
Matthieu gémit sous mes caresses. Sa main me caresse la joue et le menton. Son regard brille d'envie et d'excitation.
- C'est bon Romain, c'est très bon.
Sa queue prisonnière de mes doigts tressaille quand ceux-ci remontent tout du long. Ils arrivent au gland. Je le devine recouvert d'un prépuce doux comme la soie. Je le fais très lentement coulisser sous l'ourlet du gland. Je le sens brulant sous mes doigts, et légèrement humide ; J'atteins le méat et en extrait une goutte de mouille que j'étale doucement sur le frein.
Matthieu rejette sa tête en arrière, soupirant de contentement. Je me penche sur son slip, caressant de l'intérieur son sexe, puis glisse ma main du gland aux boules. Je les enserre, les malaxe dans le slip, tandis que ma bouche se pose sur son sexe raide enveloppé de coton.
Une odeur de mâle viril se glisse dans mes narines. Ce mélange de sueur, urine du jour et d'hormones sexuelles qui se libèrent au fur et à mesure que je joue avec ses couilles. Un parfum musqué qui m'attire au plus près du slip et qui m'invite à le dévorer. Ma bouche s'ouvre, ma langue pointe et le bout se pose sur la petite tâche de mouille qui couronne le gland encore dissimulé par l'étoffe. Je lèche son sexe tout du long à travers le coton, coulissant du gland aux testicules et inversement.
Mon autre main vient se poser sur sa cuisse et mes doigts se glissent sous l'élastique de l'entrejambe. Je viens caresser la zone entre les testicules et l'anus, une zone chaude, humide, poilue sans excès.
Matthieu écarte ses cuisses, emprisonnant ma main et mes doigts dans le coton blanc. Je continue mon exploration du slip tout en léchant et embrassant le sexe bandé de mon nouvel amant d'un soir. Mes doigts se glissent vers la rondelle de Matthieu, et je le vois frémir fortement quand je m'approche de sa rondelle. Puis je descends très lentement vers sa rosette et la caresse. Elle est ferme, serrée, et ne veut pas s'ouvrir sous ma caresse digitale. C'est une rondelle d'actif, peut-être même vierge, que personne n'a jamais ouverte auparavant.
- Pas tout de suite Romain, je ne suis pas prêt, me dit Matthieu en reculant sur le canapé.
- Pas de soucis, tu me diras quand tu le seras.
Je continue ma caresse buccale sur son sexe, et de mon autre main, j'écarte le tissu par l'élastique plaquant son slip aux cuisses du côté de son gland.
Libéré, celui-ci se glisse hors du slip. Il est divin. Un gros gland rouge brun, épais, avec un magnifique ourlet, qu'un frein scinde en deux parties égales, avec deux superbes lobes humides de precum. Je pose mes lèvres dessus et dépose un doux baiser. Puis de la pointe de ma langue, je viens recueillir la goutte de mouille qui perle de nouveau.
Matthieu se cabre d'un coup.
- Oh Romain !!!! oui, suce-moi !!!
Alors n'y résistant plus, je me redresse, extrait mes mains de son sous vêtement, et je lui arrache le slip pour l'avoir nu devant moi.
Sa bite se dévoile d'un coup, claque sur ses abdos fermes et dessinés. Une bite superbe, de 20 cm, droite comme un I, un vrai pieu surmontant une paire de couilles lourdes, bien viriles, poilues, des vraies couilles de mec.
Je me penche alors sur ce sexe tant désiré et le prend en bouche pour l'honorer comme il se doit. Je suis agenouillé, entre ses cuisses et je pompe cette bite avec application et délectation. Je la fais coulisser dans ma bouche jusqu'à l'avaler toute entière. J'aime son gout légèrement salé, le parfum d'homme excité qui se dégage de sa toison. Je m'applique à lui donner tout le plaisir qu'il m'a déjà offert hier et ce soir.
Sa main se fait plus pressante sur ma nuque, il a la tête rejetée en arrière les yeux mi-clos. Ma pipe lui plait dirait-on. Il accompagne mon hochement de tête de sa main ferme tout en me caressant les cheveux. Je le suce à fond pendant 10 bonnes minutes, en alternant les gorges profondes, la pompe du gland, le léchage ou le gobage de ses deux grosses couilles. Il se détend de plus en plus gémissant de plus en plus fort, murmurant mon prénom avec une intensité grandissante.
- Arrête-toi, je vais jouir sinon...me dit-il le souffle court, luisant de sueur
Je lâche à regret cette verge luisante de salive. Il me relève et me retourne, empoignant mes fesses à deux mains et les écarte sans ménagement.
- Penche-toi et montre-moi ta rondelle.
Aussitôt je m'exécute, offrant mon cul à sa langue experte. Elle pointe et commence un léchage de 1er choix. Je sens peu à peu mon petit trou se détendre et sa langue s'introduire plus avant dans mon intimité. Une fois encore, il sait me mettre en extase et je m'abandonne à lui.
Il se relève, la bite toujours raide, et va dans une autre pièce de l'appartement. Il revient avec une boite de préservatifs.
- Lève-toi et viens là.
Matthieu me guide au milieu du salon, face à la baie vitrée à travers laquelle on peut voir tout l'ouest parisien.
- Vas-y penche toi un peu en avant, me dit-il en enfilant une capote.
Il vient se coller contre moi. Je sens son pieu recouvert de latex le long de ma raie, il le fait monter et descendre, frottant parfois son gland sur ma rondelle sensibilisée par sa langue.
Ce frottement dure quelques instants quand sans me prévenir, il me transperce d'un coup de queue et me déchire le cul en enserrant les hanches entre ses mains
Une brulure insupportable m'envahit le ventre en même temps qu'un plaisir intense. Je crie de douleur et de surprise sous cet assaut anal brutal.
Il vient de m'enculer comme un mâle en rut, et me prend sans ménagement. J'ai mal mais j'adore sa bestialité.
Il me saisit les hanches et entame un limage profond et rapide, histoire de bien me chauffer le fourreau. Je cherche un point d'appui pour résister à ses coups de butoir dans mon cul et la seule possibilité, c'est la baie vitrée.
Je plaque mes mains sur la vitre et courbé en deux, pendant que je fais face à Paris, je me fais enculer par Matthieu comme un sauvage.
Son dard glisse dans mon ventre sans à-coups et vient me taper au fond du rectum, me donnant à chaque fois un coup de butoir divin. Il pousse des grognements de plaisir, des râlements sonores, du genre qu'un homme, un mec, un mâle pousse quand il satisfait son besoin primaire de sexe.
Il m'attrape les épaules et en basculant d'un coup son bassin, m'enfonce encore plus loin son sexe dur dans mon ventre.
- Oui Matthieu, vas-y !!! Baise moi, baise moi le cul, défonce le moi profond !!!
- T'aime ça, une bite dans le cul ?
- Oui !!!! vas-y !!! encule-moi à fond !!!!
D'une main, il attrape mes cheveux et me tire la tête en arrière. Je me fais enculer sauvagement, monté par un étalon en rut qui me défonce la croupe à gros coups de bite.
Son ventre claque contre mes fesses. Ma bite ramollie valse entre mes jambes au rythme de ses assauts rectaux. Mon ventre est en feu, mon rectum envahi par une queue survoltée.
Lentement il ralentit la cadence de ses assauts, comme s'il avait voulu me montrer qui était le maitre du jeu et me soumettre à son bon vouloir. La douleur a fait rapidement place à un plaisir sans nom et sa queue me ramone divinement bien, tout en profondeur, en longueur et en volupté. Je le sens m'envahir au fond de mon ventre et son gland me frotte sur toute la longueur.
Il me lime lentement maintenant, profitant pleinement de ma croupe offerte et dédiée au plaisir. Dans le reflet de la vitre, je le vois prendre son pied à me caresser la nuque, le dos, à saisir ma queue pour la branler et la faire rebander.
Le temps est suspendu, et seul compte le mouvement de son corps contre et dans le mien.
- Tu aimes ?, me demande-t-il en se couchant sur mes reins, ça te plait de te faire prendre comme ça ?
- J'adore ça Matthieu, j'aime qu'un homme me prenne virilement, comme tu le fais !!!
- Alors viens sur le canapé, je vais te prendre par devant.
Il m'entraine et me retourne, me jetant dos sur le canapé. Il me relève les jambes et sans ménagement, me pénètre directement. Mais là, je suis prêt et son gland entre sans me faire souffrir.
Il reprend ses va et vient dans mon cul, joue avec son gland et ma rondelle. Je sens monter lentement mais surement un orgasme de folie en moi. Je n'ose pas me caresser de peur d'exploser de suite.
C'est lui qui prend mes " choses " en main et tout en me limant, il me branle avec une langueur insupportable presque sadique, sachant s'arrêter juste avant que je ne lâche tout !!!
Mais je sens bien que lui aussi est au bord de l'extase, les mouvements de son sexe en moi sont plus saccadés et d'un coup, je sens sa main se crisper sur ma queue et lui qui m'enfonce son pieu de chair au fond de mon cul. Aussitôt après, un flot de sperme jaillit et emplit sa capote, pendant que de ma queue jaillit un flot saccadé de semence chaude qui gicle sur son torse et le mien, aspergeant nos visages. Il se vide complètement dans un cri de jouissance intense et un dernier coup de butoir qui me transperce le ventre, avant de s'effondrer sur moi et de reprendre nos esprits.
Le temps semble suspendu, il n'y aucun bruit autour de nous hormis nos respirations qui retrouvent un rythme peu à peu normal.
Il se retire lentement, me laissant comme un grand vide en moi. Il me sourit, tendrement, dégage une mèche de cheveux collés sur mon front par la sueur de nos ébats et me dépose un doux baiser sur les lèvres.
- Je vais remettre la bouteille au frais, histoire qu'elle se rafraichisse pendant que nous prendrons une douche ensemble, me dit-il à l'oreille.
- nous la boirons ensuite à nos amours ...
Romain
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