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12- 1ÈRE VENGEANCE...
Après cet épisode, Matthieu reprends ma voiture. Il a mal au cul, se sent souillé, humilié, rabaissé au stade de simple trou à bite.
Sur la route qui le conduit à son bureau, il ne cesse de ressasser ce que Kamel vient de lui faire subir, et comment il va se venger de cet affront.
Mille plans s'échafaudent dans sa tête, mais ses réflexions sont troublées par le souvenir de cette sodomie sauvage.
Toute la journée, Matthieu n'arrive pas à se concentrer sur ses tâches professionnelles. Son assistante lui fait plusieurs fois remarquer qu'il n'est pas du tout à l'écoute, que il semble lointain, préoccupé. Pour la première fois depuis le début de leur collaboration, il l'envoie paitre.
Aussitôt après, Matthieu regrette son geste. Il décide alors de quitter le bureau plus tôt, n'étant absolument pas concentré, et après s'être excusé auprès de son assistante, il part faire un tour dans le parc situé à côté de sa société.
Matthieu s'installe sur un banc, ferme les yeux et tente de faire le vide dans sa tête.
Faut-il se venger de cet outrage ? Oui bien sûr !!! Mais comment ???
Nicolas. Il va l'appeler, il va lui parler de ce qui vient de se passer...
il saisit son portable et appelle son ami. Comme toujours, il est sur messagerie.
- Salut Nico, c'est Matt. Rappelle-moi, il faut que je te parle. C'est urgent.
Après ce message, Matthieu quitte le parc et va s'installer à une terrasse de café en attendant son appel.
Pendant qu'il sirote son verre, un plan germe insidieusement dans son esprit. Il veut lui faire subir ce qu'il a subi. Il veut que cette petite pute de Kamel se souvienne dans son cul que l'on ne le baise pas ainsi impunément. Sa vengeance va être terrible pour sa bite et son cul...
Son portable vibre dans sa poche. C'est Nicolas.
- Allô Nico.
- Oui, Matthieu, que se passe-t-il ? Tu avais l'air super nerveux dans ton message. Il n'est rien arrivé à Marie ou aux enfants ?
- Non, de ce côté-là, tout va bien, pas de soucis.
- C'est ton job ?
- Non plus, c'est moi.
- Que t'arrive-t-il ?
- Je ne peux pas en parler comme ça, on peut se voir aujourd'hui ?
- Bien sûr, où veux tu que nous ne retrouvions ?
- Passe à la maison, je t'expliquerai.
- On dit dans 30 minutes ?
- Ok, si je ne suis pas encore arrivé, tu trouveras les clefs sous la plante, entre et installe toi.
Matthieu raccroche, paie sa consommation et récupère sa voiture.
Comme prévu, la circulation est encore dantesque, et il met 45 minutes à rejoindre son domicile.
Nicolas est déjà là, faisant les cent pas dans son salon.
- Ah te voilà, dit-il en lui donnant une accolade fraternelle.
- Tu veux boire un truc ?
- Non ca va merci, alors dis moi ce qu'il se passe ?
Il rougit, les mots n'arrivent pas à sortir. Matthieu se pose sur le canapé, et éclate en sanglots.
Nicolas se précipite vers lui.
- Matthieu, qu'est ce qui ne va pas ?
Matthieu n'arrive pas à contrôler ses pleurs. Il ressent toute la haine, l'humiliation qui rejaillit de lui comme trop retenue depuis ce matin. Nicolas lui caresse doucement la nuque, le relève et le serre contre lui. Matthieu pose sa tête dans le creux de son cou et pleure toutes les larmes de son corps.
- J'ai été violé par un mec ce matin, réussit-il à dire entre deux sanglots.
- QUOI ???
- Tu sais, mon studio de Châtillon, j'y suis allé ce matin pour faire la levée des réserves, et je suis tombé sur mon locataire, à poil dans son pieu. Après la visite avec la responsable de l'immobilier, il m'a dit vouloir voir certains points avec moi et c'est là qu'il m'a coincé et qu'il m'a enculé comme un sale petit PD.
- Tu déconnes Matthieu !!! toi tu t'es fait violer par un mec ??? Mais il faut aller lui casser la gueule à cette petite pute.
Ses sanglots se calment, il se détache du corps chaud de Nicolas. Après s'être essuyé le visage baigné de larmes, il le regarde avec détermination.
- Non, je ne veux pas lui casser la gueule...
- Mais Matt, tu ne...
- Je veux lui casser le cul.
Nicolas le regarde, interdit.
- Tu délires Matt, tu vas y retourner pour le baiser ???
- Oui, comme il m'a baisé et tu vas venir avec moi.
- Quoi ????
- Tu vas m'aider Nico, tu vas m'accompagner chez lui et on va le baiser tous les deux.
- Je ne comprends pas, Matt, et je ne suis pas certain que ce soit la meilleure des solutions...
- Tu veux que je te montre ce que cela fait d'être pris pour un trou à bite ? sans ménagement ? en force ? tu veux ressentir la douleur et l'humiliation qu'il m'a infligée ?
- Non, Matt, je préfère garder le souvenir de notre nuit avec Romain.
- Tu es mon ami, Nico, tu m'as toujours dit que tu irais au bout du monde pour me venir en aide.
- Oui Matt, mais là, on va...
- On va au bout du monde Nico
Matthieu fixe Nicolas droit dans les yeux. Un instant de silence absolu flotte dans la pièce. Puis Nicolas lui dit dans un soupir :
- Ok Matt, je suis avec toi.
- Alors écoute moi, voilà ce que l'on va faire...
Après avoir expliqué son plan, rectifié deux trois détails, et rassemblé le matériel nécessaire, Nicolas et Matthieu partent en direction de Chatillon.
Dans sa voiture, Matthieu sent Nicolas tendu, stressé par ce qu'ils s'apprêtent à commettre.
- Tu es certain de vouloir faire ça Matt ?
- Oui.
Sa voix est froide, le ton ne souffrant pas de réponse. Il va me venger, et sa vengeance va être terrible.
Nicolas lui lance parfois un regard en coin, mais il peut lire sur son visage toute la détermination à laver cet affront.
Ils arrivent à l'appartement du locataire. Parfait, il n'est pas rentré, les volets sont mi clos et il n'y a pas de lumière.
Matthieu tape le code de la porte et pénètre dans le hall, suivi de près par Nicolas, un sac à la main.
Il sort la clef de l'appartement et s'apprête à ouvrir la porte.
- Attends Matthieu, sonne d'abord, imagine qu'il soit déjà là ?
- Oui tu as raison.
Il sonne. Pas de réponse. Il sonne encore une fois, toujours rien.
- Bon, on y va.
Matthieu ouvre la porte, et pénètre dans l'appartement. Il fait sombre. Rapidement, il s'assure qu'il est bien vide de son occupant.
Ilbaisse les volets complètement et allume la lumière. C'est le même bordel que ce matin. Il y a encore la capote du forfait qui traine au sol. Il la récupère, elle va lui servir pour sa vengeance.
Il sors le matériel prévu pour l'exécution de son plan. Nicolas est fébrile, il le sent.
- T'inquiète pas Nico, ca va être un mauvais moment...pour lui, dit il le visage déformé par un sourire satanique.
- Si tu le dis, je te crois.
- Allez mettons nous en place. Toi dans la salle de bains, moi derrière la porte d'entrée. Coupe ton portable. Mets ta cagoule, et planque-toi. Et plus un mot.
- Ok
Matthieu fait de même, referme la porte à clef, et se poste derrière la porte d'entrée. Il a coupé l'électricité pour que Kamel ne puisse pas allumer en entrant.
L'attente commence. Tous deux restent stoïques à leur place respective, comme 2 fauves à l'affût de leur proie. Ils ne se voient presque pas dans l'obscurité de l'appartement pas mais Matthieu sent la présence de Nicolas à quelques mètres de moi. Il entend sa respiration, plus rapide qu'à l'habitude. Matthieu régule la sienne sans problème. Il est déterminé à aller jusqu'au bout de son plan.
Le temps semble suspendu. Un rapide coup d'oeil à sa montre, et les aiguilles luminescentes indiquent qu'il est 19h30. Il espère juste que ce petit salaud n'a pas décidé de sortir ce soir.
Ils entendent la porte de l'ascenseur s'ouvrir.
C'est un voisin qui rentre chez lui.
L'attente continue.
L'ascenseur s'ouvre de nouveau.
Encore un voisin.
Il est 20h00 à sa montre.
Matthieu entend Nicolas bouger un peu, chercher une position de repos.
Le silence pesant de l'appartement n'est perturbé que par les rares bruits de la rue qui leur parviennent.
Un voisin ressort, ses pas s'éloignant et claquant dans l'escalier.
La porte de l'ascenseur chuinte à nouveau.
Un trousseau de clef qui tinte. Des pas qui s'arrêtent devant la porte. Une clef qui s'introduit dans la serrure. Une gâche qui se libère. Une poignée qui se baisse.
Le voilà.
L'heure de la vengeance a sonné.
Sa vengeance va s'opérer.
La porte s'ouvre, une main glisse sur l'interrupteur, l'actionne plusieurs fois sans résultat.
- Ah merde, les plombs ont sauté, fait chier...
Kamel entre à tâtons dans son appartement. Il referme la porte. Par l'embrasement et grâce à la lumière du couloir, Matthieu a repéré où il se tenait, et sent que Nicolas est prêt à bondir sur lui.
La porte claque derrière Kamel.
Une lampe torche puissante se braque sur le visage de Kamel qui ferme les yeux pour se protéger.
- Mais...
Il n'a pas le temps de finir sa phrase. Matthieu lui passe un bandeau noir pour l'aveugler, pendant que Nicolas lui saute dessus pour le plaquer au mur.
Aussitôt après,Il baisse sa veste sur ses bras pour le bloquer,
Kamel tente de se débattre mais Nicolas lui écrase le visage contre le mur et pour l'empêcher de crier, lui enfourne un des slips sales trouvés par terre dans la bouche. Profitant qu'il soit immobilisé, Matthieu lui vire sa veste, tire ses bras en arrière et avec une corde à noeud coulissant confectionnée chez lui, il lui entrave les poignets.
En moins de 30 secondes, il se retrouve aveugle, bâillonné et entravé. Les deux complices le prennent sous les bras et le trainent jusqu'au lit. Ils le projetons à plat ventre sur la couette. Kamel s'effondre de tout son long, tente vainement de se détacher, ne faisant que resserrer son lien un peu plus fort.
Matthieu rétablit le courant pour regarder son prisonnier.
Il est en costume, propre sur lui, le jeune ingénieur commercial que débute dans la vie. Les belles chaussures bien cirées, brillantes, un peu m'as-tu vu, jeune branleur....
Il se débat encore et encore, ses liens se resserrent un peu plus.
Matthieu se penche à ses côtés. Il a travesti sa voix à travers un gadget qu'il avait rapporté un jour des USA pour amuser ses enfants. Une voix spectrale, d'outre tombe.
- Tu as commis une grosse erreur, et tu vas devoir payer une grosse réparation pour cette erreur...
il lui retire son bâillon.
- Putain, mais vous voulez quoi ? Vous êtes qui ?
Matthieu sens la peur qui vrille la voix de Kamel. Les mouvements de tête désordonnés trahissent son angoisse.
- Tu te tais et tout se passera sans mal, sinon, je te refous ton slip dans la bouche, compris ?
- Mais...
- Compris ? dit il d'un ton autoritaire et en lui décochant une claque derrière la nuque.
- Oui
- Oui Monsieur
- Oui Monsieur, répond il avec un filet de voix étranglée par la crainte.
Matthieu le retourne sur le dos. Les bras bloqués par son propre corps, il est totalement à leur merci.
Il vérifie le bandeau sur les yeux, et assuré qu'il ne bougera pas et garantira leur anonymat, il vire sa cagoule.
Nicolas fait de même. Il est un peu pâle mais en le regardant, il reprend confiance et lui sourit.
- Quelle erreur...
- Je ne t'ai pas dit de parler.
- Pardon.
- Tu peux parler.
- Quelle erreur j'ai fait ?
- Tiens, tu as perdu ton accent de petite racaille ? tu l'as uniquement quand tu baises ?
- Hein ?
- Et quand tu es baisé, tu le retrouves ?
- Quoi ? quand je suis quoi ? eh, j'suis pas PD moi ?
- Tu es sûr de cela ?
- Putain, si je vous le dis...
- Ce n'est pas ce que les gens racontent ici...
- Quoi ? ils disent quoi ces connards ???
- Veille à rester poli, jeune homme, on ne dit pas connards mais voisins, et ce qu'ils disent, c'est que tu reçois beaucoup de garçons ici...
- Des mensonges, putain que des mensonges...
- Et que même le soir, il y a certains cris très...évocateurs qui filtrent à travers les murs...
- et vu tout le matériel ici, capotes, gels, DVD gays, magazines..., on a du mal à te croire.
- Ok, ok, oui j'aime bien les mecs, mais uniquement pour leur casser le cul.
- Ah bon, tu aimes casser du cul ?
- Oui, même que j'ai niqué celui de mon proprio ce matin. Je lui ai bien défoncé la rondelle à ce sale bourge...dit Kamel en souriant.
Matthieu arme son poing pour le lui coller dans la figure, mais Nicolas le retient en faisant " non " de la tête.
- En tout cas, dit Kamel, il n'est pas né celui qui pourra dire qu'il m'a déjà enculé, déclare t'il dans une ultime bravade
- Ca suffit maintenant, tu as déjà trop parlé.
- Alors, vous voulez quoi ? du fric ? j'en ai pas, vous voyez où je vis ?
- On se fout de ton fric, on en a plus que tu n'en auras jamais dans toute ta misérable vie.
- Alors quoi merde ?
- Reste poli...
- J'ai rien, rien à vous donner.
- Je sais que tu n'as rien à donner
- Alors quoi ?
- Nous allons prendre.
- Hein ?
- Nous ne voulons pas que tu nous donnes, nous allons nous servir nous même.
- Putain j'comprends rien.
- Ca arrive.
Et pour couper court à la conversation, Nicolas lui remet son bâillon.
Il pousse des cris étouffés puis s'immobilise, le souffle court, transpirant sa peur par tous les pores de sa peau.
Nicolas, d'un signe de la tête, fait comprendre qu'il faut passer à la phase 2. Matthieu acquiesce et monte à cheval sur Kamel.
Ce dernier pousse un grognement étouffé.
Il se saisit de sa chemise par le col et d'un coup sec, arrache tous les boutons, dévoilant son torse et son ventre.
Kamel se cabre, tente de se débattre. La main de Nicolas plaque son visage dans la couette.
- Tout doux l'étalon des banlieues, tout doux, ce n'est que le début.
Matthieu descend de son destrier d'un soir, et passe ses mains sur son torse. Il est beau mec, musclé sec et torse lisse. Malgré son esprit vengeur, il profite de ce corps exposé et soumis.
Puis il glisse ses doigts sur son ventre, palpant au passage ses abdos fermes.
Il arrive à la ceinture. Pendant que Nicolas le débarrasse de ses chaussures et chaussettes, Matthieu ouvre la boucle.
Kamel panique. Il cherche à botter du pied ces mains qui le déchaussent et par coup de reins et de hanches, à se débarrasser de ces mains qui ouvrent son pantalon.
Nicolas se déshabille entièrement pendant que Matthieu bloque Kamel dans ses mouvements désordonnés.
Totalement nu, Nicolas monte sur le torse de Kamel et se frotte lascivement les bourses sur le torse luisant de sueur de Kamel.
Celui-ci ne semble pas comprendre immédiatement d'où provient le chatouillement généré par les couilles de Nicolas sur ses tetons. Puis, d'un coup, il réalise qu'il a un homme nu à cheval sur lui et tente encore une fois par une ruade de s'en débarrasser.
Nicolas lui plaque les épaules au lit. Kamel ne bouge plus.
Matthieu se déshabille à mon tour. Il constate avec surprise que son sexe commence à bander. Sans doute la vue de la croupe de Nicolas...
Matthieu reprend la ceinture de Kamel et fait sauter les boutons de son pantalon d'un coup sec. Puis il tire le fut par le bas pour mettre Kamel en slip. Il porte un pauvre slip blanc en coton, informe, sans tenue, bouloché, baillant sous les couilles
Il glisse sa main dans son slip et trouve un sexe tout recroquevillé dans sa touffe, les couilles flasques, humides, un sexe bien loin de celui qui l'a pénétré de force ce matin. Matthieu lui malaxe le paquet dans son slip, mais n'arrive pas à le faire bander. La peur est le meilleur contraceptif...
- Tu vas bientôt connaitre le plaisir de faire la femelle, sale petite pute.
- Hummpf.
- Et tu vas bientôt connaitre les sensations de se faire défoncer le cul...
- MMMM
- Mais avant
- MMMMM
- Tu vas devenir une vraie fille....
- MMMMMM
- Sans un poil....
- MMMMMMM
- Toute lisse....
- MMMMMMMM
- Toute douce de la queue et du cul....
- MMMMMMMMM
- plus une trace de ta toison intime....
- MMMMMMMMMM
- Plus un poil autour de ton petit trou...
- MMMMMMMMMMM
- Comme une pute de porno....
- MMMMMMMMMMMM
- Comme une chienne...
- MMMMMMMMMMMMM
- Regarde, ou plutôt sens...
Matthieu passe sous son nez la bombe de mousse à raser qu'il a ramené, et dépose une goutte sous ses narines.
- De la spéciale épilation intime...comme ça tu ne seras pas irrité, tu apprécieras la délicatesse et le souci de ton hygiène intime....
Nicolas sourit et s'amuse avec son sexe à dessiner des figures virtuelles sur le torse de Kamel. Il bande de plus en plus fort, et passe son sexe raide sur le visage de Kamel.
Matthieu ressort sa main du slip de Kamel. Il est toujours tout mou du gland.
- Je vais te débarrasser de ton slip ma grande...
Il sort du sac un couteau, le glisse entre le slip et la hanche de Kamel. Celui-ci frémit d'effroi au contact froid de la lame sur sa peau. Matthieu bascule la lame et d'un coup sec, sectionne l'élastique du slip à droite, puis à gauche, et le slip glisse sur le lit.
Matthieu lui lève les fesses, et le débarrasse du morceau de tissu déchiré.
Kamel est désormais totalement nu, entièrement à leur merci.
Matthieu va dans la salle de bains, prend un gant humide, une serviette et le rasoir de Kamel.
Puis il étale la mousse sur la touffe de Kamel, une belle touffe serrée, drue, bien noire. Nicolas immobilise bien Kamel et Matthieu commence à scalper sa touffe.
- Arrête de bouger comme ça, je vais finir par te couper la bite....
Kamel s'immobilise. Matthieu continue mon rasage. D'un coup de serviette, il efface les dernières traces de mousse. Kamel a le pubis totalement lisse. Puis Matthiieu enduit ses couilles et son entrejambe de mousse et poursuis sa tonte.
- Voila, tu as un joli petit sexe d'ange tout doux tout lisse. Maintenant le plus dur, la rondelle.
- MMMMMM...
- Mais si, tu vas voir, le cul tout lisse, tout frais, plus un poil dans la douche, tu me diras merci plus tard.
Nicolas se retourne sur le torse de Kamel. Il saisit les chevilles de Kamel et lui écarte bien les cuisses, ouvrant l'accès à son cul.
Matthieu découvre la rondelle de Kamel, une rondelle velue, brune, serrée, sans doute vierge.
Il dépose une grosse noix de mousse sur son trou. Kamel tente de serrer les fesses, mais Nicolas veille et maintient ses cuisses bien ouvertes.
- Ne bouge pas comme ça, je risque de te couper les couilles....
Matthieu passe le rasoir en s'appliquant à bien lui tondre le trou qui se dévoile peu à peu, débarrassé de sa pilosité.
Après 5 minutes d'un rasage minutieux, le trou de Kamel apparait au grand jour, oeillet marron tout fripé.
- Voilà, tu es toute belle ma grande, prête pour la fiesta de ce soir...
Nicolas relâche les cuisses de Kamel, qui retombent lourdement sur le lit. Délesté de sa pilosité virile, il apparait presque comme fragile.
Son sexe est encore plus rabougri qu'avant. Seul le gland circoncis semble sortir du ventre, et ses deux couilles lisses désormais forment un coussin de peau gonflé par les deux boules.
Matthieu range le matériel de rasage dans son sac, jette au sol le gant, la serviette et vient s'allonger à coté de Kamel.
- Alors, tu préfères te faire enculer par devant ou par derrière ? comme une fille ou comme un chien, dit-il en lui ôtant son bâillon ?
- Sale fils de pute !!! tu vas voir après ???
- Après quoi ? parce que tu crois que tu seras encore vivant après ?
- Hein ?
- Tu espères t'en tirer comment ?
Nicolas regarde son ami, inquiet.
- Tu vas mourir Kamel....
Nicolas se lève d'un coup et lui glisse à l'oreille :
- Tu fais quoi là ? il n'a jamais été question de le buter bordel !!!
- Mais non mec, t'inquiète. C'est une expression.
- Fais pas le con, au bout du monde ne veut pas dire n'importe où !!!
- Fais moi confiance, je veux juste qu'il découvre le plaisir de la pénétration anale.
- Putain vous dites quoi les mecs ?
- Monsieur, je te l'ai déjà dit...
- Je veux pas mourir...
- On meurt tous un jour, et toi, ce sera en jouissant...parce que tu vas jouir du cul, sans te toucher...une dernière giclée et hop, mort....
- Non, dit-il avec un début de sanglot dans la voix
- Mais si, mort de honte !!! honte de prendre ses partenaires d'un soir pour des trous à bite, des trous pour ta bite !!! honte de ne pas faire plus attention à ceux qui t'ont fait confiance, à ceux qui voulaient juste de l'amour, pas que du cul !!! Honte de ne chercher que ton plaisir, sans jamais apprendre à en donner, sans jamais chercher à partager !!! Honte de toi, de ce que tu es, un petit con qui ne pense qu'avec son gland!!! Quand nous en aurons fini avec ton cul, quand tu vas être rempli de sperme, quand ta rondelle va mettre 3 jours à se refermer, alors tu réfléchiras peut être autrement !!!
Kamel est en larmes sous son bandeau. Nicolas le regarde circonspect et rassuré à la fois.
- Comme tu ne m'as pas répondu sur ta position préférée, on va te faire tester les deux. Allez, on va commencer par devant. Tu veux commencer, partenaire ou je déflore le joli petit trou du cul de ce PD bientôt passif ?
- A toi l'honneur...
- Merci, c'est fort aimable. Allez Kamel, on ouvre ses cuisses et on se met en position.
Bien sûr Kamel ne s'exécute pas.
- Mets-y un peu du tien, sinon on en a pour la nuit, et je suis attendu pour diner...
- Sale bâtard...
- Remets lui son bâillon, de toute façon je ne vais ni l'embrasser, ni me faire sucer, donc pas besoin de sa bouche.
Nicolas lui enfourne son slip en bouche. Kamel respire fortement par le nez.
- Bien, je vais mettre une capote, pas pour toi, mais pour moi, comme je ne sais pas si les culs que tu as défoncés étaient sains, je veux bien te niquer, mais pas choper la chtouille...
Matthieu se caresse la bite, histoire de la redresser, enfile une capote, et l'enduit de gel.
Puis il fait signe à Nicolas de lui relever les cuisses.
La rondelle apparait de nouveau.
- Allez, on va tenter à sec, histoire que tu sentes bien passer ta première bite dans le cul, enfin de ce que tu dis...
Nicolas est assis sur le torse de Kamel, lui ouvrant au maximum les cuisses, et Matthieu se positionne, gland contre la rondelle.
Il commence à pousser contre le trou scellé. Bien entendu, Kamel résiste. Je pousse encore un peu plus fort. Le lubrifiant de la capote commence à faire son effet et le trou de Kamel s'écarte peu à peu. J'entends Kamel qui souffle comme un boeuf par les naseaux, au fur et à mesure que l'ultime défense de sa pseudo dignité cède face à la poussée de mon gland et que la douleur anale qui lui vrille le cul monte en puissance.
Matthieu recule un peu son gland, donnant l'illusion à Kamel qu'il relâche la pression. Il le voit relâcher son effort de contraction anale, et en profite alors pour pousser à fond sa bite dans son trou, qui surpris, s'ouvre d'un coup et le laisse le pénétrer.
Sa bite s'enfonce entièrement dans son ventre, happé par ce trou qui vient brusquement de céder. Matthieu pousse un râle de plaisir et de victoire.
Kamel hurle sa douleur à travers le bâillon et resserre son sphincter sur sa queue.
- Voilà, maintenant, tu sais ce que ça fait que d'être enculé par un connard !!! j'espère que tu as mal au cul, que ca te brûle les entrailles, que ca te déchire le cul, comme tu l'as fait tant de fois à d'autres. Mais ne te réjouis pas trop vite, tu vas encore avoir mal, parce que maintenant je vais te défoncer le cul.
Et joignant le geste à la parole, Matthieu commence à le pilonner de sa grosse queue avec vigueur. A grands coups de rein, il le pénètre à fond de cul, faisant claquer son ventre sur le sien. il lui assène des grands coups de bite dans son cul serré.
A chaque coup de bite, à chaque pénétration, Kamel gémit. Il se fait ravager le ventre par le chibre de Matthieu et son gland qui tape toujours plus fort dans son ventre. Sa rondelle est rougie par le frottement de la bite, qui sans relâche va et vient dans son cul.
Matthieu se saisit des cuisses de Kamel et lui bourrine le cul comme un marteau pilon.
Nicolas bande lui aussi comme un fou à la vue de ce spectacle. Il se branle la bite sur le ventre de Kamel. Matthieu l'invite à se lever pour qu'il puisse lui sucer la queue pendant que il continue de labourer le cul de Kamel.
Il a sa bite en Kamel et celle de Nico en bouche. L'excitation le gagne. Il va réussir à prendre son pied pendant qu'il se venge de ce matin.
Mais Nicolas veut aussi sa part de cul. Matthieu décule, le gland en feu, la bite rouge d'avoir limé frénétiquement le cul de Kamel.
Sa rondelle reste ouverte malgré l'absence de bite dedans. Nicolas enfile une capote, et vient se planter dans le cul ouvert de Kamel.
Celui-ci se cambre sous la pénétration en force de Nicolas. Parce que ce n'est pas le même gabarit que la bite de Matthieu. Il est monté 20*5 mais Nicolas frise les 23*6 et cette différence de taille semble être particulièrement importante pour le cul de Kamel.
Mais Nicolas n'en a cure. Il participe maintenant très activement à la vengeance et défonce le cul de Kamel avec encore plus de force et de hargne que Matthieu. Kamel semble avoir le souffle coupé par la baise de Nicolas. Matthieu lui enlève son bâillon pour lui donner un peu d'air.
- Alors, mon joli petit trou, tu aimes te faire enculer... ?
- Arrêtez...
- Mais pourquoi ? tu n'aimes pas te faire défoncer ?
- Ça fait mal !!!!
- Ah bon ? pour nous, c'est super bon, je peux t'assurer que nous prenons notre pied, hein mec ?
Nicolas le regarde, le visage rouge d'effort pendant qu'il ramone à fond le trou dilaté de Kamel.
- Oui, il est fait pour se faire enculer ce mec, d'ailleurs, regarde sa queue, c'est une queue de tafiolle ça, pas capable de bander...
Effectivement, le sexe de Kamel n'a pas grossi d'un centimètre. Il ballotte mollement au rythme des coups de verge de Nicolas sur son ventre.
- Tu as raison, mec, mais souviens toi, on lui a promis de le faire jouir du cul, alors, on va lui tendre un peu la queue.
- Oui branle le un peu, on verra bien, d'ici deux heures, il aura peut être une bite digne d'un homme, un vrai, un comme nous, plus comme lui...
Et joignant le geste à la parole, Matthieu empoigne la virgule de Kamel et commence à la masturber. Au début, il lui faut la pincer entre deux doigts pour la tenir et de d'autre main, faire un anneau autour du bout de chair molle pour le faire un peu coulisser.
Mais peu à peu, celui-ci se gonfle, se raidit, et après 5 minutes de branle, Kamel bande enfin.
- Oh non, j'veux pas bander, lâchez moi la bite bordel, vous avez déjà le cul...
- Qu'il est ingrat, va trouver deux volontaires qui s'occupent bénévolement de ton cul et de ta queue à la fois, et tout ça pour ton plaisir....
- Putain, vous me faites mal au cul.
- Oui sans doute, mais nous ça nous fait pas mal à la bite. Bon tu as vu comment c'était en missionnaire, maintenant on va te prendre en levrette.
- Non pas ça...
- Pourquoi donc ?
- Je ne veux pas.
- Mais pourquoi ?
- C'est...c'est dégradant comme ça pour un mec...
- Ah bon ? et tu as demandé cela avant à tous ceux que tu as pris en levrette
- Non, mais j'étais l'homme.
- Ah, tu étais l'HOMME !!! et bien maintenant, tu fais juste le trou à bite. Allez mec, sors de là qu'on le retourne.
- NOOOON !!!
Matthieu lui remet son bâillon. Nicolas décule, la bite en feu de sa lime déchainée et l'aide à retourner Kamel sur le ventre. Ils lui relèvent le fessier, et sans attendre, Nicolas écarte ses fesses, pointe la rondelle refermée, et d'un grand coup de queue, encule Kamel d'un coup.
Celui-ci se cambre, surpris par cet assaut rectal sans ménagement. Mais Nicolas s'en moque et reprend son pilonnage intensif. Il saisit les hanches de Kamel, plante ses ongles dans sa peau et commence à le limer à fond, trouvant encore la ressource d'accélérer le rythme.
Le corps de Kamel tressaute à chaque coup de butoir. Il a le visage empourpré de honte, d'humiliation, de chaleur. Matthieu constate en passant sa main sur son ventre qu'il bande encore plus fort qu'après sa branlette. Il sent même qu'il mouille abondamment. Il étale la mouille sur son gland décalotté, provoquant de soubresauts de sa queue à chaque caresse.
Matthieu maintient son érection en forme en matant Nicolas qui prend littéralement son pied à défoncer le cul de Kamel. Les fesses de ce dernier rougissent sous les coups de ventre de Nicolas.
Celui-ci d'un coup se raidit et Matthieu voit Nicolas retenir sa respiration et d'un coup, s'enfoncer encore plus loin dans le cul de Kamel. Puis dans un râle bestial, il se vide les couilles dans sa capote, et jouit sans retenue.
Il sort sa queue du cul de Kamel, et la rondelle est totalement à la circonférence de la queue de Nicolas.
Matthieu passe derrière Kamel et vient remplacer Nicolas. Sans aucune difficulté, il sodomise Kamel à fond de bite et commence à le limer avec des mouvements amples et larges du bassin. Dans un style différent de Nicolas, il ramone tout en souplesse le trou déformé de Kamel. Il semble d'ailleurs apprécié car il gémit à travers son bâillon, mais avec un gémissement de plaisir et non plus de douleur ou de honte.
Matthieu grimpe sur le cul de Kamel, ne gardant que sa queue comme point d'ancrage sur Kamel, en flexion sur les jambes.
Nicolas retire sa capote pleine de son sperme. Il s'apprête à la jeter, mais Matthieu lui fait signe de la garder de côté.
La position est certes agréable mais physiquement épuisante. Matthieu vient alors couvrir complètement Kamel, et lime son trou par le seul mouvement du bassin. Il en profite pour lui tâter la bite, constatant à la fois une raideur totale et un flux ininterrompu de liquide séminal.
Matthieu sent monter en lui l'orgasme. Il accélère le rythme dans le cul de Kamel. Il sait que je lui tape la prostate avec le gland et d'un coup, son cul se resserre sur sa bite et je sens son ventre qui se contracte. Il passe la main sur sa bite juste au moment où débute son éjaculation et recueille son sperme dans sa main. La douce chaleur de son jus l'excite au point de le faire jouir à son tour. Une vague de plaisir sans précédent le submerge et il me vide dans sa capote sans retenue.
Kamel s'effondre sur son lit, l'entrainant dans sa chute. Matthieu décule et roule sur le côté. Nicolas vient à ses côtés et l'embrasse tendrement.
- Alors, tu es satisfait ?
- Presque, encore deux choses et je tiens ma vengeance totalement.
- Ok je vais me rincer et me rhabiller.
- Je te rejoins dans 5 minutes.
Kamel reprend son souffle lentement. Matthieu lui enlève son bâillon.
- Alors Kamel, ne t'avais je pas dit que tu jouirais du cul... ?
- Putain c'est pas possible...je voulais pas...
- Tu vois, tu es fait pour être un enculé, tu peux jouir sans avoir limé, uniquement en ayant été limé.
- Et maintenant, vous allez faire quoi ?
- Maintenant, je vais te laisser deux souvenirs.
- Quoi, dit-il inquiet.
- Tout d'abord, maintenant que tu as eu honte par le cul tu vas avoir honte par le visage, dis-je en m'emparant de sa face.
Matthieu sort un gros marqueur rouge et sur une joue, trace un P et sur l'autre un D.
- Voilà, comme cela, tout le monde sera ce que tu es, et tu devras l'assumer. Remercie-moi, je t'aide dans ton coming out.
- Salaud !!!!
- Et pour ton info, cette encre sur la peau met environ 3 à 4 jours à s'effacer totalement, et sur certains types de peau, il reste toujours une trace après deux ou trois semaines. Il va falloir du temps, et je crois qu'ainsi, tu devras assumer tes choix.
- Je vais te....
- Tu ne vas rien faire du tout. Et l'autre cadeau, c'est pour ton cul, écarte tes cuisses
- Va te faire...
Matthieu reprend le couteau et plaque la lame sur ses couilles.
- Ecarte les cuisses si tu ne veux pas que je reparte moi aussi avec un souvenir très personnel de toi.
- Putain...
Il s'exécute. Matthieu récupère la capote de ce matin, prend celle de Nicolas et retire la sienne, encore chaude du limage intensif et du foutre qui l'emplit. Il les mêle et les noue entre elles. Avec deux doigts, il écarte la rondelle totalement assouplie de Kamel et lui fourre les trois capotes dans le cul, en poussant bien à fond et en s'assurant que rien ne dépasse pour faciliter le retrait.
- Qu'est ce que c'est ? qu'est ce que tu m'as mis dans le cul ?
- Un souvenir, Kamel, un souvenir. Tu vas être obligé de te fouiller le cul pour le trouver et le retirer...tu verras c'est super bandant de se tâter le cul, et si tu cherches bien, tu trouveras ton point G.
- Enculé !!!
- Non c'est toi. Allez, ce n'est pas que je m'ennuie, mais comme je te l'ai dit, j'ai un dîner en ville ce soir. Je ne te dis pas à bientôt, mais je penserai quand même très fort à toi.
- Mais tu vas pas me laisser comme ça, détache-moi bordel !!!!
- Tu veux rire ??? tu vas devoir te débrouiller, dis-je en lui remettant son bâillon.
Matthieu va dans la salle de bains retrouver Nicolas. Il s'est lavé, rhabillé. Il va dans la pièce principale et ramasse tout ce qui pourrait les identifier et surveiller Kamel. Matthieu se lave à son tour, se rhabille également et le rejoins.
Kamel tente de se retourner pour revenir sur le dos.
- Kamel, je vais être sympa avec toi, je vais te retirer ton bâillon. Où est ton portable ?
- Dans ma veste !!!
- Ok je le récupère. Maintenant, comme dans " qui veut gagner des millions ", tu as trois jokers. Le 50-50, mais il est déjà utilisé, parce que tu es moitié un enculé, moitié un enculé. L'avis du public, et nous comme public, on t'a trouvé super comme trou à bite. Et enfin, tu as l'appel à un ami. Alors qui veux-tu appeler pour qu'il vienne te sortir de ce mauvais pas ?
- J'vais pas appeler un pote, vous êtes ouf !!!
- Alors tu vas mourir de faim et de soif sur ton lit, trois capotes dans le cul, et on te retrouvera tout sec sur le lit un jour, avec un gros PD sur le visage.
- Et comment veux tu que je téléphone avec les mains dans le dos ?
- Mec, dit Matthieu à Nicolas, retourne le sur le dos.
Nicolas s'exécute.
- Il reste de la corde ?
- Oui ?
- Attache-lui les pieds à chaque coin du lit qu'il ne risque pas de tomber en se débattant.
- NON !!
- Tu vois, on prend soin de ta santé et tu gueules...
Nicolas l'attache rapidement.
- Alors, qui j'appelle ?
- Je sais pas, putain, mais je peux pas me montrer comme ça à un pote.
- Tu vas te montrer tel que tu es réellement...
- Appelle Kevin
- Kevin, Kevin, dit Matthieu en fouillant le répertoire, ah voilà Kevin.
il fais signe à Nicolas de sortir.
- Voila, je vais composer le numéro. Ah ça sonne, Kevin.... Ah, Allô, Kevin. Non, ce n'est pas Kamel, je suis Jean Pierre Faucul et Kamel a besoin de vous pour se sortir d'un mauvais pas. Ne quittez pas, je vous le passe.
Il se penche à côté de Kamel, cache le micro, et lui dit :
- Je vais te le passer pour qu'il vienne te libérer. Je voudrais être petite souris pour voir comment tu vas lui expliquer cela, mais bon, ce n'est pas possible, alors...
Matthieu retire la main du micro.
- En tout cas, j'ai pris beaucoup de plaisir à t'enculer Kamel, vraiment, tu es un super coup au lit et je pense que tes potes seraient ravis de savoir à quel point ton cul est bon comme une chatte de femelle, en tout cas moi maintenant je le sais. Kevin, oui, c'est Jean Pierre, je vous passe Kamel, et je vous mets sur haut parleur parce qu'il va avoir du mal à tenir le téléphone, ne quittez pas.
Il actionne le haut-parleur, et pose le téléphone à côté de Kamel.
- Allez mon Kamelou, je t'embrasse, et je laisse la porte ouverte pour que Kevin vienne te voir.
Par le haut-parleur, Matthieu entend :
- Allô Kamel, putain c'est quoi ce délire ?
- Kevin, Kevin, putain viens vite à l'appart.
- Arrête je suis avec une meuf en train de ...
La suite ne l'intéressant pas, Matthieu quitte l'appartement en veillant à ne pas claquer la porte comme promis et part rejoindre Nicolas qui l'attend sur le trottoir en bas, en train de fumer une cigarette.
- Tu fumes toi ?
- Oui parfois quand je fais des choses hors norme.
- Viens on avance...
- Quelle histoire de oufs !!! mais putain quel cul ce mec, j'ai vraiment pris mon pied !!!
- J'en suis heureux, et je te remercie de ton amitié et de ta confiance en moi. Merci de m'avoir aidé à laver mon honneur.
- Tu es terrifiant dans la vengeance Matthieu !!! J'ai vraiment cru que tu allais le buter.
- Mais non, pourquoi veux tu que j'abrège ses souffrances. Je ne lui donne pas deux jours pour me dire qu'il rompt le bail.
- Tu crois.
- J'en suis certain, allez monte, je t'invite à diner, et après, on ira chez moi. J'ai envie de faire l'amour, mais le vrai amour.
La suite des évènements allait en décider autrement. Mais le lendemain, alors que Nicolas passe le voir à la maison, son portable sonne
- Allô ?
- Oui bonjour, on ne se connait pas je suis Kevin, un pote de Kamel votre locataire.
- Oui, bonjour.
- Euh, je vous appelle parce que Kamel va devoir quitter Paris et il voudrait rendre son appartement.
- Ah bon, ok, mais quand puis je le rencontrer ?
- Euh, en fait, il a quitté Paris hier soir.
- Ah Bon, mais rien de grave ?
- Non, mais il a besoin de se mettre au vert.
- Très bien, alors qu'il m'envoie une lettre pour rompre le bail. Bien sûr je garderai la caution pour rupture anticipée de son fait.
- Ok je lui dirai.
- Merci. Bonne journée, et mon meilleur souvenir à Kamel.
- AU revoir Monsieur.
- Au revoir.
Nicolas se retourne vers Matthieu avec un sourire béat.
- Deux jours, tu t'es bien planté. Deux heures oui...
- En tout cas pour la prochaine location, je prends une fille. Vu mes attirances actuelles, elle ne risque rien....
Romain
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