Suite à vos retours encourageants à propos de ma première histoire, en voici une seconde, qui m'est également arrivée. Il s'agit en fait de ma première " expérience sexuelle " (donc amateurs de gangs bangs, sauts acrobatiques et triples pénétrations, vous serez déçus !).
Lorsque j'étais au lycée (c'était quand même il n'y a si longtemps !), j'avais une amie chez qui j'allais tous les mercredis. Elle habitait relativement loin de chez moi : sans voiture, le moyen le plus rapide était encore de faire du stop... Mais je ne me rappelle pas du tout du trajet, parce que le souvenir de la rencontre que j'ai faite juste après a largement occulté le reste !
Dans la rue, un peu avant d'arriver à sa maison je me fis très aimablement fait accoster par un jeune mec. Il devait avoir 27 ou 28 ans (mais par rapport à moi à l'époque, il avait quand même dix ans de plus). Habillé en costard gris, assez mince et châtain, le teint hâlé, il était plutôt joli garçon. Il me demanda si je connaissais une association qui enseignait des arts martiaux pas très loin.
Lui ayant répondu que non, puisque je n'habitai pas le quartier, il enchaina sur le sujet en m'expliquant qu'il pratiquait les arts martiaux et travaillait sur les questions d'énergie, sur la façon dont tout ça circulait dans le corps... Il me dit : " si ça t'intéresse, je peux te montrer... " et rajouta aussitôt : " Par contre, il faut qu'on se mette dans un endroit un peu tranquille ".
Évidemment, aujourd'hui, je me dis que j'étais un peu inconscient mais j'étais plus jeune, on était en pleine journée... Qu'est-ce que je risquais ?
Il m'emmena donc derrière de gros buissons plantés derrière une petite église et à côté d'un petit parking d'une vingtaine de voitures. Il m'expliqua ce qu'il allait faire : " Tu vas fermer les yeux et je vais passer ma main le long de ton corps sans te toucher, et tu vas me dire ce que tu ressens, OK ? "
J'acquiesçai donc et fermai les yeux. Certes, j'étais jeune et vierge, mais quand même pas naïf : si j'avais l'occasion de jouer un peu à touche-pipi, je n'allais pas dire non : je n'avais jusqu'alors pas vraiment eu l'occasion d'expérimenter ce genre de " découvertes " (pas de sports collectifs, ni de copains venant dormir à la maison...). Par-dessus mon T-shirt, il commença à passer la main au niveau de mon torse, descendit sur le ventre, remonta jusqu'aux épaules, redescendit sur un bras, puis l'autre... Il me demanda : " Est-ce que tu sens une énergie ? " Je rigolai intérieurement parce que ça me semblait un peu gros, son histoire, mais bon, je n'allai pas non plus le freiner dans son élan ! " Pas vraiment, non... ", dis-je donc d'un ton neutre.
Il rajouta donc : " je vais essayer sous ton T-shirt, OK ? ", et je sentis sa main descendre vers ma ceinture, se glisser sous mon T-shirt et remonter à l'intérieur sur ma peau imberbe. Évidemment, le contact provoqua une érection immédiate mais je ne dis rien.
" Maintenant ", dit-il, " je vais passer sur tes jambes ". En disant ça, il s'accroupit et je sentis sa main qui m'effleurait l'extérieur de la cuisse, descendait, puis remontait vers l'intérieur. C'était juste un effleurement, même pas une caresse, mais je sentais quand même à travers le jean le déplacement de sa main.
S'apprêtant à passer sur l'autre jambe, il me prévint : " Je vais passer sur ton sexe, d'accord ? "
J'opinai de la tête et sentis sa main remonter et venir appuyer sur ma braguette. Mais avec un jean, on ne peut pas dire que je sentais grand-chose...
" Et là ? ", me demanda-t-il. Je ris un peu nerveusement et confessai, en signe d'encouragement : " ben ça me fait bander... "
Il me répondit très sérieusement : " oui, ça, c'est normal... En tout cas, il y a de l'énergie qui passe, on la sent bien. Je vais repasser mais en étant plus en contact, cette fois-ci ". En disant ça, il repassa en effet sur mon sexe en appuyant un peu plus...
" Est-ce que tu veux essayer ? ", me demanda-t-il. Je sautai sur l'occasion et lui répondis que oui.
On inversa nos positions : il se redressa et ferma les yeux (pour être franc, les miens n'avaient jamais été totalement clos) et de mon côté, je commençai à survoler et frôler son torse. Avec sa veste et sa chemise, je n'osai pas lui demander de la déboutonner, mais en glissant ma main sous sa veste, je longeai sa chemise et explorai son torse. Étant très curieux (je n'avais jamais approché d'aussi près un corps d'homme !), je dirigeai rapidement ma main vers son entrejambe. Je passai une ou deux fois dessus en l'effleurant mais sans vraiment oser le toucher. Il me dit : " N'hésite pas, tu peux toucher, si tu veux. "
Là, je ne résistai pas : je repassai ma main sur ce que je devinai être son sexe, visiblement remonté vers la gauche (l'avantage des pantalons de costumes, c'est qu'on peut quand même bien situer ce qui se trouve en dessous...) et pressai mes doigts sur la bosse. Je sentais la masse de son sexe, pas très dur mais visiblement en éveil, et me décidai brusquement à glisser mes doigts dans son slip, pour saisir son pénis à travers son pantalon.
Lui n'avait pas osé y aller aussi directement et sentant ma main aventureuse, il sursauta de surprise. Il m'arrêta tout de suite et me dit : " Par contre, là, il faudrait qu'on se mette dans un endroit un peu plus discret. " Il me précisa qu'il n'habitait pas ici mais que sa voiture était garée juste au parking, à quelques mètres. La situation n'était pas idéale : on était en plein jour, en ville, mais j'étais trop excité pour raisonner : pour la première fois, j'avais presque tenu un sexe d'homme dans ma main... et j'avais envie d'aller plus loin !
Je le suivis donc jusqu'à sa voiture et m'y installai côté passager. Il s'assit au volant. Après quelques coups d'oeil inquiets jetés à droite et à gauche sur le parking (heureusement désert), je lui demandai : " je peux recommencer ? "
Comme une invitation, il enleva sa veste pour être plus à l'aise. Quand même un peu plus intimidé, je recommençai alors à passer la main le long du torse, par-dessus sa chemise. Sans m'interrompre, il ouvrit deux boutons et me dit : " tu peux entrer ta main, si tu veux. " Je m'empressai de le faire, tout en étant obsédé par le fait de pouvoir toucher son sexe à nouveau.
Par principe (et timidité), j'explorai quand même avec intérêt le contact de son torse et ses tétons. Je n'étais pas très musclé (plutôt maigre, même), et remarquai tout de suite qu'en comparaison, ses pectoraux étaient joliment dessinés et légèrement bombés. Je sentis la fine toison sur son torse et allai même aventurer mes doigts au contact des poils de ses aisselles (j'ai toujours été très attiré par cette partie du corps...). Au bout d'un moment (n'y tenant plus !), je ressortis ma main de sa chemise et la dirigeai vers sa braguette. Je le regardai et lui demandai alors avec une voix un peu étranglée : " je peux l'ouvrir ? "
Il me répondit du tac au tac, avec un air très naturel : " oui oui, tu fais ce que tu veux ". L'idée de pouvoir faire " ce que je voulais ", c'est-à-dire de disposer de son corps presque comme un objet m'excitait terriblement.
En prenant soin d'éviter le relief de son sexe - je voulais garder totale la surprise du premier contact avec sa peau - je descendis la fermeture éclair de sa braguette et glissai ma main dans la fente. Je perçus d'abord un lit de poils assez soyeux, partant de son nombril et s'intensifiant jusqu'à être interrompu par l'élastique de son slip. La main tremblante, je faufilai alors mes doigts sous le tissu tendu et palpai pour la première fois un pénis autre que le mien. Baigné dans une atmosphère chaude et moite, il était rigide mais très doux. Immédiatement, je l'exposai à l'air libre : je voulais le voir !
Sa queue est assez fine, de la même jolie couleur halée que sa peau. Je commençai à la tripoter mais sans vraiment oser la prendre à pleine main et la masturber : je touchai, je palpai, je pressai et glissai mes doigts le long de la tige, m'arrêtai pour caresser le gland du bout des doigts...
S'il appréciait manifestement mes attouchements, c'était surtout la curiosité et l'émoi qu'il lisait sur mon visage qui l'excitaient. J'étais si concentré sur son sexe à moitié sorti que je ne voyais rien d'autre. D'ailleurs, il m'interrompit au bout d'un moment, me demandant : " Ça te dérange si je baisse mon pantalon ? "Je réalisai alors que son pénis, devenu complètement dur et redressé, était un peu entravé par l'élastique de son slip et la fermeture éclair de sa braguette... Ça devait beaucoup le serrer !
Il jeta un rapide coup d'oeil à travers le pare-brise, enleva sa ceinture et le bouton de son pantalon qu'il fit descendre sur ses mollets. Son slip noir suivit rapidement, découvrant totalement son sexe et ses couilles resserrées par l'excitation. Son pénis entièrement décalotté et très arqué décrivait une jolie courbe qui venait rentrer dans son nombril. Il était assez poilu autour du sexe, avec des poils châtain clair très fins.
Il écarta ses cuisses et reprit mon initiation : " Passe ta main sous mes couilles, doucement... " Je suivis son indication et glissai ma main en forme de cuillère sur ses couilles, sans oser aller vers son anus. Immédiatement, il se cambra et ferma les yeux de plaisir : " Ah ouiiii... c'est bon, ça... ", soupira-t-il.
En essayant de mémoriser ce qui semblait le faire réagir, j'alternai donc entre son pénis, que je faisais doucement coulisser au creux de la main, et ses couilles recouvertes d'un fin duvet de poils entremêlés. Mais au bout d'un moment, il se redressa et me dit : " attends, je vais te faire pareil ".
J'étais trop timide et complexé pour oser lui montrer mon sexe et bredouillai un " non... " J'essayai de rendre mon entrejambe difficilement accessible, en me penchant davantage vers son sexe, mais il insista en me replaçant sur mon siège : " Tu vas voir, tu vas aimer... " J'acceptai finalement qu'il ouvre mon pantalon mais à la condition que je garde mon slip.
Il déboucla ma ceinture et déboutonna mon jean, laissant apparaître mon slip déformé : ma bite, recourbée vers le bas, distendait le tissu en dessinant une arche. J'étais gêné parce que la forme particulière de mon sexe était très visible et je craignais qu'il en soit surpris ou rebuté. Mais il se mit au contraire à caresser mon pénis à travers le slip, en massant juste le gland encore entouré du prépuce. Une tâche de mouille commençait à apparaître sur le tissu blanc. J'étais écartelé entre le désir qu'il arrête et l'espoir qu'il continue.
En connaisseur, il palpa la tige entre le pouce et l'index et dit : " Dis donc, elle est vraiment dure, ta bite ". Et c'est vrai que j'étais tellement excité que ça en était presque douloureux. " Laisse-moi la sortir, tu vas voir, c'est agréable... ", reprit-il.
Comme je refusai toujours, il commença à la place à caresser mon sexe sur toute sa longueur, toujours à travers le tissu. Je haletai de plaisir, et sursautai presque quand, très adroitement, il effleura la base de mes couilles à travers l'échancrure du slip, agrandie par mon érection. Ma bite se raidit et il le sentit : " Tu vois, c'est agréable, hein ? " Il me dit soudain : " Attends, je vais essayer quelque chose ", et sans me laisser le temps de trop réfléchir, il descendit poser ses lèvres sur le slip pour souffler de l'air chaud à travers. Je n'eus pas le temps de m'habituer à cette nouvelle sensation parce que brusquement, je sentis une pression mouillée autour de mon pénis : il enserrait mon gland avec ses lèvres à travers le tissu et faisait jouer sa langue autour. C'était vraiment troublant et délicieux.
Je commençai à lâcher prise sous l'effet du plaisir, et il profita que sa tête penchée masque mon entrejambe et ce qu'il y faisait pour subrepticement glisser quelques doigts dans mon slip. Finalement, en tirant sur l'élastique, et en poussant le gland avec sa langue par-dessus le tissu, il parvient à faire sortir mon sexe qui bondit brusquement hors du vêtement.
En sentant cette libération, j'essayai de repousser sa tête mais je n'insistai plus trop. À la place, il se contorsionna pour poser carrément sa joue sur mes cuisses, la tête tournée vers moi. Il avait ainsi une vue en gros plan de mon gland qui venait presque se poser sur ses lèvres. Il leva les yeux vers moi, très gêné qu'il puisse observer mon anatomie de si près, et me dit : " Elle est belle ta bite, je veux la goûter vraiment ". Et il commença à titiller mon pénis qui rebondit sous les petits coups donnés par sa langue. Par a-coups, mon sexe se redressait sous l'effet de l'excitation. Progressivement, il rapprocha son visage et accueillit finalement mon gland dans sa bouche pour le suçoter.
J'avais une vue plongeante sur son action. Je tins sa tête et l'aidai à faire entrer et sortir mon pénis de sa bouche. À chaque passage, il l'enduisait de salive et, comme je n'étais pas entièrement décalotté, il parvint même à glisser sa langue entre le gland et le prépuce. En un instant, je sentis que son mouvement allait me faire éjaculer. Mes jambes se raidirent et je ne pus plus me retenir. Un jet très puissant rebondit sur ses lèvres et du sperme pénétra même dans sa bouche. Il se mit à sourire de contentement, alors que d'autres jets s'étalèrent sur sa joue pour venir couler sur ses dents. La jouissance était tellement forte que je poussai des petits cris de plaisir.
En reprenant un peu mes esprits, je me rendis compte que j'avais envie de goûter son sexe aussi, mais j'avais peur qu'il me force à avaler comme il l'avait fait.
" Qu'est-ce que tu veux faire, maintenant ? " me demanda-t-il en se redressant, des traces de mon sperme encore autour de la bouche. " Est-ce que tu peux te branler ? " lui demandè-je, " j'aimerais bien voir comment tu fais... "
Il se soumit gentiment à ma demande et se cala sur son siège, les jambes bien écartées. D'une main qu'il avait fait passer sous sa cuisse, il jouait avec ses couilles en les chatouillant du bout des doigts. De l'autre, il avait formé un tube avec ses doigts et faisait bouger son bassin pour venir pénétrer cette gaine. À chaque coup de reins, son gland joliment ourlé sortait de sa main et laissait apparaître un liquide luisant. Je sentais aussi une odeur de sexe différente de la mienne : plus forte et musquée, plus masculine.
Il se mit à grogner, se cambra et poussa deux halètements. Je ne pouvais pas quitter son sexe des yeux : je voulais voir ce qui allait en sortir.
Assez rapidement, ses jambes se raidirent et quelques coulées d'un sperme très blanc sortirent pour s'étaler sur son ventre. En comparaison du mien, plutôt liquide et un peu translucide, sa semence était vraiment opaque et pâteuse. Il se retourna vers le siège arrière et saisit un slip dans un sac de sport posé là. Il s'en servit pour saisir entre deux doigts les épais morceaux de sperme étalés sur son ventre.
Une fois nettoyé, il remonta son slip et son pantalon et me dit en souriant qu'il s'appelait Gilles. Avant de me laisser sur le parking et de partir au volant de sa voiture, il conclut : " et si tu veux expérimenter d'autres "échanges d'énergie", n'hésite pas à venir me voir au centre de sports, il est juste à côté... "
Il va sans dire que j'arrivai très fébrile chez mon amie et eus un peu de mal à justifier mon retard... Mais cette rencontre resta longtemps un très bon souvenir, très utile pour laisser mon imagination vagabonder en classe !
Joshua
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