Début juillet, 2015, canicule, sur la route touristique des gorges de l'Ardèche, un soleil de plomb toute la journée. Moi, 42 ans , 1m75 regagnais mon domicile, en retour d'un treks en montagne de 4 jours . Je suis accompagnateur de randonnée et réside en Ardèche entre deux missions.
21h30, au volant de ma Citroën méhari, cheveux aux vents, je roulais doucement en appréciant le ciel bleu et le calme de la route après le rush des estivants en journée.
Au détour d'un virage, je fus surpris par un jeune homme, torse nu, short de running, chaussure de varappe au pied qui me faisait signe de m'arrêter. Visiblement il avait plusieurs griffures sur le torse et un genoux en sang. Immédiatement, je pensais à un accident de voiture nombreux sur cette route. Je stoppais, le jeune garçon, 1m70 environ, peau dorée par le soleil, des yeux bleus, un visage juvénile imberbe ,le crane rasé à la tondeuse, des jambes fines et musclées, un torse lisse, luisant de transpiration.
Arrivé à sa hauteur, je l'interpellais " que ce passe t il ? accident ? " il me répondit avec une voix tés haut perche comme s'il n'avait pas mué, ce qui détonnait avec sa stature sportive
" Non, chute de rocher, je grimpais sur la parois du " petit huit. " et j'ai dévissé je suis tombé sur les éboulis, je suis descendu à pied jusqu'ici, pour arrêter une voiture. Merci de vous êtes arrêté, il y a plus de 3/4 d'heure que je n'ai vu passer personne. "
" OK monte , rien de cassé tu penses ? a l'heure qu'il est, pharmacie et toubibs sont fermés, soit, je te conduis aux urgences de l'hôpital, soit ,je te soigne moi même . J'habite à 1/4 d'heure d'ici et j'ai quelques notions de secouriste. " " merci mais la deuxième solution sera suffisante je pense que ce n'est que superficiel. " Nous reprîmes la route qui grimpait sur le plateau ou je résidais dans une ferme typique que j'avais au fil des années retapée. " putain, désert le coin " me dit il " tu sais j'accompagne des groupes toute l'année, aussi le silence et le calme me vont très bien pour récupérer, sans être Hermite pour autant " ma remarque semblait le ravire. Le petit mec se présentait : Fred, 19 ans, étudiant en licence de sport, en vacances sur la région en camping . Il était venu avec un pote qui était remonté deux jours plus tôt et lui pensait rentrer d'ici la fin de la semaine sur Valence ou il résidait.
Je le fis entrer dans la grande pièce commune de 50 m2 seul les meubles et bibelots réalisaient des séparations entre cuisine, salon, salle à manger, et un coin salle de bain composé d'une baignoire en fonte que j'avais installée face à la baie vitrée donnant sur un champs de lavande....j'aimais l'espace. " Super votre intérieur. "me dit Fred.
Puis il m'expliqua que son sac à dos était partie dans sa chute et qu'il n'avait rien d'autre que son short et ses chaussures. Pas de papier, pas d'argent pas de téléphone. Ce petit mec était charmant et mignon comme tout avec ses deux fossettes sur ses joues lisses. J e me sentais un peut grand frère devant ce minou. " Ecoute Fred , avant de soigner les plais peut être que si tu prenais un bain, le sang séché disparaîtrait et nous verrions l'étendu des dégâts. "OK vous avez raison, je peux vous tutoyer ? j'ai des difficultés avec le vous.. "
Sans perdre une minute, je commençais à remplir la baignoire d'eau pas mécontent de pouvoir admirer le corps nu de ce petit minet. Tout à coup je le sentis derrière moi " Bon, je suis prêt. "
Me retournant je détaillais le corps de ce presque ados, sculpté par une fine musculature et surtout sans aucun poil, ni sur les jambes ni le torse te maintenant, je voyais, sans toison autour de la queue et couilles rasés. IL avait une bitte de 11/12 maxi avec deux petites couilles bien plaquées sur le chibre. Une sculpture grec !!! je ne pu retenir une remarque
" Visiblement tu n'aimes pas les poils toi. " " je fais beaucoup de cyclisme et les poils avec le goudron, c'est pas terrible.. " " ok je comprends mais tu fais du cyclisme nu pour te raser la queue ? " il partit d'un grand éclat de rire que je partageais " .Tu sais moi non plus je n'aime pas les poils. " et joignant le geste à la parole je baissais mon short puis lui montrer mon sexe lui aussi rasé. Les yeux de Fred détaillaient " Effectivement aussi rasé que moi mais pas la même taille...Combien ? 19 ? 20 ? " " un peu plus que 18 c'est déjà bien. IL est préférable d'avoir une petite active qu'une grande flémarde.. " ma remarque le fit rire aussi. Puis une idée me vint à la tête puisque je venais de lui montrer ma bitte il devait se rendre compte que je n'étais pas prude. " Fred je veux bien t'aider à nettoyer le sang mais je peux me dépoiler ? d'ordinaire je suis toujours comme ça ici ça ne te dérange pas ? " " tu es chez toi tu fais comme tu veux...déjà que tu m'accueil je ne peux rien imposer. Mais ça ne me dérange pas du tout je suis aussi naturiste lorsque je peux. " je faisais tomber mes fringues et me retrouvais bitte pendante devant mon minet. La baignoire s'étant remplie je l'aidais à monter dedans. Visiblement, il devait avoir touché le dos dans sa chute car il grimaçait dans certaines positions. Fred s'assit dans la baignoire et je pris une main éponge pour lui nettoyer le dos. Il se laissait faire te ma main tenait sa poitrine. Je sentais ce corps frêle mais ferme sous mes doigts . Le contact de ce corps de minet avait un effet désastreux sur ma bitte que je sentais se tendre doucement. Je donnais l'impression d'ignorer ce détail et je poursuivais ma discutions et mes mouvements de nettoyage de ce corps d e rêve. Au bout d'un moment je lui proposais de se mettre debout pour pouvoir nettoyer ses jambes. Il se levait, en plaquant ses mains sur sa bitte. afin de la cacher. " Excuse moi, mais la situation me fait bander, je ne suis pas gay mais un beau mec qui me lave je n'ai jamais connu ça et la réaction de ma queue ne se commande pas ...désolé.. " je répondis du tac au tac que pour moi l'effet était le même et je lui montrais mes 18 cm tendu comme un étendard.
Maintenant, Fred était devant moi, il avait enlevé ses mains et ce superbe sexe légèrement décalotté était en face de moi, ses petites couilles semblaient maintenant véritablement collés à la base de sa bitte. Sans faire rien paraître je commençais à nettoyer le genoux blessé. J'avais la queue de Fred en face de mon visage. Je triquais a mort mais jouais mon rôle d'infirmier modèle. Me penchant pour attraper le savon au fond de la baignoire la pointe de sa bitte vint en contact avec ma joue. Tout à coup je sentis les mains de mon minou se poser sur ma tête " Tu vas pas me laisser dans cet état ? tu veux me sucer ? "me demanda-t-il ? Levant les yeux, je vis la tête rayonnante de Fred qui me fixait de ses yeux bleus. Pour toute réponse,
j 'engouffrais cette supère sucette en gorge profonde. Le minou couinait comme un bébé il se dandinait et appuyait ses mains de plus en plus fort sur ma tête. Je lui caressais les tétons durs et mince et glissais mes mains sur son corps humide et doux puis toujours sa bitte au fond de ma gorge je glissai mes mains sur ses fesses rebondies. Le mouvement lascif qu'il exécutait me laissait à penser qu'il aimait ça. Doucement , je passais un doigt sur la raie et pressais sur la rosette. Fred se cambrait pour sentir mon doigt chercher l'entrée de son trou. Je lui saisi les hanches à deux mains et le fis pivoter ? Son cul était devant mon visage, un beau petit cul tout rond et ferme glabre comme le reste de son corps. Je ne pu résister à écarter les ses deux fesses et détailler sa rosette à peine teintée. Ma langue se glissa sur se trou superbe et tenta de rentrer le plus profond possible. Fred cette fois réagit " Arrête ! Arrête ! qu'est ce que tu fais ....je n'ai jamais donné mon cul. Arrête ! " je m'exécutais immédiatement " excuse moi mais je ne pouvais laisser passer une occasion pareil, mais tu as raison je cesse et m'occupe de tes blessures. " Après être sortie du bain, enfilé son short et du coup moi enfiler le mien, j'installais Fred sur une chaise pour m'occuper de ses blessures. Nettoyage fastidieux pour enlever tout les petits graviers plantés sous la peau. Une bonne heure après, c'était fait ." Merci tu as fait cela très pro ; " me lança Fred. Il était maintenant 23h30.
" Dit Fred je ne veux pas compter, le temps, mais il fait nuit. Veux tu que je te redescendre à ton camping ? ou, si tu veux, nous pouvons casser une croûte ensemble, t'héberger cette nuit et demain matin retourner ensemble vers les rochers pour tenter de retrouver ton sac. C'est comme tu veux. " l'idée semblait enchanter Fred et joyeusement il m'aidait à couper charcuterie, tomates et fromage. La soirée se termina vers 2 heures du matin autour de bières fraîches . Il me racontait qu'il était en internat le reste de l'année que sa licence de sport serait obtenu l'an prochain, qu'il n'avait pas de copine fixe, et suite à la complicité que nous avions créé il me confia que bien qu'ayant " bricolé " avec des nanas il était toujours puceau, mais que ça ne lui prenait pas la tête les choses devaient arriver au bon moment.
En raison de l'heure je l'invitait à se diriger vers le coin nuit, la seule pièce encore en cours de rénovation. Je n'avais qu'un grand matelas de 160 de large posé à même le sol sur des tapis épais rapportés de Turquie , et le mur ouest de la chambre avait été remplacé par une baie vitrée de 3m sur 2,5 donnant sur le plateau aride planté de futaies sèches. Fred exprima son admiration pour l'aménagement et me bombardait de question sur les masques, bibelots divers rapportés d'Inde, de Russie, d'Afrique, ou je m'étais rendu. Ce n'est que vers 4 heures du matin que je renonçais à répondre à toutes ses questions sur les pays dans lesquels il rêvait de découvrire.
Je quittais mon short et m'étalais sur le lit laissant juste une petite veilleuse lumineuse éclairée. " tu te couches comme tu veux, Fred, à poil, en short, en pull ...mais couche toi, je n'en peut plus ! " Comme je l'espérais, il se mit nu et s'allongeait à coté de moi. La largeur du lit nous laissait largement la possibilité de ne pas nous gêner pendant la nuit. Chacun allongé sur le dos les bras derrière la tête. Nous commencions à nous détendre et le corps nu de mon petit mec avait lentement , des effets sur ma bitte. Fred pris la parole " Merci pour cette soirée et les soins, je suis super bien chez toi. Peux tu éteindre la veilleuse ? la lumière de la nuit à travers la baie vitrée semble suffisante. " je m'exécutais et pouvais apercevoir le corps fluide de Fred à contre jour. Après la réaction qu'il avait eu avec ma langue sur sa rosette je conclu que rien n'allait se passer enter nous et que je devais rester sur l'admiration de cet éphèbe à mes cotés. Mais les choses ne sont jamais intangibles. Alors qu'il y avait une bonne 1/2 heures que j'étais sur le dos et les mains croisés sous la tête, je sentis Fred se rapprocher de moi jusqu'à sentir son épaule contre la mienne. Je ne bougeais pas appréciant la douceur de sa peau contre la mienne. Dans une série de mouvement de mon éphèbe qui semblait chercher le sommeil, sa main vint se plaquer sur ma poitrine. Je ne bougeais toujours pas, mais mon coeur battait de plus en plus fort, et ma bitte était tendu au maximum. Lentement, je sentais les doigts de Fred se glisser sur ma peau, il me caressait le torse. D'abord très légèrement, des effleurements, puis de plus en plus appuyés. Bientôt sa main descendait vers mon nombril. Je n'en pouvais plus. Et je tentais un mouvement dans sa direction . Le premier contact fut la pointe de sa bitte qui mouillait. Je glissais sa queue dans ma main pour en faire un fourreau. Fred se tortillait comme pour demander à ce que je le branle. Je ne l'entendais pas de cette oreille, car avec un puceau l'éjaculation pouvait être rapide et la libido retomber aussi tôt. Il fallait que je fasse durer la tentation et si, in fine, je pouvais arriver à niquer mon petit minou je serais le plus heureux des baiseurs.
Je tournais sur le coté et son visage faisait face au mien. Je lui pris la tête dans la main pour attirer sa bouche vers moi. Bientôt sa langue et la mienne partageaient une recherche commune. Il embrassait comme un débutant, ne voulant pas faire pénétrer ma langue dans sa bouche et gardant les lèvres à peine ouvertes. Mais, après quelques essais, il laissait enfin entrer ma langue dans sa bouche, puis partager de longs baisés torrides. Avec cette intensité j'étais certain qu'il éprouvait un véritable plaisir. Ses mains parcouraient mon corps sans descendre vers ma queue ...(c'est toujours drôle les initiations). Nos deux corps serrés l'un contre l'autre, nos deux bittes se plaquaient l'une à l'autre, Je sentais sa mouille m'engluer le ventre. Mes mains lui malaxaient les fesses, mes doigts parcouraient la raie, enfin mon indexe trouvait la rosette et titillait ses sphincters. Cette fois à la façon e se tortiller, je savais que ce doigté initiait du plaisir chez mon minet. Je le fis retourner et lui léchais le dos, les fesses, puis enfin le trou. Cette fois il se laissait pénétrer de plus en plus profond par ma langue.. Et comme je suis un vieux roublard, à porté de main j'avais gel et capotes. Dés que je commençais à lui lubrifier le cul il me demandait ce que je faisais. Ma réponse était prévu, " laisse toi faire tu vas connaître le plaisir et moi aussi. Je te promets d'arrêter dès que tu veux"Doucement, je frottais ma queue sur la raie de mon éphèbe qui insistait pour que ce soit plus rapide. Enfin, je lui introduisais un doigt pour bien le lubrifier, puis deux, et la, je sentais sa résistance. " Cool, Fred détends toi, laisse entrer doucement.. " Mes paroles calmes ; eurent l'effet escompté il se descendit comme les sportifs savent le faire " je posais la pointe de ma queue vers ce trou palpitant. Bien qu'il était super serré je ne forçais pas beaucoup pour enfoncer de deux centimètres. Sous les feulements de mon petit Fred, je poursuivais ma pénétration , lentement, amoureusement, calmement. Enfin mes couilles se mirent à taper sur ses fesses ; Mes 18 centimètres étaient rentrés. " Fred, je suis à fond ! " quelques instants après mon sexe était comprimés par les palpitations de son cul , je savais qu'il était en train de jouir. Je deculais doucement pour lui éviter la douleur. Fred se repositionnais sur le dos et moi me rapprochais pour l'embrasser. Mon dos était en contact avec le foutre qu'il avait craché sur les draps. J'étais gluant et poisseux " Putain Fred tu n'avais pas jouie depuis 3 mois pour juter une telle quantité de sperme " il me répondis qu'il pensait avoir eu la plus grosse éjaculation depuis longtemps .Cette fois, heureux je repris ma position sur le dos le sperme de Fred séchais sur ma peau. Il posait sa tête sur mon épaule et dans mes bras il s'endormit. Mais, 2 heures plus tard, le soleil passait à travers la baie vitrée et baignait le lit de ses rayons. Je sentis la bouche de Fred m'embrasser sur l'épaule, puis me sucer les tétons et me faire plein de bisous sur les abdos. Je profitais de cette position pour lui pousser la tête en direction de ma queue tendue. Je sentais une hésitation et une résistance de sa part. " Fred, ou tu termines ton éducation ou tu resteras dans le doute. " en même temps je soulevais mes fesses pour placer ma bitte devant sa bouche. Il commença à donner des coups de langue sur ma hampe, mais, je forçais le passage et enfonçais la pointe de ma queue enter ses lèvres. Enfin il ouvrit la bouche et commençais à sucer correctement. Visiblement il y trouvait du plaisir ; " Fred, je ne vais pas tarder à jouir garde mon sperme dans ta bouche et ensuite viens m'embrasser nous partagerons ensemble ma semence.. " Dés la deuxième éjaculation Fred sortait ma bitte de sa bouche, aussi, les trois autres jets vinrent s'écraser ;, l'un sur son visage, les deux autres sur mon torse. Fred se coucha sur moi étalant le sperme de nos deux corps, puis vint m'embrasser. Rapidement je compris qu'il me donnait la totalité du foutre qu'il avait gardé sans en avaler la moindre goutte. En jouant avec nos langues et nos salives nous avons partager ma semence. Il semblait moins apprécier que de se faire enculer, les goûts et les couleurs ne se discutent pas ! . " Fred va te rincer la bouche et reviens " il se leva jusqu'au lavabo pour boire un coup, puis retourna se coucher à coté de moi. Enfin il prit la parole " Tu sais je ne me doutais pas hier en te voyant aussi viril que tu aimais ,les hommes. Je ne pensais pas non plus perdre mon pucelage avec un mec et surtout je craignait par dessus tout la douleur de la pénétration alors qu'il n'en à rien été...chapeau mec.. " ce fut encore l'occasion d'un baiser. " Allez Fred au petit dej ! "
J'ouvris grandes les deux portes vitrées qui donnaient sur la garrigue. Et toujours nus, face au soleil nous nous installions autour de la table en bois. " c'est la première fois que je prends un petit dej à poil " me dit il en riant. mais naturellement, vous vous doutez que nos ébats ne sont pas clos comme ça. Je l'ai baisé sur la table en bois dehors, niqué à califourchon sur moi assis sur une chaise, enculé debout les bras appuyés sur une branche d'arbre...sucé, pompé sa sève et la partager avec lui. Le lendemain vers 16 h nous avons été récupéré son sac vers les éboulis ou il était tombé. Fred est resté trois jours chez moi ou je l'ai initié à plein d'autre plaisirs, le dernier était qu'il me pisse dessus ; jeu qu'il n'a pas voulu partager. Nous nous sommes séparé, nous nous sommes téléphoné avec beaucoup de plaisir, il a rencontré une superbe copine...nous ne nous sommes pas revu mais gardons des contacts d'amitiés. Pour tous je suis son Saint Bernard et lui mon petit grimpeur imprudent, nous conservons nos secrets bien enfouis dans nos mémoires, mais je ne penses pas qu'ils disparaissent.
Yannick
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