Je me réveillais ce matin-là avec une érection d'enfer. Le genre de trique matinale qui vous oblige à vous branler dès le premier clignement d'yeux de la journée. Ma verge de 20 bons centimètres était totalement tendue dans mon boxer noir, trop étroit du coup, et me faisait presque mal. En m'étirant, je repoussais les couvertures et dévoilait donc mon corps plutôt bien fait, avec vingt ans de foot et d'escalade derrière moi et plusieurs années de musculation. Des poils courraient, noirs, de mes pectoraux carrés jusqu'à sous mon boxer, en suivant la ligne tracée sous mon nombril. Je m'étirais les bras, contractait mes biceps musclés, en poussant un râle bien rauque, avant de fourrer une main dans mon boxer pour sortir ma queue et commencer à me branler. C'était bon, tellement bon ! Bien trop bon. Si bon qu'en quelques bons coups de poignets et quelques images dans la tête, j'éjaculais brutalement sur mon torse. De gros jets de sperme qui vinrent jusqu'au haut de mes pectoraux, m'obligeant à râler un peu à nouveau. J'étais seul. Enfin, je le croyais. Car la porte de ma chambre s'ouvrit, découvrant mon grand frère, de dix ans mon aîné. Je l'avais oublié ! Il était chez mes parents pour le week-end. Le torse couvert de sperme et la queue en main, je pense n'avoir jamais eu aussi honte de toute ma vie. Il ne pensait pas, apparemment, me découvrir comme ça non plus, puisqu'il bloqua un instant, avant de se mettre à rire comme un con. Moi, déstabilisé, je relâchais ma bite pleine de sperme, qui claquait à mon bas ventre, et ramenait rapidement mes draps, qui se retrouvèrent rapidement tâchés de sperme.
- PUTAIN LA LOOSE !!!!! Obligé de te branler mec !
- C'est bon ta gueule Jérém' ! Qu'est-ce que t'ouvres aussi sans prévenir merde ? Et puis ça t'es jamais arrivé en 30 ans ?
- Non, j'ai toujours trouvé quelqu'un qui puisse me les vider. C'est triste pour toi frérot.
- Ta gueule et dégage, allez !
- Attends ... .
Mon frère s'approcha alors. Surpris, je rougissais et essayait de remonter les draps. Mais il les prit et les retira d'un coup très sec, découvrant à nouveau mon corps plein de sperme, étalé du coup sur mes muscles, et ma queue désormais presque entièrement débandée mais toujours de bonne taille, car bien épaisse.
- Et en plus tu dois pas en faire gueuler beaucoup avec ça.
- Ta gueule !
Je me levais d'un coup et filait enfiler un boxer, avant de passer à côté de lui. Je l'aurai bien bousculé, s'il n'avait pas fait dix centimètres de plus que moi et s'il n'avait pas eu des bras plus épais que mes cuisses. Le rugby, pendant vingt ans, ça aide ! 1m95 de muscles, les yeux bleus, la peau bronzée, la barbe de trois jours et les cheveux bruns, il doit en faire craquer des nanas, c'est clair. Mais quel enfoiré quand il s'y met !
Je le dépasse et file dans la douche pour me nettoyer, et surtout essayer d'oublier cette scène horrible ... enfin, jusqu'à ce que je me rende compte qu'en y repensant, ma queue redevient dure, très dure. Mon frère entrant dans ma chambre ... entrant dans ma chambre torse nu, avec ses deux putains de pectoraux bien massifs ... entrant dans ma chambre torse nu, en bandant ses larges biceps ... entrant dans ma chambre en boxer, avec son énorme paquet dont je me suis toujours demandé s'il n'était pas plein de chaussettes ... entrant dans ma chambre nu, avec une énorme bite bandée ... putain, ma queue devenait folle ! Je ne pouvais plus résister, prenait ma bite et me branlait vigoureusement, jusqu'à jouir puissamment contre la paroi de la douche dans laquelle je n'étais même pas encore rentré. Merde, qu'est-ce que je venais de faire sérieusement ? Me palucher en pensant à mon frère à poil et la queue bandée ! Dégueulasse.
Je me douchais finalement, les couilles un peu plus vides, puis filait dans ma chambre enfiler un jean et une chemise, avant de prendre mes clefs de bagnole pour filer. Mes parents étaient partis aujourd'hui en Espagne, pendant une semaine. Mon frère, lui, repartait ce soir. Et moi, je rentrais demain matin chez moi, à une heure de route environ. J'avais clairement pas envie de passer la journée avec lui après ça ! Alors je déboulais dans les escaliers, en enfilant mon manteau tant bien que mal, quand il se dressa devant moi au bout des dernières marches. Je m'arrêtais net, en soupirant bruyamment, et essayait de passer à gauche ... puis à droite ... et re-à gauche. Mais bien sûr, il se décalait à chaque fois.
- Fais pas chier Jérém, laisse-moi passer, j'vais voir une pote.
- Tu vas te branler d'vant elle ?
- Arrête putain t'es lourd. J'me suis branlé comme 99,9% des mecs de cette planète, alors fais pas chier. Si tu l'as jamais fait c'est ton problème. Alors fais pas chier putain.
- Ho tu me parles meilleur Nico, j'suis ton frère !
- Ouai mais tu fais chier ! Allez barres toi sérieux là !
- Tu vas vite te calmer, sinon j'te les pète tes petites burnes de tapette !
Ce mot sortit de sa bouche et les images qui avaient défilé dans ma tête, plus le fait que je me demande depuis des années si, effectivement, je n'étais pas une tapette ... ça me mit en rogne. Du haut de mon mètre 85, je banda mes muscles et me balança sur lui, du haut des trois marches plus hautes sur lesquelles j'étais encore. Je pesais environ 85kg de muscles. Pourtant, mon frère me rattrapa au vol et me plaqua brutalement par terre. Le rugby, ça sert vraiment. Je me retrouvais allongé sur le dos, le souffle coupé, les yeux écarquillés ... et surtout, avec cent dix kilos de muscles sur le corps, me broyant littéralement. Etouffé, je lui prenais le visage brutalement, avant qu'il ne me foute un coup dans le ventre. Mes abdos étaient franchement bien taillés et durs, mais ne résistaient pas à ses poings. Je râla de douleur, avant qu'il ne se lève et ne mette son pied sur mon torse, conquérant.
- Tu sais quoi ? Vu que tu veux te battre apparemment, j'te mets au défi de soulever mon pied. Si t'y arrives, j'te laisse partir. Si t'y arrives pas, j'vais te montrer ce que c'est qu'un vrai mâle putain.
Ses propos me choquèrent. Mais il m'appuya plus fortement sur le torse, m'obligeant à saisir rapidement son pied pour le soulever. Je poussais de toutes mes forces en râlant de rage. Mais ses cuisses étaient vraiment énormes, déformant son jean, et il appuyait vraiment fort. Je laissais tout à coup retomber mes bras, et lui failli me péter la cage thoracique en abattant son pied sur mes côtes. Je hurlais de douleur, avant qu'il ne se baisse, me choppe par les cheveux et me traîne vulgairement au sol, jusqu'à notre salon. Il me balança plus loin sur le sol et déboutonna d'un geste son jean. Moi je restais bouche bée. Il faisait quoi ce con ? Il baissait son jean, dévoilant ses cuisses poilues et putain d'énormes, et puis tout à coup, laissait sortir sa queue ... bien loin d'être au repos ! Il bandait comme un taureau. Si ma bite mesurait 20cm, la sienne devait facilement avoisinner les 23 ou 24. Elle était énorme, proportionnelle à ce véritable taureau qu'il était. Moi je me sentais petit, petit et faible, je me sentais gringaler, insignifiant, et c'était désagréable, car peu de mecs pouvaient me faire sentir ainsi avec ma taille, ma carrure et les proportions de ma queue.
- Tu ... tu fous quoi merde ? Barre-toi !
- Je te montre c'que c'est qu'un mec qui a pas besoin de se branler pour s'vider les burnes !
Il s'approcha, de plus en plus dangereusement, avec sa grosse queue qui fouettait l'air. Surpris, je me relevais tant bien que mal et commençait à vouloir filer sur le côté. Mais il me plaqua à nouveau, me prit la gorge, me forçant à ouvrir la bouche, et me fouetta le visage avec sa putain d'énorme queue massive, avant de me la fourrer dans la bouche. Là, je perdais pieds. Ma queue se dressa brutalement dans mon jean, en sentant le goût extrêmement corsé et très mâle de la bite de mon frère dans ma bouche. Je le regardais dans les yeux, alors qu'il me regardait conquérant, dominateur. Je pris néanmoins ses poignets pour l'empêcher de m'étrangler, mais il était bien trop fort, trop puissant. Comment lutter ? Alors qu'il commençait à forcer le passage dans ma bouche ... .
La suite arrive. Pour tout commentaire, n'hésitez pas : resleztx2@hotmail.fr !
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