J'ai pour habitude de ne parler à personne dans le métro, je mets mes écouteurs, je m'assoit et je regarde devant pendant 6 arrêts avant de descendre et de rentrer chez moi. Mais ce jour là, j'avais tourné la tête, par pur hasard, j'ai tourné la tête et je l'ai vu qui me fixait, il me sourit et je fais de même, il était grand et brun, une barbe bien fourni surmontait sa mâchoire carrée et son teint de peau me fit deviner qu'il était hispanique. Il rigole un peu et je me remet à regarder devant moi. Puis, je me retourne une deuxième fois pour le voir avec ses grands yeux verts et profonds. Il exsude la passion, la chaleur, le sexe. Il continuait de me fixer. Je finis par lui demander :
- Je peux vous aider ?
Pas de réponse...
- Écoutez, je me sens mal à l'aise d'être fixé par quelqu'un comme cela, donc soit vous détournez le regard soit vous m'abordez mais ne restez pas là à rien faire
Il se lève alors de son siège et vient se poser à côté de moi :
- Je suis désolé si je vous ai rendu mal à l'aise mais vous aviez l'air de quelqu'un d'avenant alors je me suis permis.
- Cela vous arrive souvent de fixer les gens dans le métro ?
- Seulement quand ils valent la peine d'être fixés.
- Je me sens privilégié
Il sourit alors, me laissant admirer son visage parfaitement dessiné.
- Je m'appelle Sam.
- David, enchanté.
Sa poignée de main est ferme et intense
- Quand est ce que vous vous arrêté ?
- Dans trois arrêts.
- Je descend au prochain, laissez moi vous demandez votre numéro, j'aimerais vraiment vous revoir.
- Je peux descendre au prochain arrêt et prendre un taxi sinon.
- Je vois pas bien le rapport
Il s'approche alors de mon oreille et me murmure les mots : "Je suis très bon au lit"
- Je vous payerais moi même le taxi mais vous devez respecter vos promesses.
- Mes promesses ne valent rien, mais mes actes vous feront comprendre que je suis sérieux.
Nous descendons alors du métro et nous nous dépêchons de rentrer à mon appartement. Tout le trajet je le sens haleter et il me touche le cul d'une manière douce et expérimenter. Enfin à l'appartement, il m'embrasse avec fougue, son odeur est un délice, un mélange d'épices et de parfum de luxe. Il est très doux, il y vas doucement, nous nous embrassons pendant de longues minutes avec de nous diriger vers la chambre où il enleva ces vêtements et je pus contempler son corps si parfait : ses muscles étaient sculptés et torrides, une toison recouvrait son torse et j'aperçus alors une bosse gonflant dans son pantalon.
- Enlève tes vêtements, je m'exécute, plus vite je veux te voir le plus vulnérable possible.
Après avoir enlevé mon boxer, il m'empoigne la queue et m'embrasse à pleine bouche. Puis il me dit :
- Met toi à genoux.
En déboutonnant son jean, je pus voir à travers son sous-vêtement, la silhouette de son membre, je commence à l'embrasser à travers son slip puis il m'arrête tout de suite :
- Attend pas là.
Il enlève son slip et se retourne, il veut que je lui bouffe le cul. Ni une ni deux, j'enfonce ma langue dans son trou, il s'avère que Marco est quelqu'un de très vocal. Il gémit fort et longtemps, pendant que je travaille ma langue sur sa rondelle. Il me pousse la tête dans son anus et me dit d'accélérer, je m'affaire et crache dans son trou :
- Met les doigts.
Je rentre mon index et mon majeur et je les tourner, joue avec sa prostate, tout en continuant de gémir, il me dit de ne pas m'arrêter. J'essaye alors quelque chose que je n'ai jamais fait :
- T'aimes ça salope.
Je ne l'entends plus rien dire puis il crie :
- Continue t'arrête pas !
- T'es qu'une chienne, tu cherche des mecs qui peuvent te fourrer dans le métro.
- Oui je le fait !
- T'es qu'un bon à rien, tu sers qu'a donner du plaisir.
- Oui, encule moi !
- J'ai pas de capotes
- Merde ! Laisse moi te sucer !
Il se retourne et se enfourne ma queue dans sa bouche pendant que je continue à l'insulté, il est très bon pour sucer des mecs, je ne sens aucune dents, il me lèche toute la tige et ne laisse rien au hasard, pendant qu'il me suce il se masturbe et me caresse le cul :
- Je vais jouir, je peux plus tenir, il me dit.
Je m'empresse d'attraper sa queue alors qu'il continue de sucer la mienne, il éjacule avec des grands jet, je me retrouve avec du fooutre sur le cou pendant que moi aussi j'éjacule dans sa bouche, il garde tout et s'assure de me nettoyer la queue, je fais de même pour lui.
Nous nous embrassons et je lui dit :
- Combien est ce qu'il te faut pour le taxi ?
Karft
Autres histoires de l'auteur : L'inconnu du métro | Un ami d'enfance