J'ai rencontré Didier par l'intermédiaire d'un site de rencontres sur lequel j'avais posté une annonce. Celle-ci annoncée clairement que j'étais passif et à la recherche d'un actif viril entreprenant. J'ai eu plusieurs réponses, dont une a retenu mon attention. Après plusieurs mails où nous avons échangé nos envies mutuelles, nos désirs cachés, il me proposa un échange de photos de nus car le courant semblait bien passé entre nous. Il m'envoya d'abord les siennes et je découvrais un homme d'une soixantaine d'année assez trapu et encore bien musclé, le sexe en érection. Celui-ci, sans être long était bien épais avec un gland par contre très proéminent. A mon tour je lui dévoilais mon intimité dont une dans une pose dès plus osée, à quatre pattes, bien cambré afin qu'il puisse bien voir ma raie des fesses. J'exposais mon cul à un inconnu.
Cela lui fit de l'effet car il m'envoya un nouveau mail enflammé dans lequel il m'appelait sa chérie, me décrivait son envie de me bouffer la chatte anale, de me prendre comme une femme et m'avoua également qu'il avait un penchant pour les hommes portant de la lingerie féminine. Je fus un peu surpris et un peu gêné n'ayant jamais porté de telle tenue. Nous convînmes d'un appel téléphonique pour en discuter et se donner rendez-vous.
Le lendemain je l'appelai sur son portable et après s'être donné rendez-vous pour le surlendemain, il reprit la conversation sur la lingerie féminine en m'affirmant que beaucoup de passifs en portaient et que c'est une pratique très courante. Naïf, car un peu hors milieu, j'acquiesçais ce qu'il me présentait comme une vérité, mais lui annonçais que pour la première fois je préférais le faire sans.
Cette idée m'avait titillé l'esprit et je décidais le soir même, non sans gêne, d'aller faire quelques achats pour m'initier seul d'abord, chez moi, au port de lingerie féminine. En supermarché, j'avais acheté un porte-jarretelle, des bas, un déshabillé, le tout en dentelle noire, et je m'empressais d'essayer l'ensemble une fois rentré. J'avais l'impression de faire pute, cela me gênais mais à la fois m'excitais terriblement. Essayant toutes les positions devant le miroir, je cherchais celle qui me faisait la plus salope. Je pris alors un gode que j'introduisis dans mon anus et me mis à me masturbais frénétiquement. J'eu rapidement un orgasme. Mais une fois revenu sur terre, je ne savais pas quoi faire, y aller normalement ou ainsi travesti....
Le lendemain arriva, j'étais décidé. J'enfilais mes bas, mis mon porte-jarretelles, mon petit déshabillé et revêtu des habits normaux par-dessus. Je pris ma voiture et me rendis à mon rendez-vous galant.
Arrivé au domicile de Didier, une ferme landaise perdu au fin fond de la campagne, celui-ci m'accueillit en m'embrassant tendrement et m'invita à entrer. Posant ses mains sur mes fesses, il me fit avancer vers le salon tout en me pelotant avec insistance. Là je découvris un autre homme assis sur le canapé face à un grand feu de cheminée, j'étais un peu pris au dépourvu ne sachant pas la raison de sa présence et nous fîmes les présentations. Didier me présenta tout naturellement comme son amant et m'annonça que je n'avais pas à m'inquiéter car son pote était également homosexuel. Il avait l'allure d'un paysan, avec un physique très massif. Je ne savais pas comment aller tourner la soirée, mais après quelques verres de gnole locale, l'atmosphère était propice à la détente et la conversation dévia naturellement sur le sexe et Didier se mit à être de plus en plus entreprenant, me caressant les cuisses, s'attardant sur l'entrejambe où il me pressait fortement les testicules, et m'embrassant fougueusement devant l'autre. Je voyais le troisième se caressait le sexe au travers de son pantalon. Je réalisais enfin que si cela aller plus loin maintenant, la surprise de ma tenue, que j'avais réservé à Didier, allait être dévoilée aux deux males.
Puis Didier commença à se déshabiller et m'invita à l'imiter, je lui dis à l'oreille que je portais la tenue dont il avait parlé et que j'étais quelque peu gêné de me découvrir ainsi devant l'autre. Il me regarda l'air avide et me déshabilla lui-même. Au fur et à mesure de mon effeuillage, je sentais monter en moi des bouffées de chaleur et mon sexe se raidir. Le troisième interpella Didier et lui dit qu'il avait trouvé le gros lot et une sacrée salope. Enivré et excité, je souriais maintenant à ce genre de réflexion humiliante.
Une fois nu, il me fit m'assoir sur le rebord du canapé et tenant sa verge dans une main me la présenta à hauteur du visage. J'ouvris alors la bouche pour la recevoir. Si elle n'était pas trop longue, son gland était massif et bien dur. Il s'enfonça entre mes lèvres tandis qu'il prit ma tête à deux mains pour y imprimer un mouvement de va et vient. Les poils de son pubis venaient se frotter sur mes lèvres car je devais tout avaler et ses testicules s'écrasaient sur mon menton. Le bout de sa queue arrivait vraiment à la limite de ma gorge. Tandis que je suçais Didier l'autre se déshabilla, il faisait encore plus gros une fois nu. Il vint s'assoir près de moi et posa sa main sur mes fesses, les doigts sur la raie. Assis sur le bord du canapé, je dus me cambrer pour qu'il puisse glisser ses doigts enduits de graisse vers mon anus et Il les enfonça bien au fond de mon cul.
Lorsque ma rondelle fut bien enduite de saindoux, le gros annonça à Didier que la petite salope était prête à se faire prendre la chatte anale.
Je me mis sur le dos, le cul bien offert au bord du canapé, les genoux remontés jusqu'au torse et les cuisses bien écartées. Didier m'annonça qu'après lui, le gros me baiserait aussi car il avait tendance à jouir un peu vite. Il me prit les testicules dans une main, les souleva et guida sa queue entre mes fesses. Son gland, puis sa verge entrèrent en moi avec une facilité déconcertante. Mes mains agrippés au rebord du canapé, m'aidaient à faire les mouvements de va et vient qu'il m'intimait de faire en me tirant les couilles d'avant en arrière. Je gémissais à chaque fois qu'il me les tirait et me rentrait son engin dans le cul. Je m'exécutais docilement, j'acceptais la saillie en couinant, il voulait m'engrosser, disait-il, comme une femelle. Dans un râle il jouit......
Eric Montdemarsan
Autres histoires de l'auteur : Pris comme une femme