Épisode précédent
Son bureau se trouvait à l'arrière du club juste à coter du salon privé dans lequel nous étions tous passé. Il était simpliste, moderne et sans fenêtre. Il y avait un canapé de cuir noir pauser dans l'angle droit de la pièce, juste à côté d'un mini bar, et en face d'un mur complet d'étagère rempli de dossier et autre paperasse. Le bureau en verre était au centre de la pièce et juste derrière un grand siège de cuir sur lequel l'homme en costume pris place. Resté à l'entré, je regardais l'ensemble avec appréhension, toujours essoufflé et légèrement gêner de ce qui venait de se passer. D'un geste l'homme m'invita à venir jusqu'à lui. J'avançais gauchement jusqu'à son bureau. La vision de mon barman nus et couinant comme une chienne toujours en tête, j'avais du mal à contrôler la demi molle qui faisait battre mon entrejambe. Puisqu'il n'y avait aucun siège, je fus dans l'obligation de me tenir debout face à lui, m'obligeant à nouveau à poster mes mains en coque protectrice sur mon sexe agité. Ces yeux gris s'y attardèrent un instant sans qu'il ne laisse quoi que ce soit transparaitre.
Il commença alors un interrogatoire des plus banales. Ou t'es né ? Que fais-tu dans la région ? Quel sont tes ambitions ? etc... je répondis à toute ces questions avec le plus d'application possible, l'esprit toujours tourmenter par des images salace et libidineuse. En plus venait se rajouter à cela un élément que je n'avais pas tout de suite remarqué. Il régnait dans la pièce un odeur forte et familière, un mélange de sueur et de chaleur animal, une odeur de sexe. Tout de suite je compris la raison de toute cette attente et ne pus m'empêcher d'admirer l'homme en costume pour ces prouesses. Instantanément je sentis mon corps et mon esprit s'échauffer. A nouveau je jetais un regard circulaire dans le bureau et me demandait ou çà c'était passer. Le canapé de cuir semblait l'endroit tout désigner, aussitôt je m'imaginais le petit gringalet du début, la tête enfoncer dans les coussins, à se mordre le point pour ne pas hurler, comme une salope en rut, sous les coups de buttoirs de l'homme en costume. Je voyais aussi très bien mon prédécesseur en tenu de lacrosse se caresser son petit trou, jambe écarter, sous le regard animal et inquisiteur de notre hôte. Toute ces images me rendaient de plus en plus excité. Et ce n'étais maintenant plus une demie molle qui déformait mon entrejambe mais une belle érection qui venait taper contre mes paumes et frotter contre mon jeans. Répondre à ces questions devenait de plus compliqué et mon air coupable n'aidait en rien. Il garda le silence un instant, ces deux grandes mains jointes au pouce effleurant ces lèvres charnues. Mon sexe tendu à son maximum malgré sa récente activité, devenait douloureux, et m'obligeait à me caresser discrètement pour me soulager. Je faisais rouler mon membre sous ma paume tandis que L'homme en costume me dévisageait avec un petit sourire en coin et un regard qui me donnait chauds.
-Bien, maintenant que j'en sais un peu plus sur toi je vais te parler de notre fonctionnement. Sache que nous somme la meilleure boite de strip du compter, non seulement je demande le meilleur de mes garçons, mais aussi et surtout, une grande loyauté.
Toujours dans ma masturbation silencieuse, j'hochais la tête d'un air distrait.
-Je vais être clair. Si tu bosses pour moi, tu devras faire tout ce que je te dis.
Il insista sur ces trois derniers mots, son regard allant de mon entrejambe à mon visage devenu cramoisi. Il ne montrait toujours aucune réelle émotion, affichant une expression froide et virile. Il avait beau être assis derrière son bureau il en restait tout aussi intimidant. Néant moins je me sentis obliger de répliquer.
-Je ne suis pas une pute.
Je le fixais fièrement dans les yeux tandis que lui me dévisageait avec calme.
-Qui vous a parlez de ça ?
-Je sais parfaitement ou vous voulez en venir.
-Vraiment ?
-Vous allez commencer par me faire coucher avec vous, avant de me faire tourner à vos potes en échange de quelque billet que je ne verrais même pas.
Pour la première fois vraiment son visage se fendit d'un sourire moqueur accompagné d'un haussement de sourcils. Il se laissa aller contre le dossier de son siège avec son expression moqueuse et recommença à se caresser les lèvres avec le pouce.
-Tu sembles être un garçon intelligent Raeken. Tu crois sincèrement que ceux qui sont passé avant toi, aujourd'hui, non pas déjà soulevé tous ces points ?
Je me mordais la lèvre ne sachant quoi répondre, le pantalon toujours déformer par une érection. L'idée d'être assez ordre ne faisait que me faire bander d'avantage mais j'avais trop de fierté pour l'admettre. L'homme en costume en avait parfaitement conscience et enchaina son discours.
-Les deux avant toi ont protesté aussi, jouant les grands messieurs, avant de couiner comme deux grosses chiennas en rut, prête à tout pour une bonne queue. Tu vois, il y a deux types de personne dans le monde. Tu sais ce que m'as dit le premier ? qu'il n'était pas comme ça et que jamais il ne pourrait. Il a suffi que je me tienne contre son dos et que je lui caresse le cou pour qu'il se mette à mouiller comme une pucelle.
Je m'imaginais parfaitement la scène. Le gringalet avec ces cheveux ras et ces petites mimiques, ce tenant juste là où je me tenais, en train de jouer avec ces doigts, les yeux baisser, tandis que l'homme en costume se rapprochait de lui en silence, toute dent dehors, comme un prédateur. Je voyais parfaitement ces grandes mains, amener le gamin, à peine majeur, contre lui et, l'effleurer avec fermeté. Je pouvais presque entendre ces petits soupirs, et ces gémissements de pucelle, tandis qu'il le déshabillait. Mon érection était maintenant à son apogée et des petites gouttes de pré-cum passait même au travers de mon jeans. Les toujours poster au niveau de mon entrejambe je tentais de faire au mieux pour dissimuler la bosse et la petite tache d'excitation, pendant qu'il continuait de me raconter.
-Et tu veux savoir ce qu'a fait le deuxième dans çà petite tenue de lacrosse ? il m'a regardé droit dans mes yeux et m'a dit qu'il ferait tout, tout, à condition qu'il touche sa part. et quand je lui ai demandé de me le prouver tu sais ce qu'il a fait ? il est venu se mettre directement à genou entre mes jambes et il m'a pompé. Il avalait comme la dernière des salopes, ma queue disparaissait complètement entre ces lèvres. Il m'a fait jouir dans une gorge profonde, je te laisse imaginé.
Je n'arrivais même plus à déglutir tellement ce qu'il me disait me rendait fou. J'avais chaud et mon corps était agité de léger tremblement que je n'arrivais même pas à contrôler. Visiblement fier de son effet et toujours aussi imposant il me fixait de ces yeux granit, son pouce parcourant toujours ces lèvres.
-Maintenant, Raeken, la question est de savoir lequel des deux tu es ? la petite pucelle effarouchée, pleine de principe, ou le gars qui en veut, et qui est prêt à se battre pour ça ?
Piqué dans ma fierté, je me retrouvais complétement piéger. Je ne voulais pas le laisser m'avoir aussi facilement, mais je voulais encore moins qu'il me laisse partir, en pensant que j'étais une petite pédale, trop effrayé par le monde. Tout le temps de ma réflexion, il ne me lâcha pas du regard, ces yeux vriller sur mon entre jambe.
-Alors ?
Je déglutis avant de m'avancer d'un pas lent. Je contournai le bureau pour retrouver face à lui et ces yeux perçant. Je ne cachais même plus mon érection et la tâche qui ornait son sommet. J'allai me mettre à genou quand il me stoppa d'un geste de la main.
-Déshabille toi.
Toujours en silence, et sous son regard inquisiteur, je retirais mon haut le plus sensuellement possible avant d'enlever mon pantalon. Mon sexe surgit raide, et mouiller, prêt à jouir. L'homme en costume eut un soupir amusé en s'apercevant que je n'avais plus de sous-vêtement mais ne fit aucun commentaire. Il me fit approcher et d'un geste autoritaire me poussa sur le bureau. Appuyer sur mes coudes, il fit glisser ces mains le long de mes hanches, en m'obligeant à creuser des reins pour lui montrer mon cul cambré et parfaitement épiler. J'avais la chair de poule alors que ces mains toujours sur moi venait titiller mon oeillet et passer sur mes couilles et ma verge tout humide. Du doigt il récupéra quelque goutte de ma mouille, et l'étala sur mes lèvres en me mordillant le lobe de l'oreille. Je poussais de petit soupir, en bougeant du bassin comme une salope affamé.
-Je suis ravie de voir que Jackson ne ta pas complétement vider.
Le corps tendu dans une excitation complète, sa main sur ma gorge, tandis que l'autre continuait de me masser les couilles, je m'entendis lui demander dans un gémissement.
-Qui ?
-Le Barman que ta baisé Il n'y a pas une demi-heure, et qui accueil en ce moment même mes clients en portant ton jock plein de mouille.
-Hannnnnn.
Il venait de ce rasoir sur son fauteuil et écartait maintenant mes fesses. Je sentis un premier mollard, puis un deuxième asperger mon oeillet déjà bien humide. Il étala avec sa langue, sa barbe de trois jours caressant ma peau. Il commença alors à me bouffer le cul, faisant passer et repasser sa langue sur mon trou jusqu'à qu'il finisse par s'ouvrir. Là, il me pénétra avec langue, redoublant mon excitation et mes gémissements. Tout en me bouffant le cul, il tirait sur ma queue avec force, la pressant pour en extirper chaque goutte de pré-cum, qu'il étalait avec son pouce.
-Tu as beaucoup de chance, il n'y a que le joueur de lacrosse qui m'a fait jouir. J'ai encore tout ce qu'il faut pour nourrir ton petit trou de femelle.
En même temps qu'il me murmurait ces mots, il m'enfonçait deux doigts, qu'il faisait aller et venir avec force. Je sentais sa main buter contre mon trou. De l'autre il me tenait toujours par la gorge et ne cessait de me murmurer des insultes.
-Tes pute, la chienne du quartier, une affamée. J'ai su tout de suite que tu ne me décevrais. Je repère les chiennes dans ton genre à 10m. Vous êtes toute pareil, vous vous pointez avec vos grands airs en prétextant que vous êtes pour l'argent, alors que vous êtes incapable de résister à une bonne grosse queue. Pas vrai ?
-HANNNNNNNN
Sans prévenir il venait de me retirer ces doigts pour les remplacer par sa queue que je n'avais même pas encore vue. Elle semblait très grosse, surement plus que mienne, et étirait mon trou à son extrême.
-Tu sens, comment ton petit cul de femelle en rut avale ma queue ? Il l'aspire toute seule, je pourrais te baiser pendant des heures que tu ne serais même pas rassasier.
Il m'assenait de coup brutal et profonds. Je me retrouvais plaquer contre le bureau, qui tremblait de plus en plus dangereusement sous les assauts de l'homme en costume. Appuyer de tout son poids sur moi, ce dernier me labourait littéralement, tandis que ces mains expertes continuaient de me masser la bite, qui était de plus en plus tendus.
-Ce n'est pas pour ton salaire que viendras travailler mais pour ça. Dans l'unique espoir de pouvoir jouer avec mon énorme et incommensurable queue. Tu entends comme tu jouis ? Tu sens à quel point tu prends ton pieds petite pute ?
Il m'attrapa par les cheveux et débuta de vraie, putain, d'aller-retour. A ces yeux je n'étais plus qu'un trou dans lequel il se déchainait avec fureur. Il sortait et entrait sa queue avec force, déculant pour me pénétrer à nouveau d'un coup sec. Je sentais chaque centimètre me prendre et m'écarteler, accompagner d'insulte et de commentaire pervers, aussi rabaissant qu'excitant. J'étais devenu incapable de contrôler mon corps. J'étais en proie à un véritable orgasme, les jambes tremblantes et des gémissement de plus en plus aigus. Il jouit le premier dans un gémissement rauque et graveleux.
-AU PUTAIN ouais connasse, prépare-toi je vais remplir ton vagin de grosse femelle.
Je sentis plusieurs jets m'asperger les intestins, tandis qu'il continuait de puissant va et viens, pour aller à chaque fois plus profonds. Il se retira pour se laisser tomber sur son fauteuil. Je restais immobile, affaler sur le bureau, jambe écartée, le cul béant, et dégoulinant de sperme. Je tentais tant bien que mal de reprendre mes esprits, quand l'homme en costume renfonça trois doigts dans mon trou poisseux. Il commença alors à me baiser avec ces doigts, les enfonçant le plus profonds possible, en faisant de petit mouvement circulaire. En même temps, il tirait sur ma queue et m'insultait de tous les noms.
-sale chienne, grosse pute en chaleur, tu vas jouir pour papa hein ? tu veux te vider petite garce, sa ta pas suffit de te prendre le cul de mon barman, t'en fallait plus sale chienne, t'avais besoin de te faire remplir. Dit le ? dit à papa ce que tu veux.
-Je veux que tu me face jouir, je veux être ta pute, je t'en supplie, fais-moi jouir.
Il bloqua ces trois doigts au fonds de moi, et commença alors à accélérer ces mouvements de va et viens sur ma bite qui n'en pouvait plus. Les mains cramponner au bureau, et les lèvres en sang à force de les mordre pour ne pas crier, je jouis entre ces doigts et aspergea le sol de mon sperme liquide et transparent. Il continua de me branler jusqu'à la dernière goutte, avant de me laisser m'effondrer sur le sol, transpirant et à bout de souffle. L'air de rien, il rangea son membre pantelant dans son pantalon et m'ordonna de nettoyer. Avec mon tee-shirt, je récupérais ma semence qui avait coulé en grande quantité et me rhabillait en silence, sous le regards satisfait de l'homme en costume.
-Bien tu reviens jeudi après-midi, tes deux compères seront là également. On préparera vos numéros. Tu te pointe à 14h, pas après comprit !
-Oui monsieur.
D'un geste de la main, il m'invita à sortir, et me congédia sans plus de manière.
Hey les gars merci pour vos mails, ça fait toujours plaisir. J'espère que la suite vous plaira et que vous serez toujours plus nombreux à me lire. N'hésitez pas à le donner votre avis et vos idées, en attendant j'espère que ces quelques lignes suffiront à vous faire bander, je vous dis plus...
Azael07
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