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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Domination par Stéphane mon futur mari

Chapitre 17

Jours 6 Mise au point avec Felipe, jour 7, retour à la maison

Dimanche. Je me lève, mon homme dort sur le côté. Il s'est retiré pendant la nuit je n'ai rien senti. Je me lève donc et vais faire du café. Je suis toujours dans la tenue de la veille, tirette ouverte. Mon homme vient me rejoindre dans la cuisine.

Stéphane : Tu as bien dormi mon ange ?

Moi : A merveille mon coeur, il y a longtemps que je voulais dormir comme ça avec toi contre moi. Tu me manquais.

Il me bonne un baiser sur la bouche.

Moi : Veux-tu un café mon homme ?

Stéphane : Je veux bien.

Je me retourne pour prendre une tasse dans l'armoire et il vient se plaquer contre moi. Il bande et sa queue trouve le chemin de mon anus directement. Il entre dedans et me donne un baiser dans la nuque.

Stéphane : Je t'aime.

Moi : Moi aussi.

Il se retire et remonte la tirette arrière de mon pantalon en me donnant une petite fessée.

Stéphane : Que fait-on aujourd'hui ?

Moi : Eh bien on va déjeuner et s'habiller. De mon côté il faut que je range et nettoie un peu pour que ma mère ait la villa propre pour elle demain. Ensuite je ferais nos valises car on rentre demain. A quelle heure vient te chercher le jet ?

Stéphane : Je ne sais pas, je dois téléphoner ce matin. Je vais le faire de suite.

Il prend son portable et appelle la compagnie. Il parle une dizaine de minutes. Sur ce temps, je commence à ranger la cuisine et sort la poubelle. En petite tenue mais il n'y a personne dehors. Lorsque je reviens il m'attend en buvant son café.

Stéphane : Nous décollons à 17h30 et arriverons à Liège 3h30 plus tard.

Moi : Ok mais il ne s'est pas trompé dans son horaire ? Avec Jetair on met une heure de plus.

Stéphane : C'est un jet, je suppose qu'il prend une route plus directe ou qu'il vole plus vite. Je ne sais pas moi, je ne suis pas pilot ! Mais on aura encore la journée de demain pour se reposer. Ecoutes, je vais te donner un coup main pour ranger et faire les valises. Ensuite nous profiterons de la terrasse ainsi que de la piscine en bronzage intégral. Moi j'ai pris des couleurs mais toi tu es encore un peu blanc.

Moi : On fait comme ça. Il faudra juste faire attention aux vêtements que je dois reprendre chez moi pour les laver.

Stéphane : Et Rose, elle sert à quoi ?

Moi : C'est que j'ai encore de la lessive dans mon appartement. Comme ça je finissais le bidon.

Stéphane : Non, on donne tout à Rose et tu lui amènes ton bidon. Par contre, on fera le tri entre ce que l'on a porté et ce qui est propre, qu'elle puisse les ranger dans le dressing.

Moi : Comme tu veux.

Stéphane : Ce soir nous irons manger chez Felipe comme ça tu n'auras pas à cuisiner.

Moi : Je n'ai pas trop envie d'aller Chez Felipe. J'ai peur de ce qui pourrait se passer.

Stéphane : Ne te tracasses pas, je serais avec toi. Je te protègerais de lui et ne te quitterai pas d'une semelle. Donnes-moi ton portable, je vais réserver.

Moi : Ok, si tu ne quittes pas d'une semelle.

Je lui donne mon portable et je l'écoute téléphoner. L'appel est bref et mon homme est assez autoritaire au téléphone.

Moi : Il y avait de la place ?

Stéphane : Oui pas de souci. J'ai eu Felipe, il nous garde notre table mais je l'ai prévenu qu'on ne trainerait pas. Je lui ai dit de remettre mon bonjour à Michel et mes excuses pour les sévices que je lui ai fait subir. Bon, par quoi on commence ?

Moi : Occupes-toi des valises mon amour, laisses nous des fringues pour ce soir et demain ainsi que les trousses de toilette. Moi je vais nettoyer ici, je viens de finir la cuisine et sortir la poubelle. Il me reste le grill et la terrasse aussi.

Nous remettons de l'ordre, ce qui nous prend une bonne heure. Ensuite mon homme prend deux draps de bain qu'il met sur la pelouse. Il se couche dessus à poil. Je peux voir son corps magnifique exposé au soleil. Je vais m'installer à côté de lui.

Stéphane : Tu es encore blanc et pourtant tu t'es mis au soleil, moi je suis brun.

Moi : N'oublies pas que je suis roux donc le soleil sur ma peau, ce n'est pas toujours l'idéal. Mais je bronze avec un effet retard et je reste brun longtemps après.

Stéphane : Ah bon ? Alors c'est tant mieux pour moi ! J'aurais un beau petit cul bien bronzé plus longtemps à la maison.

Nous prenons le soleil tout l'après-midi et nous profitons de la piscine. A 17h30, je me lève et nous prépare un apéritif avant de se préparer pour le soir lorsque ma mère arrive. Je ne me retourne même plus et pourtant je suis à poil devant elle.

Moi : Ca va maman ?

Ma mère : Oui. Je suis venue voir comment ça allait et savoir à quelle heure vous quittiez demain.

Moi : Eh bien nous décollons à 17h30 donc je suppose que nous partirons d'ici vers 15h30. Vous aurez la villa pour vous deux. J'ai déjà remis de l'ordre partout, il ne me restera plus que le lit de la chambre principale à changer demain.

Ma mère : Ok. Et ton homme ?

Moi : Il dort dans le jardin tout en bronzant. Je ne vais pas tarder à réveiller ma marmotte, ce soir on va manger au restaurant comme ça on fera nos aux revoirs.

Ma mère : Felipe m'a fait une confidence sur toi.

Moi : Ah bon ?

Ma mère : Il t'a sauté et tu as aimé être avec lui. Es-tu sûr d'avoir fait le bon choix avec Stéphane ?

Moi : La question ne se pose même pas maman. Felipe a son mec, moi le mien et je l'aime ! Maintenant j'en suis certain.

Ma mère : Et c'est tant mieux ! Mais qu'est-ce qui t'a pris de te faire sauter par Felipe ?

Là, Stéphane que je n'avais pas vu arriver, s'en mêle.

Stéphane : Bonjour Nathalie. Pat n'a rien à se reprocher, c'était un jeu avec Felipe et son mec. Je m'occupais de Michel et Felipe de Pat. Le problème, c'est que ça a dégénéré.

Ma mère : Que veux-tu dire ?

Stéphane : Ils ont apprécié être ensemble et ils ne se sont pas fixés de limites. Maintenant, il y a de l'amour du côté de Felipe pour Pat qui lui a dit que pour lui il n'y avait rien, que j'étais son mec. Du coté de Pat il y a eu une appartenance à Felipe. Appartenance que je suis occupé à briser.

Moi : Tu sais maman, avec tout ce qui s'est passé sur maintenant 15 jours, j'ai perdu mes repères et j'ai encore très difficile à les retrouver.

Ma mère : Le principal c'est que tu sais qui tu aimes ! Il ne faudrait pas faire de mal ni à l'un ni à l'autre.

Stéphane : C'est ce qu'il s'efforce de faire.

Ma mère : Bon, si tout est bien clair, alors je m'en vais. Je vous laisse entre amoureux, on se voit ce soir.

Moi : Oui maman.

Ma mère s'en va. Entre nous, je suis furieux que Felipe ai parlé de tout ce qui s'est passé. Il n'avait pas à mêler ma mère à tout cela. Mon homme voit ma nervosité et intervient.

Stéphane : Holà, on se calme tu veux bien ! On dirait que tu t'es changé en Pitbull.

Moi : Si j'avais Felipe devant moi, je lui casserais sa gueule. Putain ! Qu'est-ce qu'il avait besoin d'en parler à ma mère ? Je vais le crever ! Tu as intérêt à rester près de moi au restaurant parce que dans la rage que je suis, je ne vais pas pouvoir me contrôler.

Stéphane : Calmes-toi ! Je serais là près de toi ! Mais il est vrai qu'il mérite une leçon. D'un autre côté, je suis content de voir que ta mère se soit tracassée pour nous. C'est une preuve qu'elle m'aime bien.

Moi : Attention avec ma mère, ne lui donne pas trop vite ta confiance. Elle retourne facilement sa veste. Si je lui avais dit que c'était Felipe que j'aimais, je crois qu'elle ne t'aurait même plus calculé.

Stéphane : Quelle bonne femme tout de même. Bon, on se le boit cet apéritif avant que tu ne casses les verres entre tes mains ? De plus, tu les réchauffes.

Je n'avais même pas remarqué que j'avais toujours les mains serrées autour des verres. Je mets quelques glaçons dedans et en tend un à mon homme.

Stéphane : Relax ! De toute façon, on repart demain.

Moi : Oui, je commence à être pressé de rentrer en Belgique.

Nous buvons notre apéro et nous préparons pour le repas du soir. Je suis toujours nerveux et le fait de prendre le chemin du resto n'arrange rien. Une fois arrivé, pas de Felipe. Ouf ! La serveuse nous installe et ma mère arrive.

Ma mère : Felipe vous fait ses excuses. Il viendra un peu en retard. Michel n'est toujours pas bien et ils sont partis voir le médecin. Si j'ai bien compris, il a des difficultés à marcher. Vous y êtes pour quelque chose ?

Stéphane : C'est peut-être ma faute, nous y sommes allé fort ensemble aussi, dans notre jeu.

Moi : Même trop fort je dirais. Entre un qui ne sait plus marcher et l'autre qui était couvert de bleus, heureusement que j'avais le baume pour le masser. Mais il faut croire que Michel à plus dur à récupérer.

Ma mère : Décidément.

Moi : Décidément quoi ?

Ma mère : Je vais me taire, je crois que je serais méchante.

Moi : Oui et bien tais toi ! C'est mieux !

Stéphane : Calmez-vous s'il vous plait, vous n'allez pas vous disputer ce soir. Après vous n'allez plus vous voir pendant une semaine.

Moi : Oui tu as raison. Excuse-moi maman.

Ma mère : Excuses-moi aussi, je devrais me mêler de mes affaires.

Stéphane : Vous n'avez pas à vous excuser Nathalie. Vous-vous tracassez pour vos deux fils et c'est normal.

Moi : Ces deux fils ?

Stéphane : Eh bien oui, ta mère connait Felipe depuis longtemps et l'apprécie. En plus, elle file le parfait amour avec le papa de celui-ci. Donc il est un peu comme son deuxième fils.

Ma mère : Enfin un qui a tout compris. Tu es un homme parfait Stéphane mais je t'apprécie énormément aussi. Le problème qui se pose à moi, c'est que mes deux fils comme tu le dis, on eut ou ont encore une attirance l'un pour l'autre. Je me tracasse pour les deux quoiqu'à voir la tête de mon fils tout à l'heure lorsque je suis venue à la villa, m'a rassuré. Il t'aime et ça se voit. Vous n'êtes pas encore le couple parfait mais ça viendra.

Stéphane : Je te remercie Nathalie.

Moi : Je peux en placer une ?

Stéphane et ma mère : Quoi ?

Moi : En 15 jours que nous-nous fréquentons et que l'on vie ensemble, il est difficile d'être un couple parfait. Ou alors je commence à jouer au lotto mais avec la chance qu'on a ...

Ma mère : Tu as raison mais je ne vois pas le rapport avec le lotto.

Moi : Laisse tomber le lotto !

La serveuse vient prendre notre commande et nous reprenons une paella royale. Comme d'habitude elle est succulente. Nous buvons notre verre et ma mère vient voir si tout va bien. Felipe arrive enfin et nous embrasse.

Stéphane : Comment va Michel ?

Felipe : Il a un déplacement du bassin. Les médecins lui ont remis en place et maintenant il est au lit avec des antidouleurs puissants, le tout pendant trois jours.

Stéphane : Je m'en veux, c'est de ma faute.

Felipe : Pas du tout ! Michel a voulu hier soir que je le domine. Et en voulant que j'y aille plus fort avec lui alors qu'il se trouvait sur le sling, celui-ci a cédé et est tombé sur le sol. D'où le déplacement de bassin. Tu n'y es pour rien.

Moi : Je préfère que ce ne soit pas grave.

Felipe : Vous avez bien mangé ? Désolé, je suis arrivé en retard.

Moi : Tu as ton homme qui t'aime et tu t'en occupes ! Tout comme le mien s'occupe de moi !

Felipe me regarde de travers, il ne l'a pas volée celle-là. Il me plaisait de le remettre à sa place mais Stéphane me regarde d'un air furieux aussi. Felipe s'éloigne.

Moi : Et bien quoi ? Il ne l'a pas volée, non ?

Stéphane : Tu sais que tu peux être aussi méchant que ta mère ? Tu as fait passer ton message. Tu es content maintenant ? Tu vas te calmer ?

Moi : Oui mon homme, je vais me calmer mais ça fait du bien et je pense que ça me libère de lui.

Stéphane : Oui et bien maintenant tu restes tranquille !

Moi : Oui.

Stéphane : Oui qui ?

Moi : Oui mon homme.

Stéphane : C'est mieux. Je veux bien te protéger mais on ne protège pas un chien qui a la rage. Si j'avais su que tu voulais un os, au lieu de venir ici, je t'en aurais acheté un.

Moi : Je suis désolé mon homme.

Nous sommes toujours à table et reprenons une bouteille de vin que la serveuse nous amène.

Moi : Excuses-moi mais il faut que je me rende aux toilettes.

Stéphane : Ok.

Je descends à la toilette et j'ai un peu peur que Felipe m'y rejoigne, mais rien. Je me dis ouf, il a compris. Mais en sortant des toilettes, il est là, devant.

Felipe : On peut savoir ce qui t'a pris tout à l'heure ?

Moi : Il m'a pris que tu as causé à ma mère de la nuit passée avec toi. Elle est venue me questionner pour savoir ce qui se passait. Tu lui aurais dit que tu m'aimais et que c'était réciproque. Ce n'est pas le cas! Tu as Michel et moi j'ai Stéphane! Il n'y a rien entre nous! Est-ce que je suis clair ?

Felipe : Ok j'ai compris mais tu as apprécié être avec moi.

Moi : Uniquement pour le plan ou tu me domines et rien d'autre. D'ailleurs je ne suis plus certain de vouloir renouveler une telle expérience. Les conséquences sont trop nombreuses y compris pour ma mère qui te considère comme son fils.

Stéphane, qui vient d'arriver discrètement derrière Felipe, intervient.

Stéphane : Il me semble maintenant que les choses sont claires et qu'elles ont été dites Felipe.

Felipe : Oui. J'avais espéré ..........

Je passe sur le coté de Felipe et vais rejoindre mon homme et l'embrasse sous les yeux de Felipe mais Stéphane me repousse.

Stéphane : N'en rajoutes pas non plus. Tu lui fais mal.

Moi : Tu as raison. Je suis désolé Felipe mais c'est comme ça. J'aurais espéré que tu vois les choses autrement. Je sais que tu es fâché contre moi.

Felipe continue son chemin et nous retournons à la table, nous finissons notre vin et payons. Felipe reviens vers nous et nous offre un pousse café. Je prends une grappa et Stéphane un cognac espagnol. Felipe vient avec les verres et un verre de vin pour lui et s'installe à table.

Stéphane : Ca va Felipe ?

Felipe : Oui ça va. Il en faut plus pour me mettre le moral à zéro. Pat, tu as été dur avec moi mais je ne t'en veux pas, rassures-toi. Je veux que nous restions bon amis.

Moi : Je suis désolé d'avoir été dur avec toi mais il fallait absolument clarifier les choses tant pour toi que pour moi.

Stéphane : Et bien c'est fait, nous pouvons rentrer en Belgique tranquille. On te laisse Nathalie en consigne.

Felipe : Oui, mais elle n'est pas un problème pour moi, on s'entend bien.

Moi : Attends ! En général, ça ne dure pas.

Felipe : Je ferai avec. Vous m'excuserez mais Michel n'est pas bien et je vais aller m'occuper de lui.

Stéphane : Vas-y, files. On se reverra bientôt ici. Nous reviendrons en vacances assez rapidement.

Felipe : Ok, on fait comme ça.

Felipe vient et embrasse Stéphane. Puis il vient vers moi et m'embrasse sur la bouche, je suis surpris mais je ne bouge pas.

Felipe : Merci Pat.

Il s'en va et nous faisons de même. Sur le chemin du retour.

Stéphane : Je suis content au final. La soirée s'est bien passée et tout le monde à bien réagi. Tu y es allé fort mais sur le fond, tu as eu raison.

Moi : Il n'aurait rien dit à ma mère, je pense que ça se serait passé autrement.

Stéphane : Que veux-tu dire ?

Moi : Eh bien, je ne me serais sûrement pas révolté contre lui. J'avais peur de me retrouver devant lui et peut être de retomber sous son charme de dominateur. Je savais que tu étais avec moi pour me protéger mais je n'aurais pas été à l'aise.

Stéphane : Tu vois que tu étais sous son emprise.

Moi : Oui, je m'en rends compte mais c'est toi que j'aime, j'en suis certain maintenant. Je veux vivre avec toi.

Stéphane : Tu vas vivre avec moi et je te comblerai de bonheur. Une fois rentré à la maison, nous allons fixer une date pour notre mariage pour l'année prochaine.

Moi : Oui mais avant il faut que je déménage, il me faudra un coup de main.

Stéphane : Tu l'auras. Je vais demander aux copains et ça ira vite.

Moi : Il y a aussi la voiture mardi à ne pas oublier. Et en parlant de voiture, la mienne est au parking sécurité et la tienne ?

Stéphane : A la maison. Je suis venu en taxi à l'aéroport. On pourra reprendre la tienne au retour.

Moi : Je peux bien rabattre les banquettes arrière pour toutes les valises. Mais avant de rentrer à la maison il faudra que je passe à mon appartement voir si tout va bien et prendre mon courrier.

Stéphane : Ok on fera ça et je vais téléphoner demain matin à Rose qu'elle nous prépare un repas léger pour le soir.

Moi : Il sera tard, n'oublies pas le décalage horaire avec ici. Donc on ne sera pas à la maison avant 23h00.

Stéphane : Juste ! Je lui demanderais qu'elle nous prépare un plateau de charcuterie avec un peu de pain.

Moi : Bonne idée.

Nous arrivons à la villa et je décide de nous servir un dernier verre de vin sur la terrasse. Nous le buvons au clair de lune. Mon homme décide que nous allons nous coucher et nous montons nous mettre au lit. Il me prend dans ses bras et nous dormons rapidement. En milieu de nuit, je suis réveillé par des crampes d'estomac et je me lève avec précipitation. Je vais vomir dans les WC, ce qui réveille Stéphane qui vient voir ce qui se passe. Je suis toujours plié en deux devant le WC.

Stéphane : Ça va ?

Moi : Je suis malade, j'ai sûrement dû manger quelque chose de contraire.

Je tire la chasse mais suis obligé de rester sur le pot car maintenant, c'est mes intestins qui lâchent. Je me vide complètement et je suis en nage. La sueur me coule du front.

Stéphane : Tu as quelque chose pour ton estomac dans la pharmacie ?

Moi : Oui je crois mais ça va passer, c'est une indigestion simplement. Retournes te coucher, je vais arriver.

Il retourne au lit. Une fois vidé, je me dis que ça va allez et je me rince un peu le visage à l'eau froide. Je bois un verre d'eau et vais retrouver mon homme. J'essaye de me rendormir mais pas moyen. J'ai toujours mal au ventre à un point que je dois retourner deux ou trois fois discrètement à la toilette sans réveiller mon homme. Je passe pratiquement une nuit blanche. Au matin je me réveille. Je ne vois pas Stéphane mais je sens l'odeur du café donc il est en bas. Je me lève, m'habille et je descends. Au passage devant la glace de la salle de bain, je m'aperçois que j'ai une tête à faire peur et que j'ai le teint d'un cadavre. Arrivé dans la cuisine.

Stéphane : Ça va mieux ?

Moi : Pas des masses, je vais prendre un immodium.

Stéphane : Tiens voilà un café.

Je prends le café mais l'odeur me donne envie de vomir, je n'y touche même pas. J'ai des vertiges aussi.

Moi : Je vais plutôt aller voir le médecin qui se trouve un peu plus loin. Il n'est pas mauvais j'y suis déjà allé.

Stéphane : Je vais venir avec toi.

Moi : Non, profites plutôt de ta matinée au bord de la piscine. Je ne serai pas long.

Je vais chez le médecin. Verdict, gastro-entérite ou intoxication alimentaire avec chute de tension. Il me fait une piqûre et me dit de me reposer mais que d'ici le soir je devrais aller mieux. Que demain je ne devrais plus avoir de séquelle mais il faut que je boive beaucoup d'eau et éviter l'alcool. Je rentre, prends une bouteille d'eau et vais retrouver mon homme qui est à poil dans la piscine.

Stéphane : Et quoi ?

Moi : Gastro-entérite ou intoxication alimentaire avec chute de tension. Il m'a fait une piqûre et je devrais aller mieux d'ici ce soir.

Stéphane : Et bien viens me rejoindre dans la piscine, ça devrait aussi te faire du bien.

Je me déshabille devant lui et entre dans la piscine. Il me prend dans ses bras et m'embrasse. Il est vrai que l'eau me fait du bien. Nous avons profité de la villa jusque 15h30. A notre départ, après avoir chargé toutes nos valises, nous donnons le double des clefs de celle-ci à ma mère qui est venue nous dire au revoir. Je me sens mieux mais ce n'est toujours pas le top. Nous prenons la direction de l'aéroport mais arrivé à celui-ci, Stéphane prend un autre chemin.

Moi : Par où vas-tu ? C'est ici non ?

Stéphane : Le terminal privé est par là. Le jet nous attend là.

Moi : Ah bon.

Effectivement, il y a un petit terminal privé sur le côté. Mon homme descend de la voiture et rentre dans un petit bureau et un monsieur arrive avec lui. Il prend le volant de la voiture. Stéphane prend place à l'arrière. On avance et une barrière s'ouvre devant nous, nous prenons la direction de la piste d'envol et je vois un magnifique jet qui n'est pas tout petit.

Moi : C'est ce Jet-là ?

Stéphane : Oui.

Moi : Il est immense.

Stéphane : Et attend de voir l'intérieur. Tu n'as pas tout vu.

La voiture s'arrête à côté du jet et je descends. Une hôtesse nous attend au pied de l'avion tandis que le chauffeur prend nos valises et les donnent à un homme qui les charge dans la soute à bagage. Stéphane discute avec le chauffeur qui s'en va avec la voiture.

Moi : C'est lui qui va ramener la voiture de location ?

Stéphane : La voiture de location appartient au terminal privé. Ils ont un stock de voitures de luxe disponible pour les clients privés et fortunés. Il prendra sur ma carte de crédit le surplus pour l'essence consommée. Pratique non ?

Moi : Génial mais je ne suis pas habitué à ce genre de luxe.

Stéphane : Ça viendra ! J'envisage ce genre de transport à chaque fois que nous partirons en vacances. Montes, je t'expliquerai en vol.

L'hôtesse nous accueille et nous prenons place dans ce jet. Je vous le décris. Il y a deux fois deux sièges confortables en cuir en vis-à-vis avec une tablette entre les deux sièges. Ils ne sont pas droits mais légèrement de biais. Derrière il y a quatre sièges idem que les deux premiers mais tablette plus grande. Téléphone et espace bureau, encore derrière il y a un salon privé avec écran plat et le salon peut se transformer en lit. Ensuite il y a le cabinet de toilette avec douche. En fait c'est un Falcon, avion français des usines Dassault.

L'hôtesse : Messieurs, voulez-vous prendre place et attacher votre ceinture ? Nous allons décoller.

Nous attachons nos ceintures et le pilote vient nous saluer.

Le Pilote : Bonjour. La météo est bonne, nous attendons encore dix minutes que les charters qui sont en piste et en vol nous fasse une place et nous pourrons partir à l'heure prévue. Nous devrions être à liège à l'heure. La météo est calme mais il fait froid. Le vol durera trois heures au lieu de trois heure trente. Nous avons le vent pour nous. Je vous donnerais plus amples informations durant le vol. Vous avez des questions ?

Moi : Oui j'ai une question. Comment se fait-il que nous mettions trois heures de vol alors que les charters en mettent une heure trente de plus.

Le pilote : C'est simple monsieur. Nous volons un peu plus bas que les avions de ligne et c'est un jet. Nous volons plus vite car nous sommes moins lourds qu'eux, ensuite nous avons des plans de vol plus court. Comment vous expliquer mieux ? Les avions de ligne ont des couloirs aériens bien à eux. Nous, nous rentrons notre plan de vol à la dernière minute et nous cherchons exprès le chemin le plus court afin d'avoir des économies de carburant et de temps.

Moi : Merci pour l'explication. J'ai bien compris mais vous comprenez, c'est une première pour moi de voler dans un jet, je suis curieux.

Le pilote : Si je comprends bien, c'est un peu comme votre baptême de l'air.

Moi : Oui sur un jet.

Le pilote : Je vous souhaite un bon vol alors.

Moi : Merci.

Stéphane : Qu'en penses-tu ?

Moi : C'est génial, mais ça ne doit pas couter cinq francs non plus.

Stéphane : Une fois en vol, je t'expliquerais ce que je pense que je vais faire.

L'avion ferme ses portes et démarre, nous prenons la direction de la piste et décollons. Je n'ai rien senti lors du décollage tellement les siège sont confortable. Au bout de dix minutes le signal des ceintures s'éteint et l'hôtesse arrive.

L'hôtesse : Ces messieurs désirent un rafraichissement et quelque amuses bouches ?

Je regarde Stéphane.

Moi : On peut ?

Stéphane : Excusez-le, c'est son premier vol. Une bouteille de champagne et quelque amuses bouche.

L'hôtesse : Très bien monsieur.

Je me lève car j'ai mal aux jambes et je vois qu'il y a un compartiment supplémentaire que je n'avais pas encore vu. Il s'agit d'un bar avec frigo, bouteilles d'alcool, un micro-onde ainsi que d'une petite cuisine. Je vois l'hôtesse revenir avec une bouteille de champagne des amuses bouches et un petit paquet d'enveloppes. Elle ouvre la bouteille de champagne et nous sert deux coupes, pose les amuses bouches et donne les enveloppes à Stéphane.

L'hôtesse : J'allais oublier. Une certaine madame Rose est venue ce matin déposer votre courrier dans nos bureaux de Bierset. Elle nous a dit que vous lui aviez fait la demande.

Stéphane : Oui c'est juste merci.

Moi : Et en plus tu as ton courrier ! Quel luxe !

Stéphane : En fait, j'ai fait une demande pour toi à ma banque et je voulais avoir le courrier dans le vol retour.

Moi : Une demande à ta banque ?

Stéphane : Oui je t'ai fait faire deux cartes de banque, une carte Bancontact et une Mastercard

Moi : J'ai déjà un compte et une carte de crédit, je n'ai pas besoin d'une autre.

Stéphane : Tu n'as rien compris. Ces deux carte sont reliées à mon compte en banque. Je ne veux plus que tu dépenses ton propre argent. Mon compte en banque suffit pour nous deux et tu as aussi procuration dessus.

Il ouvre les enveloppes et me donne les cartes ainsi que leurs codes. Une carte classique Bancontact et une MasterCard Platinum s'il vous plait.

Moi : C'est gentil mais ....

Stéphane : Il n'y a pas à discuter ! Tu es mon futur mari et rappelles-toi, je n'aime pas que l'on discute mes ordres !

Moi : Oui mon homme.

Stéphane : Lorsqu'on est ensemble, dorénavant et à moins que je ne te le demande, je paye avec mes cartes. Sinon tu payes avec celle-ci !

Moi : Oui mon homme.

Stéphane : C'est mieux.

Moi : Mon amour, je voudrais en retour au moins faire quelque chose et avoir une liberté.

Stéphane : Attention à ce que tu vas dire.

L'hôtesse nous interrompt.

L'hôtesse : Ces messieurs ne manquent de rien ?

Stéphane : Non c'est parfait merci.

L'hôtesse : Si vous avez besoin de quoique ce soit, vous prenez le combiné sur votre côté. Je serais dans le cockpit avec le pilote.

Stéphane : Très bien merci.

L'hôtesse nous laisse.

Stéphane : Tu voulais dire quoi ?

Moi : Et bien si je ne peux plus me servir de mes propres cartes de banque, je supprimerais ma carte visa.

Stéphane : Parfait.

Moi : Je n'ai pas fini. Je voudrais pouvoir verser une partie de mon salaire sur ton compte en banque. Au moins pour compenser mes dépenses et lorsque je voudrais t'offrir un cadeau, payer de mon propre compte.

Stéphane : Me verser une partie de ton salaire est inutile mais si tu y tiens, je t'autorise à le faire.

Moi : Merci mon homme mais ça passera après le déménagement et tout le reste. Mais changeons de sujet. Tu voulais m'expliquer tout à l'heure ton projet pour ce genre de vol.

Stéphane : Oui juste. Eh bien voilà. Pour la somme de 200000€, je vais acquérir des parts de la société qui détient ces avions à Bierset. Suite à ces parts nous pourrons bénéficier de ce genre de d'avion pour la destination que l'on veut.

Moi : Ça parait bon marché, ça flaire pas un peu l'arnaque ? S'ils font faillite tu perds tes 200000€. Et tu peut-être responsable dans cette faillite, puisque tu es actionnaire.

Stéphane : Je vais regarder le genre de contrat et de toute façon avec l'argent que je possède, j'ai un avocat qui gère mes affaires lorsque j'envisage d'en faire une. Et puis étant actionnaire, j'aurais le pouvoir de donner des directives pour par exemple que ce soit toi qui fasse leur publicité.

Moi : Oui alors pourquoi pas. Mais combien de parts de cette société aurais tu ?

Stéphane : En principe 25% des parts. Le principe veut qu'un jet appartienne à quatre propriétaires. Ceux-ci l'utilisent comme bon leur semble. Mais s'il n'est pas utilisé, la société le mets en location pour des hommes d'affaires ou des sportifs et même pour des acteurs réalisateurs ou autres. La société en vit et tire même des bénéfices qu'elle réinvestit ou qu'elle redistribue aux actionnaires. Les pilotes et les hôtesses sont payés par cette société. Pour nous, il n'y a que les extra que nous payons en plus. Comme la bouteille de champagne par exemple.

Moi : Vu sous cet angle, cela parait intéressant.

Le pilote intervient au haut-parleur et nous confirme que nous serons à l'heure. La température sur place est de trois petit degrés et qu'il fait nuageux. Ensuite l'hôtesse revient et débarrasse les amuses bouches. Elle vérifie que tout va bien et nous laisse. Mes intestins se rappellent à mon bon souvenir. Malgré la piqûre du médecin, je ne suis pas totalement remis. Je me rends à la toilette et putain quel luxe! Il y a un évier et un WC, une armoire pour y accrocher un costume et une douche multi jet avec drap et produit pour se laver. Je n'en reviens pas. Il y a même un écran de TV. J'allume celle-ci pour voir ce qu'elle peut diffuser et il y a un panel impressionnant de chaînes internationales. Je me vide une fois de plus sur le WC mais j'ai moins mal que ce matin, donc la piqure commence à agir. Je retourne vers mon siège. Stéphane est au téléphone, je ne sais pas avec qui, il raccroche.

Stéphane : J'ai demandé au pilote pour avoir une navette afin d'amener nos valise jusqu'à ta voiture.

Moi : Il aurait été plus facile que ma voiture soit sur le tarmac de l'aéroport.

Stéphane : Mais c'est toi qui a les clefs.

Moi : Non, elles sont au parking chez le gardien en cas où il aurait dû la déplacer.

Stéphane : Ca, je ne savais pas.

Il reprend le combiné du téléphone et reparle au pilote.

Stéphane : Il va voir ce qu'il peut faire. Je lui ai donné ton numéro de plaque minéralogique.

L'hôtesse revient vers nous cinq minutes après.

L'hôtesse : Nous avons essayé de faire le maximum mais malheureusement le gardien n'a pas accès à la piste et de plus il lui faut votre signature pour libérer la voiture. Mais il y aura une navette pour vous amener au parking avec vos valises, nous sommes navrés de ne pas pouvoir faire plus.

Stéphane : Il n'y a pas de souci, vous avez fait votre maximum.

L'hôtesse nous laisse.

Moi : Il nous reste une heure de vol plus ou moins, je vais m'allonger dans le coin salon et fermer un peu les yeux.

Stéphane : Oui reposes-toi, avec la nuit que tu viens de passer. Je te réveillerais quand le pilote nous demandera d'attacher nos ceintures pour l'atterrissage.

Je me couche et me relaxe mais ne parviens pas à dormir. Mon homme, lui, est sur son portable. Je suppose qu'il joue à un jeu et l'heure passe. Il vient me retrouver.

Stéphane : On va atterrir.

Je retourne à mon siège et attache ma ceinture de sécurité. L'avion se pose en douceur et se gare à côté de deux autres jets de la flotte de cette société. L'hôtesse ouvre la porte et une échelle arrive. Le pilote vient nous saluer.

Le pilote : J'espère que vous avez fait bon voyage.

Moi : Excellent merci et au revoir.

Stéphane : Un très bon vol comme à l'aller, mais nous allons nous revoir. Je vais voir dans quelle mesure je vais investir dans votre société avec mon avocat d'affaire.

Le pilote : Je vous remercie et espère vous revoir alors bientôt.

Stéphane : Au revoir.

Au pied de l'avion, l'hôtesse nous attend ainsi que la navette, nos bagages sont déjà dedans. Il ne chipote pas en tout cas.

L'hôtesse : Voilà messieurs. Mon travail est terminé. J'espère que vous avez été satisfait de votre vol.

Stéphane : Oui, tout était parfait, bonne fin de soirée.

Nous montons dans la navette et je vais récupérer ma voiture. Le gardien me donne ma clef et mon homme transfère les valises sur le temps que je m'occupe de la paperasse administrative. Nous prenons la route de mon appartement. Stéphane est au téléphone avec le client qui lui a fait la faveur de lui prêter le jet et le remercie tout en lui demandant de lui communiquer combien il lui doit pour les frais occasionnés, histoire qu'il puisse le rembourser rapidement. Une fois arrivé devant mon immeuble, je le laisse toujours au téléphone dans la voiture et vais prendre mon courrier chez le concierge. Il est malade et donc c'est sa femme, que je ne supporte pas, qui me le donne.

La femme : Voici votre courrier et, ah oui, votre propriétaire a mis une affiche à vendre sur la porte d'entrée. Pour la vitre cassée, mon mari vous a mis la facture dans le courrier.

Moi : Ok merci, je le rembourse tout de suite. Je passe dans mon appartement voir si tout va bien et je repars directement. Vous pourrez dire à votre mari que je déménagerais prochainement et que j'étais au courant que l'appartement serait mis en vente. Souhaitez-lui un bon rétablissement.

Stéphane : Tu en a mis du temps.

Moi : Oui je sais mais le concierge est malade et sa femme m'a tenu le crochet. J'ai repris mon ordinateur portable, il faut que je rembourse la vitre cassée et j'ai pas mal de courrier.

Stéphane : Combien pour la vitre ?

Moi : Je ne sais pas, c'est dans une des enveloppes, regardes.

Il cherche et trouve l'enveloppe. Il l'ouvre.

Stéphane : Putain, il ne s'emmerde pas le concierge. 475 € !

Moi : Oui effectivement.

Stéphane : Je vais payer. C'est moi qui l'ai cassée, il est normal que je te rembourse.

Moi : Ca va, je ferais passer ça dans mon assurance. A propos, mon boss n'a pas chômé pendant mon absence, il a déjà mis une affiche à vendre.

Stéphane : Pas grave, de toute façon tu emménages à la maison.

Sur ce fait j'arrive à la maison, ouvre le portique et me gare. Stéphane ouvre le coffre et on commence à décharger la voiture. Nous entrons mais il n'y a personne pour nous accueillir. Il est tard, je suppose que Rose est rentrée chez elle.

Stéphane : Montes les valises avec le propre dans le dressing. Rose rangera demain et moi je vais mettre les valises avec le linge sale dans la buanderie.

Moi : Ok mon homme.

Après avoir monté les valises, je vais dans le bureau et allume mon ordinateur et ouvre mon courrier. Il n'y a pas grand-chose. Quelque factures, mes extrait de compte en banque et des publicités pour des carte de crédit ou des prêt à tempérament. Je me branche sur mon home banque et paye la vitre au concierge. Je vérifie l'état du compte et m'aperçois que mon boss m'a versé toutes mes primes pour les contrats conclu. Cela m'étonne car en règle générale, il traîne à me les verser. Bizarre. Mais bon, il était peut-être dans un bon jour. J'éteins mon portable et vais rejoindre mon homme qui, lui, est de nouveau au téléphone mais cette fois avec son boss et ça discute ferme apparemment. Il termine sa conversation.

Moi : Il y a un problème au garage ?

Stéphane : Non, je dois juste recommencer mercredi comme je te l'avais dit. Mais je travaille samedi car comme il nous manque un vendeur, on n'en retrouve pas un pour le moment. Je dois remplacer celui que mon boss a viré. Ta voiture sera disponible demain à 13h00.

Moi : Il faudra que je vide ma voiture demain matin de tout ce qui se trouve dedans et vider la mémoire de mon GPS.

Stéphane : Tu as faim ?

Moi : Non pas trop, j'ai plutôt sommeil.

Stéphane : Tu n'as rien mangé de la journée et Rose nous a fait quelques sandwiches. Tu devrais au moins en manger un.

Je mange un sandwich avec un verre d'eau. Mon homme, lui, se met à table et mange avec un verre de vin.

Moi : Je vais monter me coucher, je suis crevé. Bonne nuit mon homme.

Stéphane : Je vais regarder un peu la TV et ensuite je monte.

Je monte, me déshabille, passe par la toilette, la douche et me couche.

Pattlg

Pat_203@hotmail.com

Suite de l'histoire

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