Domination par Stéphane mon futur mari

Chapitre 16

Jours 6 le cul entre deux chaises

Nous sommes samedi, je me réveille et je vois que Stéphane n'est pas là. Je me lève, je mets un short et un t-shirt et je vais me faire un café. Arrivé dans la cuisine, je vois la table dressée avec des croissants, du jus d'orange et le café est dans le thermos. Il y a un mot sur la table " je suis parti courir un peu " je bois mon jus d'orange et mange un croissant lorsqu'il rentre.

Stéphane : Bonjour mon amour.

Moi : Bonjour mon homme.

Stéphane : Tu as bien dormi ? Tu es rentré tard !

Moi : Oui j'ai bien dormi, Felipe m'a invité à boire un dernier verre chez lui et on a discuté un peu.

Stéphane : Et il t'a dominé si je ne me trompe !

Moi : Eh bien euh, oui désolé mon coeur. Je lui ai cédé. Tu m'en veux ?

Stéphane : Non je ne t'en veux pas. Felipe a une emprise sur toi depuis hier, c'est normal. Il va falloir que je brise cette emprise, je m'en occuperais en rentrant en Belgique. Ici je ne sais rien faire car il est là.

Moi : Si tu veux je ne le vois plus. De toute façon il sait que c'est toi que j'aime. Il m'a fait des avances mais je l'ai remis à sa place. C'est toi mon homme, mais comment as-tu deviné pour hier ?

Stéphane : Tu as gémis dans ton sommeil et tu as prononcé son nom.

Moi : Je suis désolé. Comment me faire pardonner ?

Stéphane : Il n'y a pas à te faire pardonner. Tu as aimé être dominé par lui et tu es sous son emprise, c'est normal.

Je m'approche de lui et l'embrasse. J'ai les larmes aux yeux. Il me prend dans ses bras et nous restons comme ça un moment.

Moi : Et toi mon homme tu as bien dormi ? Tu as réussi à récupérer ? As-tu moins mal partout ?

Stéphane : Oui ça va. J'ai encore mal au cul mais ça va. Il y a encore les bleus mais bon, je ferai avec. On va aller faire notre sport ?

Moi : Oui, je me prépare.

Nous partons faire notre sport. Il me fait travailler mes abdominaux, il y met de l'ardeur. Ensuite je fais un peu de cardio et nous rentrons prendre notre douche. J'ai envie de me promener aujourd'hui.

Moi : Chou, si on allait se promener un peu aujourd'hui. Je n'ai pas envie de rester ici.

Stéphane : Oui, on va faire un peu de shopping aujourd'hui. Je vais te gâter, tu le mérites pour ta franchise sur Felipe.

Moi : Ok mon coeur mais je ne t'aurai pas menti, tu sais.

Stéphane : Mais tu ne m'aurais rien dit si je ne t'avais pas questionné.

Moi : Je ne sais pas mon amour. Je crois bien que si au contraire mais pas tout de suite. C'est difficile comme situation pour moi. Je n'ai pas envie de faire du mal, ni à toi, ni à Felipe.

Stéphane : C'est pour ça que je te dis que tu es sous son emprise. En fait, tu es sous notre emprise à tous les deux et tu as le cul entre deux chaises. Bon on oublie tout ceci et on va se promener.

Nous partons et en chemin nous faisons les boutiques, mon mec paye avec sa carte de crédit et nous revenons avec les bras chargés de vêtements, de chaussures et de bijoux, pour lui comme pour moi. On a même acheté une valise pour ramener tout ça en Belgique. Mais se pose la question de manger le soir.

Moi : Qu'est-ce que l'on fait au niveau repas de ce soir ?

Stéphane : Je ne sais pas moi, tu as envie de quoi ?

Moi : Pas plus d'idée mon coeur, mais je n'ai pas envie de sortir de la villa. J'ai envie de rester avec toi, rien que nous deux.

Stéphane : Et si on passait au supermarché près de la villa ? On y prend des saucisses, des merguez, du pain et une salade et on grille sur le barbecue.

Moi : Oh oui, bonne idée.

Arrivés devant le supermarché, je lui donne mes sacs à garder et j'entre seul faire les courses. Je prends ce qu'il faut et en plus je nous prends une bouteille de champagne et du vin. Il n'y en a plus dans le frigo. Je prends un sac de glaçons également pour refroidir plus vite le vin et le champagne. Je paye et rejoins mon homme. Nous reprenons le chemin et rentrons. Stéphane va ranger les affaires correctement dans la valise et reviens en maillot de bain, il est 17H30.

Stéphane : Tu viens dans la piscine avec moi ?

Moi : Je dois ranger les affaires qui sont dans le divan, mettre la table et préparer l'apéritif.

Stéphane m'attrape comme un sac de ciment et me jette dans la piscine tout habillé.

Stéphane : Je te veux dans la piscine et maintenant tu y es !

Moi : Et mes affaires sont toutes trempées.

Stéphane : Pas grave je vais te les enlever et on les mettra à sécher tout à l'heure. On a le temps pour nous ce soir.

Il plonge dans la piscine et viens me déshabiller tout en me caressant. Une fois mes vêtements et mes chaussures sur le rebord de la piscine, il revient vers moi et me prends dans ses bras. Il m'embrasse tendrement et ses mains caressent tout mon corps. Une fois arrivé sur mes fesses, il passe sa main sur ma raie et je me cambre naturellement pour lui offrir mon cul.

Stéphane : C'est pourtant vrai que tu as fait des progrès ! Il y a quelques jours, je t'aurais fait pareil que tu n'aurais pas bougé.

Moi : Felipe m'a dit que maintenant j'étais un pur soumis, et un pur soumis doit toujours s'offrir à son maître. Donc je m'offre à toi.

Sur mes mots je sens son maillot de bain qui se tend, je lui ai fait de l'effet. Pour lui montrer que je veux de lui, je me retourne et frotte mon cul sur son maillot. Maintenant il bande dur. Mais il me stoppe.

Stéphane : Non arrêtes ! Pas maintenant, pas comme ça.

Il me retourne et me reprend dans ses bras.

Stéphane : Je veux que tu comprennes une chose. Il y a une grande différence entre Felipe et moi. Lui te domine et te prend pour son esclave. Moi je t'aime et si je veux être dominateur avec toi, je te le ferai comprendre sinon, je veux juste faire l'amour avec toi. Il y a une grande différence entre les deux. Certes tu as fait des progrès avec lui, je le constate, mais ce n'est pas parce que je t'ai fait ce compliment que cela veut dire que tu dois te comporter directement comme une pute soumise. Vu ?

Moi : Oui mon homme je voulais juste te procurer du plaisir. Ne m'engueules pas, je n'ai rien fait de mal.

Je me mets à pleurer dans ses bras, je craque littéralement. J'en ai les jambes qui tremblent, je ne sais plus où j'en suis. Ce que je peux faire, ne pas faire, avec un comme l'autre.

Stéphane : Calmes-toi, tranquillises-toi mon amour, je suis là pour toi. Je t'aime et c'est le principal. Je voudrais que tu redeviennes juste comme il y a trois jours. Naturel avec moi.

Moi : Oui, je vais faire de mon mieux mais je ne sais plus où j'en suis. J'ai le cerveau qui va exploser. Je suis dépassé par ce qui m'arrive depuis que nous sommes ensemble. Je n'étais pas comme ça avant. J'ai l'impression d'être impuissant, comme une loque. Je t'aime mais je me sens brisé.

Stéphane : Il faut que tu te retrouves et que tu te ressaisisses. Allez viens près de moi et sèches tes larmes ! C'est fini, la voilà.

Il m'a mis la tête sur son épaule et me caresse les cheveux. Je me calme mais je suis épuisé, j'ai l'impression de ne plus avoir d'énergie. Il me prend dans ses bras et me soulève. Il me sort de la piscine et me dépose dans un transat.

Moi : Je voudrais avoir ta force physique et mentale. Je t'aime, ça j'en suis certain. Je veux faire ma vie avec toi.

Stéphane : Calmes-toi et reposes-toi, tu en a besoin. Je vais ranger, préparer l'apéritif et la table. Tranquillises-toi. Je t'aime.

Il me pose un drap de bain sur le corps et je ferme les yeux. Je sombre dans un petit sommeil réparateur. Je dors à mon avis une bonne demi-heure et c'est avec un doux baiser qu'il vient me réveiller.

Stéphane : Tu vas mieux ?

Moi : Un peu. Je voudrais une chose mon amour.

Stéphane : Quoi donc ?

Moi : Guides-moi, je veux être parfait pour toi. Aiguilles-moi, protèges-moi.

Stéphane : Oui je te guiderai et te protègerai.

Il me donne un nouveau baiser.

Stéphane : Va prendre une douche, je t'ai préparé des vêtements pour le soir. J'ai rangé les vêtements du divan dans une valise. On n'en aura plus besoin et j'ai remis tes bijoux et ta montre dans leur coffret. Ça, c'est pour tout de suite.

Il me place ma boucle d'oreille que je n'avais plus mise depuis deux jours. En me levant, je constate qu'il s'est changé. Il porte un pantalon blanc pratiquement transparent sans rien en dessous et un t-shirt de la même couleur, moulant et col en V. Ca fait ressortir tous ses muscles. Je monte, prends une douche rapide et je vais m'habiller. Il m'a préparé un boxer blanc Addicted ouvert sur le cul. Un pantalon banc aussi avec une tirette avant arrière et un t-shirt blanc col en V moulant. Il ne me manque que mes slaches. Je retourne sur la terrasse et je vois qu'il a mis un tablier et allumé le barbecue. Sur la table de jardin, le champagne et une bouteille de vin sont dans la glace.

Stéphane : Installes-toi à table mon ange. Tu es superbe habillé comme ça.

Moi : C'est une tenue que tu as choisi. Je l'avais acheté chez Christian pour te faire plaisir et être comme tu le désirais, c'est-à-dire sexy. Je me trouve beau dedans et je suis à l'aise. Je peux t'aider si tu veux.

Stéphane : Ouvres la bouteille de champagne. Pourquoi as-tu pris du champagne au fait ?

Moi : Aujourd'hui on est samedi et ça fait deux semaines que nous sommes ensemble. Je voulais célébrer cela mais avec ce qui s'est passé dans la piscine tout à l'heure, je me demande si c'est une bonne idée. Je voulais te faire plaisir.

Stéphane : C'est une excellente idée, justement. Tu y as pensé, ce qui veut dire que tu m'aimes et que malgré tout, tu as toute ta raison. Ouvres la bouteille !

Je l'ouvre et prends deux coupes que je remplis.

Stéphane : Tu vois, ce qu'il y a de bien chez toi mon homme, c'est que tu as le coeur sur la main et un grand coeur. Je t'aime pour ça aussi.

Il me donne un baiser dans le cou. Je sourie, je suis content.

Stéphane : Tu vois, avec toi je n'ai pas fait les choses dans l'ordre. Je n'aurais pas dû venir ici en vacances. J'aurais dû te laisser seul avec ta mère.

Moi : Au contraire. Je suis heureux que tu sois venu. Pourquoi dire ça ?

Stéphane : Parce si je n'étais pas venu, Felipe ne t'aurais pas dominé et mis dans cette situation.

Moi : Tu n'es pas juste avec toi-même. Felipe m'aurais présenté Michel et rappelles-toi qu'il avait des vues sur moi. Connaissant Felipe nous serions sortis en boite et l'alcool aidant, j'aurais peut être cédé, même s'il me dégoûte toujours.

Stéphane : Que veux-tu dire ?

Moi : Même si tu l'as larvé comme tu le dis, le personnage, même s'il a un peu changé entre temps, reste le même pour moi. Il me dégoûte et je trouve que Felipe s'étant découvert des talents de dominateur, il n'a plus rien à faire avec. De plus si tu te souviens bien, il dit qu'il aime Felipe mais je trouve ça d'un faux complet. Mais bon, cela, ça ne me regarde pas.

Stéphane : Je te trouve dur avec Michel mais tu as raison. Si ça se trouve tu lui aurais cédé. Je dois dire que pour avoir connu le personnage avant mon passage, je crois que je ne l'aurais pas supporté.

Moi : Donc, tu vois, ta venue ici ou pas ne change rien à la situation. Nous aurions dû en rester à la première nuit et ne pas en refaire une autre.

Stéphane : Tu as raison, tu n'étais pas prêt et moi non plus. Je ne t'ai pas protégé. Bon, on va manger ?

Je n'ai pas trop faim. Il nous sert la salade le pain et les saucisses. Heureusement que je n'ai pas trop faim car ce n'est pas un champion du barbecue, tout est cramé. Le repas se passe bien, nous débarrassons et faisons la vaisselle. Ensuite, nous nous mettons dans le divan et regardons la TV, enfin, TV5 monde et LCI, les deux seules chaines françaises. Je me blotti dans les bras de mon homme, il nous reste deux verres de vin et tout en regardant la TV, je m'endors. Le sommeil est profond au point que je ne me rends même pas compte que Stéphane m'a pris dans ses bras pour me mettre au lit. Ce n'est que quand il me met sur le lit que je me réveille. Il vient se coucher sur moi en me donne un baiser magnifique. Il me lèche le cou et descend sur mon sexe pour le lécher à travers le tissu. Ensuite, il ouvre la tirette et me suce un peu. Je ne bouge pas et soupire avec un léger sourire aux lèvres. Ensuite il me retourne en douceur et ouvre la tirette arrière du pantalon, écarte mes jambes et ouvre mes fesses. Il commence à me lécher le cul à grand coup de langue, c'est divin. Je peux sentir sa langue ouvrir mon fondement. Il descend du lit et enlève son pantalon, il bande. Il se couche sur moi et entre doucement en moi. Il commence à bouger en moi doucement et avec amour. Il me donne des baisers dans le cou et dans le dos, je ferme les yeux et je pleure. Je pleure parce qu'il m'aime et je trouve que je ne le mérite pas. Il vient son visage contre le mien, je peux sentir son souffle et lui le mien. Il est en douceur.

Stéphane : C'est ça, te faire l'amour mon ange. Je t'aime.

Moi : Oui mon homme. Maintenant, j'ai compris la différence et je t'aime.

Il continue pendant 5 à 6 minutes comme ça avant de jouir dans mon cul et il s'affale sur moi.

Dans mon oreille il me dit :

Stéphane : Je t'aime. Veux-tu m'épouser ?

Moi : Oui, je veux t'épouser mon amour.

Nous nous endormons dans cette position, lui toujours sur moi et planté en moi.