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Domination par Stéphane
mon futur mari
Nouvelles règles pour Jona et je reçois ma punition.
Mercredi matin, je suis le premier réveillé. J'ai un mal de crane phénoménal. Le réveil ne sonne que dans une heure. Je me lève et vais pour aller dans la salle de bain quand je vois Jona dormant au pied du lit. Il a des attaches aux poignets et aux pieds, un bâillon, un collier avec une laisse et le Plug en forme de queue de chien. Il dort sur une couverture, recroquevillé sur lui-même. D'une tape sur les fesses je le réveille en sursaut, je prends la laisse et le fait marcher à quatre pattes jusqu'au donjon. Il a dur car il doit avoir des courbatures. Une fois dans la pièce je le fais mettre à genoux et lui retire le bâillon. Avec ses mains, il se tient la mâchoire et s'étire.
Jona : Merci.
Moi : Merci qui ?
Jona : Merci maître.
Moi : Regardes-moi ! A partir d'aujourd'hui tu es notre esclave à tous les cinq ! Je t'impose de nouvelles règles ! 1, puisque tu le désires, tu seras notre vide couilles selon nos désirs et non les tiens ! 2, tu suivras tous nos ordres sans broncher, si tu désobéis, tu seras puni sévèrement ! 3, je t'interdis de te branler sauf si on te donne l'autorisation et la règle est aussi valable si on te baise ! 4, en public tu ne nous adresseras la parole que si on t'y autorise et tu nous appelleras par notre prénom. En dehors, tu nous appelleras maître à l'exception du Club car tu es sur ton lieu de travail et nous devons le respecter ! Si ce n'est pas le cas, tu le signales à Sven.
Entre nous, je pense surtout au comportement de Marc et je ferais la remarque à Sven, pour qu'il le briffe.
Moi : Si tu acceptes et que tu obéis, tu seras gâté et tu recevras notre amour. Si tu désobéis, tu seras puni et nous n'aurons que du mépris pour toi. Si tu n'acceptes pas cette nouvelle situation, tu sors définitivement de nos vies à Stéphane et à moi.
Il craque et se fout à pleurer, il me fait chier grave.
Moi : Regardes-moi ! Un homme ça ne pleure pas compris ? Alors arrêtes de pleurer et reprends-toi !
Jona : Je n'ai pas envie de te perdre, de vous perdre. J'accepte, maître.
Moi : A la bonne heure.
Je le relève et le prend dans mes bras pour le consoler un peu ensuite je prends sa tête dans mes mains et fait en sorte qu'il me regarde.
Moi : Si j'ai envie de te faire l'amour, je te le ferais comprendre aussi.
Jona : Merci maître.
Je le fait plier sur le banc et lui retire doucement le Plug en queue de chien. Je lui retire tout le reste aussi et je range le tout correctement. Je lui passe un peu de pommade apaisante sur l'anus qui a été mis à rude épreuve. Je m'aperçois que mon mec lui en avait déjà mis sur le plug pour qu'il le supporte toute la nuit.
Moi : Viens avec moi !
Il me suit et nous allons au dressing. Je lui file un short et un T-shirt de sport à moi et j'enfile la même chose, il doit serrer à stock les cordes du short.
Moi : Enfiles tes baskets. On va courir un peu dans le froid, ça va nous décrasser de la nuit. On en a besoin.
Avant de sortir, je prends mon portable que je fixe à mon bras par une banane porte GSM. Nous sortons et je prends un chemin que je connais. Au bout de dix minutes, il peine déjà. Il n'a pas l'habitude, ça se voit mais je ne m'arrête pas et lui dis.
Moi : C'est tout ce que tu peux donner à ton maître ?
Ca a suffi, il reprend le rythme et me suit mais il a dur, très dur. Au bout d'une demi-heure, je reviens vers la maison et nous faisons trois fois le tour de celle-ci. Au passage, devant la fenêtre de la cuisine, Rose nous voit et a compris que nous serions quatre à déjeuner. Mon portable sonne, Stéphane. Je m'arrête.
Moi : Oui chou.
Stéphane : Tu es où ?
Moi : Dans le jardin, je cours avec le gamin.
Stéphane : Ah ok. Comment se porte-t-il ?
Moi : Regardes la dernière vidéo du donjon, tu comprendras. Et demandes à Felipe une copie de tout pour Sven. Il y a une clef USB dans mon sac, elle est toujours emballée.
Stéphane : Ok.
Moi : Bon un dernier tour et à la douche.
Nous faisons un dernier tour de la maison et nous rentrons. Nos baskets sont sales, nous les retirons en entrant, du coin de l'oeil Rose met la table. Je monte avec le gamin devant moi et Stéphane est au-dessus de l'escalier.
Moi : Qu'est-ce qu'on dit, Jona ?
Jona : Bonjour maître.
Stéphane ne répond pas et me montre la clef USB.
Stéphane : C'est ça ?
Moi : Oui, tu as regardé la vidéo ?
Stéphane : Pas encore. Felipe est en train de nous la préparer, il veut voir aussi.
Moi : Nous passons sous la douche, je voudrais avoir ses vêtements dans le dressing et que l'on ne nous dérange pas.
Stéphane : Ok.
Arrivés dans la salle de bain, il se déshabille et moi aussi. Sous la douche, je le lave avec tendresse mais pas trop.
Moi : Laves-moi !
Jona : Oui maître.
Il me lave et est bien docile. Lorsqu'il arrive à ma queue, il continue son ouvrage. Forcément je bande mais il ne va pas plus loin. Je vois que ça lui est difficile mais il tient le coup. Je me rince et le rince aussi mais j'ai besoin de me vider les couilles alors je le plaque au mur de la douche, lui écarte les jambes en m'enfonce dedans d'un trait, ce qui le fait pousser un petit cri. Je le lime à fond pendant une douzaine de minutes, il gémit et couine comme la bonne salope qu'il est devenu, accro à la bite. Quand je pense que c'est moi qui l'ai poussé dans les bras de Marc, j'en ai fait pratiquement la salope qu'il est devenu, je me fais honte. Comme il bande et qu'il est bien docile, avec ma main je le branle.
Moi : Je te permets de jouir esclave.
Jona : Merci maître.
Je continue de le branler tout en le limant, au bout de cinq minutes tout de même, il éjacule sur le mur et dans ma main. Par effet de contraction de son anus, je me finis au fond de son cul. Je remonte ma main à sa bouche et il me lèche la main pour boire son sperme.
Jona : Merci maître.
Après un nouveau rinçage et séchage, je lui file ses vêtements de la veille. Je mets un costume pour aller travailler et nous descendons. Dans la salle à manger, Felipe et mon homme déjeunent déjà. Jona, à la vue de la présence de Rose, va faire un baiser sur la joue de Felipe avec un bonjour que celui-ci lui rend.
Moi : Installes-toi ici et mange ce que tu veux.
Rose : Bonjour, Jus d'orange et café je suppose ?
Moi : Oui Rose. Pour le gamin je ne sais pas mais avant, pourrais-je avoir un verre d'eau et une aspirine ?
Rose : Tout de suite monsieur, et pour vous, jeune homme ?
Jona : Juste un jus d'orange s'il vous plaît Madame.
Nous éclatons de rire.
Stéphane : Rose voici Jonathan et Jonathan je te présente Rose. Tu peux l'appeler Rose ou madame Rose et vous, Rose, vu le jeune âge du petit, ne prenez pas de pinces, appelez le par son prénom.
Jona : Enchanté madame Rose.
Rose lui répond et va me chercher mon aspirine.
Stéphane : Migraine ?
Moi : Disons plutôt que Felipe n'a pas ta douceur avec le poppers et comme tu sais que je ne le supporte qu'à petite dose. Mais avec Désiré c'était nécessaire.
Stéphane : On regardera la vidéo ce soir en intimité.
Rose me donne mon aspirine et revient ensuite avec mon jus d'orange et mon café. Nous déjeunons, moi d'un simple croissant mais le gamin, lui, s'empiffre.
Felipe : On dirait qu'il n'a pas mangé depuis des jours.
Je me retourne sur lui.
Moi : Jona, d'où vient que tu manges autant au déjeuner, tu ne manges rien chez toi ?
Jona : Désolé mais, avant de vous connaître et, depuis deux jours avec mon déménagement et les repas de Sven, je mange mieux. Chez moi, avec les moyens financiers dont je dispose, je ne pouvais pas manger toujours à ma faim.
Il se stoppe de manger net et est gêné.
Moi : Manges et si tu es bien obéissant, comme je te l'ai dit, tu n'auras plus jamais de soucis à te faire à ce niveau là non plus.
Rose revient.
Rose : Je suppose que la famille s'agrandit encore.
Moi : Non Rose, Jona ne sera pas ici à demeure mais lorsqu'il logera ici, je vous le ferais savoir bien en avance pour ne pas que vous soyez prise au dépourvu.
Rose : Bien Pat, je préfère.
Elle retourne dans sa cuisine.
Stéphane : J'ai vu la vidéo avec Felipe, tu as pris les bonnes décisions et à la limite tu commences à me faire peur car tu deviens de plus en plus dominateur.
Moi : Je sens que je vais te soumettre de plus en plus. J'aime bien.
Stéphane : N'oublies-pas que je suis ton mec et que ton cul n'est qu'à moi, enfin presque parce que hier tu as marqué un point avec Sven et Marc. Par contre je sens que Marc doit avoir encore passé une nuit d'enfer.
Moi : Je vais leur ramener le gamin pour qu'il se change et qu'il aille travailler. Je donnerais la clef USB à Sven et m'excuserais de m'être refusé hier.
Stéphane : Ok, comme ça je peux aller au garage avec Felipe.
Moi : Ah oui j'avais oublié, mince j'avais une course pour lui, enfin pas grave. Je vais m'en occuper moi-même fin de journée.
Nous finissons de manger et partons. Dans ma voiture un silence complet et puis.
Jona : Je peux vous poser une question, maître ?
Moi : Je t'écoute.
Jona : Pourquoi avoir été si gentil avec moi et maintenant si dur, je ne mérite pas ça.
Moi : Bien au contraire, tu n'as pas respecté ce que je t'ai dit. Je t'avais demandé de ne pas t'attacher à moi et de te trouver un mec. Puisque tu ne veux que de nous cinq et que moi je suis avec Stéphane, il fallait absolument casser ton attachement. Comme on n'y arrive pas, il a fallu en arriver là et maintenant il n'y a pas de marche arrière possible. Maintenant tu es notre esclave.
Jona : Oui maître et je comprends même si ça me rend triste et malheureux.
Je me range sur le bas-côté de la route.
Moi : Ecoutes Jona, ce n'est pas le but recherché. Si tu fais bien tout ce qu'on te dit, nous te rendrons heureux, nous te ferons tous l'amour et te gâterons. Tu es encore jeune et c'est pour ça que je t'impose ces règles mais comme tu es accro à nos bites, comme la petite salope que tu es devenu, il est normal que l'on te prenne comme esclave.
Jona : Si je comprends bien, vous m'aimez mais je ne suis qu'une bouche et un cul pour vous. Une bonne petite salope passive.
Moi : C'est ce que tu voulais ?
Jona : Oui, un peu mais je voudrais bien rester actif aussi maître.
Moi : Alors si tu es bien sage, on te trouvera des mecs que tu pourras baiser et, qui sait, peut être que tu trouveras un bon dedans.
Jona : Merci Maître.
Je reprends la route et arrive à l'appartement de Sven. Il nous attendait et m'ouvre la porte du bas. Dans l'ascenseur le gamin est nerveux. Devant la porte je lui incline la tête vers le bas pour qu'il regarde le sol. Sven ouvre.
Jona : Bonjour maître.
Sven : Bonjour Jona, vas dans ta chambre et prépares-toi. Marc t'attend pour aller au club.
Jona : Oui maître.
Sven : C'est toi qui l'as ramené ? Entres. Tu veux un café ?
Moi : Oui merci.
Il me donne une tasse et je vois arriver Marc avec une tête à faire peur.
Moi : Encore désolé pour ta nuit Marc.
Sven : Il en a vu d'autre !
Marc : N'empêche, deux nuits d'affilée, je suis sur les rotules.
Sven : Alors, il paraît que tu t'es fait sauter par Désiré cette nuit ?
Marc : Quoi ? Mais il me semblait que tu étais crevé. Tu me le payeras !
Moi : Comment es-tu au courant ?
Sven : Stéphane vient de me raconter au téléphone, il paraît que tu as retourné ta veste complètement cette nuit et que tu as pris ton rôle de maître au sérieux.
Moi : Oui. Tiens, voici une Clef USB avec les vidéos. Enfin, celle du gamin et une avec les nouvelles règles que nous lui infligeons. Mais vous devez me promette que vous n'en abuserez pas et que vous lui ferez l'amour s'il est obéissant et que vous le gâterez. Ah oui une chose que j'ai appris, il ne gagne pas assez bien sa vie que pour manger à sa faim. Il faut que ça change Marc ! Tu as l'accord de Stéphane puisqu'il est actionnaire du club.
Sven : Ok, bon on va rectifier le tir.
Jona revient.
Jona : Voilà, je suis prêt mes maîtres.
Sven : Jona vient ici, j'ai deux mots à te dire. Pourquoi ne nous as-tu pas dis que tu ne mangeais pas à ta faim ? Tes parents nous ont demandé de veiller sur toi, même si tu avais un kot.
Jona : Je ne voulais pas vous ennuyer avec mes problèmes.
Sven : J'exige dorénavant que s'il y a quelque chose qui ne va pas, tu me le dises !
Jona : Oui maître.
Sven : Ensuite, ce soir, tu nettoieras l'appartement. Le chauffagiste passe ce midi pour le chauffage et l'eau chaude. Il y a tous les produits de nettoyage au club, sers toi ! Ce soir je viendrais t'installer dans l'appartement, je remplirais le frigo et le congélateur. Donc allume les ce matin. Ensuite nous irons au dépôt prendre le lit et ce dont tu as besoin dans les affaires de ton maître, ici présent. Marc, tu tiendras le bar !
Marc : Oui mon homme.
Jona : Oui maître.
Sven : Autre chose, dorénavant, je veux te voir au bar tous les vendredis et samedi soir si tu n'as rien d'autre d'important à faire. Tu y boiras ce que tu veux, nous partagerons l'addition à cinq.
Moi : Plutôt en deux. Stéphane, moi et vous deux. Felipe ne gagne pas encore assez bien sa vie pour ça.
Sven : Ok. J'ajoute que s'il y a du monde, je veux que tu donnes un coup de main avec moi au bar sinon tu pourras t'amuser mais j'aurais toujours un oeil sur toi et Marc aussi. Il ne faudrait pas qu'il t'arrive la même chose que le week-end dernier. Je suis bien clair ?
Jona : Oui maître.
Marc : Bon, allons-y, on va être en retard.
Je prends Jona dans mes bras et lui donne un baiser sur le front, il me regarde avec les larmes aux yeux mais il me sourit et ils s'en vont.
Sven : Bon, tu nous dois une punition, n'oublies-pas !
Il se tient le paquet.
Sven : Tu dois être à ton bureau dans combien de temps ?
Moi : 10H30
Sven : On a 1H30 devant nous alors ?
Moi : Mais c'est que ...
Sven : A genoux !
Il me fait sursauter, je suis surpris et me met à genoux. Il descend son pantalon de training et sa queue en sort, dressée et bien dure.
Sven : Suces !
Je commence à le sucer mais je ne vais pas trop loin tellement il est large. Il me prend la tête et m'oblige à en prendre plus mais avec le petit déjeuner, je risque de vomir. J'essaie de déglutir mais pas moyen sans avoir de haut le coeur. Ça dure bien dix minutes.
Sven : A poil, je vais me faire ton cul de salope et nous serons quittes pour ta punition.
Je me fous à poil et il me tape dans le canapé qui se trouve au milieu du salon. Je suis plié sur le rebord et il vient derrière moi et me graisse le cul, il rentre un puis deux ensuite trois doigt dans mon cul avec pas mal de gel. D'ailleurs, ça me coule un peu sur la jambe, j'entends le bruit d'une capote que l'on ouvre, il va me saillir.
Sven : Ecartes les fesses avec tes mains esclave !
Moi : Oui maître.
Je m'exécute et il pointe le début de son gland sur ma rosette.
Sven : Pousses !
Je pousse et son gland entre, non sans me faire pousser un cri de douleur. Il se retire un instant, me place un bâillon avec force et m'attache les mains dans le dos.
Sven : Comme ça on ne t'entendra pas et tu ne bougeras pas non plus !
Il me passe un peu de poppers sous le nez. Une variante que je ne connais pas mais je plane plus vite et j'ai chaud avec. Il me pénètre de nouveau avec un peu plus de force, je râle malgré tout et souffle. Il se retire un peu puis rentre à nouveau mais va à fond. Je hurle dans le baillon mais évidemment rien ne passe comme son.
Sven : C'est bien Pat, ton cul est bien serré et je suis en entier dedans. Maintenant je vais te ruiner le cul pour bien te faire comprendre qui est le plus dominateur.
Il m'a baisé pendant vingt minutes, comme une salope, j'ai gémis, couiné, je me suis même reculé sur sa queue quand il prenait une pause. J'ai fait ma chienne sur sa queue et il m'a ruiné le cul comme il l'avait dit. Au moment de jouir, il a rempli la capote d'une immense quantité. Une bonne claque sur mon cul.
Sven : T'es vraiment une chienne, je comprends que Stéphane m'ait donné l'autorisation de te sauter ce matin. A la limite je devrais te payer comme on paye une pute tarifée, ta punition est levée. Ça valait vraiment le coup.
Il me détache, m'enlève le bâillon et m'aide à me relever et à me tenir sur mes jambes.
Sven : Alors tu as aimé salope ?
Moi : Oui maître.
Sven : Bon, à la douche et arrêtes de m'appeler maître. Tu finiras par commettre un lapsus devant le gamin.
Sous la douche il me lave et comme je bande, il me branle avec fermeté. Je jouis dans sa main, il me la fait lécher. Ça ne me dérange pas, j'adore ça. Une fois séché, je remets mon costume et suis prêt à partir.
Moi : Regardes les vidéos dès que possible pour bien comprendre pour le petit et surtout rappelles à Marc que le gamin lui est soumis, sauf au Club et que par conséquent, il n'est pas son vide couilles sur place. J'y tiens ! Le petit doit être tranquille au Club, c'est la même règle pour tout le monde.
Sven : Ok pas de souci la dessus et je vais mettre la même règle au bar, sauf cas exceptionnel.
Moi : Ok. C'est quoi le poppers que tu m'as fait reniflé ? En règle générale je ne le supporte pas et après j'ai très mal la tête et je suis vidé. Mais là non.
Sven : C'est du Locker room, il est simple et léger. Avec ça, tu n'es pas trop stone et tu profites mieux du moment tout en étant décontracté. Si tu veux je t'en commande.
Moi : Oui je veux bien car je l'apprécie mieux que le black-out de la maison.
Sven : Je veux bien croire, c'est un des plus puissants.
Moi : Je te laisse, je vais être en retard pour mon premier rendez-vous.
Il m'embrasse, je dirais même qu'il me roule un patin, c'est divin et je suis parti. En montant dans la voiture, mon cul me fait sentir qu'il y a eu du passage, faudra que je fasse avec au bureau. Une fois arrivée Claudia, m'intercepte.
Claudia : Felipe est venu vous déposer ceci avant d'aller au garage avec Stéphane.
Elle me tend le pot de crème apaisante, je rougis.
Claudia : Je ne poserais pas de question. Votre premier rendez-vous arrive dans 10 minutes.
Moi : Merci.
Je vais à la toilette et je me crème le cul. Que c'est bon. Merci mes mecs. Ensuite je file à mon bureau. Je reçois mon rendez-vous, campagne de pub pour un opticien de liège bien connu mais qui travaille pour une marque. Nous devons juste ajouter son nom sur l'affiche que la société nous communiquera. 12H00 je vais faire mon sport uniquement musculation et abdominaux. J'ai couru le matin. Marc est là toujours aussi crevé.
Marc : Tu me le paieras le coup de la nuit dernière.
Moi : Fais-le plutôt payer à Stéphane qui s'est permis ce genre de chose sans mon consentement. Sa aurais pu s'apparenter à un viol.
Marc : Non. Sven avait prévenu que si tu refusais, il te laisserait tranquille.
Moi : De toute façon, j'ai eu ma punition ce matin chez toi. Sven m'a dominé avec mon consentement.
Marc : Tu vas faire quoi ?
Moi : Abdominaux et musculation. J'ai couru ce matin avec le gamin.
Marc : Il me l'a dit, je lui ai fait un programme pour le muscler et renforcer sa forme physique et surtout anale. Tu as mis ton Plug ?
Moi : Oui, j'en ai besoin aujourd'hui.
Je fais mon sport et je passe à la douche. Jona me masse.
Moi : Ça va ? Tu as digéré la pilule Jona ?
Jona : Va falloir que je m'y fasse, je n'ai pas le choix. Je vous aime et je dois passer par là pour rester avec vous et avoir votre amour.
Moi : Et on va te rendre heureux et te gâter, crois-moi.
Il finit son massage, parfait d'ailleurs, je l'en félicite et lui fait un bisou sur le front.
Jona : Tu devrais remettre de la crème apaisante sur les fesses, elles sont encore rouge et les traces de fouet ressortent. C'est la première fois depuis 7 jours que je les revois. Fais attention.
Moi : Merci Jona, tu es parfait comme ça. Tu as presque tout compris, viens près de moi.
Il s'approche et je lui roule une galoche dont j'ai le secret. Je vois un de ses pieds qui décolle du sol. Je me retire, il a les yeux qui brillent et je l'entends siffloter dans son box en changeant les serviettes. Il m'amuse mais il a raison, je devrais me remettre de la pommade. Marc est dans le vestiaire avec un client qui apparemment c'est fait mal au dos.
Marc : Tu as fini avec le petit ? Ça a été ?
Moi : Parfait et la situation comme elle est là me convient très bien, si tu comprends ce que je veux dire.
Marc : Il est dans son box ?
Moi : Oui, quand tu as déposé monsieur, est-ce que tu sais me donner un coup de main ?
Marc : Oui, laisses-moi une minute.
Il revient et je sors le pot de pommade.
Moi : Tu sais m'en mettre sur le dos ainsi que sur les fesses ?
Marc : Avec plaisir. Effectivement tu as morflé avec mon homme, mais ton anus est revenu assez serré, je ne sais y entrer un doigt.
Moi : Forcément je t'en empêche. Tes exercices portent leurs fruits.
Marc : J'aimerais bien une fois te baiser.
Moi : Un jour peut-être mais avec l'autorisation de Stéphane au préalable. Tu as pensé à trouver un prof de self défense pour le petit ?
Marc : Oui. Il y en a un qui vient demain matin mais je ne l'ai pas mis au courant exprès. Voilà je t'ai pommadé tu es prêt pour le service.
Moi : Merci.
Je remets mon costume et je prends une salade à emporter à la cafétéria. Je l'avais commandé en arrivant pour être plus rapide. Je retourne au bureau travailler sur les contrats déjà en cours avec Sylvain. Je n'ai pas d'autre rendez-vous avant demain et du boulot, on en a déjà. Entre ma planche à dessin et les descriptions de Sylvain pour les catalogues de vêtements et autres demandes des premiers clients, il est 17h30 quand je m'arrête. Mon portable sonne. C'est Sven.
Moi : Oui Sven.
Sven : Juste un petit mot, j'ai regardé les vidéos et tu t'es comporté comme un véritable dominateur. Je pense même que dans ton couple, tu es le plus dominateur au final, mais ne le dis pas à Stéphane.
Moi : Stéphane est plus mental dans sa domination mais pour le moment, il ne sait plus s'en servir. Je pense que c'est du à la présence de Felipe et surtout le fait qu'avec Jona, je l'ai pris de court. J'espère que ça reviendra.
Sven : Je reconnais bien là, la salope qui est en toi. Bref, félicitations et tu as pris les bonnes décisions avec le gamin. Je n'apprécie pas trop que tu le brides dans son plaisir et son éjaculation mais je suppose que tu as tes raisons.
Moi : Oui, il est jeune et si on le laisse faire, il se branlerait ou baiserait dans tous les coins et serait moins productif.
Sven : Oui je vois. Ah, tu as un cul d'enfer et le contraste de ta peau avec celle de Désiré est magnifique. Je pense que tu es le premier à qui il arrive à enfiler l'entièreté de sa bite.
Moi : Tu as vu la vidéo ?
Sven : Oui, elle était avec les autres, digne d'un porno. Il faudrait la publier, ça rapporterait un max.
Moi : Je te l'interdit ! Felipe sera puni, l'ennui avec lui, c'est que je ne sais pas comment le punir. Il aime qu'on lui fasse mal.
Sven : Mets lui une cage de chasteté 48 H, tu verras qu'il comprendra la punition. Il vient ce soir à la maison, si tu veux je m'en charge et Marc te donnera la clef. En parlant de clef, tu vas en recevoir une de l'appartement du petit.
Moi : Ok pour Felipe mais pourquoi nous donner une clef de l'appartement ?
Sven : Par sécurité, je préfère et au moins avec ça, il se tiendra tranquille dans l'appartement en sachant que l'on peut arriver n'importe quand.
Moi : Ok.
Sven : Je fais des courses pour lui au Carrefour. Je vais lui prendre quelques alcools et du champagne pour lui et nous si nous passons ainsi que des sacs de glaçons pour le congélateur, du pain et d'autres bricoles. Tu sais s'il mange de tout ?
Moi : Tout ce que je peux te dire c'est qu'il a un appétit énorme et qu'il adore déjeuner. Il n'aime pas le café et aime le jus d'orange pressé. Tu trouveras dans le dépôt.... Non plutôt, écoutes, prends tout ce que tu veux pour son appartement y compris les petits meubles et la déco ça peut lui servir et rapportes moi juste mes verres en cristal. C'est mon père décédé qui me les a offerts et j'y tiens. Mon salon, soit il reste au dépôt soit tu l'offres à quelqu'un. Donnes mes bibelots au gamin aussi, au moins quand je passerais, j'aurais un peu l'impression d'être chez moi. Donnes-lui tout.
Sven : Merci pour lui. Je vais prendre le camion et Désiré va me donner un coup de main. Il ne travaille pas pour moi aujourd'hui.
Moi : Pardon ????
Sven : Je ne te l'ai pas dit mais c'est un de mes sorteur. Tu ne l'a jamais remarqué si je comprends bien.
Moi : Effectivement.
Sven : Par contre, lui t'a maté directement et c'est parce que Stéphane est ton mec qu'il s'est retenu sinon tu serais devenu sa poule.
Moi : Je comprends mieux le plaisir qu'il a eu à me baiser.
Sven : Oui et il aimerait bien encore. Je peux donc disposer de tout sauf des verres en cristal pour le petit.
Moi : Oui, je voudrais qu'ils intègrent la maison, ils me manquent surtout quand je bois du champagne.
Sven : ok je fais pour le mieux. Bisous Pat.
Il raccroche et je me retourne dans mon bureau, je vois Felipe et Stéphane dans les fauteuils. Je ne les avais pas entendus arriver.
Stéphane : Alors ta journée ?
Moi : Très dure au départ mais j'ai eu ma punition avec Sven et au final c'était génial. Il a une autre sorte de poppers qui m'a bien plu et que j'ai supporté. Je lui ai dit de m'en commander. Rendez-vous, sport, massage, le petit commence à comprendre et ça me ravi. Je viens de dire à Sven qu'il pouvait prendre l'ensemble de mes meubles et d'autres choses au dépôt sauf mes verres en cristal que je veux retrouver à la maison. J'y tiens ils me viennent de mon père. Dis donc Felipe, qu'est-ce qui t'a pris de mettre ma vidéo avec Désiré sur la clef USB ?
Felipe : Ce n'est pas mon idée.
Stéphane : C'est la mienne.
Moi : Vous serez puni tous les deux, c'est Sven qui va s'en occuper pour toi Felipe et toi mon homme je vais bien trouver. Je crois que je vais demander à Sven un plan abatage.
Stéphane : Ça ne va pas la tête ? Je veux que mon cul ne soit que pour toi.
Moi : Tu feras ce que je te dis, c'est un ordre !
Stéphane : Oui mon coeur.
Moi : Ca a été au garage ?
Stéphane : Oui il apprend vite, je lui ai donné trois costumes de vendeur à sa taille, heureusement on en a en stock. Je lui ai appris à livrer deux véhicules dont un que tu as vendu et le client regrettait que tu ne sois pas là. Il a fallu que je lui explique pour ici. Nous avons vendu ensemble une voiture afin de lui montrer l'ordinateur. Pour le reste la journée a été calme .Nous sommes venu rechercher sa moto.
Moi : Oui elle est dehors sur le parking, Sylvain l'a sortie ce matin pour ne pas qu'elle reste dans l'entrée. Felipe, tu peux aller chercher un paquet pour moi à la bijouterie avant de rentrer ? Paye avec ma carte que tu as toujours.
Stéphane : Il faudrait lui faire un compte en banque et l'approvisionner pour qu'il puisse être autonome avant de toucher ses premiers salaires.
Felipe : J'ai un compte.
Moi : Stéphane t'expliquera ce qu'il veut dire par compte. Laisses-toi faire !
Felipe : Ok, je file alors sinon la bijouterie sera fermée. Il est déjà 18h00. Je passe la soirée au bar pour donner un coup de main à Marc et je passerais sûrement la nuit chez eux mais je mangerais avec vous avant.
Moi : Ok à toute à l'heure.
Il nous quitte, je ferme mon bureau et avec Claudia nous fermons .Nous reprenons nos voitures respectives et je suis mon homme. A la maison, je me change et mets une tenue d'intérieur sexy. Rose nous sert un apéritif avec quelques amuses bouches. Stéphane regarde les actualités, je fais de même. Felipe arrive, me donne la petite boite du bijoutier et monte prendre une douche. Il revient il est très sexy.
Moi : En beauté ce soir.
Felipe : Oui. Tu sauras me conduire au bar ? Sven m'amènera au travail demain matin.
Moi : Ok.
J'ouvre la boite du bijoutier car ils en meurent d'envie. Je leur montre alors le piercing que j'ai fait faire pour Jona. Il est magnifique et l'inscription de nos initiales à tous les cinq est superbe même si une partie sera cachée par le téton de Jona. Il est plus petit que les nôtre. C'était mon choix car le gamin contrairement à nous à deux minuscules tétons. Je ne veux pas les abimer.
Stéphane : Magnifique ! Quand comptes-tu lui offrir ?
Moi : On a convenu avec Sven de lui remettre ensemble à mon avis samedi soir au bar. Ah oui une chose à tous les deux. Samedi, personne ne doit savoir que c'est moi qui cherche des modèles sinon je ne vais pas être tranquille. Samedi soir je serai ta salope au bar, demande de Sven et c'est valable pour toi aussi Felipe, c'est soirée cuir au bar en plus du défilé.
Stéphane : Comment le sais-tu ? Sven ne m'a rien dit.
Moi : Sylvain m'a fait passer le message de Sven. Il fait une soirée cuir une fois par mois de toute façon d'après Sylvain.
Stéphane : Oui effectivement.
Rose : Si vous voulez bien passer à table.
Il est déjà 19h30. Le temps passe si vite, nous mangeons un filet américain frites avec une bière chacun, c'est simple, mais très bon. Rose ne s'est pas foulée mais je suppose qu'avec tout le travail qu'on lui donne à nous trois voire quatre avec le petit et comme elle n'est plus toute jeune c'est normal. Après avoir mangé, je conduis Felipe au bar et en profite pour boire un verre, Stéphane devant travailler dans son bureau. Je m'étais changé en fonction pour ne pas y aller en tenue légère. J'ai bu une bouteille de champagne et vers 22h30 Sven arriva au bar, sans le gamin.
Moi : Sven, le gamin est bien installé ?
Sven : Oui, l'appartement était propre quand je suis arrivé avec Désiré et les meubles, à propos j'ai tes verres dans le coffre.
Moi : Merci je les reprendrais en partant.
Sven : On lui a mis les meubles et j'ai rempli le frigo et le congélateur, j'ai juste oublié de prendre du produit pour la machine à lessiver et le lave-vaisselle. Il a été très sage et obéissant. Il va passer la soirée à ranger mais il m'a dit avoir peur de dormir tout seul cette nuit. Je lui ai dit qu'il devait se comporter comme un homme.
Moi : Très bien.
Sven : Et toi que fais-tu là ?
Moi : Je t'ai amené Felipe et je compte sur toi pour la punition.
Sven : Pas de souci, est ce que je peux aller loin avec lui ?
Moi : Je peux te dire que tu peux à mon avis y aller hard car je l'ai fouetté et il avait le sourire mais ne me l'abîme pas non plus.
Sven : Ok. Je te l'amène au bureau demain et je te donnerai la clef, plutôt non tu viendras me l'amener au bar demain soir. Il me donnera un coup de main et tu prendras Marc pour son formatage. Je me réjouis de voir si ça va marcher, je bande déjà rien que d'y penser.
Moi : Je te garantis qu'il pourra te prendre en entier après mon passage, de toute façon je te le ramène à l'appartement en début de nuit. Tu fermes toujours à minuit en semaine ?
Sven : Oui.
Moi : Je veux te voir retirer sa cage à Felipe, fais de lui une lope !
Sven : Tu deviens hard toi, il me semble.
Moi : Je trouve du plaisir pour le moment dans ce trip là mais samedi, je serais en mode esclave de mon mec pour ta soirée cuir, et je serai en tenu très salope.
Sven : J'aimerais bien voir ça.
Moi : Felipe en a déjà un peu l'expérience avec son ex, il aime être exhibé voir même humilié en public. Moi, ce n'est pas trop mon truc mais Stéphane voudrais essayer une fois alors j'en profite pour le faire ici plutôt que dans une boite glauque.
Sven : Mais nous avons un coin glauque ici aussi, seulement, tu n'y es jamais allé. Viens je te montre.
Nous allons dans le fond de la salle. Derrière un rideau, il y a un escalier qui descend vers la cave. Elle est aménagée par différents boxes contenant matelas et poubelle avec un éclairage bleu, une salle avec des fauteuils et un écran plat qui diffuse un porno. Il y a trois mecs qui se paluchent dans ces fauteuils. Au fond, un donjon avec trois slings, une croix avec des liens, une cage, des godes avec du gel et des capotes avec un mot au mur demandant de laisser l'endroit clean et de rester safe. Sur un podium, il y a une table assez petite avec des attaches au quatre pieds et un petit matelas posé dessus. Il y a un éclairage direct dessus et je vois une caméra sur le mur.
Sven : Ça c'est quand un mec a envie de donner du spectacle à toute la salle mais c'est rare que ça serve, les gens deviennent un peu moins exubérants de nos jours.
Moi : C'est parce qu'on peut voir mon visage sinon moi ça ne me déplairait pas de faire ça avec Stéphane.
Sven : Si tu le fait, je t'offre une soirée champagne.
Nous prenons le chemin pour remonter. Il y a plus de monde d'un coup et j'ai difficile de me frayer un chemin. Des mains me tâtent, se posent sur mon cul, un mec me tire le bras mais Sven intervient.
Sven : Pas touche, c'est le patron de la boite.
Le mec me lâche et je peux remonter.
Je me ressers une coupe pour me remettre de mes émotions, Sven fait signe au serveur de me remettre une bouteille.
Moi : Non Sven ou alors pas tout seul, je conduis.
Sven : Je vais boire avec toi, celle-ci est pour moi. Je suis de repos ce soir donc, je me fais plaisir. Felipe à l'air à l'aise dans le bar.
Moi : Normal pour un fils de restaurateur et garçon de salle.
Sven : Juste, j'avais oublié. Son père a accepté qu'il reste ici au final ?
Moi : Oui et de plus, il gagnera très bien sa vie avec nous. Pourquoi m'avoir présenté comme le patron ?
Sven : J'ai reçu un courrier ce matin du cabinet d'avocat de Stéphane me stipulant que tu étais l'actionnaire majoritaire au bar. Apparemment, Stéphane t'a cédé deux tiers de ses parts donc tu es le patron et nous sommes Marc et moi les gérants. Nous prenons un salaire fixe par mois et gérons les comptes en bon père de famille. Une fois l'année, nous sommes intéressés aux bénéfices mais officiellement le bar ne nous appartient pas, il vous appartient à tous les deux ainsi que le bâtiment et le dépôt.
Moi : J'ignorais tout ça. Attends, j'appelle Stéphane.
Je prends mon portable.
Moi : Chou ?
Stéphane : Oui, qu'est-ce qu'il y a ? Tu rentres quand ?
Moi : Je ne vais pas tarder. Question ? Comment se fait-il que je sois devenu l'actionnaire majoritaire du Bar de Sven ?
Stéphane : C'est purement pour raison fiscale. C'est Francis qui m'a conseillé de le faire, je lui ai dit oui mais je ne savais pas que c'était déjà fait. J'ai oublié de t'en parler.
Moi : Tu en as encore beaucoup à m'apprendre des comme ça ?
Stéphane : Oui, une seule, tu es actionnaire aussi dans la société de jet.
Moi : C'est tout ?
Stéphane : Oui.
Moi : Il va falloir qu'on parle et pas qu'un peu, je rentre !
Je raccroche.
Moi : Sven, excuses-moi mais je n'étais vraiment pas au courant. De toute façon ça ne change pas grand-chose pour vous, je n'interviendrai pas plus que Stéphane dans votre affaire.
Sven : Je t'en remercie.
Moi : Juste une petite chose, tu devrais avoir du champagne rosé à ta carte de boisson.
Sven : Je t'en ferai rentrer pour samedi, promis.
Moi : Pour samedi, personne ne doit savoir que c'est moi qui engage pour le casting photo sinon je ne vais pas avoir la paix.
Sven : Ok.
Nous finissons la bouteille de champagne en discutant de choses et d'autres. Je me lève et vais saluer Marc, embrasser Felipe et surtout payer. Sur le chemin de la porte, j'embrasse Sven devant son homme qui me regarde de travers. Je l'ai fait exprès et je me dirige vers la sortie. Dans le sas vestiaire je suis attrapé par le bras de Désiré qui discutait avec le sorteur.
Désiré : Viens par-là, toi !
Il me pousse contre le mur et me roule une pelle magistrale.
Désiré : J'ai envie de toi, ton cul me rend fou.
Moi : Du calme Désiré, mon cul a déjà bien pris sa dose aujourd'hui.
Désiré : Justement alors ! Il est bien ouvert pour moi. Sens ma queue bien raide, tu vas me sucer et je vais te baiser vite fait.
Il me pousse dans son bureau, fait un clin d'oeil à l'autre sorteur et ferme la porte mais Sven arrive à temps.
Sven : Désiré, du calme avec l'actionnaire de la boite, si tu tiens à ta place.
Désiré : Quoi ?
Sven : Tu as bien compris, laisses-le !
Moi : Ca va Sven, je gère. Merci.
Sven : Comme tu veux.
Il ressort et ferme la porte.
Désiré : Excuses-moi patron.
Moi : Il n'y a pas de mal mais mon cul est à Stéphane et je ne le donne qu'avec son autorisation. Compris ?
Désiré : Ok mais qu'est-ce que je fais de ça moi ?
Il me montre sa bite compressée dans son pantalon, je tâte le paquet qui me fait envie en plus. Je me mets à genoux, déboutonne son pantalon et me prends une gifle par sa queue tendue. Je commence à lui lécher le bout du gland avant de commencer à le sucer lorsqu'il me la rentre direct en fond de gorge avec sa main sur ma tête. Je n'ai même pas un renvoi, rien, alors que d'habitude, un tel engin me ferais vomir pris aussi rapidement.
Désiré : Putain ta gorge est faite pour ma bite, que c'est bon.
Je le repousse pour reprendre ma respiration, j'ai les larmes aux yeux par manque d'air.
Moi : N'oublies pas que je respire. Vas-y doucement.
Je me remis à le sucer et il m'imprima le rythme de ma fellation, y allant à fond de gorge. A chaque fois, j'avais ses couilles qui tapaient sur mon menton. Je n'en reviens toujours pas de pouvoir le sucer comme ça direct dans cette position, que j'ai tout de même corrigé pour avoir plus facile et aligner ma gorge à son engin. Il n'aura fallu que quinze minutes de ce régime pour qu'il arrive à juter sur le sol de grosses trainées blanchâtres. Je me relevais et il me fit un baiser langoureux.
Désiré : Merci, c'était trop bon.
Moi : J'ai adoré et je suis surpris de mes capacités.
Désiré : Il faut dire que tu as insisté cette nuit pour que je continue dans ta gorge.
Moi : C'est peut être ça, bon je file mon mec m'attend et pas un mot compris ?
Désiré : Je serais muet comme une tombe mais j'aimerais me refaire ton cul une fois.
Moi : Je verrais avec mon mec, pourquoi pas.
Je sors discrètement. Il est minuit et il ne reste plus que deux clients apparemment. Marc, Sven et Felipe rangent. Une fois à la maison je monte dans le bureau de mon homme.
Moi : Je suis rentré, je vais me doucher et me coucher.
Stéphane : Tu voulais me parler aussi ?
Moi : Juste une chose, je voudrais bien à l'avenir être au courant de tout ce qui me touche personnellement et surtout au niveau finances. J'ai eu l'air d'un con moi au bar. Si je ne pose pas la question à Sven alors qu'il me présente comme le patron à un client, je ne suis au courant de rien.
Stéphane : Je m'excuse, ça n'arrivera plus.
Moi : Tu me dirais bien pourquoi Francis a voulu changer le statut actionnarial du bar ?
Stéphane : Pour éviter que je ne sois trop taxé et équilibrer le portefeuille d'actions familiales en vue du mariage.
Moi : Ok mais à l'avenir j'aimerais être averti. Tu viens te coucher ?
Stéphane : Oui j'arrive et on va regarder ta vidéo, je vais te mettre ta pommade pour ton dos.
Moi : Ah oui juste.
Je prends une douche vite fait et me couche sur le ventre face à l'écran, il branche l'ordinateur et met la vidéo. Il passe derrière moi et se déshabille. A genoux sur mes fesses, il commence à me masser et je dois dire que ça fait un bien fou. La vidéo me montre couché sur le dos avec le black mamba en fond de gorge, je sens le sexe de mon homme qui durci.
Stéphane : Tu n'as pas mal la gorge aujourd'hui ?
Moi : A vrai dire non, j'ai juste une voix un peu plus grave. Je pense que l'exercice m'a encore plus élargi et je dois dire que j'ai adoré le sucer et qu'il me baise. S'il me le demandait et avec ton accord je ne dirais pas non pour une autre fois.
Stéphane : Si tu le veux et le désire tu as mon accord, mais je veux être là.
Moi : Ok mon coeur.
Le massage est fini mais mon homme reste en position et avec son sexe me frotte le cul, j'écarte un peu les jambes et il comprend que j'ai envie de lui. Ça tombe bien, Désiré n'est pas loin de me pénétrer sur la vidéo.
Stéphane : Tu veux ma queue ?
Moi : Fais-moi l'amour avec tendresse.
Il se retire et écarte mes jambes, il me met un peu de gel et présente sa bite. D'un mouvement, je fais pulser mon anus et il entre doucement jusqu'au fond. Une fois au fond, je serre mon anus pour bien être serré contre son sexe, il apprécie et gémit. Moi aussi d'ailleurs. J'aime sa queue et j'aime quand il me saute. Il m'a fait l'amour pendant le reste de la vidéo avec des mouvements long et doux tout en me posant des petit bisous dans le cou en me disant des " je t'aime " et au moment où Désiré rempli sa capote dans mon cul sur la vidéo, Stéphane m'inonde le cul. Il se retire, me retourne, il se met du gel et son cul vient s'empaler sur ma bite en douceur.
Stéphane : Je te veux en moi, il y a longtemps que j'en ai envie.
Moi : Vas-y mon coeur, fais-toi plaisir sur ma queue, elle est là pour toi.
Sur la vidéo, on voit Felipe qui, à son tour, se fait prendre par Désiré. Je dois tirer la tête en arrière pour voir quelque chose ce qui me fait mal. Je décide de changer de position et je prends mon homme couché sur le ventre. Il gémit sous mes doux coups de rein. Effectivement, Désiré se finit vite sur Felipe et on peut voir que ce dernier n'est pas ravi. On les voit regarder l'écran comme nous sommes en train de le faire. Désiré rebande mais nous voyons Felipe sortir de la pièce.
Moi : A mon avis c'est quand nous avons été dans la chambre.
Stéphane : Oui il n'était pas content.
Il revient dans la chambre et se met à sucer Désiré, celui-ci, une fois bien dur, mets une capote et prend Felipe debout contre le mur. Celui-ci hurle qu'il a mal mais Désiré le traite de pute et qu'une pute sa couine et ne hurle pas. Deux minutes après plus moins Felipe gémissait comme une folle. Désiré le retourne, lui prend les jambes dans ses bras et collé contre le mur, il le sodomise à fond avec de grand coup de butoir. Felipe accroche alors ses mains au cou de Désiré et il lui roule une pelle monstre. Il le pilonne comme ça dix minutes ensuite il le couche dos au lit, tête en arrière et avec la capote, il lui bourre la gueule jusqu'à jouir bien au fond de celle-ci. Au même moment je féconde mon homme. Je m'écroule sur lui et, en lui tournant la tête, lui fait un baiser. Nous voyons alors Désiré se retirer de la bouche de Felipe qui est à bout de souffle. Désiré regarde la capote, elle est bien remplie et n'a pas craqué.
Désiré : Putain tu es aussi bon que Pat mais j'ai un faible pour lui.
Felipe : Normal, c'est mon frère.
J'ai les larmes qui me montent aux yeux, Stéphane s'en doute et me dégage de son cul pour me prendre dans ses bras. Je pleure légèrement. Je suis ému, cette marque d'affection naturelle de Felipe me retourne. Mon homme me console et éteint l'ordi avec la télécommande. Il me replace dans le lit et je m'endors dans ses bras.
Pattlg
Autres histoires de l'auteur : Domination par Stéphane mon futur mari