Domination par Stéphane mon futur mari

58 - Le drame 3

Mardi matin après le déjeuner, j'ai laissé ma voiture à Désiré. Il devait conduire Jona et Felipe ou il le désire. Mon homme m'a accompagné au bureau en moto. C'est con mais j'aime de plus en plus ce moyen de locomotion. Ma journée a été longue, avec Sylvain nous avons avancé sur notre travail et pratiquement tous les contrats signés sont en phase finale. Sven est passé me voir aussi. Le petit voulant tout vendre et ne rien garder comme souvenir de ses parents, il m'a demandé de parler avec le petit sachant que j'aurais une meilleure oreille que tous les autres. Il avait prévenu Stéphane et celui-ci était d'accord. A 16h30 mon homme est venu me chercher et nous sommes allés directement au funérarium. Le petit y était déjà toujours blotti dans les bras protecteurs et amoureux de Felipe. Dimitri et son père sont passés. Jona, de voir Dimitri, s'est alors écarté pour parler avec celui-ci. Je ne sais pas ce qu'ils se sont dits mais Dimitri avait le sourire quand ils sont revenus. Notre tenue à Stéphane et à moi déteignait un peu par rapport à la circonstance. Nous sommes rentrés avant tout le monde et avons pris une douche.
Stéphane : J'ai envie de toi, suces-moi !
Je me suis mis à genoux et j'ai commencé à le sucer. Il m'a pris la tête dans ses mains et au bout de deux minutes il me pilonnait la bouche.
Stéphane : Que ta gorge est bonne ma petite femme, oui vas-y, pompes moi !
Je ne sais pas combien de temps il m'a limé la bouche mais au moment de jouir, il m'a plaqué contre le mur de la douche et s'est enfoncer à stock pour m'envoyer son sperme direct dans l'estomac.
Stéphane : Ah oui tu m'as vidé.
Il voulut me branler mais quand il a vu que je ne bandais pas :
Stéphane : Il y a un problème ?
Moi : Aucun mais je n'ai pas envie pour le moment. Je veux juste te satisfaire en bon soumis.
Stéphane : Il faut que tu prennes du plaisir !
Moi : Oui mon homme.
Il s'est mis à genoux et m'a sucé avec avidité, on aurait dit que sa vie en dépendait. Evidemment j'ai bandé et j'ai fini par jouir.
Moi : Merci mon homme.
Stéphane : Il faut que tu te reprennes, ton moral est important pour moi !
Moi : Ça ira après jeudi.
Nous sommes sortis de la douche. J'ai mis une tenue de soirée assez sexy. En sortant de la chambre, je suis passé par celle de Felipe voir ou ils en sont et, surprise, Felipe faisait l'amour à Jona couché sur le ventre les jambes écartées. Le petit gémissait comme une folle. Felipe me voit.
Felipe : Tu veux te joindre à nous ?
Moi : Non frérot, je te laisse avec ton mec en amoureux.
Jona : Merci maître.
Stéphane arriva derrière moi.
Stéphane : Ah oui d'accord !
Moi : Laisse les mon coeur, c'est qu'ils en ont besoin.
La soirée fut calme et le repas copieux mais j'avais faim.
Mercredi, j'ai passé ma journée au garage. Nous avons pris la voiture de Stéphane. J'ai livré sa voiture à Dimitri, tout content. J'ai eu une conversation avec lui. Je voulais savoir comment évoluait la situation via Jona et Felipe.
Dimitri : Jona et Felipe font un beau couple. Pour ma part j'espère juste que je pourrais toujours profiter de vous, mes maîtres.
Moi : Aucun souci avec ça Dimitri. Comme pour Jona, nous serons toujours là pour toi. Mais il va falloir te trouver un mec et un bon.
Dimitri : Merci maître mais pour l'instant je vous ai vous et Jona m'a dit qu'il me ferait toujours l'amour. Actif comme passif. Maître j'ai envie de vous et j'ai été sage, mes notes sont remontée. J'ai l'autorisation de mon père.
Moi : Attends.
Je prends le téléphone et appelle Stéphane.
Moi : Chou, j'ai Dimitri ici. Il est en manque.
Stéphane : Montez dans mon bureau, il y a un vendeur en bas ?
Moi : Oui.
Stéphane : Montez !
Nous sommes sortis pour aller dans le bureau de mon homme mais j'ai été intercepté par une cliente.
Moi : Dimitri, montes au premier, c'est la porte du fond.
Dimitri : Oui ma... Pat.
Ce petit con a failli commettre un impair. La cliente m'a tenu facilement une heure mais au final je lui ai vendu un cabriolet sport full option. Ça valait la peine. Au moment où j'ai voulu aller dans le bureau de mon homme, celui-ci est sorti avec Dimitri tout sourire.
Stéphane : Voilà c'est fait. J'ai éteint le feu.
Moi : Dommage, j'en aurais bien profité. Tiens un bon de commande signé.
Stéphane : Encore ? Arrêtes ! Je ne vais plus suivre au niveau des livraisons.
Moi : C'est malin ça ! Un responsable vente qui dit à son meilleur vendeur de ne plus vendre.
Nous rigolons un coup.
Dimitri : Si vous voulez maître, je peux passer chez vous ce soir et satisfaire votre envie.
Stéphane : Oui tu as besoin de te changer les idées. Je te ramènerais à la maison et j'irais seul au funérarium. Je t'excuserais. Mais pas un mot à personnes et à 19h30 Dimitri tu devras être parti. Et vide lui bien les couilles.
Dimitri : Oui maître et merci maître.
La journée s'est terminée et Stéphane m'a ramené à la maison. Dimitri était déjà là. Rose lui a servi un jus de fruits.
Moi : Bonsoir Rose.
Rose : Bonsoir Pat, tu n'es pas au funérarium ?
Moi : Non. Stéphane dit que ça me mine trop le moral. Et puis il faut que je fasse réviser Dimitri ici pour sa nouvelle voiture. Nous serons dans le bureau que l'on ne nous dérange pas.
Rose : Ok. Tu veux boire quelque chose ?
Moi : Oui, un vin blanc merci.
Elle me donne un verre de vin blanc et nous montons dans le bureau. Une fois la porte fermée, Dimitri m'a fait un striptease avant de me mettre à nu. Je dois dire qu'il sait y faire pour me faire bander. Je me suis installé dans le divan du bureau et il est venu à quatre pattes me tailler la pipe de sa vie. Il m'a pris en fond de gorge, il a tourné sa langue sur mon gland et m'a léché les couilles. Une vraie chienne en chaleur. J'ai dû le retenir pour ne pas jouir. J'ai voulu entreprendre de lui préparer le cul mais quand j'ai vu qu'il se l'était préparé et plugé, j'ai vu rouge. Je déteste ça. Je lui ai flanqué une fessée bien sentie.
Moi : Tu n'es qu'une pute. J'ai horreur qu'un esclave se permette de préparer son trou sans l'autorisation de son maître.
Dimitri : Pardon maître.
Moi : Après le passage de Stéphane tu n'avais pas besoin de préparation ! Ça mérite une punition.
Je l'ai pris sur mes genoux et je lui ai flanqué une dizaine de fessées bien senties les unes des autres. Il a pleuré mais rien n'y a fait. J'ai retiré son plug sans aucune douceur ce qui lui a fait mettre ses mains aux fesses.
Dimitri : Pardon maître, je vous demande pardon.
Je l'ai attrapé et je l'ai plié en deux sur le bureau.
Moi : Une pute, ça ne se baise pas, ça se tringle.
Je l'ai pénétré avec force et je l'ai tringlé de toutes mes forces. Il a gémit et couiné comme une vraie chienne en chaleur. Je lui ai ruiné le cul avant de le retourner, de le foutre à genoux et lui faire bouffer mon sexe bien profond.
Moi : Avales, sale pute ! Régales-toi !
Et je lui ai rempli la bouche de mon sperme. Il a tout avalé en me regardant droit dans les yeux. Il était ivre de bonheur.
Moi : Nettoies la queue de ton maître !
Il s'est exécuté. Après nous sommes passés discrètement dans ma salle de bain. Je me suis douché avec lui. J'avais envie de pisser, je l'ai foutu à genoux sous le jet.
Moi : Ouvres la bouche et tire la langue esclave !
Une fois la position adoptée, j'ai commencé à lui pisser dessus. Il a voulu se retirer mais quand il a vu mon regard, il n'a pas bougé.
Moi : C'est bien good boy, avales ! Tu verras, ce n'est pas mauvais.
Il n'a pas osé à mon avis par dégoût. Je l'ai savonné et rincé.
Moi : Maintenant je t'autorise à jouir esclave.
Il a commencé à se branler, son dos contre mon torse. Il s'est cambré aussi ce qui fait que ma bite était au creux de ses fesses. Evidemment j'ai recommencé à bander. Il l'a senti et s'est pénétré tout seul.
Dimitri : Faites-moi l'amour maître.
Je l'ai poussé contre le mur et je l'ai baisé avec tendresse tout en le branlant.
Dimitri : Oui c'est bon maître même très bon.
Il n'a pas tenu longtemps et m'a jouis dans la main. Avec ses contractions anales, je l'ai rempli une deuxième fois. Je lui ai fait lécher son sperme et il m'a sucé les doigts comme une salope en manque d'affection. Je ne l'ai jamais vu comme ça. Nous sommes sortis et après un séchage mutuel, il s'est rhabillé. Je l'ai reconduit jusqu'à la porte d'entrée. Je lui ai roulé un patin.
Dimitri : Merci pour ce délicieux moment maître, je vous aime.
Moi : On t'aime Dimitri.
Il venait à peine de partir que Désiré ma ramena Jona, seul.
Moi : Où est Felipe ?
Jona : Il revient avec Stéphane, ils devaient discuter ensemble, maître.
Moi : Ok. Jona viens avec moi, il faut qu'on parle aussi.
Je l'ai emmené dans la cuisine et je lui ai servi un verre de vin blanc et un pour moi aussi. Je l'ai fait s'assoir dans le salon et je me suis mis à genoux devant lui. Il avait les yeux qui regardaient le sol. J'ai pris sa tête dans mes mains et je lui ai roulé un patin très affectif. Il en a lâché une larme.
Moi : Jona, regardes-moi s'il te plaît. Sven m'a dit que tu ne voulais rien garder de tes parents ? Est-ce que tu es bien sûr de cette décision ?
Jona : Je ne veux rien garder sauf les albums photos et les bijoux de mes parents. Ils peuvent donner tout le reste à des oeuvres et revendre tout le reste. Même leur chalet en Autriche, je n'en veux pas ! Trop de souvenirs, des bons mais aussi de très mauvais.
Moi : Aimais-tu tes parents ?
Jona : Oui, malgré qu'ils m'ont beaucoup fait souffrir. Ils étaient trop jeunes pour partir.
Moi : Je vais parler à Sven et lui faire part de tes décisions mais s'il te plaît, réfléchi encore un peu, tu as le temps. Fais-moi plaisir.
Jona : Oui maître. Maître pourriez-vous me faire l'amour cette nuit ? J'ai besoin de la tendresse de tout le monde.
Moi : Oui je te ferais l'amour, toute la nuit si tu le veux. Mais il faudra être en forme et courageux demain Jona.
Jona : Je vous veux près de moi demain. Protégez-moi maître.
Je le prends dans mes bras et le serre fort contre moi quand Felipe et mon homme rentrent.
Felipe : Ca va vous deux ?
Moi : Il fallait que je discute avec le petit, à la demande de Sven.
Felipe : Je suis au courant et nous de notre côté nous avons discuté aussi.
Moi : Vous avez réussi à vous entendre ?
Stéphane : Oui, nous allons garder la situation telle qu'elle. Felipe vis avec nous et s'il a envie de découcher chez Jona, c'est son droit. Ils doivent se laisser du temps.
Stéphane : Jona tu viendras avec nous en vacances pendant trois semaines en juillet à l'île Maurice.
Jona : Je n'ai pas les moyens de partir en vacances maître, il y a le club aussi, je ne sais pas si j'ai droit à des congés.
Moi : Jona on ne te demande pas de payer quoi que ce soit, de toute façon c'était prévu ainsi. Et pour le club n'oublies pas qui est le patron.
Jona : Oui maître, mais vous me gâtez de trop.
Il se refout à pleurer et Felipe le prend dans ses bras pour le consoler.
Stéphane : Qu'est-ce qu'il est émotif.
Moi : Je voudrais bien t'y voir moi ! Entre le décès de ses parents, nous cinq, les ordres qu'il reçoit, Dimitri, les cadeaux, les punitions et j'en passe.... Ca tête doit ressembler à un gruyère et ses nerfs sont à bout. Les miens aussi d'ailleurs.
J'embarque discrètement mon homme dans la cuisine et je nous sers un apéro, le repas de Rose est prêt, elle attend gentiment pour nous servir.
Moi : Chou, tu n'aurais pas un petit cachet pour me faire bander ?
Stéphane : Pourquoi ?
Moi : Dimitri m'a vidé et Jona voudrait que je lui fasse l'amour ce soir. J'ai un peu peur de ne pas y arriver.
Stéphane : Je comprends mieux le SMS de Dimitri.
Moi : Il t'a envoyé un SMS ?
Stéphane : Oui. Un mission accomplie maître. Je n'avais pas tout compris.
Moi : C'est une petite pute en manque, accro à ma bite, il m'a tiré jusqu'à ma dernière goutte.
Stéphane : Tiens prend trois gouttes dans ton verre. Dans une heure tu seras dans une forme olympique. Je vais en prendre aussi, je vais me faire Felipe pour bien lui montrer qu'il nous appartient encore.
Moi : Ah c'est pour ça, le Felipe vis ici ! Je comprends mieux aussi.
Stéphane : Vos culs sont à moi, ne l'oubliez pas ! Vous m'appartenez tous les deux, je dirais même tous les trois.
Nous sommes passés à table à 20h30. J'ai dit à Rose que je ferais la vaisselle pour qu'elle puisse retrouver son mari. Je me suis couché après une douche vers 23h00 et Jona est venu me rejoindre. Il m'a sucé avec une douceur et je dirais même, amoureusement. Je lui ai roulé plusieurs patins aussi. Je bandais comme un âne. Je l'ai positionné sur le ventre et je lui ai préparé le trou avec ma langue ce qui l'a fait gémir comme jamais. Ensuite je l'ai pénétré en douceur. Je lui ai fait l'amour une bonne heure dans cette position. Il a eu un orgasme anal et a joui dans les draps. J'ai continué à le limer un instant avant à mon tour de le féconder. Je l'ai mis sur le côté et j'ai essuyé le lit. Il m'a nettoyé ma queue et est parti à la toilette. Il est venu ensuite se blottir dans mes bras et comme je bandais encore :
Moi : Je t'offre ma queue pour la nuit, empales-toi dessus, tu verras c'est très bon comme sensation.
Il s'est empalé sur moi et il s'est endormi direct avec un :
Jona : Je t'aime Pat.
Moi : Moi aussi Jona, je t'aime.