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L'hétéro de ses dames
Les jours qui suivirent ma première pipe, j'ai commencé à faire mon coming-out à mes potes. Sans forcément parler de Florian pour ne pas le mettre dans l'embarras. Ils étaient tous compréhensifs, certains plus que d'autres. Notamment Laurent. Un jour, pendant la récréation, il est venu vers moi et m'a soufflé :
- T'avais raison, c'est bien plus doux comme ça !
- Hein ? De quoi tu parles ?
- Bah de se raser les couilles !
Je sens alors une ouverture. Avec lui, l'hétéro de ses dames. Le mec qui se vante de coucher avec n'importe quelle fille. C'est vrai qu'il était plutôt beau gosse. Brun, pas très grand, un sourire à tomber et bien sûr, tout en muscle. Mais vraiment. Des muscles naturels et pas issus de gonflette. Je me rappelle l'avoir maté dans les vestiaires en sport. Mais à l'époque, je ne considérais pas les choses sous un angle sexuel. Plus un côté voyeur instinctif. Mais là, j'étais troublé que ce mec vienne me dire qu'il s'était raser les couilles après que je fasse mon coming-out. Et je sautais alors sur l'occasion :
- Ah ouais ? Fais voir, dis-je simplement en tendant la main vers son pantalon.
Et loin de se dégonfler, il ouvrit sa braguette et tira son pantalon pour me laisser libre accès. Je sentis du défi dans son regard, et à mon tour j'osais aller jusqu'au bout. J'enfournai ma main dans son boxer et caressais ses testicules. Ils étaient lourds, chauds et vraiment doux.
- Pas mal effectivement !
La sonnerie retentit et chacun repartit dans sa classe. Avant qu'il disparaisse de ma vue, je lui fis un clin d'oeil lourd de sous-entendu, puis je me léchai la lèvre supérieure de manière ostensible. Il sourit, et je sus qu'une nouvelle bite me serait bientôt disponible.
Quelques jours plus tard, un midi, alors que mes potes et moi nous dirigions vers un parking, où nous avions l'habitude de manger, je croisai Laurent. Mes potes continuèrent leur chemin sachant très bien que j'allais les rejoindre.
- Vous allez où ?
- On va dans le parking du Bricorama là.
- Pourquoi faire ? Me demanda-t-il dubitatif, et peut-être même en émettant dans son
intonation une connotation sexuelle.
- Bah on aime bien se poser là bas. Personne nous emmerde, il fait frais (nous étions l'été) et
puis il fait tout noir là où se met. Ça pose une ambiance cool. On se parle mais on se voit pas. Tu devrais venir, il y a juste la lumière de nos clopes.
Il regarda à droite, à gauche, puis il me poussa contre le mur et s'appuya contre moi. Il me fixait. Le visage proche du mien, comme s'il attendait un signal de ma part. Je ne voyais pas où il voulait en venir et alors il posa ses lèvres sur les miennes et força sa langue dans ma bouche. J'étais stupéfait et me laissait faire. Il enfonça sa langue au fond de ma bouche, me lécha la langue, mordilla légèrement ma lèvre inférieure puis se retira. Son baiser m'avait provoqué une énorme érection. Et comme s'il voulait vérifier l'effet de son acte, il tendit sa main et tâta mon paquet bien dur. Il sourit.
- C'était donc vrai, tu es bien un pédé !
- Tu en doutais ?
- Tu dis tellement de conneries que parfois on ne sait pas si tu te fous de notre gueule ou pas...
- Bah là tu sais que c'est vrai. Pourquoi ? T'es intéressé par mes services ?
Il prit un peu de distance, s'alluma une clope et ajouta doucement :
- Peut-être... On va dans le parking ?
Une fois que nous avons rejoint mes potes, qui n'appréciaient guère la présence de Laurent, qu'ils trouvaient lourd, les choses ont repris leur cours, comme d'habitude. On parlait de films, de musiques, etc.
- Quelqu'un met un peu de son là ? Demanda Florian.
- Ouais, attends je vais te faire écouter un truc bien Rock, s'empressa de dire Laurent.
Il cherchait constamment à se faire accepter dans mon groupe de potes. Il mit alors une musique d'un groupe de Rock plutôt sympa sur son portable en vantant les mérites des lignes de basses et autres détails musicaux pour montrer qu'il s'y connaissait. Comme il était à côté de moi et que nous étions dans le noir complet, outre nos foyer de cigarettes, je décidais de jouer discrètement avec Laurent. Pendant qu'on parlait tous ensemble, je tendis ma main vers l'entrejambe de Laurent et commençais à lui caresser le paquet. Les autres ne se doutait de rien, et lui jouait le jeu.
Doucement je l'entendis ouvrir sa braguette et alors je pu continuer mon exploration. J'essayais de ne pas faire de bruit et de continuer à parler comme si de rien n'était. Alors que j'étais à côté de trois potes, j'avais la main sur le boxer de Laurent. Je pouvais sentir la chaleur de sa queue à travers. Je la frottais lentement pour la sentir prendre du volume. La mienne était déjà bien dure. J'aventurais alors mes doigts plus bas pour atteindre ses bourses rasées. Il était excité et j'adorais le sentiment de pouvoir que je ressentais. J'avais la capacité de contrôler l'excitation. Et ça me plaisait. Malheureusement, il était bientôt l'heure de rentrer en cours. Et dans ce lycée, il n'était pas question d'être en retard...
Une fois sorti du parking, Laurent me parlait comme pour que l'on soit en retrait des autres qui se pressaient pour rentrer. Suffisamment éloignés d'eux pour qu'ils n'entendent pas il me dit :
- Mec, tu m'as grave fait bander ! Tu veux pas me terminer là ?
- Mais on va être à la bourre là ! En plus là j'ai monsieur Sardi donc je vais me faire
défoncer...
- T'es une grande gueule en fait ! Tu me chauffes et après tu arrêtes tout.
On s'approchait du lycée et mes potes commençaient déjà à rentrer.
- Bon écoute, tu me rejoins dans les chiottes en bas de notre bâtiment dans une heure. Vu qu'on a deux heures de cours, le prof fera bien une pause.
Il me fit à sourire à tomber par terre : - Cool ! À tout à l'heure alors.
Pendant le cours, j'étais ailleurs. Je bandais constamment, et me projetais dans ce qui allait se passer. J'étais chaud et pourtant stressé. Au bout d'une heure, le prof n'était pas décidé à faire une pause.
- Monsieur, dis-je en levant la main, est-ce que je peux aller aux toilettes s'il vous plaît ?
Il accepta et alors je partis rejoindre Laurent. Une fois dans les toilettes je fus rassuré de ne voir personne. Juste une cabine fermée au fond. Je reçu alors un texto " Cabine du fond, c'est ouvert ". Ma bite me faisait mal depuis le temps que je bandais, et d'autant plus avec ce texto. Je poussai la porte de la cabine et vit Laurent qui m'attendait debout, le portable dans la main. Il regardait une vidéo de cul.
- Alors tu me montres ton talent ?
En baissant les yeux, je vis que les boutons étaient ouverts et qu'une grosse barre déformait son pantalon. Je me mis à genou devant lui pendant qu'il rangeait son téléphone. Il baissa son Jean's et je me retrouvai alors le visage en face de son boxer. Mon dieu, que sa bite me semblait grosse. Je ne m'en était pas rendu compte lors de mes explorations manuelles. Il mit sa main derrière ma tête et colla mon visage contre sa bite. Il se frottait contre moi. Puis il baissa son boxer et sa bite jaillit avec force contre ma joue. Elle devait faire au moins 19cm et était aussi large que celle de Florian.
- Désolé, elle doit sentir le savon.
J'ai pas bien compris cette phrase. Sur le coup, je me suis dis tant mieux. Mais le moment n'était pas
à la réflexion. J'avais peu de temps pour faire mon office.
- Allez, suce moi salope, chuchota-t-il en m'enfonçant son barreau de chair dans la bouche. Oui, c'est ça. Comme ça. Hum, tu sais y faire toi. Hum allez continue.
Je m'appliquais à aspirer son gros gland, à lui lécher. Je le branlais avec ma bouche, le décalottant avec mes lèvres. Il respirait fort.
- Ouais, c'est bon. Je vais pas tarder là. Suce, vas-y suce ma grosse bite. Tu l'aimes hein ? Tu veux son foutre chaud hein ?
Il gémit et enfonça sa bite profondément dans ma bouche en explosant tout son sperme. Comme avec Florian, je lui montrai son jus dans ma bouche avant de l'avaler. Il sourit à nouveau.
Qu'est-ce que son foutre était bon... Je crois encore aujourd'hui que je n'ai jamais trouver un sperme aussi bon...
La pipe finit, il se rhabilla et sortit. Ça n'avait pas duré plus de deux minutes. Quel rapide. Tant mieux vis à vis du prof, mais j'aurai aimé que ça dure plus longtemps... Je me suis branlé en même pas trente secondes et sorti à mon tour.
En cours je reçu alors un texto " Vivement la prochaine fois ! ".
Grumpyandro
grumpyandro@laposte.net
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