Je prends la plume pour la première fois et à mon tour je vous écris.
J'habite un immeuble de trois étages et quelques beaux mecs y habitent ou y ont habité. J'ai remplacé un mec une vraie bombe, mais nous n'avons jamais rien fait. Cet été, un jeune couple est venu habiter dans l'immeuble, un jeune beur très bien foutu muscle viril et poilu et sa femme une jolie brune bien gaulée (et oui je regarde aussi). Quelques jours plus tard je les ai croisés en mariés dans le hall de l'immeuble, elle, magnifique, et lui sublime look mal rasé, mais barbe entretenue.
Je les ai félicités et j'ai envié la mariée de l'avoir dans son lit.
Depuis quelques jours je le croise le matin dans l'ascenseur, en jogging moulant et basket, sûrement un prof de sport ou un entraîneur... Je ne peux m'empêcher de le mater c'est plus fort que moi. Un matin nous étions plusieurs dans, l'ascenseur et j'étais collé contre lui mes fesses contre son sexe. J'ai bien senti une chose dure qui promettait un beau paquet, j'étais tétanisé de trouille, gêné, honteux je n'osais pas bouger. Le voisin est sorti, moi aussi, il m'a souri et souhaité une bonne journée, je voyais son jogging tendu.
J'attendais le lendemain, avec impatience, pour le revoir, savoir s'il allait donner une suite, se frotter encore à moi. Mais le lendemain je n'ai croisé personne, et comme cela pendant une semaine. J'avais fini par cesser d'y penser quand un nouveau matin il était là dans l'ascenseur, il m'a salué, j'entendais sa voix pour la première fois. Je craque sur les voix de mec quand elles sont viriles, fortes ce qui était tout à fait le cas. Instinctivement, mes yeux se portaient sur son entrejambe. Ce n'était pas le jogging de la dernière fois, mais un short moulant de sport, je devinais le joggeur prêt à courir. Il avait des jambes musclées, épaisses et bien fournies niveau pilosité tout ce qui me fait bander.
Il a surpris et suivi mon regard et je le voyais sourire, des dents bien blanches de mec sûr de son charme. Je me suis approché et j'ai posé la main sur son paquet, tant pis si je me prenais une tarte dans la face. En fait rien n'est venu il m'a chopé la nuque et la direct dans l'ascenseur il m'a embrassé. Une pelle d'enfer de mec bien chaud qui savait se servir de sa langue et ma bouche était vite envahie et retournée, je répondais à son bisou et nous étions deux à nous palucher la bouche.
Ses mains caressaient l'intérieur de mon tee-shirt, je sentais mon ventre frémir, ma queue durcir et je sentais aussi la sienne bien dure, prête à l'emploi. J'ai murmuré à son oreille viens on va chez moi, et il m'a suivi sans rien dire de plus, déjà animal en chasse qui a trouvé sa proie. Dans le hall déjà il virait mon tee-shirt, déboutonnant mon jean, j'allais vite finir a poil ds le hall si on ne rentrait pas vite chez moi. La porte à peine fermée je me trouvais vite nu dans ses bras et j'entreprenais aussi de le foutre a poil, tout allait très vite tellement l'un comme l'autre nous avions faim de nous.
Je m'agenouillais et je pris en bouche son phallus tendu à mort, le gland rouge bien décalotté, la verge monstrueuse de vigueur et de dureté. Je ne savais pas la taille, mais j'allais prendre cher c'était sur. Il forçait ma gorge cherchant à être au fond entier, j'avais des hauts le coeur, ça le faisait rire et il poussait encore plus loin.
Tu la voulais me dit-il, eh bien tu l'as assume maintenant...
YvesChalons51
philippeg2@wanadoo.fr
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