Nouvelle histoire qui m'est venu en tête un matin. J'espère que vous allez apprécier ! L'histoire se passe dans un camp militaire. Je ne connais pas du tout le milieu. Je tiens donc à m'excuser si je suis un peu trop caricaturale.
On est en pleine journée, le soleil tape dans un ciel bleu sans aucune trace de nuage. Heureusement pour nous, un vent souffle assez souvent pour nous rafraîchir un minimum.
- Stop ! Allez tous boire, reprise dans cinq minutes.
- Chef, oui chef ! Nous scandons tous en coeur.
Le major nous autorise enfin à reprendre notre souffle après une heure à courir. On se dirige tous vers la fontaine pour se désaltérer. Tout le monde bois pour éviter de se déshydrater et on se mouille intégralement le visage et le torse. Les quelques parcelles de t-shirt de chacun n'ayant pas encore été trempées par la sueur le sont maintenant avec de l'eau. Je peux enfin admirer les tablettes de chocolats de chacun de mes collègues imprimées dans leur t-shirt. Certain vont même à enlever leur haut pour se rafraîchir un maximum. C'est encore meilleur à regarder. Des peaux blanches, noir, métisse. Il y a vraiment de toutes les couleurs pour ravir mes yeux. Tous plus musclé les uns que les autres.
- Les cinq minutes sont passé. Bougez vous l'cul les faignasse ! Hurle-t-il.
- Chef, oui chef !
On se remet tous à courir non sans lâcher quelques mots en râlant.
- Je veux rien entendre à part vos souffles ! J'ai pu tester un moyen pour vous dissuader de ralentir avec d'autre brigade. Le premier à ralentir viendra me sucer pendant que les autres continue à courir. Je peux vous dire que ça fonctionne à merveille. Surtout sur le premier qui pense que ce sont des paroles en l'air.
- Chef, oui chef !
Tout le monde se met à courir sans un bruit. Sa menace me tente bien. Je commence donc à dévisager le major. C'est vrais qu'il est pas trop mal. Environ 45-50 ans, mais bien foutu. Faut dire qu'il s'entretient bien, devoir nous entraîner n'est pas de tout repos. Il est du genre à nous montrer l'exemple au lieu de seulement nous gueuler dessus. Il a les cheveux poivre et sel, court comme tout militaire. Il a une carrure assez imposante. Par contre impossible d'imaginer ce qu'il a entre les jambes, sa tenu ne permet de rien laisser apparaître. Vu ce que j'ai déjà pu voir sous les douches, même bien membré on ne peut rien voir.
- Soldat Ethan, premier avertissement. Le prochain c'est à genoux devant moi !
- Chef, oui chef !
Merde, à force de le reluquer j'ai baissé mon rythme. Tout le monde me regarde l'air de me dire "mais tu fous quoi mec ?". Personne ne sait encore que j'aime les bites. Même si j'ai bien envie de me faire le major, il ne faudrait pas que je le montre trop facilement. Au bout de quinze minutes je fais semblant de commencer à être trop essoufflé et ralenti. Forcément ça n'échappe pas aux yeux du majors.
- Soldat Ethan ! A genoux devant moi !
- Chef, oui chef.
Je me dirige tranquillement vers le major afin de reprendre un minimum mon souffle et m'agenouille devant lui.
- Que tout le monde regarde bien comment je vais bien utiliser la bouche de votre collègue. Ça vous servira de leçon.
- Chef, oui chef.
- Enlève ton t-shirt.
Je m'exécute pendant qu'il est en train de déboutonner son pantalon pour sortir sa queue. Elle est là devant moi, bien pendante. Il a déjà une demi molle, savoir que j'allais venir le sucer l'excite un peu. Il a une bonne grosse paire de couille bien basse comme je les aimes. Je commence par les lui malaxer et le décalotter. J'approche ma bouche de son gland et profiter pour humer son odeur. Il sent assez fort d'être avec nous aux soleil. Mais j'aime ça, l'odeur de la sueur m'excite quand elle n'est pas trop forte. En même temps ça fait croire aux autres que je suis hésitant à sucer le major. Je fini par rentrer son gland dans ma bouche et aspire sa verge. Je joue avec ma langue sur son gland pour obtenir l'effet escompté. Il gonfle à vue d'oeil, je le sens remplir de plus en plus ma bouche. Il commence même à gémir de plaisir, je pensais qu'il n'aurait rien laisser paraître. Putain, mais elle est énorme ! Il bande maintenant comme un cheval et j'arrive à peine à sucer son gland et une infime partie de sa verge. S'il prend le contrôle il va me déboîter la mâchoire. Il se retire de lui même de ma bouche et me pousse légèrement.
- Venez tous devant moi. Vous allez regarder attentivement comment je vais baiser la bouche de votre collègue. Regarder la taille de ma queue. Maintenant vous avez compris pourquoi ma méthode de dissuasion est efficace.
Maintenant que tous les collègues sont derrière moi, il me fixe des yeux. Sans un mot je me suis mit à le sucer. Je prends uniquement son gland en bouche pour pouvoir jouer avec ma langue. Je la tourne tout autour comme si je voulais le nettoyer à fond. A entendre ses gémissement il adore ça. Il m'attrape la tête et m'oblige à coulisser ma bouche sur sa bite. Il force jusqu'à ce que j'arrive à la moitié, mais ça bloque. Mon réflexe de déglutitions m'oblige à me retirer pour que je puisse tousser et cracher. Sans ménagement il me rattrape la tête et m'enfonce à nouveau son énorme mandrin. Il y va avec plus de précaution cette fois-ci. Après plusieurs allez venu j'arrive à prendre de plus en plus sa queue. Je commence à avoir mal à la mâchoire tellement il force, mais je ne peux rien dire. Je suis au ange de pouvoir sucer une bite pareille. J'arrive enfin à le prendre en entier. J'ai l'impression qu'il s'est enfoncé jusqu'au milieu de mon oesophage. Le nez collé contre ses poils, je peux sentir à plein poumon son odeur de mâle. Je n'arrive pas à me retenir de gémir.
- J'en étais sur. T'as une bonne bouche de salope et tu aime ça en plus. Me dit-il tout en me bloquant la tête dans son entrejambe.
- Brigade ! Vous avez de la chance. Vous avez parmis vous une bonne salope qui aime la queue. Je paris que vous allez pouvoir en profiter. Vous allez pouvoir être moins tendu, autant dans votre slip que psychologiquement.
Il lâche enfin son emprise et je m'empresse de cracher toute la salive que j'ai en excédent. J'essuie aussi les larmes qui coulent de mes yeux suite à la douleur de tenir un engin pareil dans ma gorge. Maintenant que tout le monde sait, je n'ai plus besoin de faire semblant. Je reprends mon travail en léchant les couilles du major et les aspirant une à une. Pendant que je les tire et les malaxe un peu. Je remonte le long de sa queue tout en la léchant pour reprendre son gland dans ma bouche. Je commence à bien le sucer de nouveau en prenant de plus en plus profond tout en me branlant un peu. Faut dire que je peux continuer a branler une bonne partie de sa queue pendant que j'en suce une autre partie. Il ne tient pas longtemps et reprend le contrôle de la situation. Il me baise littéralement la bouche, sa queue me déboîte la mâchoire. Je ne suis qu'un trou pour lui, il me lime la gueule comme pas possible. Je le sens se durcire encore plus et sa queue pulser. Je commence à sentir deux jet de sperme me remplir au fond de la gorge avant qu'il ne sorte de ma bouche. Il lâche encore cinq six énorme jet de sperme qui atterrisse sur mon visage et mon torse. Je suis recouvert littéralement de son foutre. Je lèche ce qui est autour de mes lèvres pour me délecter de ce goût unique.
- Putain j'ai jamais été aussi bien sucé. Maintenant que tout le monde se remette à courir. Ethan tu as interdiction d'enlever mon sperme. Je veux qu'il sèche sur toi pour que ça rappelle à tout le monde ce qu'il va lui arriver s'il me désobéit.
- Chef, oui chef. Dis-je avec une pointe de regret de ne pas pouvoir avaler tout ce précieux nectar.
On se remet tous à courir. Moi dégageant la forte odeur du sperme du major. Odeur que chacun de mes collègues peut sentir dès qu'ils passent proche de moi. Je me masse la mâchoire afin d'atténuer la douleur. Courir n'arrange rien, mais vu comment j'ai prit cher je ne peux pas remettre le couvert tout de suite. Vu comment ils se mettent tous à me fixer avec leur regard noir rempli de désir bestial. Je sens que je vais enfin commencer à prendre cher dès ce soir. Je vais sûrement passer mon baptême de l'air dans les douches collectives. Et vu ce que j'ai déjà pu y voir, je sens que je vais en sentir passer quelques unes pendant que je vais pouvoir bien jouer et me délecter avec d'autre.
Voilà c'est fini avec cette première scène. J'en ai au moins une autre en réserve. Qui sera tout aussi torride et encore plus collective. N'hésitez pas à me donner votre avis par mail, même si c'est juste pour dire que vous avez aimer ! Bisous et bonne branlette si je vous ai bien excité.
Ethan De Rouge
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