Premier épisode | Épisode précédent
Vous vous souvenez de moi. Lucas, 25 ans et mon "futur" maître Alexandre, le fils de la famille.
Il me le suivre dans notre chambre. Il fit le tri. Il jeta tous mes sous-vêtement, mes chaussettes sauf deux paires, tous me pantalons me laissant que deux noirs et deux jeans. Il fit pareil pour mes chemises, t shirt, sweat shirt, baskets et autres chaussures ...
'Demain, tu ne vas pas à la fac. Ton dressage commence demain
Après cette journée ou ma véritable nature est révélée, j'ai mal dormi entre peur et excitation.
Demain serait le grand jour de mon appartenance à Alexandre qui plus tard sera - lui aussi - une salope, mais c'est une toute autre histoire.
Après avoir pris mon petit déjeuner (La pisse de mon maître dans ma bouche et le sucer comme une bonne salope), je dus mettre un bermuda sans rien dessous, une chemise bien trop courte ouverte et des tongs (Heureusement c'est l'été) Nous passons devant ses parents qui ne dirent rien mais j'ai vu le regard de mon beau-père, un regard vicieux et de pervers mais - là aussi - c'est une toute autre histoire.
Nous monta dans sa voiture, une décapotable et durant le trajet entre Lacanau et Bordeaux, il m'expliqua ma journée. Il m'emmène chez un ami tatoueur pour me faire tatouer sur le torse "JE SUIS LA PUTE D'ALEXANDRE" et sur mes fesses une flèche vers mon trou avec juste comme inscription "TROU A BITES" ou "TROU A DISPOSITION". Bien je serais intégralement rasé, poses d"anneaux aux tétons plus menottes, laisse et collier pour parfaire ma condition d'esclave
Je passais la séance chez Wilfrid le tatoueur ou non seulement je fus tatoué avec la pose d'anneaux, d'une laisse et un collier, d'une boucle d'oreilles sur l'oreille gauche (pour ceux qui savent) et un foulard orange mis sur mon jean (Ouvert à tout) que je devais porter tout le temps, même à la fac, devant mes beaux-parents, famille, amis, potes, ... gardant bien sûr la même tenue.
J'arrivais à négocier pour la fac vu le nombre d'homophobes. Mon maître accepta.
Wilfrid en profita pour me baiser et le temps de parler à mon maître, je fus attaché sur la croix de Saint-André. En vérité, mon maître négociait mon prêt à Wilfrid pour des week-end de mise à disposition mais c'est une autre histoire
Après avoir une dernière fois été enculé par Wilfrid et quelques clients de passage, nous rentrons à Lacanau.
Après avoir été obligé de me mettre tout nu dans la voiture, mon maître m"expliqua mes journées.
Le matin, décrassage de sa bite (Pisse et suce), enculé si il a le temps. La fac avec des horaires précis. En rentrant de la fac, habillé comme je devais toujours l'être puis travaux ménagers avec bien sûr la laisse et mon collier (Tout le reste, je ne pouvais les retirer), puis des séances de plus en plus hard (Fouet, baffes, exhibition en cam visage découvert, fessées, suce, sodo, uro, prêt à ses amis, gouinage avec ses autres lopes, ...) A mon grand désespoir, je bandais car inconsciemment, j'aimais devenir une vrai salope, un chienne offerte. J'avais donc trouvé ma véritable nature. Mon maître s'en rendait compte.
Ayant une envie pressante, nous nous sommes arrêtes sur une aire de l'autoroute. Il me forca à me dessaper dans les WC pour m'enculer. Un autre type matait. Pas longtemps. Je sentis une seconde bite me pénétrer violemment m'arrachant un cri. "Ta gueule salope" me cria l'home "T'es qu'une pute à baiser. Putain tu me changes de ma pute. T'es trop bonne, toi, une vrai salope". (Plus tard, vous aurez l'histoire de la pute de Jacques, un jeune de 24 ans) puis nous rentons à Lacanau.
Mes journées entre la fac et mon dressage passait vite. D'autant plus que je n'avais plus d'accès à Internet (Sauf pour les TD à distances et mail à ma famille) mon portable était contrôlé tous les soirs, mon sac a dos et bien sûr l'état de mon cul. Mon armoire avait été quasi vidé. Mon maître m'a autorisé à baiser ma femme de temps en temps.
J'avais trouvé ma place. Moi le pute, lui le maître. Jusqu'au jour ou, pendant que mon maître me baisait, son père (Jean-Eudes) rentra dans la chambre la bite à la main.
"Rentrez mon père, venez baisez avec moi cette grosse salope"
La suite si vous aimez
Ulrich
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