20 ans plus tard
J'ai 38 ans aujourd'hui, je suis bi, pas vraiment assumé, et ai eu quelques aventures avec des hommes, en étant toujours plus ou moins passif et "soumis"; je me suis toujours considéré avec les hommes comme un "objet de leur plaisir".
Il y a 20 ans, j'étais étudiant sur montpellier (j'habite à 200km de là maintenant), et ai rencontré un master une seule fois (je n'ai pas osé aller plus loin avec lui, j'étais à peine majeur, déjà en couple avec une fille, ...). J'étais un peu moins musclé que maintenant, toujours mon mètre 75 pour 70kg qui plait pas mal...
Il y a un mois, je reprends contact avec lui, via un site sm gay. J'allais en formation pour mon travail sur montpellier, et à y passer deux nuits, autant en profiter, et si possible avec qq'un que je sais sérieux.
A ma grande surprise, il se souvient de moi, me "remet" de suite, et donc m'invite chez lui pour les deux nuits, pas besoin d'hotel. Nous discutons un bon moment, sur les limites et envies principalement (même si j'ai vraiment confiance).
Le jour J, il est à la gare pour me récupérer. Il n'a pas changé non plus, toujours l'air "bestial", son regard me toise des pieds à la tête. Il vient, me serre la main, et sans un mot nous allons à sa voiture vers chez lui.
Nous entrons, je pose mon sac, il me pose la main dans le dos, me pousse doucement en avant jusqu'à la salle de bain:
"prépares toi, tout propre, puis tu reviens à poil la lope"
Ouh! déjà je me sens émoustillé. Je sors 3 minutes plus tard, nu comme un ver. Il est assis sur le canapé, en boxer et tshirt.
"Je me souviens bien de toi! viens là, à genoux devant moi"
Je m'exécute, et sais très bien ce qu'il attend. Je viens entre ses jambes, sors son sexe et me mets à le sucer doucement, savourant, jusqu'à ce que l'érection soit maximum.
"Tourne toi, suce mon orteil, adore mes pieds". C'est vrai qu'il aimait déjà ca.
Je m'exécute, les fesses vers lui. Il me claque doucement les fesses, une main ferme, qui claque sèchement, mais sans faire mal. Mes fesses s'écartent, il ma malaxe le petit trou, puis le mange doucement, quel bonheur, je suce maintenant son orteil sans même y faire attention, une sorte de réflexe.
Il passe une capote, me mets du gel, et me dit de reculer. J'obéis, et sens mes fesses venir se coller à son gland. Petite hésitation. "recule encore un peu". Le gland entre lentement, je profite autant que lui de cette douce entrée.
Comme 20 ans plus tôt, il me laisse reculer et commencer la sodomie. Son sexe entre, je joue avec, le faisant entrer de plus en plus profond, jusqu'à ce qu'il soit entièrement en moi.
Je fais moi même quelques mouvements, faisant glisser son sexe en moi, puis il reprend le dessus.
Il me tient fermement les fesses, et commence à accélérer, faisant quasi sortir son sexe pour le ré entrer entièrement ensuite.
Son orteil dans ma bouche étouffe un peu mes gémissements, mais je couine quand il commence à vraiment accélérer, je prends des coups de ses couilles contre les miennes, son sexe me remplit, sort entièrement, entre, ... et il s'arrête bien au fond de moi, quelques tressaillements, il jouit, sort, se lève et va boire un coup.
Je reste quelques secondes comme ça, mon anus ouvert. J'aurais bien continué un peu!
Je n'ai pas joui, lui oui. Je me lève et accepte le verre qu'il me tend.
Pour cette revanche, on dira que j'ai gagné du coup?
Revanche gagnée, on passe à la belle?
Après ce retour 20 ans plus tôt, nous avons mangé tranquillement.
Pour le coup il m'a parlé, on était "hors plan cul", on a parlé de mon parcours principalement, autour d'un repas "entre amis".
Ceci fait, il m'a reconduit à la salle de bain, mais cette fois je devais passer le short et tshirt qu'il me donnait. Ceci fait, nous sommes sortis nous promener à pied dans Montpellier. Belle ville, mais en basse saison avec peu de monde.
Rapidement, dans une petite rue, sa main s'attarde sur mes fesses.
"L'intérêt du short la lope, c'est que c'est léger et souple", et sur ces mots il met sa main dans mon short, glisse ses doigts le long de ma fente, plaque un doigt sur mon petit trou, et commence à le malaxer. On est dans une petite rue, mais quand même; le risque d'être surpris me fait serrer les fesses.
Il retire sa main, sourit, et me claque le cul.
"A chaque fois que tu résistes, c'est une claque; si tu me refuses quelque chose: une claque; compris?"
Je fais oui de la tête. "Tant mieux. Tu es tout sec, on va arranger ca"
Il sort un tube de gel, se met une noisette sur le doigt, me dit de me tourner et cambrer, ce que je fais, et sa main plonge à nouveau, ses doigts trouvent l'entrée, le gel s'étale, et le doigt entre... Il fait quelques va et vients, j'oublie la rue et le laisse faire.
Nous repartons dans notre balade; sensation bizarre mais agréable que d'avoir l'impression de se promener en ayant le cul un peu "ouvert".
Nous croisons deux rues plus loin un ami à lui, "par hasard".
Il fait les présentations: "André, ma lope; ma lope, André"
Je pense que mes joues n'ont jamais été aussi rouges; il n'y a personne d'autre, heureusement, mais être présenté comme ca m'a donné des frissons dans tout le corps.
Je ne sais pas quoi dire, André sourit. Le master me fait entrer en me poussant doucement sous le porche à coté de nous. Je suis dos au mur, le master à coté de moi, André juste devant moi, à moins de 30 cm.
Le master: "accroupis toi!". J'obéis, sachant très bien ce qui allait suivre.
André s'approche un peu, sort son sexe; j'ouvre la bouche, et le prend en entier, sucant doucement, le sentant grossir lentement. J'entends vaguement des encouragements du style "petite salope", et y prends du plaisir, mais mitigé car toujours la possiblité de se faire surprendre.
Son sexe est maintenant bien raide, il fait des va et vients dans ma bouche (ce n'est pas ce que je préfère...).
Puis il sort, remballe. Je ne comprends pas, mais il me relève, me prend par le bras et nous montons dans l'immeuble. Comme "par hasard", il habite là...
Dans l'ascenseur, le master me remet un coup de gel, je sens son doigt entrer, suivi d'un second, pendant que je suce un peu André.
Mon master suit, il referme la porte de l'appartement dans lequel nous entrons, un petit tour de clé, et dit à André: "amuse toi, elle est pour toi"
Je n'ai pas eu le temps de vraiment comprendre ce qui se passait.
André m'a saisi par derrière, a descendu mon short d'un coup sec, m'a jeté à plat ventre sur le canapé et est venu se plaquer contre moi.
Deux secondes ont suffit pour qu'il passe la capote. Sans même un égard, il m'a écarté les fesses, a collé son gland, et est entré, doucement, lentement, mais jusqu'à la garde.
Il est resté là, quelques secondes, remuant un peu, puis il s'est mis à me ramoner à toute vitesse. Ses couilles claquaient, je sentais mon cul rempli se faire limer, lui me maintenant fermement contre le canapé. Il ne se souciait pas de mon plaisir, juste le sien.
Je gémissais, il adorait.
Il a joui en moins de 10 minutes je pense, il est sorti, a remercié le master; j'ai remis mon short sur mon cul endolori, et nous sommes partis
Je ne compte pas ca comme la belle, c'est le prochain épisode
Jh30du11
jh30du11@hotmail.fr
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