André (voyez mes précédentes histoires) et moi avons réussi à échanger nos mails, tels, et communiquons maintenant régulièrement.
Ce jour-là, quand je lui ai dit venir sur Montpellier, et qu'il m'a proposé un jeu de piste, j'ai dit oui de suite, sachant très bien quel était le " trésor " à trouver...
Il m'avait donné une énigme : " la luthe est son point fort ; pour le trouver, suis les amandes à cheval. Quand tu l'auras trouvé, la suite sera sous son nom "
amandes et cheval étaient en gras, il avait fait une faute à lutte, mais je ne lui en voulais pas.
Je suis arrivé le matin à ma forma, et au bout de deux heures je tournais et retournais l'énigme dans tous les sens. À la pause, je consultais les écoles de luttes, l'histoire de Montpellier, s'il y avait des écuries...
Mais pas la moindre piste. À midi, je ne tiens pas, et je contacte André, qui rigole quand je lui parle de lutte, de judo, de sumo ou autre, et qui me raccroche limite au nez, en me disant que lui aussi maîtrise le français.
Pas de faute donc.
Je profite des derniers moments du repas pour refaire mes recherches. Le violon ? où veut-il m'emmener ?
Discrètement dans l'après-midi, je continue mes recherches, tombe sur une rue de l'amande avec des luthiers, et bingo, un nom évoquant le cheval. J'ai tout !
Fin de la forma, je file direct à l'hôtel, petite douche, et je file droit continuer mon énigme, sûr d'y trouver André la queue en l'air.
Devant le fameux luthier, fermé bien sûr, je mets un moment à trouver le petit papier glissé sous sa plaque : " Internet rue de la Marne ? Sois le premier à trouver le dragon bleu "
Marne en gros, premier en gros. Je suis la piste. Petit sms à André pour lui dire que j'ai trouvé l'indice. " Ok " en réponse, ça me refroidit un peu, mais je cherche.
Rapide : Rue de la marne, c'est à quelques rues de là.
Internet ? Rapide aussi, une boutique avec WWW en haut, mais pour le reste je sèche. C'est fermé bien sûr, et je mets un moment à chercher, regarder à travers la vitrine...
Et je recule un peu, et me dis que je mériterais des baffes. Juste à côté, c'est le numéro 1 de la rue. Le premier. Ne reste que le dragon bleu.
Je pousse la porte qui est légèrement entrouverte. C'est un immeuble, donc cage d'escalier.
Je n'ose pas allumer, je me sers de mon portable en guise de lampe, et me mets à chercher ce dragon. Il y a une plante qui a souffert, les boites aux lettres... mais pas un dragon. Je regarde les boites à la recherche de monsieur Dragon, mais rien du tout.
Chou blanc.
Absorbé par ma recherche, j'ai à peine entendu la porte s'ouvrir, et j'ai eu la peur de ma vie quand j'ai entendu la voix grave me demander " vous cherchez quoi ? "
Il n'a rien compris de mes balbutiements. Le gars ne rigole pas, et me repose la question. Je sens dans sa voix l'inquiétude d'avoir trouvé un " voleur ", et un peu d'agressivité.
Je réponds donc comme si c'était évident " le dragon bleu ", en me demandant comment fuir avant qu'il ne m'en colle une.
" Le dragon bleu ? Vous ne l'aurez pas dans la cage d'escalier, il est dans la cour intérieure. "
J'ouvre de grands yeux incrédules. Et il me montre la porte au bout, y va, l'ouvre et me dit qu'il m'accompagne. Sa voix s'est radoucie.
Cour sans intérêt, une sorte de cabanon. Il ouvre la porte, entre, allume une petite lumière, me montre une caisse sur une étagère. Je m'en approche doucement, l'attrape, la pose par terre, m'essuie les mains sur le pantacourt avant de l'ouvrir les mains un peu tremblantes.
Elle contient juste des pots vides.
Je l'avais presque oublié, et j'ai oublié de crier tellement j'ai été surpris quand le gars qui m'avait accompagné m'a attrapé les mains, et en deux secondes, les as mises dans mon dos et menottées. Pas de cri donc, et le bâillon qu'il m'a mis sur la bouche ne m'a pas laissé de seconde chance.
Il m'a déséquilibré, et je me suis retrouvé assis par terre, pas rassuré du tout.
" Tu cherches le dragon bleu hein ? " je n'ai même pas eu de hochement de tête.
Il a défait son pantalon, l'a fait tomber à ses genoux, montrant son caleçon, et s'est approché de moi. Lumière sur son ventre, et là il me montre un gros tatouage, montrant un dragon bleu enroulé dans sa queue...
Soupir étouffé par le bâillon.
Il a éteint la lumière, a baissé son caleçon, et m'a tapoté les joues avec son sexe à moitié dur. À l'oreille il m'a glissé un " je vais enlever ton bâillon, je ne veux pas t'entendre "
Oui de la tête, le bâillon tombe sur mon cou, il attrape ma tête, et fourre directement sa queue dans ma bouche.
C'est d'abord un limage en règle de celle-ci : il me pénètre la bouche, me lime tranquillement.
Puis je commence à jouer un peu avec ma langue, à aspirer un peu plus, et à prendre un peu le dessus sur cette pipe. Je l'entends gémir un peu, ce qui commence à me faire me tortiller un peu. Sa queue est maintenant bien raide, d'une bonne taille sans être non plus énorme.
Il se retire lentement de ma bouche, et me remet le bâillon (pas la peine, je n'aurais pas crié, mais pas le temps de le dire).
Il me lève (il est fort) en me tenant par les épaules, me tourne, et me plaque sur la sorte d'établi. Sa main dans le dos me maintient, l'autre main claque ma fesse, s'attarde, descend entre mes fesses et un doigt appuie un peu sur mon petit trou.
Le bouton de mon pantacourt saute, il tire rapidement dessus et le fait descendre à mes chevilles, mon boxer suit, ses mains se posent sur mes fesses, les écartent, et sa langue vient directement me titiller le petit trou.
Quel régal, il salive, sa langue lèche et pénètre sans ménagement. Je gémis un peu.
Un doigt vient entrer lentement, suivi d'un second.
Il est maintenant debout derrière moi, le gel a remplacé la salive, et ses doigts me préparent.
Bruit d'emballage qu'on déchire, les doigts sortent, son gland se pose quelques secondes ; il joue à l'entrer et le sortir, puis entre un peu plus à chaque fois, jusqu'à entrer entièrement en moi.
Enfin ! quel bonheur !
Il va et vient tranquillement, me faisant doucement gémir, puis m'attrape par les bras, toujours menottés dans le dos. Chaque coup de reins devient plus fort, me faisant couiner à présent à travers le bâillon. Je sens ses couilles taper les miennes.
Il accélère, faisant d'abord de grands va et viens, puis plus petits, mais rapides. Il s'arrête, je l'entends jouir, je le sens se contracter dans mon cul.
Il reste quelques secondes, je profite...
Je ne l'ai pas senti détacher les menottes.
Il est sorti d'un coup, et le temps que je me retourne il avait quitté le cabanon.
Je passe ma main dans mon dos pour être sûr de n'avoir pas rêvé, mais mon doigt entre seul dans mon cul encore bien ouvert... Je remonte mon pantacourt, enlève mon bâillon que je garde dans ma poche en " souvenir ", et sors de la cabane, passe par le hall d'entrée, et pousse la porte pour arriver dans la rue, avec un bon sourire.
Passé la petite peur que j'avais eue, quelle bonne baise, attaché et bâillonné, à la merci d'un gars que je ne connais pas, dans un cabanon.
Ce jeu de piste valait le coup, j'ai trouvé le dragon, il me tarde de le dire à André et de le remercier !
Jh30du11
jh30du11@hotmail.fr
Autres histoires de l'auteur : Violé presque contre mon gré | Aller en club tout seul, la loose ? | Trouve le dragon bleu | Piégé, les (gentils) salauds | La revanche, 20 ans plus tard | Intermittent de l'esclavage ? | En sauna libertin