Je connais un couple de gars, Philippe et Jean, que je vois parfois, quand eux et moi (surtout moi) j'ai envie de me faire baiser.
Ils sont un peu domi, aiment m'attacher, me bander les yeux... pour me baiser
en fait, tout ça, c'est moi qui aime, et eux me connaissent assez bien maintenant pour que j'aie confiance en eux, que je me laisse faire vraiment...
Bref, cette fois-ci je suis arrivé chez eux bien décidé.
Nu presque de suite.
Les deux se sont amusés, j'ai sucé et pris dans le cul, à tour de rôle. Ils ont joui, on est allé boire un coup, discutant en quelques mots, moi un plug dans l'anus.
Mon petit cul qui bouge, avec ce plug, a dû leur plaire, parce qu'ils ont retrouvé de la vigueur, et ont remis ça.
Matinée sympa donc, réussie. 4 sodomies, c'était chouette.
Je prends une douche, et suis sur le point de partir de chez eux pour rentrer.
" Eh merde ! ", c'est Philippe qui râle en tenant une enveloppe dans la main.
Jean : " Oh désolé, j'ai oublié de la poster "
Et les voilà qui se disputent gentiment parce que la lettre n'est pas partie, et que du coup le gars n'est pas près de payer la facture du coup (ils sont artisans).
Je n'ose pas partir, parce qu'ils ne font pas attention à moi et ne veux pas partir comme un voleur.
Juste un petit bruit de gorge.
Et là, illumination sur le visage de Jean !
À mon attention : " Mais tu retournes sur Carcassonne là, non ? "
" oui "
" Tu pourrais aller poster ça directement chez le gars ? On a oublié, et ça nous rendrait bien service ".
Je n'ai pas réfléchi, bien sûr j'ai dit oui. Je prends la lettre, timbrée, mais pas postée, nom et adresse imprimée, logo de leur société...
Et je file
" Merci ! "
Pas de soucis, ça me fait un mini détour, mais pas grand-chose.
Ils m'ont même imprimé un mini plan pour y accéder, et pour me remercier j'ai le droit de garder le plug. Inutile de vous dire que je ne l'ai pas mis dans ma poche. Ils m'ont mis un peu de gel, le plug est entré tout seul, et ça a eu l'air de leur faire vraiment plaisir...
Voiture donc, une demi-heure environ, pendant laquelle je tortille un peu sur mon siège, faisant bouger un peu le plug (je ne conseille pas, cela fait parfois quelques sensations qui pourraient vous faire rater un virage...).
Je tourne un peu dans le quartier que je ne connais pas, au milieu des maisons individuelles, et finalement trouve la maison. Je me gare, sors la lettre à la main, et vais vers la boite aux lettres... qui n'existe pas !
Je suis devant le portillon, ma lettre à la main, je regarde à l'intérieur et vois que la porte d'entrée n'en a pas non plus...
Super... il faut que j'aille sonner. Avec mon plug dans le cul...
Pas possible, je vais la poster. Je commence à retourner à la voiture, mais me rends compte de la connerie. Ça va prendre plusieurs jours en passant par la poste, tout ça pour quelques mètres ! Je peux bien aller déposer la lettre.
Allez, je pousse le portillon (pourvu qu'il n'y ait pas de chien), vais à la porte et sonne.
Quelques secondes, qui paraissent des heures. Personne, je retente.
La fenêtre au premier s'ouvre. Un gars passe la tête, et s'excuse, il sort de la douche.
" Pas de soucis, je vous amène une lettre de la société Blabla (c'est secret lol), et comme il n'y a pas de boite aux lettres... "
" OK, entrez, je pense que la porte est ouverte. J'arrive dans trente secondes ".
J'entre donc. Une entrée sobre, donnant direct sur le salon, quelques plantes.
Je jette un oeil curieux aux plantes (j'aime ça). Ses trente secondes sont un peu longues...
Je suis sur le point de poser la lettre et de me casser, mais ça mettrait mes amis un peu dans l'embarras, belle image pour eux ! J'attends donc.
" Je suis là, c'est bon "
Enfin ! je me retourne pour lui donner la lettre, et me stoppe net.
Il sort de la douche en effet, mais il n'a pas pris la peine de s'habiller.
Il est devant moi, nu comme un vers.
Pire, son sexe est un peu gonflé, un début d'érection.
Je ne sais pas quoi dire, je suis sans voix, la bouche à peine ouverte.
Il vient vite à moi, profitant de ce moment " suspendu ". Il m'attrape fermement, me retourne et me pousse contre la table. Sa main me plaque contre elle, et l'autre se met à me claquer le cul.
Les salauds ! Le coup monté ! Et jusque là je ne m'étais douté de rien !
Je proteste un peu, mais pas trop quand même.
Il me tient les mains dans le dos, continuant sa petite fessée. Et sa main vient s'attarder entre mes fesses, me rappelant que j'ai un plug (j'aurai du mal à être crédible en lui disant que je ne veux pas).
Il le fait bouger un peu, appuie dessus, me tirant un petit râle.
En tenant toujours mes mains dans mon dos, il me fait avancer dans l'escalier, m'insultant un peu, et m'ordonnant de fermer ma gueule.
Les marches à monter avec un plug, c'est une expérience que je vous conseille !
À l'étage, il lâche mes mains, attrape vivement mon tshirt et le remonte d'un coup, passant la tête, et le redescendant derrière mon dos jusqu'à mes mains. Il le tient fermement. Mon tshirt sert de menottes en somme. J'ai une légère érection, et je constate que lui est passé de la légère à la grosse érection...
Me poussant à plat ventre sur le lit, il sort de sa table de nuit des menottes, remplaçant mon tshirt.
Je suis à sa merci. Il vient devant moi, me tient par les épaules, et force ma bouche, entrant d'un coup, et commençant à me baiser la bouche, lentement, en essayant d'aller de plus en plus loin, à la limite de me faire vomir.
Puis il stoppe. Table de nuit à nouveau. Ma bouche est un peu meurtrie, et la boule qu'il met dedans ne va pas améliorer l'histoire. Il attache ce bâillon derrière ma tête.
Menotté, bâillonné. Je suis foutu (cool !).
Ses mains reviennent à mes fesses, insistance sur le plug (petit râle). Mon pantalon et mon boxer glissent jusqu'à mes chevilles, me laissant les jambes serrées l'une contre l'autre.
Il sort lentement le plug avec un peu de douleur (un peu de gel aurait été le bienvenu en cours de route).
Sa langue le remplace, quel régal ! Je la sens entrer, jouer au bord, lubrifier de salive mon petit trou.
Table de nuit. Du gel, qui vient couler entre mes fesses, suivi d'un doigt, puis deux.
Je suis du regard la capote qui en sort et disparait. Petit bruit d'emballage.
Quelques secondes, d'intermède. Il s'allonge sur moi, le gland se pose doucement (mon moment préféré), et là, d'un coup, il entre jusqu'à la garde, me faisant pousser un petit couinement.
Chevauchée bestiale. Aucune tendresse. Il lime vite, prenant le temps parfois de sortir, pour rerentrer d'un coup sec et reprendre sa sodo.
Je couine, mais que c'est bon !
À ce rythme, il ne tient pas très longtemps, et je finis par le sentir se raidir en moi, et émettre quelques râles pendant qu'il jouit.
Il sort, m'essuie le cul, et me laisse là quelques secondes, admirant sans doute sa victime.
Puis il me remonte le pantalon, et, me tenant les mains, me fait sortir de la chambre, descendre les escaliers, et me ramène devant l'entrée.
J'ai le cul en feu, torse nu dans son entrée, un bâillon dans la bouche et les mains menottées dans le dos.
Il sourit, fier de lui. Il me détache les mains, et me tends mon tshirt, que je passe vite.
" Rends-moi le bâillon ! "
Je l'enlève et le lui rends, sans un bruit. Il me montre un truc par terre, c'est la lettre !
" Merci pour la lettre, mais ils se sont trompé, elle est pour toi ", et il me la donne
" je rendrai le plug à Jean et Philippe, ils y tiennent. " Et il m'ouvre la porte, et me " pousse " vers l'extérieur.
Je fais les quelques mètres vers le portillon, un peu comme un zombi. Je retourne à ma voiture et m'assieds. Machinalement j'allume, et me mets à rouler pour rentrer chez moi, avec l'impression de prendre encore de petits coups de queue entre les fesses.
Je monte chez moi, toujours l'enveloppe dans la main, m'assieds sur mon canapé, et finalement l'ouvre.
" Régale-toi salope ", c'est tout ce qu'elle contenait.
Les salauds ! Ils m'ont offert un viol, un de mes plus grands fantasmes.
Je les ai remerciés depuis, du mieux que j'ai pu
Jh30du11
jh30du11@hotmail.fr
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