Bonjour à tous, dernièrement, je vous ai raconté mon incroyable baise en Espagne, avec mon beau-frère, Enzo.
Pour rappel, moi c'est Maxime. J'ai 28 ans. Je suis plutôt mignon, brun, yeux verts, mince. Jolie queue et un petit cul. Je suis passif, et adore me faire baiser.
L'histoire que je vais vous raconter se déroule alors que j'avais tout juste 18 ans. J'étais au séminaire, car à l'époque je voulais devenir prêtre. C'est là où tout à commencer pour moi. Là que j'ai découvert les plaisirs du sexe et la fascination pour la soumission. J'aime depuis être une chienne, une salope à jus.
Je me sentais attiré par les hommes, mais je n'avais jamais rien fait. Je trouvais ça sale, de par mon éducation religieuse. De toute façon, j'avais renoncer à la vie sexuelle suite à ma vocation.
J'étais au séminaire, en troisième année. Mes journées se ressemblaient toutes. Prières, cours, corvées, repas. Peu de distraction. Je regardais sans plus de désir que ça mes camarades. Mais j'avoue qu'un beau mec, assez musclé, ne me laissait pas indifférent. Nous dormions de grands dortoirs, douches collectives. Mes yeux étaient partout.
J'ai déjà repéré quelques camarades qui me jetaient des regards insistants. Rien n'à faire, je n'osais pas franchir le pas. C'était avouer mes penchants gay, et je ne pouvais pas. Pas dans ce contexte.
A la rentrée, les prêtres nous présentent le nouveau personnel. Deux nouveaux pères pour les cours de théologie. Et un nouveau père qui remplace le surveillant de nuit. Mon Dieu, j'étais sous le charme total. Beau ! Environ 40 ans, brun, le teint mat. Grand, costaud. Un sourire magnifique et un regard qui impose la soumission, et qui sur le moment, n'était pas pour déplaire. J'ai senti une sensation étrange mais agréable dans mon corps. Moi qui aspirais à une vie chaste, me voici tout à coup, avec une érection de fou. Et l'envie de me faire baiser par ce curé sexy.
Ce prêtre assurait l'étude du soir, nos temps de douche et le temps d'étude de la Bible, après le repas. Au fil des semaines, mon désir pour lui grandissait. Je me suis masturbé à plusieurs reprises dans les toilettes.
Un week-end de novembre, je n'ai pas pu rentrer chez mes parents. Je suis resté au séminaire, pour assister un curé à la messe. Ce week-end-là, c'était mon tour.
Mon surveillant sexy, le Père Thomas était de garde ces deux jours. La perspective de passer plus de temps avec lui sans tout le monde m'excitait un max.
Vendredi soir, nous sommes que 5 dans l'école. Deux dernières années. Le gardien, mon curé et moi. Les étudiants sortent assister une lecture de la Bible à l'église du coin. Le gardien est chez lui. Je suis seul avec mon Père à notre étage. J'étais en rut !!! Je pris ma douche, laissant la porte ouverte. Père Thomas rentrait du réfectoire et passa devant la salle de bain collective. Je l'ai vu me regarder plus en détail. Il a ensuite filé dans sa chambre. Je bandais comme un fou.
Après la douche, je me suis mis en survet coupe slim et un t-shirt cintré et un peu court. Je décide de faire une entorse au règlement, je regarde un film en streaming sur mon mac. Ne captant la wifi dans le dortoir, je vais dans la pièce à vivre. Je me pose sur un canapé et me lance dans une comédie romantique.
Mon miracle se produit. Père Thomas comme à son habitude vient se poser tous les soirs dans cette pièce pour lire ses mails. Il me demande ce que je regarde, et vient s'assoir avec moi. Le film commençait juste. J'avais mon ordi sur les genoux. Le Père était proche de moi. De temps en temps nos épaules ou encore nos bras pouvaient se toucher. J'étais en transe.
Le film n'était pas très prenant, le curé me posa plusieurs questions sur ma vie à l'école, ma famille. Etc. La discussion était sympa et j'appris plein de chose sur mon Abbé. Il a joué au foot pendant 18 ans, et a dû arrêter pour assurer les messes le dimanche. Il avait 38 ans, ses parents étaient originaires du sud de l'Italie. D'où ce tient mat et ses yeux ténébreux.
Il me questionnait sur ma vocation, ma volonté de m'engager pour l'Église. Puis il me sortit une question qui me déstabilisa :
Père Thomas : " Tu n'as pas peur de renoncer au sexe à vie "
Je suis resté bête, je lui ai répondu que non en bafouillant. Il rit et me dit que de toute façon, il y a beaucoup se sexualité au sein de ce milieu. Peu renoncent réellement à la chair.
Puis il rajoute : " Je t'ai surpris plusieurs fois ces derniers temps me dévorer du regard. Tu es de moins en moins discret ".
Je ne savais plus où me mettre. J'étais rouge comme une tomate. J'ai tenté de m'excuser, de lui dire que j'étais désolé. Mais je bafouillais tellement .
Il mis sa main sur mon bras, me caressa et me dit de ne pas m'inquiéter, qu'il était ouvert. Il approcha son visage du mien, et me roula une grosse pelle. Je bandais sévère ! Je n'avais jamais embrasser qui-que-ce-soit avant. J'étais un peu maladroit mais je prenais un plaisir fou. Il me dit de le suivre dans sa chambre.
Une fois, la porte fermée, il me saute dessus et m'embrasse. Je descends ma main sur sa bite, par-dessus sa soutane. Elle était bien dure et paraissait longue et épaisse. Ses mans me caressaient le dos et descendaient sur mes fesses. Père Thomas, passa une de ses mains dans mon survet. Je n'avais pas de sous-vêtements sur moi. Ses doigts me caressaient la rondelle. L'un d'eux a tenté de me pénétrer, mais je n'étais pas encore assez ouvert. Il quitta sa soutane. Il était nu dessous, je pouvais admirer sa queue. Magnifique. De belles couilles, pendantes et pleines.
Sur un ton autoritaire, il me donna l'ordre de le sucer. Je mis à genoux, et embrassais sa bite. J'entrepris de le sucer. Au début, j'ai eu du mal la mettre pleinement en bouche. Mais petit à petit et avec l'excitation, ma bouche se fit plus gourmande. Elle se transformait en aspirateur à queue.
Père Thomas devenait de plus en plus directif et dominant. Il me crachait dans la bouche, m'insultait de petite pute, de salope. Il me demandait si j'aimais la bite de curé. J'étais surexcité.
Il m'ordonna de me mettre à poil et me fit pencher en avant sur son lit. Il plongea son visage sur mes fesses pour me dévorer le cul. C'était délicieux. Il me léchait la rondelle, essayait d'y rentrer sa langue. Puis il me fit sucer deux de ses doigts et me pénétra. J'étais tout étroit. Quand il compris que j'étais encore vierge, il était doublement excité. Il me labourait avec ses doigts. Il me fit sniffer un produit que je ne connaissais pas, du poppers. Je flottais dans le bonheur. Ses doigts me faisaient un bien incroyable. Je découvrais des sensations jusque-là inédites.
Il se leva, me mis de grosses fessées tout en m'insultant de soumise, de putain. Il me disait qu'il allait devenir mon maitre. Qu'il ferait de moi sa chienne. Il approcha sa queue de ma bouche pour que je le suce. Après l'avoir pompé cinq minutes, il sortit son engin et l'enduisit de gel. Il m'a fait sniffer du poppers et frottait son gland sur mon trou. Il m'a pénétré d'un coup. Je hurlais de douleur. Il la rentrait à fond, restait trente secondes et ressortait d'un coup. Il a fait ça une petite dizaine de fois. Tout en me mettant de bonnes fessées et m'insultant.
Je commençais à m'ouvrir et je prenais un plaisir grandissant. Je criais " Prenez moi mon Père, baisez la salope que je suis. " Là il se mit à me bourriner à fond, sans pitié pour mon cul de vierge. J'étais à quatre pattes sur son lit, je ramassais son marteau piqueur dans les fesses, et j'en redemandais encore plus. Je voulais qu'il aille plus vite, plus fort. Ce qu'il fit. Il me démonta littéralement la chatte pendant 20 minutes.. Je hurlais tellement c'était bon.
Puis il se retira. Il m'ordonna de me lever et s'allongea sur le lit. Il m'obligea à venir m'empaler sur son pieux. Je me suis accroupi sur lui. Il avait ses bras sous sa tête. Je rentrais juste le bout du gland et je sautai sur sa queue pour la rentrer assez fort et vite. Je la prenais entièrement. Mon excitation était immense. Je me sentais chienne, trainée, salope. Je découvrais les plaisirs de la bite. J'ai rentré son chibre entièrement et je me dandinais sur lui. Je faisais des allers-retours toujours plus profond. Je sentais ses couilles taper sur mon trou. C'était l'extase !
Il me retourna, et mis à quatre-pattes et me laboura de plus belle. Je jouissais du cul. Au bout de dix minutes, il sortit sa queue, l'approcha de mon visage me gifla pour que j'ouvre la bouche. Il m'envoya 6-è jets de purée bien épaisse et délicieuse dans la gueule. J'avalais tout, c'était divin. Je pris soin de bien lui nettoyer la queue. Il criais de plaisir. Moi je touchais les étoiles. Il m'a attrapé la bouche et m'embrassait goulument.
Il me dit qu'il allait me former à la soumission, je serai son esclave sexuelle, sa pute. Il me dit de rester le cul en l'air et d'attendre. Il revient avec un plug, assez épais. Il l'enduit de gel et me le fourre. Il le rentre en entier. Il m'ordonne de le garder jusqu'à nouvel ordre. Je me suis rhabillé. Il m'a embrassé et m'a rappelé les conditions. Je devais garder le plug constamment, même sous les douches. C'était mon signe d'appartenance envers lui.
Je sortis de sa chambre et regagnais le dortoir. J'allais prendre une douche.
J'ai croisé les étudiants. Au vu de leurs sourires, j'ai compris qu'ils savaient très bien ce qu'il s'était passé dans la chambre du Père Thomas. Ca, c'est pour plus tard.
PassifLyon69
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