Je te demande ce que tu aimes - " faire la pipe, se laisser faire ", tu dis. Cette idée de pipe m'intéresse, te voilà à genoux devant moi, ma queue dans ta bouche, mes mains dans tes cheveux.
Je suis super poilu, ma queue n'est pas très longue, mais elle est bien formée. Tu la prends bien à fond. J'appuie mes doigts sur tes tympans, c'est le grand silence pour toi, juste un vague bourdonnement de vagues pour t'aider à te concentrer. Pour moi, j'aime bien, suivre avec mes mains le mouvement de ta tête en va-et-vient.
Tu t'appliques sur ma bite, tu ne fais pas d'effets de style, tu t'en tiens au basique pour le moment, un joli mouvement d'avant en arrière. Go slow. Tu as les yeux baissés, j'aime bien, je bande dur - laisse-toi faire - give in to the rythm, taille-moi une pipe comme si j'étais le Père Noël et que tous tes cadeaux dans ta cheminée en dépendaient...
Tu m'excites, je te relève, j'ai besoin d'un break et je m'agenouille pour t'astiquer à ton tour. Tu gémis un peu - je ne t'ai pas touché pendant que tu me taillais ta pipe et toi non plus. Ta bite n'en peut plus d'être délaissée, tu bandes fort, tu veux rattraper le temps perdu.
T'agites le bassin et tu prends le contrôle des vitesses. Tu vas et viens entre mes lèvres. Je pose les paumes de mes mains sur les globes de tes fesses. Petit à petit tu te relaxes, on se calme, comme si ta queue avait compris qu'il y en aurait pour tout le monde et qu'on avait tout le temps devant nous. T'arrêtes de m'entuber, tu t'immobilises en moi, je ne bouge pas.
Je descends un doigt vers ton sphincter. Tu me laisses faire. Je t'asticote ton petit bouton de rose chiffonné. Je me remets à te sucer doucement - ton trou se dilate et se contracte tour à tour et bientôt j'enfile un doigt puis deux.
Bien lubrifié, je te sens bien et maintenant tu y crois au Père Noël et t'es bien content que ce soit lui qui te ramone la cheminée... Je sors mes doigts de ton cul et j'y rentre le pouce, je te caresse de l'intérieur, cadeau, ça ajoute aux sensations que tu ressens avec ta bite.
J'aime ton trou et ta bite. Ta bite dans ma bouche et mon doigt dans ton cul, c'est cool, un mouvement de balancement perpétuel. Tu te bascules, tu te tiens plus, tu plies un peu les jambes pour me laisser pénétrer plus profond, tu t'en balances du quand dira-t-on, tu diras plus que le Père Noël est une ordure, t'es dans tes p'tits souliers, tu geins un peu plus fort. Tu es au bord du bout.
On fait une pause le temps de reprendre nos esprits. Je me relève et je me mets debout à côté de toi - d'une main je soulève ta queue qui risque d'exploser, je presse ta queue sur ton ventre et la mienne contre ta hanche, c'est bien, on bouge pas, on a le temps de voir.
De l'autre main je te caresse le cul, je suis la courbe de tes fesses - c'est vraiment bien, une main sur ta bite, l'autre sur ton cul - un club sandwich en somme...
J'approche mes lèvres de ta poitrine, je te lèche un peu, je te mordille le sein. Tu geins doucement entre douleur et plaisir, tu penses plus à jouir, ton centre de gravité s'est déplacé de ta bite vers autre chose ailleurs.
Je te flatte la croupe, je te remets un doigt, tu as les yeux dans le vague, tu gémis doucement à mon oreille. Tu m'excites, j'y tiens plus et je te lâche une claque au cul. Tu sursautes dans mes bras - celle-là, tu ne l'avais pas vu venir et tu l'as pas loupée. Tu croyais te faire le Père Noël et tu te retrouves avec le Père Fouettard.
T'es pas trop sûr d'aimer, tu paniques un peu, t'essayes de te rappeler si t'as bien été sage toute l'année passée. T'aimerais bien protester un peu pour la forme, mais déjà ça t'a poussé un peu plus loin et tu sens bien que ça ne fait qu'ajouter au plaisir qui monte. Ma main à plat contre ton sexe c'est comme le baromètre de là où t'en es. Ta bite tressaute à chaque claque, mais tu bandes comme un renne.
J'alterne les claques et les doigts dans le cul, tu sais plus à quel saint te vouer. Tu rentres les fesses pour t'esquiver quand ma main te frôle le derrière, mais tu m'ouvres ton trou quand mes doigts l'effleurent.
Te voilà servi - t'as les tétons à vif, le cul en feu, la rosette comblée, tu geins un peu plus fort, mes dents sur tes tétons t'affolent un peu, ça te coupe le sifflet, t'es à bout de souffle, tu n'en peux plus, tu râles au creux de mon oreille.
Je lâche ton sein et je trouve ta bouche.
Xmas
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