Cette histoire est véridique, pour vous montrer aussi que l’on n’a pas besoin d’appli pour avoir des plans sympas.
Un matin d’aout la chaleur et intense, je profite du soleil d’été pour décapoté ma 2cv, comme je dois aller au centre ville pour quelques courses sa tombe bien. J’arrive sur un grand boulevard, une deux fois deux voix avec des feux feux rouge. Premier feu, pas de bol il est rouge, en même temps, je ne suis pas pressé et en plus il fait un temps magnifique, autant en profiter. Je vois arriver dans mon rétroviseur un petit cabriolet noir, de marque japonaise, qui s’arrête sur ma gauche, un mec plutôt pas mal, brun bien coiffé, rayban vissé sur le nez. À peine le temps de le mater, le feu passe au vert.
Nous sommes côte à côte, nous arrivons aux feux suivants, la circulation se densifie et notre allure ralentit, au feu rouge suivant, j’en profite pour mater un peu plus le petit Bourgois de la voiture d’à côté, t-shirt blanc, short beige moulant, des muscles légèrement dessinés, une petite barbe de trois jours. Mon regard a dû attirer le sien, il tourne la tête et me lance un petit sourire de politesse. Feu vert, il fait vrombir son moteur et démarre en même temps que moi, nous sommes toujours côte à côte. Au feu rouge suivant, c’est lui qui, cette fois si, qui me regarde, relève ses lunettes de soleil, a mon tour je lui rends mon sourire le plus charmant possible auquel il me répond d’un joli clin d’œil. Feu vert, nous redémarrons toujours côte à côte un petit jeu de regard s’engage et s’intensifie entre nous. Ce petit manège dure tout le long du boulevard, il nous arrive même de laisser échapper un petit rire d’amusement. Aux derniers feux le beau gosse me fait un signe de tête m’indique de le suivre, sans hésiter une seule seconde et désireux d’en voir plus, je le suis. À gauche, à droite, rondpoint…
Au bout de dix minutes de poursuite on se retrouve devant une vielle usine désaffectée, il sort de sa voiture et s’engouffre dans l’usine, un moment de réflexion, puis je me décide de le suivre, je le perds de vue quelques secondes pour le retrouvé quelques mètres plus loing dans une grande pièce au mur recouvert de tag et au sol jonché de gravats. Sans un mot je m’approche de lui.
- Jérôme ! Me dit-il
- Enchanté !
Je pose ma main sur son paquet déjà bien tendu, il approche sa bouche de la mienne et me roule une pelle passionnelle. De ses mains mal habiles, il me défait le premier bouton de mon short en jeans, puis le deuxième pour finir sur le dernier pour laisser mon short tombé sur le sol laissant apparaitre mon chibre raide, car je ne porte jamais de sous sous-vêtements. De ma main je lui malaxe le paquet qui ma l’air prometteur, sans attendre je lui défais sa ceinture, sont boutons et baisse sa braguette pour qu’à son tour son short tombe au sol, il est en jock strap blanc. Il arrête son fougueux baisé pour se baisser légèrement et prendre en bouche mes dix-huit centimètres. Sa bouche baveuse exécute un doux va-et-vient et me procure de légers frissons, je tends ma main pour la posé délicatement sur sa raie dénudée et lui frotter avec insistance sa rondelle qui se détend au fur et à mesure que mes doigts passent dessus. Je sens sa langue experte s’enrouler et se dérouler autour de ma bite, jusqu’à qu’il cesse sa bonne pipe pour dérouler une capote sur ma pine, se retourne et se cambre légèrement comme une invitation à le pénétrer, ce que je ne tarde pas à faire. Au premier coup de reins, il laisse échapper un énorme soupir de plaisir qui résonne dans la pièce.
- vas-y ! démonte-moi !
Je pose mes mains et commence un frénétique vas et viens entre ses reins. Plus j’accélère plus c’est gémissement résonnent dans la pièce vide.
- ouff ! ouf ! hen oui ! encore… plus vite, défonce ! Sous ses encouragements j’intensifie le mouvement, je grogne, mon corps perle de sueur. D’un geste non réfléchi le lui afflige une fessée puis une autre alors qui se branle énergiquement, son fessier rougi. Encore deux coups mes mains se crispent sur son cul et je lâche une bonne dose de jus dans le latex.
Juste le temps de reprendre nos esprits, il se retourne, me force a m’agenouiller, pose sa main sur mon front, m’obligeant à pencher ma tête en arrière, continue à se branler son gland et a quelques millimètres de mon visage, quatre longues doses sperme viennent se poser sur mon visage, ma langue essaye tant bien que mal à récupérer le plus de jus possible, il est bon et onctueux. Une fois fini il me tend de quoi m’essuyer le visage ainsi qu’une carte de visite.
- tu m’appelles quand tu veux ! Puis nous nous sommes quittés avec la promesse de remettre ça.
Houne66
viger.elec@hotmail.fr
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