Je dois vous raconter une chose de dingue qui m'est arrivée il n'y a pas très longtemps. Je fréquente très peu les lieux gays, une fois par mois, je me fais un sauna et de temps en temps, je sors en boite, célibataire. Petit blond aux yeux bleus, d'une trentaine d'années, sportif le dimanche de 8 à 10, donc rien de spécial, mais je plais malgré moi.
Un jour d'été, je prends un café en terrasse, je suis tranquille et je mate un peu les mecs en short qui passent sur la place de la ville.
Un jeune homme, costard cravate, lunettes noires, s'approche de ma table, un papier à la main, et sans un mot, il pose le papier qu'il avait en main sur ma table et disparait brutalement dans la foule. Surpris, je saisis le papier, et me lève pour savoir où est parti le mystérieux jeune homme, mais rien, personne, intrigué je décide d'examiner le papier qu'il m'a déposé, c'est une carte de visite pliée en deux, avec sur sa devanture une sorte de sceau avec quelques filigranes en or, ma curiosité l'emporte, j'ouvre la carte où il est écrit avec une écriture fine et élégante
" On vous a repéré, venez samedi à 18 h à l'adresse indiquée. G.C. "
Je tourne la carte, il y a une adresse, c'est à quelques kilomètres d'ici, intrigants comme convocation ! Une blague de mes potes, un amant timide ?
" On ", c'est qui ? G.C. ? Toutes ces questions me trottent dans la tête. Aventureux et curieux de nature, je décide d'aller voir ce G.C. me veut !
Samedi, je me prépare, je ne sais pas comment m'habiller, sexy pour un éventuel amant ? Naturel pour dire, je le savais à mes potes ? Je suis dans le flou total ! Je décide de mixer les genres, sexy, mais classe quoi. J'enfile un jeans moulant avec une chemise blanche et cravate un bref passage devant le miroir, pas mal le mec !
J'arrive à l'adresse indiquée sur la carte de visite, c'est une grande entrée en pierre avec un grand portail en fer forgé, au milieu de nulle part, le stress m'envahit, après un moment d'hésitation, je me lance dans la grande allée bordée de buissons bien taillés, au bout de cette allée, une grande demeure, avec devant une grande place en gravier au fond de la cour, j'aperçois une dizaine de voitures, certaines sont luxueuses, et d'autres non, mais je n'en reconnais aucune.
J'arrive devant l'entrée, devant la demeure un homme d'une cinquantaine d'années en veste queue de pie s'avance vers ma voiture, et ouvre la porte de ma veille twingo.
- Bonjour monsieur, monsieur vous attend ! Entrez donc, vous trouverez tout ce qu'il vous faut dans l'entrée ! Je m'occupe de votre véhicule.
J'ai l'impression d'être un ambassadeur, ce ne peut pas être une blague de mes potes en tout cas !
Je sors de ma voiture, l'homme monte et part je ne sais où avec ma voiture, je monte les quelques marches et arrive devant un chef-d'oeuvre d'ébénisterie qui sert de porte ! J'ouvre la porte et pénètre dans la demeure. Je suis dans un grand hall en marbre avec un grand escalier sur la droite.
Sur une portemanteau devant moi, une grande cape avec un masque blanc comme on peut voir au carnaval de Venise, où je suis tombé ?
Je m'approche du portemanteau et je distingue un papier posé sur table juste à côté, je reconnais le sceau, c'est le même que sur la carte de visite, il y a un mot d'inscrit sur le papier " prenez ces affaires et empruntez la porte de gauche G.C ". Ma curiosité est mise à l'épreuve de toute façon je ne sais pas où est partie ma voiture, et il n'y a pas de poignée à la porte d'entrée, donc je m'exécute.
J'arrive dans la pièce de gauche, une grande salle, sur un mur quelque placard fermé sauf un, je m'avance vers ce dernier, donc vers ce placard, un autre mot qui me demande de me déshabiller et de revêtir la cape et de ne surtout pas oublier le loup, un postscriptum m'avertit que je peux, si je souhaite, gardé un sous-vêtement.
À ce moment-là, l'excitation vient se joindre à ma curiosité, sans trop savoir ce que je vais trouver ensuite, je garde mon boxer et enfile la cape et pose le loup sur mon visage, je ferme le placard et au même moment au bout de la pièce, une porte s'ouvre à droite de la pièce.
Mais où cela va-t-il me mener ! Je m'avance vers cette porte qui donne dans une entre chambres avec au bout un grand rideau rouge, une douce musique classique émane de derrière le rideau, là, je vous avoue, je flippe un peu, je serre les poings au cas où et entre ouvrant doucement le rideau, et là un spectacle merveilleux s'offre à moi, une grande salle de bal style XVII siècle, un lustre en cristal illumine tout juste la salle. Repartis un peu partout dans cette salle, des banquettes en velours rouge, des hommes en cape comme moi, mais avec un masque noir cette fois, déambulent, d'autres sont affalés sur les canapés se laissant caresser par d'autres hommes, un homme passe devant moi et me dévisage de haut en bas, d'autre s'embrassent goulument dans un coin de la pièce.
Au fond de la salle, sur un joli trône posé sur une petite estrade, un homme assis, il porte aussi une cape entrouverte, laissant apparaitre, une belle tablette d'abdos lui porte un masque doré, il me fait signe de m'approcher de lui. Je traverse la salle, en passant, je m'aperçois que certains se font sucer par d'autres, et d'autre encore se branlent mutuellement sans retenue, une orgie ! Voilà où je suis !
Arrivé près de l'homme au masque d'or, il m'adresse la parole.
- Bienvenue ! J'espère de ne pas vous avoir effrayé par cette petite invitation ?
- J'avoue que j'ai hésité à venir ! Mais qu'est-ce que je fous là ?
Il se mit as rire sobrement
- Vous avez été repéré, c'est un privilège !
- Qui est G.C et que me voulez-vous ?
- C'est nous, et laissez-vous aller à vos désirs, mais avant ça, il faut vous initier !
Il lève le bras et frappe deux fois dans ses mains, tous cessent..
- M'initier a quoi ?
Il se lève et d'un geste de la main, deux hommes s'avancent à ses côtés et retire sa cape, il est nu en dessous, il laisse apparaitre une belle érection, puis en suite ils s'avancent tous deux sur moi pour retirer ma cape à mon tour.
L'homme au masque d'or s'avance vers moi, il est bien foutu un tel morceau, je ne peux pas dire non !
Il me prend par la main et me dirige vers le milieu de la pièce, tout le monde est en cercle autour de nous, et ne nous quitte pas du regard, il pose ses mains sur mes épaules et me force à m'agenouiller, sa pine et juste en face de ma bouche, d'un jeu de rein, il avance sa queue, je pose mes lèvres sur le contour de sa queue veineuse et longue.
- Honore, le prince ! dit-il
Je compris qu'il veut une bonne pipe, je m'applique donc et prends sa bite en main et accompagne mes lèvres de ma main, ma salive coule à terre, je sors sa pine de ma bouche et commence à lécher son gland devenu rouge pour la gober dans toute sa longueur de nouveau.
Sans prévenir, deux hommes me prennent pas les avant-bras et m'éloignent du masque d'or en me trainant à terre, il m'allonge sur un canapé tandis qu'un troisième homme vient retirer mon boxer, les deux autres me tiennent les bras tandis que le masque d'or s'accroupit entre mes jambes tenues écartées aussi par deux autres hommes.
Le prince s'allonge sur moi, je sens son gourdin qui se présente à mon orifice, je le sens pénétrer en moi doucement, si lentement que je sens tous les détails de sa queue, je n'ai pas l'habitude que l'on me prend à sec, il arrive au fond de mes entrailles et ne bouge plus, il entame un petit mouvement du bassin de gauche à droite et ressort toujours dans une grande lenteur, une fois sorti, il crache dans sa main et étale sa salive sur toute la longueur de son chibre, puis recommence à me pénétrer toujours en douceur, mais cette fois-ci, ça glisse mieux, il entreprend un vigoureux va-et-vient et cette fois-ci je gémis de plaisir, il va de plus en plus vite, je hurle de plaisir, je sens son souffle chaud sur mon coup.
Les deux qui me tiennent les jambes mettent mes pieds en l'air, le prince continue à me limer de plus en plus vite à présent, je sens ses couilles claquées entre mes cuisses, il s'arrête brutalement, et je sens son divin foutre couler en moi, un fois la dernière goutte déposée dans mes entrailles il se retire, se révèle fière. Je pense mon initiation finie jusqu'au moment où il acclama.
- il est à vous !
Ils enlevèrent tous leurs capes et resserrent le cercle et un autre prit sa place, une armoire à glace avec une belle bite, à son tour me baise comme une brute, mais lui, ne me remplit pas le cul il a préféré gicler sur mon ventre, j'ai déjà le cul en feu, le suivant lui a une démarche plus efféminée, il est fin et un cul bien bombé, il me chevauche et s'empale violemment sur ma bite raide, sa rondelle est bien serrée il ne me laisse pas jouir et se retire à temps.
Chacun son tour, ils passent sur moi suivant sa préférence, je n'en peux plus, les deux derniers sont ceux qui me tiennent les bras, eux me sucent chacun leur tour, je n'ai toujours pas joui, une fois que les derniers eurent fini de s'amuser avec ma queue, je n'ai même plus la force de bander.
Le prince s'approche alors de moi et me relève, je suis épuisé, il me prend dans ses bras et me dit.
- Bienvenue dans la Gay clan ! Repose-toi puis amuse-toi !
Les autres commencent une partouze tous ensemble, tandis que le prince reste assis sur son trône et contemple le spectacle, en se faisant sucer par un ou plusieurs mecs.
De temps en temps, je reçois encore des invitations de la même façon un papier apparait de nulle part. Mais cette foi si j'ai mon propre masque noir.
Il va sans dire que je ne vous donnerai pas l'adresse, mais, si un jour vous avez une carte d'invitation signée G.C, c'est que vous avez été repéré.
Houne66
viger.elec@hotmail.fr
Autres histoires de l'auteur :