Un bon réveillon

Cette année, je vais passer le réveillon du Nouvel An avec mes potes, ça fait des années que l'on se connait et portant, c'est la première fois que nous fêtons le Nouvel An ensemble.
Comme à mon habitude, j'arrive le dernier chez Nico et Marc, un couple sympa que j'ai rencontré il y a maintenant à peu près 6 ans au restaurant où je travaille et depuis, on se voit de temps en temps à l'occasion.

Je n'ai pas d'apriori sur la sexualité des gens qui m'entoure pour une simple raison : je ne sais même pas moi-même ou j'en suis, à 20 ans, je n'ai pas eu les grandes expériences. Je suis un peu confus à ce niveau et c'est pour ça que, je pense, je n'ai jamais vraiment conclu.

On me dit mignon petit blond aux yeux bleus aux airs juvénile, on me donne souvent 5 ans de moins, cela peut tout aussi bien me flatter comme aussi m'agacer, suivant les situations.
Dès mon arrivée Nico me présente aux autres invités, Agathe et Thierry, leur voisin de palier et Sophie la soeur de Marc.
Tous âgée entre 25 et 30 ans, je constate que je suis le plus jeune.
La soirée se passe bien, on mange bien et l'alcool coule à flots. Je sympathise vite avec tout le monde.

Minuit approche, la tête me tourne un peu, mais moins que Marc apparemment, il chante, titube légèrement et enlace tous ceux qui passe non loin de lui, d'ailleurs quand se fut mon tour cela ne m'a pas déranger outre mesure, prenant ses gestes comme une marque d'affection, même si ses mains se baladent sur mon fessier.
5, 4, 3, 2, 1, Bonne année !!! À ces mots une liesse générale envahie, l'assistance, tout le monde s'embrasse, se souhaite les voeux, Marc et Nico s'embrassent à pleine bouche, ainsi qu'Agathe et Thierry alors que Sophie et moi, nous nous embrassons simplement.
La soirée reprend de plus belle, pour ma part, je lève le pied sur l'alcool, contrairement à Marc, Nico doit être dans le même état que moi, légèrement éméché.

La soirée touche à sa fin et les invités regagnent ses pénates, une fois tout le monde parti, je me propose à Nico pour ranger un peu, il accepte.
Mais avant tout, il faut mettre Marc au lit, car lui continue à danser torse nu, seul et sans musique au milieu du salon. Il est plutôt bien foutu son torse légèrement dessiné et le haut de son caleçon qui dépasse de son jean's, il est terriblement sexy.

Nico et moi mettons ses bras autour de notre cou pour l'accompagner jusqu'à leur chambre. D'un coup sans prévenir Marc, attire mon visage vers le sien et me roule une pelle longue et langoureuse juste avant de s'effondrer sur le lit. Même si j'ai apprécié ce qui venait de se passer, je me sentis légèrement gêné par rapport à Nico, je ne sais pas ce qui s'est produit à ce moment-là, mais Nico et moi, nous nous embrassons à notre tour alors que pendant ce temps Marc avait enlevé son jean's et s'est assis sur le bord du lit et avez commencé à nous caresser la braguette, en quelques secondes nos deux queues étaient sorties.

Je sens les lèvres de Marc aller et venir le long de ma pine de 17 cm, les mains de Nico passe à l'intérieur de mon froc et viennent me caresser mes fesses.
L'excitation est à son comble, je bande comme un âne, la bouche de Marc alterne entre nos deux queues, moi, je suis prostré ne savant comment réagir, mais deux partenaires savent si'y prendre.
Maintenant Nico est à genoux devant moi et il a pris ma bite en bouche, mon froc se retrouve sur mes chevilles et seul mon caleçon laisse mon sexe sortir.

Marc, lui encourage son compagnon en posant sa main sur sa nuque en ponctuant ses gestes avec un " vas-y suce-le.. ".
Pour ma part, toujours prostré, je me laisse faire, je sens encore les effets de l'alcool.

Marc se lève tant bien que mal, se positionne derrière Nico qui relève son postérieure, puis Marc commence à le pénétrer tout en se tenant fermement à la coupe de son petit ami.
Dans un dernier effort, nous avons tous les trois joui plus ou moins en même temps, Nico a pris une double dose de jus, une dans la bouche et l'autre au fond de son cul.
Puis épuisé, nous nous sommes tous les trois affalés sur le lit pour nous réveiller le lendemain, avec un sacré mal de tête, mais heureux de notre réveillon.