Il s'appelait Joan j'avais fait sa connaissance au marché de cet été, avec son père il faisait du rempaillage, comme moi il avait 25 ans sa famille venait de s'installer dans un terrain pas trop loin de chez moi, je l'ai croisé plusieurs fois en début d'après-midi en allant à la rivière derrière chez moi. Au fil de la semaine, nous avons sympathisé et sommes devenus des potes, lors de nos diverses rencontres il m'expliqua sa vie en communauté et sur les routes tandis que moi je lui raconter ma vie de fils à papa bien rangé.
Samedi jour de marché, d'habitude je n'y vais que si ma mère travail et seulement quand elle me le demande, mais là, pour aller voir le bel hidalgo à la peau mat, brun et aux yeux sombres, je me fis pas prié.
Il était là, à son emplacement habituel, assis devant une chaise qu'il rénovée, ses mains fortes et puissantes plient la paille, ses muscles solides rouler sous sa peau bronzée, je suis resté là un petit bout de temps à le regardé travailler.
Une fois fini son travail, il leva la tête et m'aperçut dans la foule qui le regardais travailler, il me sourit, je sens en moi les palpitations de mon coeur s'emballer.
Je repris mes esprits et allais lui demander ce qu'il allait faire cette après-midi, il me répondit qu'il devait faire quelque bricole puis après il était libre, je lui ai donc proposé d'aller à la rivière avec moi, et à mon grand bonheur il accepta.
L'heure du rendez-vous, je lui ai demandé de me rejoindre à quelques mètres de chez moi, je le vois au loin, il est adossé au mur, les bras croisés, les yeux dans le vide, son short en jean's a l'air trop petit pour lui tellement ces cuisses son puissante et poilus à l'inverse de son t-shirt rouge large et échancré au col qui laisse deviner ses pectoraux naissants.
Je le salue brièvement puis nous nous sommes mis en route, lors du quart d'heure de route on discute de tout et de rien, nous arrivons au petit chemin qui mène à la rivière.
Nous sommes sur une petite plage déserte le long de la rivière, Joan enleva vite son t-shirt laissant apparaitre un torse légèrement poilu et musclé, suivi de son short qui laissa découvrir son caleçon noir et moulant formant une belle protubérance à l'entre cuisse, puis sans attendre, comme un gosse à la plage, il se mit à courir pour finir par plongé tête première dans l'eau.
Plus pudiquement, j'ôte mes vêtements pour aussi finir en caleçon, car suis pas aussi bien fait que Joan, et cela me complexe légèrement. Il est sûr que mon corps frêle et légèrement dessiné contraste avec celui de Joan.
Après quelque seconde d'hésitation je le rejoins dans l'eau, on s'amuse, on se bouscule, on s'éclabousse comme des gosses, de temps en temps je sens ses mains sur mon corps ce qui éveille en moi certains frissons.
Après ses quelques chamailleries nous retrouvons nos serviettes, épuisé Joan s'affale sur sa serviette, son corps humide, son sous-vêtement mouillé lui colle à la peau laisse apparaitre un sexe bien poser le long de sa cuisse.
Je reste là planté debout devant lui, appréciant les moindres détails que mes yeux puissent observer.
Il me sourit, je ne peux plus résister, je jette sur lui pour l'embrasser à ma grande surprise il se laissa faire et même, il entoura ses bras autour de ma taille, me pénétra la bouche de sa langue douce et charnue, le contraste de nos deux corps entrelacés était flagrante.
Un geste puissant et brusque, on se mit à rouler, il était au-dessus de moi, j'en profitai pour glisser mes mains dans son caleçon mouillé pouvant ainsi tâter ses fesses rondes et fermes, nos deux bouches se décollent, il me regarde droit dans les yeux, ses cheveux mi-longs encore mouillés goutent sur mon visage. En peu de temps qu'il faut pour le dire nous nous retrouvâmes tout deux nus, son sexe humide et frais se frotte contre le mien, tous deux tendus aux max, il me sourit encore et ses yeux pétillent d'envie.
Il passa ses genoux de chaque côté de mon Corp, s'avança jusqu'à ma tête pour me présenter son joli chibre tendu, le saisit de sa main droite et me biffa, j'ouvre grand ma bouche et il y pénétra sa belle queue bronzée, ma langue lui caressa le gland, mes lèvres entour son long sexe, tendis que mes doigts lui frottent l'anus qui se dilate au fur et à mesure de mes caresses jusqu'au moment où il vient le poser au bout de mon gland et l'enfonça doucement jusqu'au bout, il ferme les yeux tout en penchant sa tête en arrière, il est magiquement beau.
Ses mains posées sur mon torse, il me plaque au sol, je le laisse gérer sa décente le long de mon organe, une foi mon chibre disparu dans son fondement il lâcha avec un accent espagnol " humm Buenos ! " et sans aucune prémisse il commence un rapide va-et-vient le long de ma pine, une vraie Furi ! Je regarde sa longue queue suivre ses mouvements de bassin se couilles viennent se claquer sur le bas de mon nombril.
Je saisis sa queue et dans la même énergie commence à le branler, car je sens que je ne vais pas tarder à jouir.
Quand d'un coup il se retire brusquement, se mit entre mes cuisses, les écarta délicatement, glisse ses mains sous mes genoux pour les amené jusqu'à mes oreilles et avec agilité vient présenter son engin à mon orifice, je sens son gland se poser doucement et s'enfoncer en moi. Mes gémissements accompagnent sa descente en moi, je souris de contentement.
Joan remonte et descend en moi avec une telle lenteur que je sens les moindres détails de sa queue veineuse, cela n'a pas duré longtemps, car il accélère le mouvement, il me bourrine le fion j'en ai le souffle coupé, lui grogne comme un ours, ses yeux exorbités me fixent.
Tout en laissant sa bite en moi, il me prit l'épaule pour me faire pivoter sur le ventre et recommença son pilonnage je laissais échapper des cris de bonheur, je sens son gland frissonner en moi, il laisse échapper un râle de soulagement, je sens son liquide chaud coulé de mon orifice.
Je me relève à mon tour, il se mit à genoux la bouche ouverte, je pose mon gland sur son menton et commence à me masturber énergiquement, la dernière goute vient remplir sa bouche, puis il se mit à avaler ma semence doucement et en quelques gorgé tel un bon vin.
Une fois fini, il s'allonge toujours le sourire aux lèvres, juste à côté de moi perlant de sueur et me dit " depuis que j'attendais ça ! " il m'explique que ce n'est pas souvent qu'il peut assouvir ses désirs sexuels, car dans sa communauté l'homosexualité n'est pas bien perçue et que par conséquent il n'avait pas souvent de relations sexuelles.
Je lui répondis dans un flegme britannique qui me caractérise bien " heureux de te rendre ce service ".
Une fois ce réflexion faite, nous sommes repartis pour longue et tendre étreinte, je ne cesse de caressé sa peau cuivrée nos corps nus s'enlacent et se frotte doucement, nous étions seul au monde, ses mains caressent mes cheveux blonds. Pris par nos câlins sensuels nous n'avons pas vu le temps passé, la pleine lune commence à se montrer et la fraicheur se faire ressentir, nous nous sommes rhabillés avec une certaine amertume.
Le retour fut silencieux et solennel, nous voici à notre point de départ, les yeux tristes Joan m'annoncent qu'il reprend la route demain, je sentis en moi une profonde peine, je passe ma main dans ses cheveux mi-longs et légèrement bouclés pour arriver à sa nuque pour lui déposer sur ses fines lèvres douces un dernier baisé d'adieu.
Houne66
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