Jeune taxi depuis un an, je me débrouille comme je peux pour remplir les caisses, un de mes potes gardien de prison m'a proposé de faire les sorties, pour commencer.
Lundi 8 heure, je suis devant la porte de la maison d'arrêt, j'attends mon client qui ne tarde pas à sortir, un grand gaillard black, en jogging, un sachet à la main.
Il monte à l'arrière et m'indique l'adresse où je dois le conduire c'est pas la porte à côté, sur la route, il me demande de m'arrêter au premier bureau de tabac que je croiserai, tout le long de la route, je sens qu'il me fixe du regard dans un silence pesant, un subtil jeu de regard commence, je ne suis pas trop rassuré, mais bon, je garde mon sang-froid.
Comme il me l'a demandé, je me gare devant le premier buraliste que je croise, il décent et revient quelques minutes après, mais cette fois, il décide de monter devant, pour briser un peu le silence, j'entame la conversation, mais il répond à mes questions d'un bref oui, non, peut-être.
Il a les jambes écartées et regarde par la vitre, on ne peut pas dire que c'est le plus loquace de mes clients.
Il se tripote discrètement l'entrejambe, à un tel point que mon regard fait des va-et-vient entre la route et la belle bosse qui se forme peu à peu.
Nous sommes sur une petite nationale bordée d'arbre et de buisson, mon client me demande si je peux m'arrêter pour qu'il puisse " aller pisser un coup ".
Je m'arrête quelques mètres plus loin, il sort de la voiture en laissant la portière ouverte et fait quelques mètres.
De la où je suis, je vois un gros et puissant jet d'urine coulait entre ses deux jambes bien écartées le flot s'arrête, mais lui ne bouge pas au bout de quelques minutes il me lance avec un air paniqué " Hé ! Viens voir vite !! "
Sans me poser de question, je me précipite à ses côtés, pour une surprise, elle était de taille, un bon 22 centimètres tendu avec une bonne grosse paire de couilles pendue.
Sans que je puisse réagir, il me prend par la nuque me force à m'agenouiller, juste devant lui, pose sa queue sur mon visage.
- Maintenant, tu vas me sucer !
Son accent africain me fait frissonner.
Sans me faire prier, je gobe son large gland et j'essaye d'avaler la totalité, mais c'est la plus grosse bite que j'ai jamais eue.
Je m'applique à longer mes lèvres le long de cette belle pine, de ma main je malaxe la paire de burnes et de l'autre accompagne ma bouche trop petite pour tout absorber.
- Vas-y tepu ! ! Bouffe ! !!
J'accélère le mouvement, un filet de bave coule le long de sa bite noir ébène, je ferme les yeux tellement je suis aux anges.
Quelques minutes après, alors que je lâche prise pour reposer ma mâchoire, des jets puissants et fournis viennent se plaquer sur mon visage.
- haarrgh ! humm ! Putaiiin c'est bon !
Il reprend ses esprits puis remballe son matos et retourne s'installer dans la voiture me laissant en plan.
Une fois nettoyé on reprend la route dans le même silence qu'avant jusqu'à destination.
C'est le meilleur des pourboires que j'ai eu.
Houne66
viger.elec@hotmail.fr
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