C'était une période pendant laquelle je ne travaillais pas. J'avais rencontré Pierre lors d'une soirée, nos relations sexuelles, au début, espacées avaient glissées progressivement vers des rapports de soumission. Je restais dans son appart, disponible à ses caprices.
C'est un soir où je trouvais sur le lit une tenue : que du cuir : des sangles, un collier de chien, un pantalon de cuir, un jock de même matière...
C'était un rituel : je m'habille et attends. Parfois, les idées des folles nuits me traversent, gonflant le pantalon de cuir. J'attends parfois plus de deux heures.
Pierre rentre :
- " Alors, petite pute : t'es prête ? "
- " Oui, mon maître "
Il prend la laisse et m'entraine : nous sortons de l'appartement, on descend les escaliers - j'étais angoissé de rencontrer un voisin ", nous sortons dans la rue. Sa voiture est garée sur le trottoir en face, juste en sortant : j'avais cru un instant que le jeu consisterait à m'exhiber dans la rue.
Pierre reste silencieux, moi aussi.
Il se gare. Avant de sortir de la voiture, il me bande les yeux avec un bandeau de soie noir :
- Ce soir, je t'offre à des inconnus, mais je t'enlève un sens : la vue. Il te reste le gout, l'odorat, le toucher et l'audition.
Il m'aida à sortir de la voiture, il frappa à une porte, on lui ouvrit, il dit " bonjour, nous descendons ", on lui répondit " bonne soirée ". On prit un escalier pour aller - je suppose - dans un sous-sol - un escalier interminable. Il me poussa à l'intérieur d'une pièce, j'entendis la porte se refermer à clé. J'étais seul.
Je commençai à me déplacer - à tâtons. Dès que mes mains ont commencé à toucher une des cloisons, je fus rassuré : quelle angoisse d'être dans le vide.
Peut-être que j'allais rester là quelques jours, prisonniers. J'avais donné ma confiance à mon Maître : ce qu'il faisait était juste pour mon bien, pour mon plaisir.
Ce n'était pas un mur : c'était une cloison lisse, que je caressais à la recherche d'une issue, d'un indice. Soudain, une fente. Je touche... un trou. Je peux à peine passer ma main : rien. Je continue mon exploration : un autre trou : à l'évidence, la cloison est percée. J'avance encore un peu : ma main passe sur une peau... je caresse... ma queue se lève : c'est une bite, une belle bite pas tout à fait bandante. Je n'ai pas touché une bite depuis une semaine entière : mon maître prône l'abstinence. Alors, là, je plaque mon nez et en respire profondément l'odeur. Je sors ma langue et la lèche amoureusement. Elle devient plus lourde, la soulève et commence à la pomper, cette queue qui grossit à m'en remplir la bouche.
J'avais compris où j'étais. Pendant que je suçais, je touchais les parois étant sûr, connaissant mon maître, que d'autres bites m'attendaient ! Je lâchais la première et bouche ouverte j'allais à la rencontre d'une autre : il me fallait plus grosse, plus juteuse, plus odorante.... toujours plus.
J'aimais les couilles pendantes aussi, celles que tu as bien en main. Occupé à aspirer le gland, je sentis une main me prendre par les couilles et me plaquait par la paroi. Après la douleur de la prise en main, je sentis le plaisir humide d'une bouche qui m'engloutit et s'occupait de moi. J'essayais pour autant de rester concentrer sur l'énorme pieu : sa queue se tendait et je tendis ma langue pour recevoir son jus. Je fus éclaboussé par de longs jets abondants. Je n'avais pas le choix que d'avaler tout le sperme : pas de quoi m'essuyer. Alors avec mes doigts, je récupère le liquide visqueux sur mes joues et me les suçais. Je ne voulais pas jouir de suite et profiter encore de queues et de queues... je retirai ma bite de la bouche suceuse et à tâtons, continua l'exploration de la pièce noire.
Quelques pas de plus et j'avais encore une autre queue à disposition à sucer. Ils étaient là pour moi, tant que je n'avais pas satisfait tous les hommes, mon maître ne me laisserait pas sortir : c'était une certitude. Je n'avais sucé que 3 bites. Or, j'avais 22 ans dans quelques jours. Connaissant mon Maître, il avait dû réunir 22 mecs. La nuit s'annonçait longue.
Quelques pas de plus et ce fut le jackpot : je pus sucer 1 bite et en branlais 2 en même temps. Je pris une sacrée douche de sperme.
Quelque, pas de plus, encore, je commençai à lubrifier une belle queue avec ma bouche. Je me retourne et plaque mon cul sur la paroi. Je sentis d'abord une langue me fouiller le trou puis le pieu s'enfonçait en moi. Il me ramonait avec maestria, changeant souvent de rythme : parfois violent, parfois doux. Il éjacula en moi si bien qu'au fur et à mesure de la soirée, j'avais l'impression que du sperme sortait de tous mes orifices. Mon maître aurait dû prévoir une bonne salope qui m'aurait nettoyé entre chaque giclée. Il y en a qui aime décrasser les mecs.
Je saisis une teube fermement, la presse, roule le gland autour de mon trou béant et humide avant de l'enfoncer : et d'une autre. Je reste figé contre la paroi pour bien sentir le gros chibre en moi. Il commence de lents va-et-vient avant de jouir assez rapidement : il s'agissait probablement d'un jeune gay tout excité par la situation. Je laisse reposer mon cul et prends alternativement 2 queues en bouche. Une d'elles sent le sperme, elle a déjà servi. Dans quel cul ou quelle bouche s'est-elle aventurait. Les 2 me giclent sur le visage, en même temps. J'étais une vraie salope déchainée et avide d'une autre bite.
Tout ça dura un bon moment... le temps passe tellement vite quand on est occupé à vider des queues. Soudain, la lumière s'allume et au milieu de la pièce équipé de lunettes infrarouges : Pierre. Il était en cuir, la bite au garde-à-vous. Une sensation de joie m'envahit : je l'aimais probablement. Je me suis jeté sur lui, assis sur ses genoux ou plutôt, empalé sur sa queue. Malgré sa taille gigantesque, je n'avais pas eu de mal à l'absorber tellement mon cul était béant et lubrifié de jus de mâle. Lui me serra ma bite entre ses mains et me masturba. Tout finit dans une explosion de sperme : en bon soumis, je dus nettoyer sa main maculée et nos langues s'unirent dans cette marée de cum.
Cedex33
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