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Tonton et moi étions amants c'était un plaisir de faire l'amour avec lui.
Nous couchions maintenant ensemble et, super, il me restait trois semaines de vacances chez lui.
Après mon dépucelage nous sommes restés deux jours à faire l'amour ensemble.
Mon oncle m'a tout appris, les baisers, les caresses, comment sucer un sexe d'homme, et je peux vous dire que je me suis régalé avec le sien.
J'aimais titiller son méat et son frein avec la pointe de ma langue, puis déposer un baiser sur son gland doux et chaud. Ensuite, l'envelopper de mes lèvres. Puis à nouveau avec la pointe de ma langue descendre le long de sa hampe, où apparaissaient de grosses veines bleues, descendre jusqu'à ses couilles velues, embrasser ses testicules gros comme des kiwis, m'enivrer de son odeur (qui ressemblait à l'odeur du slip de papa). Revenir sur son gland et avaler sa bite de 19 cm.
Au début j'ai eu du mal à gober la totalité de sa virilité, mais l'expérience a fait que j'arrivais à la prendre entièrement sans haut-le-coeur.
Mon oncle m'encourageait et me félicitait pour mon apprentissage. Il aimait que je m'occupe de sa bite, car j'avais droit à une éruption de sperme crémeux, chaud et légèrement sucré que nous partagions dans nos baisers torrides.
Nos langues aussi maintenant étaient complices. J'aimais son gout, sa vigueur, ses lèvres douces et humides ; nos baisers étaient chauds. Nous partagions le gout de nos spermes une fois que nous avions éjaculé.
J'aimais quand il me suçait. Au début j'éjaculais très vite, mais, avec l'habitude, j'ai appris à me contrôler.
Nos corps se mélangeaient, mon oncle m'entourait doucement de caresses, il m'embrassait sur toutes les parties de mon corps, il aimait m'embrasser l'anus maintenant qu'il en avait fait la conquête. Ses pénétrations étaient un plaisir. Sa grosse bite me donnait un tel plaisir que mes gémissements remplissaient la chambre.
J'aimais son regard, il avait quelque chose à la fois de magique et pétillant, mais aussi de diabolique, surtout au moment de son éjaculation lorsqu'il poussait un cri rauque.
Mon envie de lui était quotidienne. Parfois il fallait faire attention, car le peintre n'avait pas fini son boulot. Mais cela ne nous empêchait pas d'aller faire l'amour, même mon oncle prenait encore plus de plaisir d'affirmer sa virilité avec son neveu en sachant la présence d'un autre homme.
Les trois semaines sont passées très vite, voire même trop vite, il fallait rentrer à la maison, mais j'avais découvert le sexe entre hommes et je ne voulais pas en rester là. Mon oncle a toujours eu une place particulière au fond de moi et je dirais même dans mon coeur, il en était de même pour lui, car il m'a dit " je t'aime ".
Le vicomte de l'amour
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